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International - Page 333

  • François demande que l'embryon fasse l'objet d'une protection juridique

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    Les militants pro-life se mobilisent à Rome (Radio Vatican)

    Pour la première fois depuis le début de son pontificat, le pape François a ouvertement et solennellement abordé ce dimanche la question sensible de la défense de la vie dès sa conception. Quelque 30 000 participants à une marche pour la vie participaient à la prière du Regina Coeli sur la place Saint-Pierre. C’est une question importante – a commenté le Saint-Père avec gravité, évoquant la pétition lancée dans de nombreuses paroisses italiennes pour soutenir l’initiative européenne « Un de nous ». 

    Il s’agit de demander la protection juridique de l’embryon, contre toute manipulation et destruction, et d’assurer la défense de tout être humain dès le premier instant de son existence. Venus de plusieurs endroits d’Europe les manifestants avaient défilé du Colisée jusqu’au château Saint-Ange. Le pape François a par ailleurs signalé la tenue, les 15 et 16 juin prochains au Vatican, de la Journée de l’Evangelium Vitae, un moment important – a-t-il dit - pour tous ceux qui ont à cœur le caractère sacré de la vie humaine, thème central de l’Année de la foi. 

    Une initiative originale pour un enjeu majeur

    L’initiative citoyenne européenne « Un de nous » espère réunir un million de signatures. En vertu d’un nouveau règlement européen en vigueur depuis quelques mois, il faut et il suffit qu’un million d’électeurs de 7 pays différents signent cette Initiative pour que la Commission européenne soit tenue de reconsidérer la question du financement européen de la recherche sur l’embryon humain. Ce qui relève de la Commission et du Parlement européens, c’est le budget voté par ce dernier pour soutenir dans les états de l’Union et bien au-delà, les associations et programmes ayant directement ou indirectement comme conséquence le sacrifice d’embryons, soit dans le cadre d’une planification des naissances soit dans celui de la recherche. 

    Ces budgets n’ont jamais cessé d’être l’objet de controverses et de débats très vifs au niveau européen. Cette initiative citoyenne est d’autant plus originale que c’est l’une des toutes premières du genre à utiliser cette nouvelle disposition. Soutenue en France par la Fondation Jérôme Lejeune, Alliance Vita, les Associations familiales catholiques et le Comité protestant évangélique pour la dignité humaine, elle permet à chacun de faire entendre sa voix. 

    La défense de la vie n'est pas un problème catholique

    L’enjeu est majeur. En France, une proposition de loi visant à lever l’interdiction de recherche sur l’embryon vient d’être temporairement bloquée par des députés, mais devrait revenir en discussion prochainement. En Italie, un pays confronté à un fort déclin démographique, l’initiative citoyenne a déjà obtenu le soutien du Forum des familles, des médecins et juristes catholiques, de la Communauté de Sant’ Egidio et de plusieurs mouvements dont l’Action catholique, Communion et Libération et les Focolari. Les organisateurs soulignent que « la défense de la vie n’est pas une « affaire catholique ».

  • La vie d'un pionnier de l'avortement

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    Friday-Fax-Header-French.jpgExports toxiques : Harvey Karman, le Planning familial, et l’exploitation des victimes de viol

    NEW YORK, 10 mai (C-FAM) Les efforts des militants pour étendre le droit à l’avortement par l’exploitation des victimes de viol dans les zones de guerre rappellent à notre mémoire une campagne plus ancienne, l’affection dangereuse d’un homme pour les gadgets, et le procès pénal d’un médecin avorteur poursuivi pour meurtre.

    Une nouvelle campagne politique, mobilisant la rhétorique de l’aide humanitaire, cherche à venir à bout de l’interdiction américaine de financer l’IVG à l’étranger. Cette campagne ne semble pas se formaliser des conséquences désastreuses d’une campagne du même type, datant des années 1970, et qui exploitait le malheur des femmes enceintes des zones de conflit pour plaider en faveur d’un élargissement du droit à l’avortement. Cette campagne est devenue depuis l’étendard d’un militant zélé de l’avortement, Harvey Karman, qui en profitait pour tester du matériel abortif nouveau et controversé. En 1972, il expérimentait l’usage de ce matériel avec Kermit Gosnell. Leur essai manqué se transformait en ce que l’on nomme depuis le massacre de la fête des mères.

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  • Où en est la liberté religieuse dans le monde ?

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    Liberté religieuse dans le monde : situation "alarmante"
    Rapport de la Commission des États-Unis sur la liberté religieuse

    P. John Flynn, LC

    ROME, 8 mai 2013 (Zenit.org) - « La situation concernant la liberté religieuse dans le monde est de plus en plus alarmante, en raison de la présence de forces qui alimentent l’instabilité, d’une part la montée d’un extrémisme religieux et, d’autre part, les actions, ou l’inaction, des gouvernements », déclare le Dr Katrina Lantos Swett, présidente de l’USCIRF.

    La Commission des États-Unis sur la liberté religieuse dans le monde (USCIRF) a publié, mardi 30 avril, son rapport annuel 2013.

    Le rapport annuel (conclu le 31 janvier 2013) conseille au Secrétaire d’État de désigner à nouveau les huit nations suivantes comme « pays particulièrement préoccupants » (CPCs) : la Birmanie, la Chine, l’Erythrée, l’Iran, la Corée du nord, l’Arabie saoudite, le Soudan et l’Ouzbékistan.

    En outre, « L’USCIRF considère que sept autres pays ont atteint le niveau seuil des « pays particulièrement préoccupants » et qu’il faudrait aussi les désigner : l’Égypte, l’Irak, le Nigéria, le Pakistan, le Tadjikistan, le Turkménistan et le Vietnam ».

    Le Département d’État a émis des dérogations pour l’Arabie Saoudite et pour l’Ouzbékistan, omettant ainsi toute mesure à l’encontre de ces pays pour leurs violations de la liberté religieuse.

    Par ailleurs, il n’y a eu pas eu de nouvelles actions présidentielles, ni d’ajout à la liste des « pays particulièrement préoccupants » et le Département d’État s’est appuyé sur les sanctions déjà existantes.

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  • Inde (Cachemire) : les chrétiens sommés de s'en aller

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    Sur Eglises d'Asie : 

    De nouvelles accusations et menaces ont été lancées par les extrémistes islamiques à l’encontre des missionnaires chrétiens de l’Etat du Jammu-et-Cachemire, situé dans l’extrême nord de l’Inde.

    Le Conseil Uni du Djihad (United Jihad Council (UJC), une organisation rassemblant différents groupes islamiques armés du Cachemire (1), a déclaré lundi 30 avril que « les missionnaires chrétiens travaillant dans la Vallée avaient pour but caché d’exploiter les pauvres et les déshérités en leur offrant de l’argent, afin de les convertir au christianisme ».

    Qualifiant ce comportement d’« inacceptable », le porte-parole de l’UJC, Syed Sadaqat Hussain, a poursuivi en expliquant que « l’islam était une religion de paix et d’harmonie qui protégeait les minorités, mais qu’elle ne pouvait tolérer l’existence d’activités anti-musulmanes».

    La déclaration se concluait en ordonnant à tous les missionnaires chrétiens de quitter immédiatement le Jammu-et-Cachemire, sous peine de « devoir en subir les graves et inévitables conséquences». L’UJC appellait ensuite les organisations islamiques à prendre le relais de l’aide humanitaire et caritative dispensée habituellement par les chrétiens aux populations en difficulté.

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  • François et l'Eglise de Chine

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    Quelle sera la ligne adoptée par le nouveau pape dans ses relations avec la Chine pour y assurer l'avenir de l'Eglise ? Telle est la question que pose Sandro Magister après le décès d'Aloysius Jin Luxian, évêque de Shangaï  :

    Funérailles d'état pour l'évêque Jin Luxian et résidence surveillée pour son successeur Ma Daqin. Le premier a été honoré par le régime, le second est accusé de rébellion contre son pays. Comment le nouveau pape va-t-il se comporter vis-à-vis de la Chine? 

    La mort de l’évêque de Shanghai, Aloysius Jin Luxian, a ramené au premier plan le drame vécu par l’Église catholique en Chine et les questions à propos de la ligne de conduite qui va être adoptée par le nouveau pape. Jin était un jésuite, comme Jorge Mario Bergoglio. Il est mort à l’âge de 97 ans et il a joué un rôle majeur dans la renaissance du diocèse de Shanghai après que le maoïsme en eut fait table rase. 

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    Lire le correctif du cardinal Zen

  • Avortement et droits sexuels : la fatigue des diplomates onusiens

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    Friday-Fax-Header-French.jpgLes diplomates onusiens se lassent de la cause de l’avortement (Par Stefano Gennarini, J.D.)
    NEW YORK, 3 mai (C-FAM) L’assistance a exprimé peu d’enthousiasme lorsque, après un vendredi épuisant et une présence militante devenue indésirable, la résolution sur l’immigration a été enfin adoptée.

    Cette année encore, les militants de l’avortement et des droits sexuels ont réussi à paralyser le débat à la commission sur la population et le développement, plus connue sous le nom de CPD46. Alors que la Commission était consacrée au thème banal « nouvelles tendances dans le domaine de l’immigration », l’attention s’est portée de manière inattendue sur l’avortement, laissant de côté la question des besoins fondamentaux des immigrés.

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  • Le mariage homosexuel bon pour le big business ?

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    D'après Roland Hureaux (Liberté Politique) :

    Le débat sur le mariage homosexuel qui a accaparé l’actualité au cours des derniers mois tend à apparaître comme un débat franco-français lié à l’affrontement des partis et des sensibilités propres à l’Hexagone et l’outre-mer français. Il a pourtant une dimension internationale déterminante. Il n’est même, d’un certain point de vue, que l'un des champs de bataille dans une guerre non déclarée qui fait rage dans une grande partie du monde, pas seulement occidental.

    En même temps que les parlementaires français débattent de la loi Taubira, en effet, le mariage unisexe fait la une aux États-Unis avec le recours auprès de la Cour suprême contre l’État de Californie qui a interdit le « mariage gay » par référendum (et un autre recours, le cas Wilson, tendant à faire reconnaître un « mariage » lesbien conclu au Canada). Si la Cour suprême annule la décision de l’État de Californie comme contraire aux droits de l’homme, le mariage homosexuel qui, jusqu’ici, n’avait été admis que par neuf États sur 50, deviendrait obligatoire sur tout le territoire de l’union.

    La décision de la Cour suprême est attendue pour la fin juin.

    Une des dimensions de cette bataille particulièrement âpre est l’intervention massive des plus grandes sociétés américaine en faveur du mariage homosexuel. 278 d’entre elles ont signé un mémoire déposé à la Cour suprême en tant qu’"amici curiae" (une procédure propre aux États-Unis, qui permet à des tiers, "amis de la cour" de donner leur avis dans une affaire) lui demandant instamment d’admettre cette revendication. ...

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  • La démocratie en crise

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    "... les démocraties traversent une crise profonde un peu partout dans le monde, à commencer par la France. Cette crise se traduit par une perte de confiance des citoyens à l’égard du personnel politique mais aussi à l’égard d’un Etat qui a perdu le souvenir de sa double légitimité. La démocratie de l’âge moderne en effet repose non seulement sur le pouvoir du peuple mais aussi sur le rapport de la nation à l’Etre suprême. Voici ce que déclaraient les députés de l’Assemblée nationale en 1789 au moment de la proclamation des droits de l’Homme et du Citoyen : « L'Assemblée Nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Etre suprême, les droits suivants de l'Homme et du Citoyen ». 

    Pour avoir perdu le souvenir de sa légitimité spirituelle, les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité en sont venues à s’opposer et à se diluer. Les « libéraux », qui privilégiaient la liberté, en sont venus à s’opposer aux « socialistes », qui mettaient l’accent sur l’égalité, tandis que la valeur de fraternité, coupée de toute référence à la paternité et transformée en valeur de « solidarité », a progressivement disparu. Or en l’absence d’un référent symbolique il n’est plus possible de parler de vertu, à commencer par celle d’honnêteté. D’où l’échec de toutes les réformes de moralisation de la vie politique et des différentes tentatives de réintégrer du religieux et de la morale à l’école. Le principal reproche qu’on puisse faire au récent rapport Jospin est que pas à un moment il n’y est question de vertu personnelle ni d’éthique publique ni même de projet républicain. Tout se passe comme si la réforme de la démocratie pouvait avoir lieu de façon mécanique et institutionnelle sans participation des êtres humains. Il est logique que la Commission Jospin se préoccupe du contrôle entre autres institutions de l’autorité de la concurrence et des marchés financiers. Mais pour lutter contre la corruption elle ne parle pas à un seul moment de la vertu d’honnêteté. Elle se contente d’enfoncer la tête sous la terre du jargon administratif en condamnant la « situation d’interférence entre un intérêt public et des intérêts publics ou privés de nature à compromettre l’exercice indépendant, impartial et objectif d’une fonction. » 
    Mais le « qui » démocratique ne peut se passer d’une réflexion de fond sur le « quoi » républicain. ..."

    C'est ICI, extrait de la présentation d'un colloque intitulé "La démocratie, valeur spirituelle", organisé à Paris au collège des Bernardins, les 19 et 20 avril 2013. Antoine Arjakovsky, codirecteur du département « Société Liberté Paix » au Collège des Bernardins présente cette rencontre.

    http://www.zenit.org/fr/articles/la-democratie-une-valeur-spirituelle

  • La porosité de nos frontières

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    Du Figaro : 

    La RTBF a suivi deux adolescents qui ont pu prendre l'avion jusqu'en Turquie presque sans contrôle. Le reportage inquiète, alors que certains jeunes ont suivi le même trajet pour partir combattre en Syrie.

    Un reportage de la RTBF diffusé lundi a fait sensation en Belgique. La chaîne a suivi en caméra cachée deux jeunes de 14 et 16 ans qui ont pu prendre l'avion depuis Bruxelles jusqu'à Istanbul, puis revenir en Belgique après un court séjour en Turquie, sans être accompagnés et uniquement munis de leur passeport et de leur billet. Le gouvernement avait pourtant annoncé un renforcement des contrôles aux frontières pour éviter le départ de jeunes allant combattre en Syrie. L'objet du reportage était de vérifier si les contrôles aux aéroports étaient effectivement plus stricts. Des mesures en ce sens, proposées par la ministre de l'Intérieur Joëlle Milquet, ont été adoptées vendredi en conseil des ministres, suite au démantèlement d'une filière de recrutement  de jeunes combattants en Syrie. Le gouvernement avait envoyé des directives aux services de sécurité aux frontières, les invitant à redoubler de vigilance.

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  • Deux évêques enlevés en Syrie

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    Le Pape prie pour la libération des deux évêques orthodoxes enlevés en Syrie

    source : Radio Vatican



    Un groupe armé a enlevé lundi deux évêques des Eglises orthodoxes syrienne et grecque dans un village de la province d'Alep au nord de la Syrie. Il s'agit de l'évêque Yohanna Ibrahim, chef de l'Eglise syrienne orthodoxe (à Alep) et l'évêque Boulos Yaziji, chef de l'Eglise grecque orthodoxe (à Alep). Ils ont été enlevés alors qu'ils menaient des opérations humanitaires dans le village de Kafr Dael dans la province d'Alep.

    La voiture du métropolite Ibrahim, conduite par un diacre, était allée chercher l'archevêque el-Yazigi dans le village de Bab al-Hawa, à la frontière turque, rapporte l'agence d'information catholique "AsiaNews". Sur la route du retour, à la périphérie d'Alep, un groupe d'hommes armés ont arrêté le véhicule et obligé les prélats à sortir. Après avoir tué le diacre qui conduisait la voiture, ils ont enlevés les deux évêques.

    L'identité des ravisseurs n'est pas encore claire. La télévision d'Etat syrienne accuse un "groupe terroriste armé" qui aurait agi en raison du travail humanitaire réalisé par les prélats dans les environs d'Alep. Abdulahad Steifo, un représentant de la Coalition nationale syrienne, a déclaré que les deux prélats ont été enlevés près de la localité de Kafr Dael, après avoir traversé le village de Bab al-Hawa, une zone aux mains des rebelles. Il a cependant précisé qu'en ce qui concerne l'identité des rebelles, "toutes les probabilités sont ouvertes". Mgr Boulos el-Yazigi est le frère du patriarche grec-orthodoxe d'Antioche, Youhanna X el-Yazigi.

    Appel de l'Eglise orthodoxe russe à tout faire pour retrouver les deux évêques

    L'Église orthodoxe russe a appelé mardi la communauté mondiale à "s'unir pour retrouver le plus vite possible" les deux évêques. "Nous appelons la communauté mondiale à s'unir pour retrouver les hiérarques et les laisser regagner leurs églises", a écrit le patriarcat dans une déclaration publiée sur son site officiel.

    "Nous appelons les gouvernements des pays occidentaux à arrêter de soutenir les extrémistes qui aspirent au pouvoir, car ce qui se passe en Syrie n'est pas une guerre civile mais une tentative de renverser le régime en place avec l'aide d'une force extérieure", ajoute-t-il par ailleurs.

    "Nous prenons actuellement des mesures pour savoir où ils se trouvent, pour les aider et les libérer le plus vite possible", a pour sa part déclaré le chef du Département des relations extérieures du Patriarcat, le métropolite Ilarion, cité par l'agence Ria-Novosti.
    L'Eglise orthodoxe russe appelle également les autorités de Syrie à faire tout leur possible pour retrouver les évêques.

    Déclaration du Directeur de la Salle de Presse du Vatican

    "Cet enlèvement des deux évêques et l'assassinat de leur chauffeur, alors qu'ils accomplissaient une mission humanitaire, confirme dramatiquement la tragique situation vécue par la population syrienne et ses communautés chrétiennes, écrit le Père Federico Lombardi. " Le Saint-Père François a été informé de ce nouveau fait très grave qui vient s'ajouter à la violence croissante de ces derniers jours et à une urgence humanitaire aux très vastes proportions. Le Pape suit ces évènements avec une attention profonde et prie intensément pour la santé et la libération des deux évêques enlevés et pour, qu'avec le concours de tous, le peuple syrien puisse finalement voir venir des réponses efficaces au drame humanitaire et poindre à l'horizon des espérances réelles de paix et de réconciliation.

  • Le flash mob de l'AED pour la liberté religieuse

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    Le saviez-vous? 
    1 personne sur 2 vit dans un pays où la liberté religieuse n'est pas entièrement respectée. 

    Déclaration universelle des droits de l'homme
    Article 18
    Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; 
    ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction 
    la liberté de manifester sa religion ou sa conviction 
    seule ou en commun, tant en public qu'en privé, 
    par l'enseignement, les pratiques, 
    le culte et l'accomplissement des rites.

    L'AED (Aide à l'Eglise en Détresse) promeut la liberté religieuse dans le monde. 
    Engagez-vous à ses côtés. 
    www.aed-france.org

  • Maroc : la peine de mort recommandée pour les apostats

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    Selon Natalia Trouiller (Matinale de La Vie) :

    Maroc: le conseil des oulémas soutient la peine de mort pour apostasie

    Selon le quotidien Akhbar al-Youm, le Conseil des oulémas présidé par le roi Mohammed VI, Commandeur des Croyants, a rendu son avis à la demande de la Délégation ministérielle des droits de l'homme, "dans le cadre de la préparation du rapport périodique relatif aux droits civiques et politiques". Cet avis (fatwa) consiste à recommander l'usage de la peine de mort en cas d'apostasie de l'islam. Au Fait Maroc relate: "Tout à commencé lorsque la DIDH a adressé un courrier au ministère des Habous et des Affaires islamiques, qui l’avait fait suivre au CSO, pour se prononcer sur un certain nombre de points. L’objectif étant d’élaborer la réponse qui devra être intégrée dans le rapport pour les travaux du Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui se tiendront en Suisse.  C’est donc dans ce cadre que le Conseil Supérieurs des Oulémas a émis sa fatwa qui dit que concernant les non musulmans mais croyants dans un monothéisme reconnu, l’islam n’a rien prévu pour les contraindre à changer de religion.  Il en va autrement cependant pour les musulmans : le CSO a en effet rappelé que 'l’islam ne permet en aucun cas à ces personnes (nées de parents musulmans, ou uniquement de père musulman), de quitter leur religion ou de renoncer au pacte social qui les lie'. Pour le CSO, il s'agit là d'un acte d’apostasie et de déloyauté qui expose son auteur à des peines spéciales".

    Mais... : http://www.yabiladi.com/articles/details/16802/liberte-conscience-maroc-presence-imam.html