
Proclamation de l'évangile en grec selon le rite byzantin
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Proclamation de l'évangile en grec selon le rite byzantin
C’est ainsi que s’intitule le livret de la messe qui, en d’autres temps et avec d’autres rites, s’appelait la messe du couronnement des souverains pontifes. Elle aura lieu demain, 19 mars, en la fête de saint Joseph dont des traces grégoriennes apparaîtront encore dans l’introït et la communion de la messe.
Celle-ci sera précédée des acclamations carolingiennes traditionnelles pour le sacre des rois et des papes de jadis (au moins depuis Charlemagne).
L’ordinaire sera celui de la « messe des anges », avec le « credo III », un plain-chant tardif du XVIIe siècle, dont la « popularité » concurrença dans nos régions celle des « messes royales » d’Henry Du Mont : une célébration en latin selon le missel de Paul VI, avec le canon romain évidemment, et qui sera sans doute très digne, en présence du peuple et des princes qui nous gouvernent. La cérémonie débutera par l’antienne « Tu es Petrus » et se terminera par le motet « Ave verum »
La procession des dons à l’offertoire et la distribution de la communion par l’évêque de Rome lui-même à un certain nombre de fidèles sont supprimées.
Ce livret, publié sous la responsabilité de Mgr Guido Marini, maître des célébrations liturgiques jusqu’ici appelées pontificales, est disponible ici
SEMAINE SAINTE ET FÊTE DE PÂQUES 2013

A L’EGLISE DU SAINT-SACREMENTBoulevard d’Avroy, 132, 4000 Liège |


Rameaux, dimanche 24 mars, messes à 09h45 (latin) et 11h15 (français) - Mardi-Saint, 26 mars, adoration et confessions de 17h à 19h - Jeudi-Saint, 28 mars, messe de la dernière Cène à 20h (français) - Vendredi-Saint, 29 mars, chemin de croix et confessions à 15h - Samedi-Saint, 30 mars à 20h, veillée pascale et messe de la Résurrection - Dimanche de Pâques, 31 mars, messes à 10h (latin) et 11h15 (français)
Grégorien (schola) ● Motets classiques (Patricia Moulan alto, Micheline Vieillevoye, soprano) ● Orgue (Patrick Wilwerth, Mutien-Omer Houziaux) ● Violoncelle (Octavian Morea)
Plus de détails, cliquez ici : Des Rameaux à Pâques: votre semaine sainte à Liège
Tous renseignements : tél. + 32.(0)4.344.10.89
Courriel sursumcorda@skynet.be
Selon « Riposte Catholique », « certains détails, déjà assez nombreux, montrent que le nouveau Souverain Pontife n’a pas la “sensibilité” liturgique de son prédécesseur. Le visage qu’offrait Mgr Guido Marini, maître des célébrations liturgiques pontificales depuis le 1er octobre 2007, aux côtés du pape François lors de sa première apparition en simple soutane blanche et avec sa non moins simple croix pectorale d’archevêque de Buenos Aires, à la loggia des bénédictions au soir de son élection, ce visage semblait traduire une certaine et peut-être toute récente contrariété…
DIMANCHE 3 MARS
Premier Dimanche du Mois
IIIe DIMANCHE DE CARÊME
A LIEGE
EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132

10h, Messe en latin
célébrée (missel de 1962) par M. l’abbé Jean Schoonbroodt
Propre grégorien de la messe « Oculi mei », Kyriale XVII« Salve ».
Credo I (XIe s.) et Repons « Media Vita » (Xe s.)
par la Schola du Saint-Sacrement, Kaisu Hynninen (soprano solo)
et Patrick Wilwerth (professeur d’orgue au conservatoire de Verviers)
11h15, Messe en Français
Célébrée (missel de 1970) par M. l’abbé Claude Germeau
Chants grégoriens: Kyriale XVIII, Hymne de Carême « attende Domine »)
Orgue: Mutien Houziaux, ancien titulaire à la cathédrale de Liège
A MALMEDY
ÉGLISE DES CAPUCINS
Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy

18h., Messe en latin
Célébrée (missel de 1962) par M. l’abbé Claude Germeau
Propre grégorien de la messe « Oculi mei »
Kyriale XVII« Salve ». Credo I (XIe s.)
Motets « Ecce homo » à trois voix (Géréon Stein, 1853), « Adoramus Te » (P.J. Vandamme), « O heilige Seelenspeise » et « Vive Jésus, vive sa Croix »
par la Schola de Saint-Lambert (Verviers) et la Schola des Capucins (Malmedy)
Orgue : Michèle Baron et Léonard Aussems, professeur hre à l’académie de Malmedy
Les actes de ce concile ne sont pas toujours marqués par la limpidité et la rigueur d’expression d’un bon texte juridique, si bien qu’ils dissimulent quelquefois des conclusions pratiques diamétralement opposées au principe d’abord énoncé. Pour s’en tenir à la constitution sur la liturgie par exemple, le « Forum Catholique » nous livre cette petite démonstration :
« La langue liturgique
« 1. L’usage de la langue latine, sauf droit particulier, sera conservé dans les rites latins
La règle est l'usage de langue latine ; cette règle doit être conservée sauf cas particulier.
« 2. Toutefois, soit dans la messe, soit dans l’administration des sacrements, soit dans les autres parties de la liturgie, l’emploi de la langue du pays peut être souvent très utile pour le peuple ; on pourra donc lui accorder une plus large place, surtout dans les lectures et les monitions, dans un certain nombre de prières et de chants, conformément aux normes qui sont établies sur cette matière dans les chapitres suivants, pour chaque cas.
Ce qui est au 1 un cas particulier devient au 2 quelque chose de très souvent utile
« 3. Ces normes étant observées, il revient à l’autorité ecclésiastique qui a compétence sur le territoire, mentionnée à l’article 22 (même, le cas échéant, après avoir délibéré avec les évêques des régions limitrophes de même langue), de statuer si on emploie la langue du pays et de quelle façon, en faisant agréer, c’est-à-dire ratifier, ses actes par le Siège apostolique.
Comme c'est très souvent utile il est logique de l'étendre au maximum, c'est ce qu'ont fait les évêques.
Le cas particulier du 1 devient la règle, la règle devient cas particulier ».
réf.ici: A ses risques et périls
On pourrait recommencer la démonstration avec le chant grégorien dont la constitution affirme à l’article 116 qu’il doit occuper la « première place » dans les actions liturgiques, mais s’empresse d’ajouter « toutes choses égales d’ailleurs », en précisant : les autres genres de musique sacrée, mais surtout la polyphonie, ne sont nullement exclus de la célébration des offices divins et, pour l’emploi de ces « autres genres », renvoie à l’article 30 lequel stipule que pour « promouvoir la participation active », on favorisera ainsi les acclamations du peuple, les réponses, le chant des psaumes, les antiennes, les cantiques et aussi les actions ou gestes et les attitudes corporelles…). Si les répons, les psaumes, les antiennes et les acclamations sont concernés de la sorte, que reste-t-il encore au chant grégorien finalement ? Voilà pourquoi votre fille est muette, aurait conclu Molière...
JPS
Comme toute fête de l’année au calendrier chrétien, le mercredi des cendres, par lequel débute le carême, se situe en référence à la fête des fêtes qu’est Pâques qui célèbre le passage de la mort à la résurrection de notre Seigneur Jésus Christ. Fête tellement importante qu’elle est célébrée durant cinquante jours (de là vient le mot Pentecôte), et qu’elle est précédée d’une préparation de quarante jours. Le mot "carême" est la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie quarantième -sous-entendu : jour, le quarantième jour étant le jour de Pâques.
Cette préparation est un temps de cheminement spirituel, tout entier orienté vers Pâques, pour ceux qui se préparent à être baptisés à la veillée pascale et pour tous les fidèles. Il est marqué par le jeûne (privation), la prière et le partage (charité, solidarité), et pas seulement comme pratique à observer - d’ailleurs le plus discrètement possible (voir Matthieu 6, 5-18 "Quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu… mais parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes") - mais véritable démarche spirituelle. La durée de quarante jours est d’ailleurs à mettre en relation avec les 40 jours de Jésus au désert précédant sa vie publique, eux-mêmes en relation symbolique avec les quarante ans de traversée du désert par les Hébreux avant l’entrée en Terre promise.
C’est pour tenir les quarante jours de jeûne et de privation, en dehors des dimanches qui sont toujours jour de fête et de résurrection - même en temps de Carême - que le début de celui-ci fut avancé au mercredi avant le 1er dimanche de carême. La cendre évoque la faiblesse de l’homme (cf. Genèse 3, 19 "Souviens-toi que tu es poussière…"), elle évoque aussi le péché et la fragilité de l’homme (cf. Sagesse 15, 10 ; Ézéchiel 28, 18 ; Malachie 3, 21) et son regret du péché (cf. Judith 4, 11-15 ; Ézéchiel 27, 30). Pour les chrétiens, l’imposition des cendres est avant tout, un rite pénitentiel dont la signification est portée par la phrase que prononce le prêtre en faisant le geste : "Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle." (Marc 1, 15).
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"Ne tarde pas, dit le Seigneur, convertis-toi à Dieu, et ne diffère pas de jour en jour." Ce sont les paroles de Dieu et non les miennes; vous ne les avez pas entendues de moi, mais moi je les entends avec vous : "Ne tarde pas, dit-il, convertis-toi au Seigneur." Mais toi tu réponds : "Demain! demain!" (dans le latin du texte : "Cras! cras!") Quel croassement de corbeau! Comme le corbeau envoyé de l'arche n'y est pas revenu et, maintenant qu'il est vieux, dit encore : Demain! demain! C'est le cri du corbeau : tête blanche et coeur noir. Demain! demain! c'est le cri du corbeau : le corbeau n'est pas revenu à l'arche, la colombe est revenue. Qu'il se perde donc, le croassement du corbeau, et que se fasse entendre le gémissement de la colombe." Saint Césaire d'Arles, 470-542 |
extrait de :http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com
Messe chantée et imposition des cendres en l’église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) à 18 heures ce mercredi 13 février.
Lu sur le « Forum catholique » :
"Depuis plus de cinq siècles, personne ne savait où reposait le corps du roi anglais Richard III. Mais après de longues investigations, les scientifiques de l’université de Leicester l’ont retrouvé. Un squelette exhumé en août 2012 sous un parking de la ville, dans les restes d’un monastère, est bien celui de Richard III.
Euronews.com: Une datation au carbone 14 a permis de déterminer l‘âge du squelette. Et les scientifiques ont comparé son ADN à celui de plusieurs descendants de Richard III. Des experts en armes, en alimentation, en blessures, ont également été convoqués pour analyser le cadavre. C’est bien lui.
“Le squelette présente un certain nombre de caractéristiques peu communes”, explique l’ostéologue Jo Appleby. “Il est élancé, il présente une scoliose et il a subi de nombreux traumatismes dus aux combats. Cela recoupe les informations que nous avions quant à la vie de Richard III et quant aux circonstances de sa mort. J’ajoute qu’il s’agit d’un homme d’envrion 32 ans. Donc tout ceci nous porte à croire qu’il s’agit bien de Richard III.
On sait que Richard III est mort au combat en 1485 lors de la bataille de Bosworth Field, remportée par son rival Henri Tudor, le futur Henri VII. Les nombreuses blessures osseuses constatées sur son squelette amènent à penser qu’il aurait perdu son bouclier pendant le combat.
Jusqu’ici, Richard III était surnommé “le roi perdu”. Décédé en 1485, le dernier souverain de la dynastie des Plantagenêt jouit d’une réputation aussi sulfureuse que monstrueuse. Vaincu par les Tudors au cours de l’illustre bataille de Bosworth, celle qui clôtura la Guerre des Roses entre les deux familles royales, il offrît son royaume contre un cheval. Dépeint comme un monarque infâme par Shakespeare, on raconte que sa dépouille fût exhibée dans les rues de Leicester avant d’être jetée dans la rivière. Ce ne sont que des spéculations infondées, voire des mensonges éhontés, selon les historiens, qui reconnaissent simplement que le lieu de sa sépulture est resté secret des années durant (…).
RENCONTRE AVEC MARCEL PÉRÈS
le samedi 9 février 2013 à 14 heures 30
à l’abbaye des Bénédictines de Liège
Boulevard d’Avroy, 54
14h30, église : conférence « les métamorphoses du plain-chant » : un regard sur l’interprétation des répertoires, par Marcel Pérès, fondateur de l’Ensemble Organum (abbaye de Sénanque) et du Centre itinérant de recherche sur les musiques anciennes (abbaye de Moissac)
1. Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser s'en aller ton serviteur en paix, selon ta parole.
2. Car mes yeux ont vu ton salut que tu prépares à la face des peuples.
3. Lumière pour éclairer les païens et gloire d'Israël ton peuple.
4. Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit.
5. Au Dieu qui est, qui était et qui vient, pour les siècles des siècles. Amen.
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MALMEDY PROCHAINE MESSE TRADITIONNELLE Célébrée par M. l’abbé Jean Schoonbroodt DIMANCHE 3 FÉVRIER 2013 À 18 HEURES ÉGLISE DES CAPUCINS Ruelle des Capucins à 4960 Malmedy MESSE DE LA SEXAGÉSIME
Evangile de la Parabole du Semeur (St Luc, 8, 4- -15) Propre grégorien de la messe « Exsurge » Kyriale XI (XIVe s.)« cum jubilo ». Credo I (XIe s.) Motet « Jesu Salvator Mundi » à trois voix (Menegali, circa 1700) Motet « Ave Maria » à deux voix (Reiman, 1820-1885) Motet de communion « Garde mon cœur pour la vie éternelle », d’après une mélodie de Joseph Haydn (1732-1809) Motet « Gegrüsset seist Königin » (Stein, Köln 1852) |
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"À la suite de l'appel de la première lettre de Pierre invitant le chrétien à rendre compte de l'espérance qui est en lui,Christus, website chrétien catholique, cherche à donner des éléments de réponse aux interrogations que toute personne peut se poser sur la foi chrétienne sans toujours savoir où chercher."