Plus de renseignements :
Web http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
e-mail sursumcorda@skynet.be
Tél : 04.344.10.89
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LA FÊTE-DIEU À LIÈGE
SAMEDI 1er JUIN 2013 À L’EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132
MESSE SOLENNELLE À 18 HEURES |
célébrée selon le missel de 1962 par
L’ABBÉ JEAN-PIERRE DELVILLE
Professeur à la Faculté de théologie de l’Université catholique de Louvain (U.C.L)
Homélie prononcée par le Chanoine ERIC de BEUKELAER
Doyen de Liège (rive gauche)
Propre grégorien de la fête, plain-chant liégeois, diaphonies et polyphonies interprétés par:
LA SCHOLA RESUPINA DE VIENNE
Dir. Isabell Kösler
LE CHŒUR D’ENFANTS DE LA BASILIQUE
DE BASSE-WAVRE
Dir. Charlotte Messiaen
À L’ORGUE : PATRICK WILWERTH
professeur au conservatoire de Verviers
PORTES OUVERTES LE 1er JUIN
A L'EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
SAMEDI 1er JUIN 2013 DE 14h à 19h |
ADORATION EUCHARISTIQUE
animée par
14:00 à 15:00 : la Communauté St. Christophe- groupe de prière « Agneau de Dieu »
15:00 à 16:00 : le Mouvement Eucharistique Liégeois (MEL)
16:00 à 16:30 : l’Association Sursum Corda
16:30 à 17:30 : la Communauté de l'Emmanuel -prière adaptée aux enfants et familles
De 14:00 à 17:30 : possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation chez un des confesseurs présents.
À 18:00 : Messe solennelle (missel de 1962) célébrée par l'abbé Jean-Pierre Delville. Homélie du doyen Eric de Beukelaer. Chorales d’adultes (Vienne) et d’enfants (Basse-Wavre)
19 :00 : Clôture. Bénédiction solennelle avec l’ostensoir
ostensoir de l'église du Saint-Sacrement (Liège)
Plus de renseignements tél 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be
Un ami nous écrit :
Voici le récit authentique d'une curieuse expérience qui nous a été rapportée par des témoins dignes de foi.
Des connaissances sont invitées par des membres de leur famille à la "1ère communion" de leur fille le 12 mai à Buizingen.
Première surprise, le carnet que les participants reçoivent ne parle pas de 1ère communion mais de "Fête des 8 ans".
Deuxième surprise: pas de prêtre mais deux femmes qui officient durant une heure. Les connaissances qui connaissent le néerlandais sont incapables de dire s'il y a eu consécration ou pas. L'un pense que oui, l'autre que non...
Toujours est-il qu'au moment de la communion, les "officiantes" donnent à chaque famille concernée une grande hostie qui est ensuite partagée par la famille elle-même entre tous ses membres y compris des bébés d'un an...
Si nos connaissances sont interloquées, les autochtones paraissent à l'aise, habitués semble-t-il. Chaque dimanche, en effet, ce sont ces dames qui officient...
Lu sur le site du diocèse d’Arras :
"Lors du dernier conseil presbytéral, Mgr Jaeger avait invité le père abbé de Fontgombault Dom Jean Pateau à présenter le présent et l’avenir de l’abbaye de Wisques.
La difficulté de renouvellement de l’actuelle communauté saint Paul, et le décès de l’abbé Lugez ont amené les bénédictins à revoir l’avenir de l’abbaye. Fallait-il fermer ou trouver une autre communauté ? L’actuelle abbaye de Wisques avait été fondée par des pères de Fontgombault fin XIXème siècle.
L’abbaye de Fontgombault est née en Berri, de l’impulsion donnée par Pierre de l’Etoile et ses compagnons, ermites, en 1091. Elle eut son apogée aux XII-XIIIème siècles. C’est une longue histoire avec de nombreuses vicissitudes durant près de 1.000 ans.
Fontgombault
En 1948, après la seconde guerre mondiale, l’abbaye redevient bénédictine avec l’installation de 22 moines venus de Solesmes. La communauté, très nombreuse songe a essaimer, fonder une nouvelle abbaye, dans le souci de répondre à la demande de Jean-Paul II pour une nouvelle évangélisation. Le déclin de Wisques, avec une moyenne d’âge de plus de 75 ans, à la différence de Fontgombault (âge moyen de 51 ans) provoque la réflexion du père abbé de Fontgombault. C’est ainsi que plusieurs moines feront des “stages” à Wisques au cours du premier semestre 2013 et qu’une solution de reprise était envisagée. Ce passage de plusieurs groupes de religieux durant 4 semaines devait permettre de mûrir le projet. Les contacts furent très bons et l’installation de 13 moines à l’automne 2013 est donc envisagée.
Lu sur le site de « Pro Liturgia » ce mardi 7 mai 2013 :
« Que le Pape François ne soit pas absorbé par les questions liturgiques comme l’était Benoît XVI est devenu une évidence. Il semble que l’actuel Souverain Pontife ne soit pas sensible outre mesure à l’ « ars celebrandi » que les évêques du monde entier avaient demandé de respecter au point que Benoît XVI y avait consacré plusieurs lignes dans son Exhortation post-synodale « Sacramentum Caritatis ».
Pour autant, il y a peu de risque de voir le Pape François introduire dans la liturgie les fantaisies qu’on trouve dans les paroisses de France et qui sont, de la part de nos évêques au premier chef, les marques d’une claire opposition au Concile.
Que fera le Pape ? « Wait and see », disent certains. N’étant pas lui-même un grand « liturge », on peut espérer qu’il se laissera guider par les experts qui sont au Vatican et confirmera la mission de ceux qui sont à la Congrégation pour le Culte divin.
Si tel ne devait pas être le cas - ce qu’à Dieu ne plaise - les conséquences seraient catastrophiques pour l’Eglise qui est en France : tout une partie du clergé proprement iconoclaste qui sévit depuis des années dans nos paroisses se sentirait conforté et continuerait, comme il l’a fait jusqu’ici, à priver les fidèles de la liturgie de l’Eglise.
Quant aux « traditionalistes » attachés à la forme extraordinaire du rite romain, ils pourraient alors avoir d’excellentes raisons de refuser définitivement l’usage du missel de « Paul VI ».
Mais c’est du côté des jeunes prêtres qu’il y aurait le plus de problèmes : avec Benoît XVI, ils se sentaient soutenus, appuyés. Ils « osaient » mettre en œuvre la liturgie actuelle selon une « herméneutique de continuité », en la célébrant en latin et grégorien selon les demandes. Mais que feront ces jeunes prêtres s’ils constatent que leurs initiatives pour redresser la situation de la liturgie - initiatives déjà contrecarrées par certains fidèles et certains évêques - ne sont pas ouvertement soutenues par les déclarations et le bon exemple du Souverain Pontife ?
N’est-il pas urgent de réfléchir à ces questions dans une France qui voit la vie liturgique - et avec elle la vie de foi - s’effondrer dans des diocèses entiers ?
Réflexion d’une religieuse bénédictine qui a eu l’occasion de discuter avec plusieurs cardinaux : « Avec le Pape François, il n’y aura rien concernant la liturgie : il laissera les choses en l’état (…) »
C’est bien cela qui est inquiétant, et pas seulement pour l’Eglise de France. Que va devenir le patient effort entrepris par Benoît XVI ? Lex orandi, lex credendi…
Photo : Les deux papes, Benoît XVI et François, en prière dans la chapelle du couvent « Mater Ecclesiae », la nouvelle résidence du pape émérite. La disposition de l’autel laisse clairement voir que le Pape émérite Benoît XVI y célébrera la Messe « versus orientem ».
Dixième anniversaire : un concert et une messe
L’Académie de Chant grégorien à Liège fête le dixième anniversaire de son existence. Depuis 2003, elle a accueilli plus de trois cents élèves dans ses cycles de cours annuels.
Pour célébrer l’événement elle organise le samedi 11 mai prochain à 16 heures un concert à l’église des Bénédictines (Boulevard d’Avroy, 54), suivi d’une messe célébrée selon le missel de 1962, à 18h en l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy,132), par l’abbé Jean-Pierre Delville, professeur à la faculté de théologie de l'Université catholique de Louvain (U.C.L.).
églises des Bénédictines (gauche) et du Saint-Sacrement (droite)
académie de chant grégorien à Liège
Au cours de cette double manifestation, l’Ensemble vocal « Psallentes ♀ » (dir. Hendrik Vanden Abeele, professeur aux Conservatoires de Leuven, Rotterdam et La Haye) et les trente-cinq élèves du cycle 2012-2013 de l’académie de chant grégorien à Liège(dir. Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers) illustreront le répertoire des chants de pèlerinage au temps des cathédrales (XIIe-XVe siècles).
Un thème : les chants de pèlerinage (XIIe-XVe siècles)
Au programme : plain-chant et déchant extraits du Codex Calixtinus (photo) de Compostelle (XIIe s.), du Livre Vermeil de Montserrat (XIVe s.), de l’office et de la messe de saint Jacques le majeur (graduel et antiphonaire de l’abbaye de Solesmes) et de l’office liégeois primitif de la Fête-Dieu (manuscrit de Tongres, XIIIe )
Une découverte : l’Ensemble « « Psallentes ♀ »
L’Ensemble « Psallentes ♀ » (photo)a vu le jour en 2007. Fondé et dirigé, comme sa branche masculine, par Hendrik Vanden Abeele, cet Ensemble vocal est voué à l’interprétation des chants liturgiques du moyen âge. Il est composé de jeunes musiciennes professionnelles, particulièrement remarquées lors du dernier festival international de chant grégorien de Watou, en 2012. Le Festival des Flandres l’a inscrite à son programme pour 2013.
Aux orgues « Le Picard » (XVIIIe s.) des Bénédictines et Thomas du Saint-Sacrement on pourra aussi entendre Patrick Wilwerth (professeur au conservatoire de Verviers).
cliquez ici pour voir les affiches du concert et de la messe chantée
Entrée libre aux deux manifestations et à la réception de clôture
Pour des renseignements complets sur le programme, cliquez ici :
Journée grégorienne à Liège le samedi 11 mai 2013
Contacts : e-mail jpschyns@skynet.be ou tél. 04.344.10.89
PLAIN-CHANT SUR LIEGE LE SAMEDI 11 MAI 2013 |
Concert à 16h, église des Bénédictines, Bd d’Avroy, 54
Grande messe chantée à 18h, église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy,
Au cours de cette double manifestation, l’Ensemble « Psallentes ♀ », dir. Hendrik Vanden Abeele, professeur aux Conservatoires de Leuven, Rotterdam et La Haye, chercheur à l’Université de Leyde et les trente-cinq élèves de l’académie de chant grégorien à Liège, cycle 2012-2013, dir. Stéphan Junker, professeur au Conservatoire de Verviers illustreront :
LES CHANTS DE PÈLERINAGE AU TEMPS DES CATHÉDRALES |
en interprétant un florilège de mélodies grégoriennes, diaphoniques et polyphoniques extraites du Codex Calixtinus de Compostelle (XIIe s.), du Livre Vermeil de Montserrat (XIVe s.), de l’office et de la messe de saint Jacques le majeur (graduel et antiphonaire de l’abbaye de Solesmes), et de l’office liégeois primitif de la Fête-Dieu (Jean de Cornillon, 1246).
Aux orgues « Le Picard » (XVIIIe s.) des Bénédictines et Thomas du Saint-Sacrement : Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers.
Pour entendre l’Ensemble vocal féminin placé sous la dir. d’Hendrik Vanden Abeele, cliquez ici « Psallentes » ♀, et pour voir les affiches ici : affiches du concert et de la messe chantée.
Entrée libre aux deux manifestations et à la réception de clôture
Pour des renseignements complets sur le programme, cliquez ici :
Journée grégorienne à Liège le samedi 11 mai 2013
Contacts : e-mail jpschyns@skynet.be ou tél. 04.344.10.89
MALMEDY |
PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE
Célébrée en latin (missel de 1962) par M. l’abbé Claude Germeau,
Directeur du foyer des jeunes de Herstal et prêtre auxiliaire à l’église du Saint-Sacrement à Liège
DIMANCHE 5 MAI 2013 A 18 HEURES
EGLISE DES CAPUCINS Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy |
CELEBRATION DU CINQUIÈME DIMANCHE APRÈS PÂQUES
L'icône évoque la dernière rencontre de st Pierre avec le Christ ressuscité au bord du lac de Tibériade (Jn,21).
Propre grégorien de la messe « Vocem Iucunditatis » Kyriale du Temps Pascal, Credo I Motets : « Verbum Supernum » et « Ave Maria » polyphoniques (W.-A. Mozart, 1756-1791), Reine des Cieux, « Königin im Himmelreich » A l’orgue : Michèle Baron et Léonard Aussems |
Renseignements : L. Aussems tél. 080.33.74.85
Lu sur le site « Pro Liturgia » :
Dans son Epître aux Corinthiens, Saint Paul déclare : « Ne savez-vous pas qu’un peu de levain fait lever la pâte tout entière ? » (1 Cor. 5, 6) Appliquée à la liturgie, cette question permet de comprendre qu’un célébrant peut être, lorsqu’il agit comme un levain, celui qui fait fermenter la foi de toute une assistance, de toute une communauté paroissiale.
Mais comment un célébrant peut-il devenir comme un levain dans la pâte ? La première chose qu’il doit garder présente à l’esprit, c’est que lorsqu’il célèbre la Messe, il agit « in persona Christi » : il doit donc avoir toujours conscience qu’il ne fait rien de son propre chef. Certes, Jésus-Christ, seul véritable prêtre, ne peut être rendu présent que grâce à un ministre ordonné : mais ce ministre doit toujours avoir la parole de S. Jean-Baptiste présente à l’esprit : « Il faut qu’il croisse et que je diminue » (Jn, 3, 30).
Or il y a, chez beaucoup de personnes - et le prêtre est d’abord une personne - une entrave à cette nécessaire « diminution de soi » sans laquelle l’autre n’a plus aucune place, n’a plus « sa » place : c’est le narcissisme. Le Dr Richard Fitzgibbons, psychiatre et consultant auprès de la Congrégation pour le Clergé, déclare, en se basant sur 35 années d’expériences médicales, a constaté que le narcissisme - un trouble de la personnalité qui se manifeste par un insatiable besoin d’être admiré - était aussi présent dans le clergé. De nombreux prêtres, lorsqu’ils célèbrent la liturgie, auront toujours tendance à faire davantage porter l’attention des fidèles sur eux que sur la personne du Christ.
Interrogé sur l’intérêt porté par le nouveau pape à la liturgie, le Père Lombardi, porte parole du Saint-Siège, et jésuite lui aussi, avait eu cette formule lapidaire: « nec cantat, nec rubricat » (il ne chante pas et ne s’intéresse pas aux rubriques).
Ce petit reportage l'a tout de même surpris en train de chanter discrètement le "Regina Caeli" simplex, avec l'assemblée...