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Islam - Page 97

  • Les musulmans votent très majoritairement à gauche

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    Ce n'est pas un scoop mais ce phénomène s'est largement confirmé en France lors des dernières élections présidentielles; l'analyse qui suit provient d'un site musulman :

    La grande majorité des musulmans, 86 %, a voté pour François Hollande lors du second tour de la présidentielle, d’après ce nouveau sondage Ifop intitulé Le vote des musulmans à l’élection présidentielle et réalisé auprès de 14 200 électeurs inscrits sur les listes électorales, dont 680 personnes se déclarant de confession musulmane.

    Lors de cette élection présidentielle, les musulmans ont démontré se positionner clairement à gauche de l’échiquier politique, comme en témoigne le score important de Jean-Luc Mélenchon qui a obtenu 20 % des voix de cette population contre seulement 11 % des voix de l’ensemble de Français.
    Réalisé avant le premier tour, le sondage Saphirnews.com , réalisé auprès de 1 045 de ses internautes, avait déjà indiqué que beaucoup de musulmans étaient prêts à voter pour le candidat du Front de gauche. Avec 29,2 % des voix, il était arrivé en tête de notre sondage exclusif devant François Hollande (15,3 %).

    A gauche toute

    Pas vraiment surprenant, le sondage Ifop confirme donc le positionnement à gauche de la majorité des musulmans de France.

    Juste après les résultats du second tour de l’élection présidentielle, un sondage d’OpinionWay-Fiducial pour Le Figaro avait déjà révélé que 93 % des musulmans pratiquants avaient voté pour François Hollande.
    Une posture à gauche que les musulmans avaient déjà eue lors du premier tour ,où 59 % d’entre eux avaient voté pour le candidat socialiste et 23 % pour le candidat du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon, d’après cette enquête.

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  • Syrie : l’avis de Pierre Piccinin

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    Alors que l'armée syrienne s'attaque au quartier de Salaheddine, tenu par les insurgés, « La Libre » commente ce matin (extraits) :

    (…) Jusqu’ici l’Armée Syrienne de Libération, qui pratique la guérilla, tient rarement les villes, mais est maître de plusieurs zones de campagne, surtout dans le nord du pays.

    L’ASL contrôle ainsi toute la zone au nord d’Alep qui s’étend jusqu’à la frontière turque.

    Pour Pierre Piccinin, qui en est à son quatrième voyage en Syrie, les insurgés sont de mieux en mieux organisés, disposent d’équipements hospitaliers de meilleure facture, mais ont reçu très peu d’armes de l’étranger. La plupart des armes ont été saisies à l’armée syrienne. "Ce que j’ai compris dans ce voyage", dit-il, "c’est la façon dont l’opposition est militairement organisée. Chaque village, voire chaque quartier, a un groupe armé et un chef. Ils ont des contacts les uns avec les autres mais ne vont pas nécessairement au combat. Ils opèrent en coordination avec l’Armée syrienne libre (ASL) où on retrouve des professionnels de l’armée, des soldats qui ont fait défection, mais aussi des civils."

    Parallèlement à l’ASL, ajoute-t-il, "il y a les combattants de la première ligne, les gens du Jabhet Al Nosra, des combattants parfois très jeunes. Dans le quartier de Salaheddine, j’ai rencontré une unité dont le chef est un étudiant en économie de 24 ans. Et puis, en Turquie, dans un camp, il y a le Haut Conseil militaire, avec les généraux qui ont déserté. Il est dirigé par le général Mustapha Ahmed Al-Cheikh".

    L’ASL reconnaît la présence de plusieurs groupes salafistes, dont certains sont liés à al Qaeda, mais ne parvient pas à les contrôler. Ces groupes restent marginaux mais drainent des islamistes venus d’Europe, d’Arabie Saoudite, du Yémen, de Libye. C’est l’un de ces groupes qui a enlevé deux photographes, l’un britannique, l’autre néerlandais, avant qu’ils ne soient libérés par des soldats de l’ASL.

    Ces groupes salafistes entendent faire sauter le dernier verrou du panarabisme et importer en Syrie, comme ils le tentent en Tunisie, en Libye et en Egypte, une version wahhabite et ultraconservatrice de l’islam. "Pendant quarante ans, le nationalisme arabe et la laïcité ont régné. Le salafisme a été combattu par l’Etat. Mais la révolution a permis aux Syriens de se retrouver entre villages, entre grandes familles", déclarait au Figaro début août un informaticien français d’origine syrienne, devenu moudjahid en Syrie, avec pour mission notamment de "réveiller la population" à l’islam.

    L'article ici: Syrie

  • Les chrétiens de Syrie inquiets pour leur avenir

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    Lu ici :

    Les chrétiens redoutent leur avenir en Syrie

    Relativement épargnés depuis le début de la crise syrienne, les Chrétiens sont désormais au cœur du conflit. Il y a quelques jours, deux quartiers chrétiens de Damas étaient sous le feu des tirs opposants les adversaires au régime aux partisans de Bachar al-Assad. Alors que les chrétiens multiplient les appels à l’aide, ils sont de plus en plus nombreux à emprunter les routes du Liban pour survivre.

    « Les prêtres, les religieuses, les fidèles et surtout les réfugiés ont peur : panique générale… » ainsi terminait Mgr Samir Nassarn archevêque maronite de Damas, sa lettre à l’Œuvre d’Orient, association française qui vient en aide aux chrétiens persécutés.

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  • Egypte : 120 familles chrétiennes contraintes à la fuite

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    Source : orthodoxie.com (7 août)

    120 familles chrétiennes fuient un village égyptien après la mort d’un musulman

    Les échauffourées entre musulmans et chrétiens qui ont eu lieu la semaine dernière dans le village de Dahshur ont incité plus de 120 familles à fuir de leurs foyers après avoir appris qu’un musulman, qui avait été victime d’une brûlure du troisième degré dans l’incident, était décédé dans un hôpital du Caire. Avant son décès, le père et le frère de la victime, Moaz Hassab-Allah avaient informé les médias qu’en cas de mort, “tout le village vengerait sa mort”.  

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  • La christianophobie sous toutes ses formes

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    Radio Vatican propose un "Gros plan" sur : "intolérances, discriminations, violences, la christianophobie sous toutes ses formes" :

    Rome accueillait cette année un sommet de haut niveau consacré aux attaques antichrétiennes. Organisé par l’OSCE, Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe, cette rencontre avait pour objectif de donner des clés de lecture pour prévenir et répondre aux actes de haine et aux crimes contre les chrétiens, en favorisant une meilleure coordination. Les travaux ont été ouverts par une intervention de Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire du Saint-Siège pour les Rapports avec les États, qui a souligné que les preuves de la montée de l’intolérance contre les chrétiens étaient indiscutables. Et même si les pays les plus concernés se trouvent au Moyen- Orient, en Asie et en Afrique, l’Europe, et plus largement le monde occidental, ne sont pas épargnés. Les frontières entre les trois stades de la christianophobie, à savoir l’intolérance, la discrimination puis la violence, sont fines et parfois franchies. Et selon Massimo Introvigne, représentant de l’OSCE pour la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination, en particulier religieuse, ce phénomène est plus grave qu’on ne le laisse croire. Il répond au micro de Charles-François Brejon RealAudioMP3

    ...à titre d'illustration , on pourrait évoquer, par exemple, les 35 Ethiopiens chrétiens fraîchement expulsés d'Arabie Saoudite.

  • Tunisie : un projet de loi criminalise l’atteinte au sacré

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    Source : la-croix.com

    Dans un communiqué publié vendredi, l’ONG de défense des droits de l’Homme Human Rights Watch affirme que le projet de loi pénalisant l’atteinte au sacré, déposé par le parti islamiste Ennahda qui dirige la coalition au pouvoir en Tunisie, « menace la liberté d’expression » et pourrait entraîner une « nouvelle forme de censure ».

    Le texte, déposé mercredi à l’Assemblée nationale constituante, codifie les atteintes au sacré et prévoit une peine de prison allant jusqu’à deux ans de prison et quatre ans en cas de récidive. Il dresse une liste des valeurs, lieux et objets sacrés : Dieu et Mahomet, tous les prophètes, tous les livres saints, les mosquées, les églises et les synagogues notamment. Il codifie également la nature des atteintes et leur degré de gravité entre « l’injure, la profanation, la dérision et la représentation d’Allah et de Mahomet ».

    Lors de son premier congrès public mi-juillet, le parti islamiste avait préconisé de criminaliser l’atteinte au sacré tout en s’engageant à « garantir la liberté d’expression ». En juin, une vague de violences a été déclenchée par la mouvance salafiste pour dénoncer une exposition d’art dont certaines œuvres ont été jugées offensantes pour l’islam. Ennahda a alors été accusé de complaisance à l’égard de ces militants extrémistes. Selon Human Rights Watch, « le droit international des droits humains interdit de criminaliser la diffamation de la religion », sauf dans les circonstances très limitées où la « promotion de la haine religieuse » constitue « une incitation à la discrimination, à l’hostilité ou à la violence ».

  • Syrie, vous avez dit "transition démocratique"

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    Peut-on se réjouir de la chute de Bachar al-Assad et de la victoire des "rebelles syriens" en croyant, ou en feignant de croire, qu'ainsi tout sera pour le mieux avec, à la clef, le passage de la dictature à la démocratie? Apparemment, on n'a rien retenu des précédentes leçons et notamment de ce qui s'est passé en Lybie. On commence cependant à se poser des questions lorsqu'on assiste, comme dans cette video, à des règlements de compte sommaires. Philippe Oswald, sur Liberté Politique, consacre l'éditorial de cette semaine à la situation en Syrie:

    Syrie : chaos, terreur, et non « transition démocratique » !

    Déjà rendu fiévreux par la crise économique et la perspective d’une rentrée très difficile, notre repos estival ne peut qu’être troublé par les évènements de Syrie. Particulièrement meurtrière et dévastatrice, la bataille d’Alep fait monter l’angoisse sur le sort de sa population et notamment des chrétiens pris au piège d’une atroce guerre civile et religieuse entre musulmans sunnites et la minorité alaouite (haïe et méprisée des sunnites), elle-même soutenue par ses alliés chiites armés par l’Iran.

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  • Egypte : l'Eglise copte critique la composition du nouveau gouvernement

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    L'Eglise copte d'Egypte critique la composition du nouveau gouvernement

    source : Ennahar Online :

    "L'Eglise copte orthodoxe d'Egypte est  mécontente de la composition du nouveau gouvernement qui ne compte qu'une ministre chrétienne, ont rapporté samedi des journaux locaux. "Cette composition ministérielle est injuste envers les Coptes, d'autant  plus que nous nous attendions à une représentation plus importante des Coptes  dans le gouvernement", qui a prêté serment jeudi devant le président islamiste  Mohamed Morsi, a affirmé l'évêque Pachomius, chef par intérim de l'Eglise, cité par le quotidien indépendant Al-Chourouq. L'évêque a estimé que le nouveau gouvernement, dirigé par Hicham Qandil,  aurait dû compter quatre chrétiens, "conformément au nombre de Coptes en  Egypte" qu'il a placé à 14% de la population.

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  • La religion n'aurait-elle rien à voir dans les évènements au Nigéria ?

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    C'est ce que laisse entendre Mgr Matthew Hassan Kukah, évêque de Sokoto, dans une interview mise en ligne sur le site "Oasis" :

    Nigeria: la peur ne peut pas gagner

    Comment pouvez-vous nous aider à comprendre la situation réelle de votre pays, au-delà des réductions médiatiques simplistes ?

    De nombreuses personnes préfèrent les réponses hâtives pour comprendre le contexte et essayer d’expliquer la situation au Nigeria. Après l’indépendance du Nigeria, l’armée ne permit pas aux hommes politiques de gouverner et d’instaurer une vie démocratique dans le pays. L’autre question importante pour le Nigeria est la présence de riches gisements pétroliers qui provoque de grands conflits entre ceux qui veulent contrôler ces ressources et gagner de l’argent. 

    Les informations présentent souvent le conflit nigérian comme un conflit religieux. Que pensez-vous à ce propos ?

    C’est un élément très important à comprendre : les problèmes du Nigeria, surtout la terrible violence, n’ont rien à voir avec la religion. Ici, les problèmes surgissent à cause de la mauvaise gestion des ressources du pays et de l’incapacité du Gouvernement à contrôler la situation. Chaque crise au Nigeria est immédiatement reliée aux religions. Mais nous n’avons jamais eu une crise religieuse ou une crise dérivée des chrétiens et musulmans luttant pour des questions religieuses. La véritable raison de la crise en cours est politique et économique. Ce n’est pas correct de présenter les problèmes d’aujourd’hui comme des conflits entre les religions.

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  • Les chrétiens de Syrie pris en tenailles

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    Lu dans « Le Figaro » de ce jour :

    Pour la première fois depuis le début de la guerre en Syrie, des combats entre armée régulière et rebelles ont éclaté mercredi matin aux abords de deux quartiers chrétiens de Damas, Bab Touma et Bab Charqi. Jusqu'à présent, l'essentiel de la communauté chrétienne s'est efforcé de se tenir à l'écart du conflit. En Syrie, les chrétiens sont chez eux, comme en témoignent les hautes croix illuminées qui brillent dans la nuit sur les collines de Sidnaya, l'un de leurs hauts lieux, près de Damas. Le régime les a toujours choyés. Minoritaire, rassemblé autour d'un noyau alaouite, une secte ésotérique de l'islam, le pouvoir de Bachar el-Assad cherche à s'appuyer sur d'autres minorités. Les chrétiens représenteraient entre 8 et 12 % de la population, chiffres difficiles à vérifier en l'absence de recensement basé sur la religion.

    Après plusieurs mois de violences, beaucoup de chrétiens syriens craignent de payer dans l'avenir leur proximité supposée avec le gouvernement de Bachar el-Assad, et avant lui avec son père, Hafez. La perspective du remplacement de la dictature par un gouvernement transitoire pluraliste inquiète les membres des quelque douze Églises syriennes, orthodoxes ou fidèles à Rome. La présence vraisemblable, entre autres, des Frères musulmans dans les futurs gouvernements ne rassure pas, même si la confrérie promet depuis longtemps, dans ses manifestes, l'égalité de toutes les confessions.

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  • Qu'attendre de la prochaine visite de Benoît XVI au Liban ?

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    L'Oeuvre d'Orient a mis en ligne une interview du Père Assouad sur la visite de Benoit XVI au Liban.

    Le Père Victor Assouad, provincial des Jésuites pour le Moyen-Orient (Liban, Syrie, Égypte, Turquie) depuis septembre 2008. Ce Libanais de 53 ans, diplômé d’HEC, est un homme simple et profond, « un fou d’Evangile » dit de lui le directeur du Collège de Jamhour où il a été aumônier. De 2001 à 2008 il a été formateur des novices au Caire.

    Œuvre d’Orient : Qu’attendez-vous de l’exhortation apostolique pour le Moyen-Orient ?

    Les chrétiens du Moyen-Orient passent par une période particulièrement délicate et difficile :

    - Plus que jamais, ils sont tentés par l’immigration, en constatant la forte montée de l’Islamisme dans l’ensemble du monde arabe.

    - Ils pressentent en même temps qu’un nouveau rôle leur est dévolu dans une société où chacun semble pouvoir s’exprimer (grâce aux moyens sociaux de communication), invoquer la dignité humaine, faire valoir le pluralisme et la richesse des traditions multiples. Dans ce contexte, la visite du Pape au Liban, et la promulgation de l’exhortation apostolique pour le Moyen-Orient, peuvent avoir une importance décisive :

    - Elles doivent rappeler que les chrétiens du Moyen-Orient ne forment pas un corps étranger mais qu’ils font partie du tissu même de la population locale. En effet, leur sort a été mêlé à celui des musulmans depuis le départ, façonnant une histoire commune de coexistence parfois riche et féconde.

    - Elles doivent adresser un message fort à l’Islam, lui rappelant que ce n’est que face à l’altérité que tout groupe humain émerge à sa propre identité. Les musulmans doivent considérer la présence de leurs voisins chrétiens parmi eux comme l’occasion d’une ouverture et d’une richesse.

    - Elles doivent surtout aider les chrétiens à redécouvrir leur rôle et leur mission au sein du Moyen-Orient. Trop souvent ils sont découragés parce qu’ils ne saisissent pas qu’ils sont porteurs d’une Bonne Nouvelle à transmettre à leur entourage.

    Quels points essentiels devraient y figurer ?

    Les chrétiens ont besoin d’un message d’espérance concret : comment vivre et assumer leur foi dans cette partie si troublée – et parfois hostile – de notre monde ?

    - Trop souvent la multiplicité des Eglises locales est source de divisions et de scandales, plutôt que de diversité et de richesse. Il est indispensable de poser des pas concrets vers une unité plurielle des Eglises au Moyen-Orient.

    - La formation et le rôle des laïcs ne sont pas assez favorisés par un clergé jaloux de ses privilèges et prérogatives. Par ailleurs, ce dernier n’arrive pas à prendre assez de distance critique par rapport aux évènements qui ont lieu dans le monde arabe, ce qui l’empêche de rappeler les principes de justice, de vérité et de dignité humaine, à temps comme à contre temps.

    Pensez-vous qu’elle aura un impact sur votre communauté ? Comment l’appliquerez-vous ?

    La communauté jésuite est au service de l’Eglise et de la société, mettant ses talents et capacités de discernement à leur disposition. Pour cela, l’exhortation apostolique pour le Moyen-Orient sera un guide et un instrument pour éclairer et déterminer sa mission et ses actions.

    P. Victor Assouad, sj

    Provincial des jésuites pour le Proche-Orient

  • Mali : un couple exécuté par lapidation

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    L'information est diffusée dans nos médias par une agence de presse très sourcilleuse, mais elle est également relayée par des agences africaines, notamment SIWEL :

    Kidal : Des islamistes lapident à mort un couple pour cause d'adultère à Aguelhok

    source : http://www.siwel.info

    Aguelhok (SIWEL) — un couple non marié a été lapidé à mort ce week-end dans la ville de Aguelhok. L'homme et la femme ont été enterrés jusqu'au cou, puis lapidés jusqu'à ce qu'ils meurent. Sanda Abou Mohamed, un des porte-parole du groupe salafiste Ansar Dine, a déclaré que " le couple a été exécuté conformément à la charia".

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