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liturgie - Page 175

  • "Réforme de la réforme liturgique" : le pape freiné par des forces contraires ?

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    b0455009f0a11c7f470.jpgTel est le sentiment de Mgr Negri, évêque de Saint-Marin et ami personnel du pape Benoît   XVI. Paix Liturgique  y consacre un intéressant article :

    "Le 19 juin dernier, Benoît XVI s’est rendu en visite apostolique à Saint-Marin, l’un des plus petits diocèses d’Italie mais aussi l’un des plus petits États d’Europe. La raison de cette visite tient en partie à la personnalité de l'évêque du lieu : Mgr Luigi Negri, l’un des ratzinguériens les plus notables de l’épiscopat italien.

    Tout comme son ami Angelo Scola, le Patriarche de Venise qui vient d’être nommé archevêque de Milan, Mgr Negri était un collaborateur très proche de Mgr Luigi Giussani (mort en 2005, peu avant l’élection de Benoît XVI), fondateur du mouvement Communion et Libération et qui a eu un très grand poids dans l’Église italienne à l’époque de Jean-Paul II. Chaque année, les colloques de Rimini, ville proche de Saint-Marin, sur la côte adriatique, organisés par le mouvement, étaient l’occasion d’un rassemblement où se pressaient les majeures personnalités politiques et religieuses italiennes.

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  • Dimanche 21 août 2011.Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 16,13-20.

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    56652960.jpgJésus était venu dans la région de Césarée-de-Philippe, et il demandait à ses disciples : « Le Fils de l'homme, qui est-il, d'après ce que disent les hommes ? »

    Ils répondirent : « Pour les uns, il est Jean Baptiste ; pour d'autres, Élie ; pour d'autres encore, Jérémie ou l'un des prophètes. »

    Jésus leur dit : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? »

    Prenant la parole, Simon-Pierre déclara : « Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant ! »

    Prenant la parole à son tour, Jésus lui déclara : « Heureux es-tu, Simon fils de Jonas : ce n'est pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux.

    Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église ; et la puissance de la Mort ne l'emportera pas sur elle.

    Je te donnerai les clefs du Royaume des cieux : tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux. »  Alors, il ordonna aux disciples de ne dire à personne qu'il était le Messie. (cliquer sur "lire la suite")

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  • Bruxelles : L’église Sainte-Catherine bientôt désacralisée?

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    Bxl_Eglise_Sainte-Catherine-1024x768.jpgQui ne connaît à Bruxelles la place Sainte-Catherine, son célèbre marché, ses restaurants pittoresques ? Elle va, semble-t-il, perdre son église…

    Selon une information de la RTBF relayée par l’agence de presse interdiocésaine CATHOBEL «  l’église Sainte-Catherine située dans le pentagone bruxellois pourrait ne plus servir de lieu de culte. Pour les paroissiens, il ne subsisterait au mieux qu’une chapelle, quant à l’église, une fois désacralisée, elle serait convertie en halle aux fruits et légumes »

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  • 15 août : Célèbrer l'Assomption dans un sanctuaire marial

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    Fête de l'Assomption : le 15 août à Banneux et à Beauraing

    - A BANNEUX :

    Dès le dimanche 14 à 20H00 jusqu’au lundi 15 à 8H00 - Adoration

    8H30 Messe en français
    9H30 Messe en allemand

    10H30 Messe internationale présidée par Mgr Jousten, Evêque de Liège

    11H15 Messe en français
    15H00 Salut et la Bénédiction des malades. (international)
    16H00 Messe en français avec la participation de la chorale de la Vierge des Pauvres.
    20H00 Procession mariale aux flambeaux. (international)

    ==================================================================

    - A BEAURAING :

    - Dimanche 15 août, jour de l'Assomption :

    10 h 30, messe de la paroisse de Beauraing à l'Aubépine;

    14 h, messe en néerlandais ;

    15 h, célébration d'hommage des enfants à Marie et bénédiction individuelle des enfants. Une célébration qui sera présidée par Mgr Vancottem ;

    15 h 45, messe avec, dans les locaux voisins, liturgie de la Parole pour les enfants et garderie pour les tout-petits.

    - Samedi 21 et dimanche 22 août, pèlerinage international à Notre-Dame de Beauraing

    Samedi 21 août: vigile du Coeur Immaculé de Marie :

    20h30 : veillée mariale animée par la fraternité de Tibériade; animation pour les petits ; procession aux flambeaux dans les rues de Beauraing; au retour, messe solennelle internationale présidée par Mgr Rémy Vancottem.

    Dimanche 22 août: solennité du Coeur Immaculé de Marie :

    11 h, messe solennelle internationale présidée par Mgr André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles avec, dans des locaux voisins, liturgie de la Parole pour les enfants et garderie pour les tout-petits ;

    14 h, chapelet médité ;

    15 h, procession eucharistique au départ du castel Sainte-Marie suivie de la bénédiction des malades au Jardin des Apparitions ;

    19 h, messe de clôture.

     

  • Quand la confusion règne dans les esprits et quand des évêques ne font pas leur boulot...

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    L'"affaire de Buissonville" nous a occupés il y a quelque temps et l'intervention d'un lecteur de la Libre nous oblige à y revenir. Rappelons qu'un brave abbé octogénaire bien connu pour sa générosité et son dévouement a cru bon d'inviter, à l'occasion de ses soixante ans de prêtrise, une femme pasteur à célébrer une cène protestante dans son église. Il invitait ses confrères à "concélébrer" avec la dame en question et proposait à ses ouailles de répondre à une sorte d'enquête pour exprimer leurs sentiments face à la présence à l'autel d'une femme mariée et mère de famille. Voir ICI, ICI, ICI, ICI, et encore ICI

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  • La communion « dans la main », une fausse restauration liturgique ?

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    dominusestmonsathanasiuje6.jpgLe site « Kreuz-net » cite (en allemand) cette interview de Mgr Athanasius SCHNEIDER, évêque au Kazakstan donnée à Radio Maria Südtirol et traduite par un correspondant du « forum catholique :

    « La communion dans la main actuelle n'a pas de racines dans l'Église primitive. Évêque auxiliaire (50 ans) d'Astana, la capitale du Kazakhstan . Monseigneur Schneider, spécialiste de patristique armé d'un doctorat, nous l'a expliqué le 19 juillet. "La communion dans la main a été inventée après Vatican II de façon tout à fait innovatrice". L’évêque constate que la communion dans la main n'a rien à voir avec la primitive Église. L'affirmation, que la communion dans la main date des premiers siècles, est historiquement fausse. L'Église primitive a pratiqué une toute autre forme de recevoir la communion.

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  • Une bonne raison de défendre la "messe traditionnelle"...

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    Lu sur Americatho, cette réflexion de Mgr Coyne, évêque auxiliaire d'Indianapolis :

    "...À chaque fois que des gens me demanderont pourquoi certains dans l’Église veulent la « forme extraordinaire », la Messe latine traditionnelle, je crois que je pourrai leur donner au moins une bonne raison. (...) Quand on assiste à la Messe selon le rit tridentin, on sait ce qu’on va avoir. Personne n’y est “créatif”, personne n’y fabrique ses propres prières ou son propre rit, et la question de la validité ne se pose jamais. Je suis un enfant de Vatican II. Dès l’époque où je suis suffisamment âgé pour comprendre ce qui se passait à la Messe, c’était avec la Messe de Paul VI. J’ai été formé dans cette Messe. Je l’ai étudiée. Je l’aime. C’est dans cette Messe que j’ai été ordonné diacre, prêtre et évêque et pour la célébrer pour le peuple de Dieu. Je n’ai aucun désir de célébrer le rite tridentin, mais à chaque fois que j’en entends certains critiquer ceux qui veulent la Messe “traditionnelle”, j’incline de plus en plus à comprendre pourquoi ils veulent cette forme de la Messe. Peut-être que si chaque prêtre s’efforçait de respecter la célébration convenable de l’actuelle Messe de Paul VI – selon les rits de l’Église et non selon le rit du Père X –, il y aurait peut-être moins de clameur demandant le rit “traditionnel”. Ce n’est qu’une réflexion."

    source : http://www.americatho.org/

  • Encore plus fort que l’abbé Marcel Gravet

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    Nous avons relaté - ICI , ICI et ici : Buissonville (Rochefort) : l'affaire est grave et Mgr Vancottem ne peut se dérober- les provocations de l’abbé Marcel Gravet (diocèse de Namur), bénéficiant du concours actif de son doyen et, jusqu’ici, du silence de son évêque.

    Voici encore plus fort, lu sur le site « garrigues et sentiers ». C’est un appel à la désobéissance émanant de prêtres et diacres autrichiens, publié le 19 juin dernier :

    « Le refus romain d’une réforme de l’Église nécessaire depuis bien longtemps et l’inaction des évêques non seulement nous autorisent, mais nous obligent à suivre notre conscience et à agir de notre propre initiative : Nous prêtres voulons porter à votre connaissance nos intentions futures :

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  • Le rite de la communion dans la forme ordinaire de la messe

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    Un quotidien français rapporte ces déclarations faites  par le Cardinal Antonio Canizares :

    "Dans une interview accordée au média internet hispanophone ACI Prensa, le préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements a recommandé avec une insistance inédite que les fidèles communient sur la langue et à genoux. Venant de lui, en des termes aussi nets, cette prise de position est pour le moins importante. Même si fait toujours défaut une disposition claire adressée d’autorité aux évêques de rite latin du monde entier… La question posée par ACI Prensa était de savoir s’il est recommandable que les fidèles reçoivent la communion dans la main.

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  • Quel jour faut-il célébrer la Fête-Dieu ?

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    Le journal « La Croix « (29.06.20111)  signale que le cardinal Cañizares propose de rétablir la Fête-Dieu le jeudi : « Dans un entretien dimanche 26 juin à Radio-Vatican, le cardinal Antonio Cañizares Llovera, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a suggéré de faire revenir la fête du Corps et du Sang du Christ au jeudi pour toute l’Église. « Je crois que la fête du Corpus Domini, séparée du dimanche, serait porteuse d’espérance car cela permettrait de dire à tous, au milieu de la semaine, que le Christ est au centre de tout. » Selon lui, cela permettrait aussi de mieux rattacher cette fête au Jeudi saint.

    Née à Liège (Belgique) au XIIIe siècle, à la suite des visions de la religieuse Julienne du Mont-Cornillon, la Fête-Dieu a été étendue à toute l’Église en 1264 par le pape Urbain IV qui la fixe au jeudi après l’octave de la Pentecôte. En France, depuis le Concordat de 1801, la fête du Saint-Sacrement est solennisée le dimanche suivant. C’est aussi le cas dans les pays où ce n’est pas traditionnellement un jour chômé (par exemple en Italie) ».

     A Liège, elle fut célébrée cette année par l’évêque le jeudi 23 juin à la basilique Saint-Martin et, en principe, sa Solennité eût lieu ailleurs le dimanche 26  (ou le samedi soir, aux messes dominicales anticipées). Une procession liée à la fête s'est déroulée le samedi 25 dans le doyenné de la rive-gauche tandis qu’une certaine confusion (entretenue par le site web du diocèse lui-même, ici Procession de la Fête-Dieu - Liège Rive droite)  jouait en Outremeuse, où la paroisse de Saint-Pholien organisait le 26 juin sa procession annuelle du 4e dimanche de juin laquelle, par les hasards du calendrier liturgique, coïncidait, en 2011, avec la célébration Fête-Dieu !

     De fait, un peu d’ordre dans tout cela, ne ferait pas de tort.

     JPS

  • Le sectarisme n’est pas toujours là où vous pensez

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    6a00d83451619c69e20154337dc4f5970c-320wi.jpgEpinglée par « Le salon beige », cette réaction d'un lecteur, parue dans le n° 1746 de l’hebdomadaire «  Famille chrétienne » :

     "Nous avons été révoltés de la une de votre dernier numéro 1743 du 11 au 17 juin 2011 (http://www.famillechretienne.fr/informations-sur-un-numro_80.php?Num=1099): une photo d'un prêtre "tradi" qui célèbre dans des habits anciens, dos aux fidèles, et certainement loin d'eux. C'est faire trop d'honneur aux "tradis" de leur accorder cette une. Avec leurs célébrations, leurs habillements et leurs coutumes ancestrales, ils font fuir et repoussent les jeunes et les chrétiens "moyens" d'aujourd'hui. Quand Jésus a institué la Cène, il a dit : "Prenez et mangez". Il n'a pas dit : "Ouvrez la bouche et passez la langue"... A Noël dernier, nous avons abonné deux de nos jeunes ménages à votre hebdomadaire en leur disant qu'il s'était modernisé... Vous imaginez leurs réflexions !"

     L'abbé Eric Iborra, vicaire à la paroisse St Eugène (Paris 9e), qui est le prêtre en photo, répond sur Facebook :

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  • Un rite romain unique : l'objectif de Benoît XVI ?

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    "...l’objectif de Benoît XVI – on le sait et le cardinal Kurt Koch, président du conseil pontifical pour l'unité des chrétiens, l’a réaffirmé le 14 mai à Rome, lors d’un colloque consacré au motu proprio "Summorum Pontificum" – n’est pas de faire coexister indéfiniment les deux formes du rite, la moderne et l’ancienne. À l’avenir, l’Église aura de nouveau un rite romain unique. Mais le chemin que le pape voit devant lui pour intégrer les deux formes actuelles du rite est long et plein de difficultés. Et il rend nécessaire la naissance d’un nouveau mouvement liturgique de grande qualité, comme celui qui a préparé le concile Vatican II et auquel Ratzinger lui-même a puisé, le mouvement liturgique de Guardini et de Jungmann, de Casel et de Vagaggini, de Bouyer et de Daniélou, de ces grands qui – ce n’est pas un hasard – ont aussi été des critiques sévères des développements liturgiques postconciliaires.

    De même que la liturgie a été, au cours des dernières décennies, le domaine dans lequel se sont manifestées les ruptures les plus évidentes entre le présent de l’Église et sa tradition, de même, avec Benoît XVI, l'herméneutique de la "réforme dans la continuité" a trouvé dans la liturgie son terrain d’épreuve le plus spectaculaire."

    Telle est la conclusion d'un exposé fait par Sandro Magister lors d'un colloque organisé à Pavie, le 21 mai dernier, consacré à Benoît XVI en tant que législateur canonique. On découvrira cet exposé ainsi qu'un bilan des six années de "gouvernement" de Benoît XVI sur le site de S. Magister : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1348526?fr=y

    Nous sommes heureux de constater que les remarques que nous avions faites sur l'existence de deux rites dans l'Eglise latine vont dans le sens des perspectives ouvertes ici.