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liturgie - Page 161

  • Amsterdam : une nouvelle paroisse dans la forme extraordinaire du rite romain

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    Une bonne nouvelle du côté de Haarlem-Amsterdam… (source)

    Le diocèse de Haarlem-Amsterdam érige une paroisse personnelle pour la forme extraordinaire du rite romain; elle est confiée à la Maison FSSP d'Amsterdam et M. l'abbé Knudsen devient le premier curé de cette nouvelle paroisse. Deo gratias! L'annonce complète se trouve en néerlandais ici.

  • Russie : une Eglise anti-libérale

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     L'Église orthodoxe russe ne plaisante pas avec la tradition. Alors que des milliers de fidèles s'apprêtent à célébrer, dans la nuit de vendredi à samedi, le rituel du baptême, en se trempant dans l'eau glacée, l'institution présidée par Kirill met de l'ordre dans ses rangs. En l'espace d'une semaine, elle a exclu de tout service liturgique, pour une période de cinq ans, le prête Dmitri Sverdlov, et, au sein de la paroisse d'Arkhangelsk (nord-ouest du pays), muté un autre prêtre, Yohann Privalov. Tous deux sont accusés d'avoir dévié de la ligne officielle de l'Église.Le premier, Dmitri Sverdlov, âgé de 40 ans, a commis l'imprudence de critiquer les falsifications électorales qui ont marqué les élections parlementaires de décembre 2011. Il s'est publiquement excusé devant les Pussy Riot pour les manifestations de «haine enragée» que leur prestation dans la basilique moscovite du Christ Sauveur avait suscitées

    Le second, Yohann Privalov, 42 ans, dénoncé par une partie des paroissiens d'Archangelsk, a été accusé «d'hérésie» et de dérive «sectaire» par ses pairs, pour avoir tenté de populariser la messe en russe au lieu du slavon aujourd'hui en vigueur. Yohann Privalov appartient à un mouvement libéral au sein de l'Église, l'Amitié des petits frères de l'orthodoxie, qui, selon l'institution ecclésiastique, distille «des sentiments d'hostilité et de dédain à l'encontre de ceux qui ne soutiennent pas leurs principes». Pourtant, un grand nombre de fidèles voient en lui, plutôt qu'un «hérétique», un prêtre très «humain» et proche de ses paroissiens, ouvert sur le monde de la culture et la société civile.

    «Des méthodes qui rappellent l'époque soviétique»

    Bien que relativement clémente, la sanction a provoqué un tel malaise dans la communauté orthodoxe d'Archangelsk que l'Église a dû envoyer des émissaires pour tenter d'éteindre l'incendie naissant. Sur son compte Twitter, le patriarche Kirill a simultanément dénoncé les «groupes ecclésiastiques conservateurs et libéraux qui ne cherchent pas la vérité de Dieu, mais un moyen de se blesser mutuellement». Le chef de l'Église russe, réputé pour son conservatisme et sa proximité avec Vladimir Poutine, n'en a pas moins depuis longtemps choisi son camp. «Ces pratiques d'exclusion ne sont pas récentes. Elles font penser aux méthodes des années soviétiques. Aujourd'hui, Kirill s'est fixé pour objectif supplémentaire de ne rien faire qui puisse embarrasser Poutine», analyse Alexandre Soldatov, animateur du site d'informations Credo.ru.

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  • L'abbaye de Fongtgombault reprend l'abbaye Saint-Paul de Wisques

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    22583729.jpgL’abbaye bénédictine Saint-Paul (photo) de Wisques (Nord-Pas-de-Calais) qui fut fondée par l’abbaye de Solesmes en 1889, vient de publier le communiqué suivant que rapporte le blog « Salon beige » :

    "L’abbaye saint Paul, depuis sa fondation par l’abbaye saint Pierre de Solesmes, en 1889, s’est peu à peu développée jusqu’à compter une soixantaine de moines, dans les années 60 : elle a même essaimé aux Pays-bas, (1901-1920) fondant l’abbaye Saint Paul d’Oosterhout, qui elle-même eut trois abbayes – filles en Hollande : à Egmond, Slangenburg et Vaals.

    Mais comme tout vivant mortel, l’abbaye a vu, depuis quelques années, ses forces diminuer et ses effectifs se réduire tout doucement ; au point qu’il était sérieusement envisagé de la fermer, comme il a été fait pour l’abbaye de Belval, l’an dernier, et de voir ses moines dispersés dans d’autres abbayes de la Congrégation.

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  • C'est encore le temps de Noël....

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    MALMEDY 

    PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE

    Célébrée par M. l’abbé Claude Germeau 

    DIMANCHE 13 JANVIER 2013 À 18 HEURES 

    ÉGLISE DES CAPUCINS

    Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy 

    OCTAVE DE LA FÊTE DE L’ÉPIPHANIE 

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    Propre grégorien de la Fête

    Kyriale IX « cum jubilo ». Credo III 

    Motet « Venite adoremus » de Pietro-Alessandro Yon (1886-1943)

    chanté par Jean-Marie Taslent (ténor solo)

    Motet traditionnel « Adeste fideles » à deux voix

    Noël malmédien « Puer nascitur » à deux voix

     d’Olivier Lebierre (1851-1914)

    Cantique « Zu Bethlehem geboren » (Köln, 1637)

    Extrait pour flûte (Albert Schäffer) et orgue (Léonard Aussems)

    de l’œuvre de Jean-Marie Leclerc (1647-1716) 

     

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    Avec tous nos vœux d’heureuse année 2013

     

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  • Le saint nom de Jésus

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    1. Iesu, dulcis memoria,

    dans vera cordis gaudia,

    sed super mel et omnia,

    eius dulcis praesentia.

    1. Jésus, de douce souvenance,

    Donnant les vraies joies du cœur :

    Mais plus que le miel et plus que tout,

    Sa présence est douce.

     

    2. Nil canitur suavius,

    nil auditur iucundius,

    nil cogitatur dulcius,

    quam Iesus Dei Filius.

    2. Rien ne se chante de plus suave,

    Rien ne peut s'entendre de plus agréable,

    Nulle pensée n'est plus douce,

    Que Jésus, Fils de Dieu.

     

    3. Iesu, spes paenitentibus,

    quam pius es petentibus !

    quam bonus te quaerentibus !

    sed quid invenientibus ?

    3. Jésus, espérance des pénitents,

    Combien tendre à ceux qui vous implorent !

    Si bon pour ceux qui vous cherchent !

    Mais, que n'êtes-vous pas pour ceux qui vous trouvent ?

     

    4. Nec lingua valet dicere,

    nec littera exprimere :

    expertus potest credere,

    quid sit Iesum diligere.

    4. Nulle parole ne peut dire,

    Aucun mot ne saurait exprimer,

    Seul comprendra qui l'a éprouvé

    Ce que veut dire aimer Jésus.

     

    5. Sis, Iesu, nostrum gaudium,

    qui es futurus praemium :

    sit nostra in te gloria,

    per cuncta semper saecula. Amen.

    5. Soyez, Jésus, notre joie

    Vous, notre récompense future ;

    Que notre gloire soit en Vous,

    A jamais dans les siècles. Ainsi soit-il.

  • Dimanche 6 janvier 2013 : l’adoration des mages

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    ÉGLISE DU SAINT-SACREMENT À LIÈGE

    Boulevard d’Avroy, 132  

    DIMANCHE  6 JANVIER 2013 À 10 HEURES

    EPIPHANIE

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    MESSE FESTIVE

    (missel de 1962)

     

    PROPRE GRÉGORIEN DE LA FÊTE

    par la schola du Saint-Sacrement 

     

    MISSA BREVIS DE Léo DELIBES, 1836-1891

    pour deux voix et orgue

    interprétée par Isabelle André, soprano et Patricia Moulan, alto

    (conservatoire de Verviers)

    Contribution unique (1875) du célèbre auteur de "Lakmé" à la musique sacrée, composée pour choeur et voix de femmes ou d'enfants, dans un style aérien et intérieur à la fois 

     

    MOTETS ANCIENS ET CLASSIQUES

    « Nascere, nascere » de Giovanni-Battista Bassani, 1647-1716

    par Patricia Moulan, alto

    "O salutaris" de Gabriel Fauré, 1845-1924  et

    "Panis angelicus"  de César Franck, 1822-1890

    par Isabelle André, soprano 

     

    À L’ORGUE

    Patrick Wilwerth

    (professeur au conservatoire de Verviers)

     

    « STELLA SEMPER RUTILANS… » 

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    Du Christ, une vieille séquence de noël chante qu’Il est « sol occasum nesciens », le soleil qui ne connaît pas de déclin, « stella semper rutilans », l’étoile toujours resplendissante : cette image fait le lien avec l’Epiphanie fêtée ce dimanche 6 janvier 2013.

    A propos de cette grande fête qui, dans l’histoire de la liturgie, fut célébrée la première, avant même celle de Noël, Benoît XVI nous rappelle ceci : « L'Epiphanie, la « manifestation » de notre Seigneur Jésus Christ, est un mystère multiforme. La tradition latine l'identifie avec la visite des mages à l'Enfant Jésus à Bethléem, et l'interprète donc surtout comme une révélation du Messie d'Israël aux peuples païens. La tradition orientale en revanche privilégie le moment du baptême de Jésus dans le fleuve du Jourdain, lorsqu'il se manifesta comme Fils unique du Père céleste, consacré par l'Esprit Saint. Mais l'Evangile de Jean invite à considérer comme « épiphanie » également les noces de Cana, où Jésus, changeant l'eau en vin, « manifesta sa gloire et ses disciples crurent en lui » (Jn 2, 11) ». Et, nous-mêmes,  sommes  aujourd’hui encore les témoins de cette « épiphanie » du Seigneur dans la sainte Eucharistie, sacrement mystérieux dans lequel Jésus révèle et cache en même temps sa gloire…

    En cette fête de l’Epiphanie, Benoît XVI nous invite à prêter une attention particulière au symbole de l'étoile, si important dans le récit évangélique des mages (cf. Mt 2, 1-12) et il explique :

    « Les Pères de l'Eglise ont vu dans ce singulier épisode raconté par saint Matthieu une sorte de « révolution » cosmologique, causée par l'entrée du Fils de Dieu dans le monde. Cela signifie que les étoiles, les planètes, l'univers tout entier ne sont pas gouvernés par une force aveugle, ils n'obéissent pas aux dynamiques de la seule matière. Ce ne sont donc pas les éléments cosmiques qui doivent être divinisés, mais, bien au contraire, en toute chose et au-dessus de toute chose, il y a une volonté personnelle, l'Esprit de Dieu, qui dans le Christ s'est révélé comme Amour (cf. Enyclique Spe salvi, n. 5). La pensée chrétienne compare l'univers à un « livre » - c'est également ce que disait Galilée -, en le considérant comme l'œuvre d'un Auteur qui s'exprime à travers la « symphonie » de la création. A l'intérieur de cette symphonie, on trouve, à un certain moment, ce que l'on appellerait en langage musical un « solo », un thème confié à un seul instrument ou à une voix  ; et il est tellement important que la signification de toute l'œuvre en dépend. Ce « soliste » c'est Jésus, à qui correspond, justement, un signe royal : l'apparition d'une nouvelle étoile au firmament. Jésus est comparé par les auteurs chrétiens antiques à un nouveau soleil. Selon les connaissances astrophysiques actuelles, nous devrions le comparer à une étoile encore plus centrale, non seulement pour le système solaire, mais pour tout l'univers connu. Dans ce dessein mystérieux, à la fois physique et métaphysique, qui a conduit à l'apparition de l'être humain comme couronnement des éléments de la création, Jésus est venu au monde : « né d'une femme » (Ga 4, 4), comme l'écrit saint Paul. Le Fils de l'homme résume en lui la terre et le ciel, la création et le Créateur, la chair et l'Esprit. Il est le centre de l'univers et de l'histoire, parce qu'en Lui s'unissent sans se confondrent l'Auteur et son œuvre. »

     

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    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

  • La paroisse de Bolland (diocèse de Liège) a renoué avec la tradition

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    Bolland_1061S1-500x396.jpgLu sur catho.be :

    Depuis 10 ans, la paroisse de Bolland (près de Herve dans le diocèse de Liège) n’avait plus connu de messe de Noël à Minuit. Le 24 décembre, la paroisse a renoué avec la tradition de célébrer la solennité de la Nativité à Minuit. Et cette année, c’était la seule célébration du milieu de la nuit pour l’ensemble de l’Unité pastorale de Herve! Gilbert Lesoinne, ancien directeur du Collège Saint-Hadelin à Visé, en paroissien attentif, livre un écho enthousiaste de la fête de Noël à Bolland.

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  • Célébrer trois messes à Noël ?

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    L'origine des trois messes de Noël 
    Par le père Edward McNamara, L.C. (Traduction d’Hélène Ginabat) (ZENIT.org)
    Comme pour de nombreuses pratiques liturgiques, l’origine des trois messes de Noël (à minuit, à l’aube et le jour) n’est pas du tout sûre, explique le père Edward McNamara, L.C., professeur de théologie et directeur spirituel.

    La fête liturgique de Noël tombe le 25 décembre de chaque année. Cette fête est née à Rome, autour de l’an 330, peut-être précisément cette année-là. Elle fut très probablement célébrée pour la première fois dans la basilique Saint-Pierre, dont la construction était à peine terminée.

    La célébration de Noël s’est ensuite diffusée à partir de Rome, lentement, dans les provinces orientales de l’Empire romain et, petit à petit, elle a été insérée dans le calendrier liturgique des Eglises principales. Certaines de ces Eglises célébraient la naissance du Christ le 6 janvier – l’Epiphanie – et ont continué à donner davantage d’importance à cette date, même après avoir accepté la date du 25 décembre.

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  • Monseigneur Léonard a célébré la messe selon le rite extraordinaire à l'église des minimes

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    crosse.pngLe dimanche 2 décembre dernier, Mgr Léonard célèbrait la messe du 1er dimanche de l’Avent à l’église des Minimes
    Pour le premier dimanche de l’Avent, Mgr Léonard était invité par la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, à l’église des Minimes à Bruxelles. Il y a célébré la messe dans le rite romain extraordinaire. Le prélat a commencé son homélie en rappelant que nous étions certains de mourir un jour, et que la vie serait littéralement insupportable si nous devions vivre quelques centaines, voire quelques milliers d’années.
    lire la suite et découvrir les nombreuses photos prises à cette occasion

  • Liturgie: les grandes antiennes Ô de l’Avent commencent aujourd’hui

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    Ce sont les célèbres antiennes « ad magnificat » des vêpres de la semaine qui précède noël. Ces 7 antiennes commençent toutes par « Ô » et elles énumèrent les plus beaux titres du Messie avec la prière pour sa venue (introduite par : veni, « viens ») et s'appuient sur les textes de l'Ancien Testament (notamment sur le livre d'Isaïe). : 17 décembre : O sapientia, ô Sagesse de Dieu ; 18 décembre : O Adonaï, ô Chef de la Maison de Jessé ; 19 décembre : O radix Jesse, ô rejeton de Jessé ; le 20 décembre : ô clavis David, ô clé  de David ; le 21 décembre : O Oriens, ô Orient, splendeur de la Lumière ; le 22 décembre : O Rex gentium, ô Roi des nations ; le 23 décembre, O Emmanuel, ô Emmanuel, notre Roi.

  • Malmedy : la messe traditionnelle s’intègre dans le paysage

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    On se souvient (voir ici : Un succès pour la célébration de la messe latine traditionnelle à Malmedy ) qu’à la suite d’une longue procédure qui les avait amenés jusqu’à Rome devant la commission Ecclesia Dei, un « groupe stable » de fidèles malmédiens a obtenu  de l’évêque de Liège l’autorisation de célébrer la messe selon la forme extrordinaire du rite romain, un dimanche par mois à partir de février 2012, dans la jolie église (XVIIe siècle) des capucins, sise ruelle des capucins, au cœur historique de la « Cité du Cwarmè ».

     

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