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Islam - Page 96

  • Attaques contre des lieux de culte chrétiens au Kenya

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    Nairobi (Agence Fides) - Deuxième jour d'affrontements à Mombasa (Kenya) entre la police et les manifestants qui protestent suite au meurtre d'un prédicateur islamique, Aboud Rogo Mohammed, accusé de recruter des jeunes destinés à combattre en Somalie dans les rangs des Shabaabs.

    « Hier, 27 août, quatre églises de confessions chrétiennes non catholiques ont été incendiées ou saccagées mais si les affrontements devaient se prolonger, des lieux de culte catholiques pourraient eux aussi être touchés » déclare à l'Agence Fides S.Exc. Mgr Boniface Lele, Archevêque de Mombasa. Selon des sources de presse locale, les quatre structures attaquées ont été le Jesus Celebration Centre, le Neno Evangelism Centre, le Ziwani SDA et la Pentecostal Assemblies of God Church.

    Aboud Rogo Mohammed a été tué le 27 août par des inconnus qui ont ouvert le feu alors qu'il se trouvait en voiture avec sa famille. Les manifestants accusent la police d'avoir perpétré à son égard une véritable exécution sommaire. « Je ne pense pas que ces incidents, pour blâmables qu'ils soient, soient susceptibles de mettre en crise les rapports entre chrétiens et musulmans au Kenya » déclare Mgr Lele. « Les personnes impliquées dans ces affrontements constituent en effet une minorité ». (L.M.) (Agence Fides 28/08/2012)

  • L'enfer pakistanais

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    ... est à découvrir sur Fides.org :

  • Le triste sort des chrétiens pakistanais

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    Sur Fides.org :

    ASIE/PAKISTAN - Eglise, gouvernement et imams mobilisés pour sauver Rimsha, fillette chrétienne accusée de blasphème

    Islamabad (Agence Fides) - Un effort commun mené par l'Eglise, le gouvernement, des responsables religieux et des ONG est en cours afin de sauver Rimsha Masih, fillette protestante de 11 ans affectée par le syndrome de Down, inculpée de blasphème à Rawalpindi. Au cours de ces derniers jours, la fillette, accusée d'avoir brûlé des pages du coran, a vu une plainte être déposée contre elle sur la base de l'article 295b du Code pénal - l'article qui, avec le 295c, constitue ce qu'il est convenu d'appeler la loi sur le blasphème - et incarcérée. A propos de cette affaire, qui a secoué l'opinion publique mondiale, on enregistre « la mobilisation des institutions et des responsables religieux afin d'obtenir sa remise en liberté » déclare à l'Agence Fides le catholique Paul Bhatti, Conseiller spécial du Premier Ministre pour l'Harmonie nationale

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  • De l'islam au christianisme

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    Du doute à la joie, de l’islam au christianisme

    source : France Catholique

    Mohamed Rahouma, né en Égypte en 1950, occupait le poste de doyen d’une faculté d’études islamiques à Menieh, dans le Delta du Nil. En 2002, réfugié aux Etats-Unis, il raconte toutes les étapes d’une vie qui va le conduire de l’islam au christianisme. Ce livre* vient d’être traduit et a été publié en juin [1].

    Encore un livre sur ce thème ?

    Oui, en ce sens qu’on y retrouve les mêmes et pénibles cheminements [2] : Conversion : risques et puis... quel accueil ? que dans des livres bien connus [3]. Non, à cause de l’originalité et de la richesse de ces "confessions" : vécu personnel et familial bien sûr, mais aussi expériences professionnelles et politiques liées à un haut niveau de responsabilités universitaires. Le chapitre intitulé "l’Arabie saoudite, terre des chagrins" est particulièrement roboratif, qui raconte trois années passées dans ce pays en réponse à une invitation officielle pour aller enseigner à l’université de Ryad.

    Amour, paix intérieure, liberté, joie…

    Ce sont les principales réponses auxquelles l’auteur aboutit. Il les explicite dans un post-scriptum particulièrement intéressant, écrit en juin 2011. Rappelons que, du fait de son cursus professionnel, il sait de quoi il parle.

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  • Inquiétant

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    Nous lisons ICI :

    L'Arabie saoudite finance des écoles radicales en Belgique

    Selon la Sûreté de l'Etat, une dizaine d'écoles sont financées dans notre pays par l'Arabie saoudite. L'objectif final du régime est de diffuser à terme le wahhabisme, une interprétation radicale de l'islam. Pour le service de renseignement, ces écoles représentent un danger.

    L'Arabie saoudite finance en Belgique "une dizaine d'écoles" où l'on enseigne la langue arabe et une version radicale de la religion islamique. La ministre de la Justice Annemie Turtelboom (Open Vld), se basant sur des données de la Sûreté de l'Etat, attire l'attention sur cet état de fait ce mardi dans le journal De Tijd.

    "Dans certains cas, les écoles sont créées à la demande expresse du régime grâce à des fonds provenant d'Arabie saoudite", indique la ministre. "Cela correspond à la volonté affichée par les autorités de ce pays de diffuser la forme officielle de l'islam en vigueur là-bas, le wahhabisme. Cette doctrine se base sur une interprétation stricte de la religion islamique, comme elle était enseignée du temps du prophète".

    Un danger pour la lutte contre le radicalisme

    La Sûreté de l'Etat ne peut pas fournir de chiffre exact à propos du nombre d'élèves fréquentant ces écoles. "Nous estimons qu'il doit y en avoir quelques dizaines", précise la ministre Turtelboom. "En investissant dans ce type d'écoles, le régime espère ainsi recruter des étudiants pour ses universités afin qu'ils y poursuivent leur enseignement religieux. L'objectif est qu'ils puissent à leur tour enseigner et diffuser le wahhabisme". La Sûreté de l'Etat estime que ces écoles ne sont pas sans danger. Elles constituent un problème dans le cadre de la lutte contre le radicalisme.

  • Une jeune trisomique accusée de blasphème au Pakistan

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    Nous lisons ICI :

    Pakistan : une petite trisomique accusée de blasphème

    Pour la première fois un mineur a été arrêté pour « blasphème » au Pakistan. Qui plus est il s’agit d’une fillette trisomique, Rimsha Masih. Elle a 11 ans et on l’accuse d’avoir brûlé dix pages d’une brochure utilisée pour apprendre l’arabe (donc le Coran), et avoir jeté le reste aux ordures.

    La police a mis la fillette en prison sous pression des islamistes qui menaçaient de faire justice eux-mêmes, c’est-à-dire de la tuer, et sa mère avec.

    Quelque 300 familles chrétiennes du même bidonville d’Islamabad ont fui, les islamistes ayant annoncé qu’ils allaient incendier les habitations des chrétiens.

    Voir également : rtbf.be

  • Le pape confirme: il ira au Liban

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    “La préparation du voyage du Pape au Liban se poursuit sans incertitudes de la part du Vatican” ; c’est ce qu’a affirmé le père Federico Lombardi. Le directeur du Bureau de presse du Saint-Siège répondait aux questions de l’AFP suite aux craintes exprimées par plusieurs sources sur un éventuel report de ce voyage, en raison des répercussions de la crise syrienne sur le Liban. Pour appuyer ses propos, le père Lombardi a ajouté que la papamobile était déjà partie pour Beyrouth.

    Un voyage qui s'adresse à toute la région

    Benoît XVI est attendu au Liban du 14 au 16 septembre prochains. Il s'agira de son 24e voyage à l’étranger depuis son élection en 2005. Pendant sa visite, il signera l’Exhortation apostolique post-synodale pour le Moyen-Orient. L’Assemblée spéciale pour le Moyen-Orient du synode des évêques s’est tenue au Vatican du 10 au 24 octobre 2010 sur le thème: «L’Eglise catholique au Moyen-Orient: communion et témoignage».
    La Présidence de la République libanaise a affirmé que «cette visite confirmera la profondeur des relations historiques qui unissent le Liban au Saint-Siège et permettra de réaffirmer le statut, le rôle et la mission du Liban en tant que témoins pour la liberté et la convivialité».

    Ici: La préparation du voyage du Pape au Liban se poursuit

  • Fête de l'Aïd-el-Fitr : le message de Monseigneur Harpigny

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    Ramadan - Fête de la rupture du jeûne les 18 et 19 août

    Le message de Mgr Harpigny, évêque responsable du dialogue interreligieux

    Chers amis musulmans,

    Comme chaque année, nous tenons à saisir l’occasion de votre fête de la Rupture du Jeune à la fin du mois de Ramadan pour vous adresser une lettre, signe de notre désir d’entretenir des liens d’amitié avec vous. En effet, en de multiples lieux, musulmans et chrétiens sont appelés à vivre ensemble, à se rencontrer, à dialoguer et à développer ensemble des projets communs pour rendre chaque jour notre Terre un peu plus habitable. L’épanouissement de chacun et le développement d’une société plus juste et plus pacifique en sont les enjeux.

    Trop souvent et de façon généralisante, les religions sont pointées du doigt comme étant à l’origine de conflits parfois très violents dans le monde. Il est vrai qu’au cours de l’histoire il est arrivé et il arrive encore aujourd’hui qu’on tue au nom de Dieu. Nous savons bien que Dieu est alors un prétexte pour donner libre cours à la volonté de puissance, de domination ou de vengeance de certains, de quelque religion qu’il soit.

    N’est-il pas de notre responsabilité, chrétiens et musulmans de Belgique, de montrer notre capacité de résister aux slogans simplificateurs qui sèment la haine ou la méfiance ? Les crispations identitaires, les stratégies défensives de repli, les stigmatisations abusives ne font que renforcer la spirale de la violence. Chacun dans notre tradition, nous pouvons trouver des ressources pour désamorcer les tensions et montrer notre désir de réellement faire une place à l’autre avec toutes les richesses de sa culture et de sa religion. Au lieu de promouvoir la violence, les religions sont appelées à la dénoncer, comme elles dénoncent les faux dieux que sont l’argent et la volonté de domination.

    Nous contribuerons alors à changer le regard sur les religions. Nous pouvons montrer, partout où nous sommes engagés : au travail, à l’école, dans nos quartiers, dans nos communautés et nos familles, qu’elles sont source de vie, à la lumière du Créateur qui nous a donné la vie et nous a chargés de la promouvoir. Que notre attitude vis-à-vis de tous nos frères humains soit en cohérence avec ce que nous croyons et découvrons de Dieu, Lui qui nous appelle à vivre ensemble et à pardonner.

    Que Dieu nous aide à trouver les chemins de la paix.

    Nous vous souhaitons à tous une heureuse fête de Ramadan.

    Guy Harpigny                       Leon Lemmens                  Ds. Bernard-Zoltan Schümer 
    Évêque responsable
    du dialogue interreligieux   
    Évêque responsable
    du dialogue interreligieux
    Président par intérim du Synode 
    de l'Eglise Protestante Unie de Belgique 
  • Egypte : les évêques dénoncent un risque d'islamisation du pays

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    De Daniel Hamiche, sur christianophobie.fr :

    L’Église catholique égyptienne met en garde contre le risque d’islamisation du pays

    Dans un entretien accordé à Asia News, l’agence d’information de l’Institut pontifical des Missions étrangères, le Père Greiche Rafiq, porte-parole de la Conférence des évêques catholiques d’Égypte, commente les récents événements politiques survenus en Égypte et notamment la révocation par le Président Mohammed Morsi, de très hauts cadres de la junte militaire égyptienne qui détenait la réalité du pouvoir, et notamment de son chef le maréchal de l’air Hussein Tantawi. Cette révocation – officiellement, c’est une « démission » – « pourrait s’avérer positive et mettre un terme au chevauchement de pouvoir entre l’institution militaire et les institutions civiles qui gênent le bonne gouvernance du pays », déclare le porte-parole de l’épiscopat. Toutefois, les décisions du Président égyptien ont généré beaucoup de critiques : « Comme dans toutes les démocraties, un président peut renouveler les dirigeants lorsqu’il assume le pouvoir. Mais ce qui nous préoccupe, c’est le trop grand pouvoir des Frères musulmans et le risque d’islamisation de la société égyptienne (…) Beaucoup de partis, tout en acceptant la nécessité du changement, reprochent à Morsi d’avoir agi unilatéralement sans avoir consulté les autres forces politiques, ce qui a eu pour effet d’augmenter la méfiance envers les islamistes. Tous les Égyptiens qui croient en un État laïc craignent les Frères musulmans, mais débarrassée de l’interférence excessive des militaires, la politique sera plus transparente et nous saurons qui prend les décisions, bonnes ou mauvaises. Dans le cas où des décisions impopulaires seraient prises, les Frères musulmans deviendront la seule cible des manifestations et des protestations ».

  • Pourra-t-on sauver Asia Bibi ?

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    C'est la question  que pose Olivier Bault (ICI) :

    Sauverons-nous Asia Bibi ?

    Un appel à l’aide dramatique de la chrétienne condamnée à mort par un tribunal pakistanais pour « blasphème ». Son crime ? Avoir demandé à ses voisines musulmanes qui lui cherchaient querelle sur fond de différences religieuses : « Jésus est mort pour moi sur la croix, qu’est-ce que Mahomet a fait pour vous ? »

    C’est grâce à la journaliste française Anne-Isabelle Tollet, ancienne correspondante de France 24 au Pakistan, que le thème de cette chrétienne pakistanaise, condamnée à mort et croupissant dans une cellule insalubre sans fenêtre depuis sa condamnation en 2010 et l’assassinat par des extrémistes musulmans du ministre (chrétien) chargé de la protection des minorités et du gouverneur du Pendjab (musulman) qui avaient osé prendre sa défense, fait une nouvelle fois la une de l’hebdomadaire d’opinion le plus lu en Pologne, Gość Niedzielny (« L’invité du dimanche »), un magazine catholique, à l’occasion de la sortie de l’édition polonaise de Blasphème. Un livre dont Anne-Isabelle Tollet est co-autrice avec Asia Bibi et où la chrétienne pakistanaise parle des épreuves qu’elle est obligée de subir à cause de sa foi chrétienne dans un des rares pays musulmans avec une forte tradition démocratique, ce qui ne laisse pas de poser des questions sur les conséquences pour les minorités religieuses d’autres pays musulmans en cours de démocratisation dans le cadre de ce que nos élites médiatiques et intellectuelles appellent le printemps arabe mais qui pourrait aussi être un tournant dramatique pour des minorités religieuses, notamment chrétiennes, déjà plutôt maltraitées.

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  • Quand des Kosovars musulmans reviennent à la foi catholique

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    Nous découvrons cela ICI et nous vous y renvoyons, ayant déjà reçu des avertisements pour avoir relayé des dépêches d'une agence de presse particulièrement sourcilleuse...

  • Tâcher de mieux comprendre le conflit syrien

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    La torpeur des vacances et la relâche des médias ne doivent pas nous empêcher de rester attentifs à ce qui se joue à l'est de la Méditerranée. Un blog auquel nous nous référons souvent relaie un point de vue alternatif qui mérite d'être entendu.

    Dénonciation de l'ingérence étrangère (occidentale et islamiste), critique de la "propagande américaine", rappels géopolitiques sur les origines tribales de la guerre civile, exigence d'une solution diplomatique pour une transition démocratique : point de vue alternatif de Bassam Tahhan, professeur franco-syrien, porte-parole du Collectif pour la Syrie.