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STAGE D’ÉTÉ - 2013 |

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au Monastère Notre-Dame à Ermeton-sur-Biert Renseignements Lors de l’inscription, virer 50 euros au Ne tardez pas : encore 4 places disponibles…
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STAGE D’ÉTÉ - 2013 |

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au Monastère Notre-Dame à Ermeton-sur-Biert Renseignements Lors de l’inscription, virer 50 euros au Ne tardez pas : encore 4 places disponibles…
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(Zenit.org) - Le nom de saint Joseph est désormais intégré dans le canon de la messe, indique ce décret de la Congrégation pour le Culte divin et la discipline des sacrements, en date du 1er mai 2013, en la fête de saint Joseph travailleur, et publié ce 19 juin 2013 par le Saint-Siège.
La Congrégation décrète "que le nom de Saint Joseph, Epoux de la Vierge Marie, soit désormais ajouté aux Prières eucharistiques II, III et IV de la troisième édition typique du Missel Romain, après le nom de la Bienheureuse Marie toujours Vierge".
Dimanche 16 juin 10h30
Direct de Rome
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Dans le cadre de l'Année de la foi, le dimanche 16 juin sera consacré au témoignage de l'Évangile de la vie, pour la promotion de la vie humaine et la défense de la dignité de la personne, de sa conception à sa mort naturelle.
Le Pape François présidera la messe du dimanche 16 juin à 10h30, à voir en direct sur KTO, avec le "peuple de la vie", et délivrera un message aux personnes malades. Un direct à voir sur KTO dimanche 16 juin à partir de 10h30, et à revoir ensuite sur notre site Internet, en cliquant ici. |
C’est ce que le nouvel archevêque de Ferrare, Mgr Negri, vient de rappeler aux fidèles « traditionalistes » dans une homélie lors du pèlerinage de pentecôte au sanctuaire de Notre-Dame du Poggetto. Extrait du document publié dans « La Lettre Liturgique“ n° 390 du 4 Juin 2013:
« (…) La grâce de l’Église, vous la vivez à la source de la Foi qu’est l’Eucharistie, la célébration liturgique. Par la prudente et grande miséricorde de Benoît XVI, vous la puisez auprès d’un des deux grands trésors de la liturgie de l’Église, la liturgie traditionnelle. Celle-ci n’est pas une alternative à la liturgie réformée par le concile Vatican II mais exprime tout son caractère aux côtés de la liturgie réformée, en toute dignité, en toute liberté et en pleine responsabilité.
Benoît XVI l’a énoncé avec une clarté admirable dans le Motu Proprio. Il a voulu accroître la possibilité de vivre des richesses de la liturgie de l’Église et a demandé pour cela à toute l’Église, à commencer par les évêques, de se montrer respectueux de son intention d’augmenter les trésors de l’Église, en favorisant l’accès à ce bien antique à ceux qui en ressentent légitimement le désir et souhaitent le vivre pleinement pour la vérité de la Foi et de la mission d’aujourd’hui. Incontestablement, le Pape a ainsi dépassé la fausse et inacceptable opposition entre l’ancien et le nouveau, rompant avec cette herméneutique de la discontinuité entre ce qui existait avant le Concile et ce que le Concile a annoncé, et ce que la mise en œuvre du Concile a douloureusement produit pour notre époque. Il y a une unique Église du Seigneur, à laquelle l’Esprit a donné de traverser des moments différents : le concile Vatican II a été un moment d’extraordinaire importance, même s’il a représenté un grand défi pour le développement de l’Église.
Vous utilisez donc cette liturgie, et je suis heureux que vous le fassiez dans ce diocèse dont je suis depuis peu l’archevêque. Vous ne le faites pas contre quelqu’un ou pour affirmer des opinions mais pour vivre le mystère de l’Église selon la profondeur et la vérité que vous retenez avoir le devoir et le droit de pratiquer. Et l’Église permet aussi cela. Benoît XVI, et je ne suis pas habitué à parler en l’air, a manifesté une vraie miséricorde pastorale en mettant cette possibilité au service de la Foi de chaque chrétien et de petits groupes qui n’ont même pas besoin d’être quantifiés numériquement : les groupes stables sont composés de tous les fidèles qui ont le droit et le devoir de bénéficier de cette liturgie. Vous l’avez à portée de main et l’Église vous permet de la pratiquer en toute liberté. (…)
Comme ceux de la liturgie réformée, pratiquez l’ancienne liturgie pour vous. Pour la vérité de votre Foi. Pour la vérité de votre Charité. Pour donner une impulsion à votre mission. Ce sont deux trésors pour un même peuple. Et ce peuple unique et mature se nourrit de la Foi précisément s’il sait vivre la liberté que l’Église lui accorde. Or cette liberté liturgique, non seulement l’Église la concède mais elle la garantit aussi.
N’ayez pas des opinions à défendre ou à opposer aux autres. L’archevêque de Ferrare et Comacchio n’est ni le gardien ni le propagateur d’aucune opinion que ce soit. Il n’a qu’une opinion : la vérité du Seigneur, l’Évangile, la Tradition de l’Église, le Magistère du Saint-Père et, en union avec celui-ci, son propre magistère.
Voici le cadre dans lequel Benoît XVI a promulgué le Motu Proprio. Je fais partie des évêques, à dire la vérité pas si nombreux que cela, qui en ont retiré un approfondissement de leur propre identité au regard de l’expérience de Dieu. C’est une grandeur non seulement pour ceux qui le pratiquent mais aussi pour toute l’Église.
De ce fait, et je conclus, vous devez toujours rechercher la majeure participation à la vie de la communauté ecclésiale. Cette pratique ne vous soustrait pas à la vie de la communauté et encore moins à la difficile mais belle réalisation de la communion ecclésiale (…).
Extrait du Commentaire de « La Lettre Liturgique » :
Mgr Negri, très proche du mouvement Communion et Libération, est un grand ami du cardinal Biffi, ancien archevêque de Bologne, du cardinal Scola, archevêque de Milan, du cardinal Caffarra, archevêque de Bologne, qu’il est lié à Mgr Moraglia, patriarche de Venise, au cardinal Piacenza, Préfet de la Congrégation du Clergé, en un mot qu’il fait partie des prélats italiens dits « de restauration », parmi lesquels il est peut-être le plus décidé dans ses propos. Sa liberté de parole est semblable à celle de Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon (…).
Référence : Notre lettre 390 publiée le 4 juin 2013
Nous les traditionalistes qui n'avons aucune prévention à l'égard du pape (notre traduction)
Le porte-parole de "Summorum Pontificum" déclare : "Le style (de François) est différent de celui de Benoît XVI, mais nous aimons son insistance sur la messe, le démon, la confession et les dévotions populaires."
ALESSANDRO SPECIALE - CITÉ DU VATICAN
Quand le cardinal Bergoglio a été élu à la papauté, certains milieux traditionalistes, attachés à l'ancien rite de la messe en latin, n'ont pas caché leur préoccupation et leur déception, tandis que les disciples de Mgr Lefebvre de la Fraternité Saint-Pie X, avec lesquels Benoît XVI a obstinément cherché la réconciliation, tout en maintenant officiellement une attitude prudente, évoquent ouvertement de "grandes craintes" pour le pontificat de François.
Mais cette attitude n'est pas partagée par l'ensemble de la galaxie traditionaliste. Les «gens de Summorum Pontificum» - du nom du Motu Proprio du pape Ratzinger qui a libéralisé la célébration de la messe en latin en 2007 - sont occupés à organiser, sous le pontificat de François, un second pèlerinage à Rome après la première expérience de l'année dernière.
Ils sont convaincus que, même avec un style très différent de celui de son prédécesseur, l'attention aux dévotions populaires du pape argentin, son insistance sur le diable et la confession, sa célébration de la messe quotidienne, sont autant d'éléments que les catholiques qui se considèrent comme traditionalistes peuvent ressentir comme leur appartenant. Pour leur porte-parole, Guillaume Ferluc, la messe en latin, loin d'être quelque chose de snob et d'intellectualiste, est beaucoup plus proche des pauvres qui sont si chers au coeur du pape François.

Plus de renseignements :
http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
Tel. 04.344.10.89

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Web http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
e-mail sursumcorda@skynet.be
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LA FÊTE-DIEU À LIÈGE
SAMEDI 1er JUIN 2013 À L’EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132
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MESSE SOLENNELLE À 18 HEURES |
célébrée selon le missel de 1962 par
L’ABBÉ JEAN-PIERRE DELVILLE
Professeur à la Faculté de théologie de l’Université catholique de Louvain (U.C.L)
Homélie prononcée par le Chanoine ERIC de BEUKELAER
Doyen de Liège (rive gauche)
Propre grégorien de la fête, plain-chant liégeois, diaphonies et polyphonies interprétés par:
LA SCHOLA RESUPINA DE VIENNE
Dir. Isabell Kösler

LE CHŒUR D’ENFANTS DE LA BASILIQUE
DE BASSE-WAVRE
Dir. Charlotte Messiaen
À L’ORGUE : PATRICK WILWERTH
professeur au conservatoire de Verviers
PORTES OUVERTES LE 1er JUIN
A L'EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
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SAMEDI 1er JUIN 2013 DE 14h à 19h |

ADORATION EUCHARISTIQUE
animée par
14:00 à 15:00 : la Communauté St. Christophe- groupe de prière « Agneau de Dieu »
15:00 à 16:00 : le Mouvement Eucharistique Liégeois (MEL)
16:00 à 16:30 : l’Association Sursum Corda
16:30 à 17:30 : la Communauté de l'Emmanuel -prière adaptée aux enfants et familles
De 14:00 à 17:30 : possibilité de recevoir le sacrement de réconciliation chez un des confesseurs présents.
À 18:00 : Messe solennelle (missel de 1962) célébrée par l'abbé Jean-Pierre Delville. Homélie du doyen Eric de Beukelaer. Chorales d’adultes (Vienne) et d’enfants (Basse-Wavre)
19 :00 : Clôture. Bénédiction solennelle avec l’ostensoir

ostensoir de l'église du Saint-Sacrement (Liège)
Plus de renseignements tél 04.344.10.89 ou sursumcorda@skynet.be
Un ami nous écrit :
Voici le récit authentique d'une curieuse expérience qui nous a été rapportée par des témoins dignes de foi.
Des connaissances sont invitées par des membres de leur famille à la "1ère communion" de leur fille le 12 mai à Buizingen.
Première surprise, le carnet que les participants reçoivent ne parle pas de 1ère communion mais de "Fête des 8 ans".
Deuxième surprise: pas de prêtre mais deux femmes qui officient durant une heure. Les connaissances qui connaissent le néerlandais sont incapables de dire s'il y a eu consécration ou pas. L'un pense que oui, l'autre que non...
Toujours est-il qu'au moment de la communion, les "officiantes" donnent à chaque famille concernée une grande hostie qui est ensuite partagée par la famille elle-même entre tous ses membres y compris des bébés d'un an...
Si nos connaissances sont interloquées, les autochtones paraissent à l'aise, habitués semble-t-il. Chaque dimanche, en effet, ce sont ces dames qui officient...
Lu sur le site du diocèse d’Arras :
"Lors du dernier conseil presbytéral, Mgr Jaeger avait invité le père abbé de Fontgombault Dom Jean Pateau à présenter le présent et l’avenir de l’abbaye de Wisques.
La difficulté de renouvellement de l’actuelle communauté saint Paul, et le décès de l’abbé Lugez ont amené les bénédictins à revoir l’avenir de l’abbaye. Fallait-il fermer ou trouver une autre communauté ? L’actuelle abbaye de Wisques avait été fondée par des pères de Fontgombault fin XIXème siècle.
L’abbaye de Fontgombault est née en Berri, de l’impulsion donnée par Pierre de l’Etoile et ses compagnons, ermites, en 1091. Elle eut son apogée aux XII-XIIIème siècles. C’est une longue histoire avec de nombreuses vicissitudes durant près de 1.000 ans.
Fontgombault
En 1948, après la seconde guerre mondiale, l’abbaye redevient bénédictine avec l’installation de 22 moines venus de Solesmes. La communauté, très nombreuse songe a essaimer, fonder une nouvelle abbaye, dans le souci de répondre à la demande de Jean-Paul II pour une nouvelle évangélisation. Le déclin de Wisques, avec une moyenne d’âge de plus de 75 ans, à la différence de Fontgombault (âge moyen de 51 ans) provoque la réflexion du père abbé de Fontgombault. C’est ainsi que plusieurs moines feront des “stages” à Wisques au cours du premier semestre 2013 et qu’une solution de reprise était envisagée. Ce passage de plusieurs groupes de religieux durant 4 semaines devait permettre de mûrir le projet. Les contacts furent très bons et l’installation de 13 moines à l’automne 2013 est donc envisagée.