Tel est le sentiment de Mgr Negri, évêque de Saint-Marin et ami personnel du pape Benoît XVI. Paix Liturgique y consacre un intéressant article :
"Le 19 juin dernier, Benoît XVI s’est rendu en visite apostolique à Saint-Marin, l’un des plus petits diocèses d’Italie mais aussi l’un des plus petits États d’Europe. La raison de cette visite tient en partie à la personnalité de l'évêque du lieu : Mgr Luigi Negri, l’un des ratzinguériens les plus notables de l’épiscopat italien.
Tout comme son ami Angelo Scola, le Patriarche de Venise qui vient d’être nommé archevêque de Milan, Mgr Negri était un collaborateur très proche de Mgr Luigi Giussani (mort en 2005, peu avant l’élection de Benoît XVI), fondateur du mouvement Communion et Libération et qui a eu un très grand poids dans l’Église italienne à l’époque de Jean-Paul II. Chaque année, les colloques de Rimini, ville proche de Saint-Marin, sur la côte adriatique, organisés par le mouvement, étaient l’occasion d’un rassemblement où se pressaient les majeures personnalités politiques et religieuses italiennes.
Jésus était venu dans la région de Césarée-de-Philippe, et il demandait à ses disciples : « Le Fils de l'homme, qui est-il, d'après ce que disent les hommes ? »
Qui ne connaît à Bruxelles la place Sainte-Catherine, son célèbre marché, ses restaurants pittoresques ? Elle va, semble-t-il, perdre son église…
Le site « Kreuz-net » cite (en allemand) cette interview de Mgr Athanasius SCHNEIDER, évêque au Kazakstan donnée à Radio Maria Südtirol et traduite par un correspondant du « forum catholique :
Epinglée par « Le salon beige », cette réaction d'un lecteur, parue dans le n° 1746 de l’hebdomadaire « Famille chrétienne » :