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Défense de la Vie - Page 158

  • Nobel : la recherche sur l'embryon humain ne se justifie plus

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    "La découverte du professeur Yamanaka rend caduque la recherche sur l’embryon humain" (gènéthique.org)

    Dans une tribune du quotidien Le Figaro, Alain Privat, professeur de neurobiologie à l’Ecole pratique des hautes études (EPHE), ancien directeur d'unité à l’Inserm et membre correspondant de l'Académie de médecine, "réagit à la récente décision du Parlement de réexaminer la législation relative à la recherche sur l’embryon humain". Ainsi, le neurobiologiste s’oppose au soutien du gouvernement concernant la proposition de loi visant à autoriser la recherche sur l’embryon humain, soutien marqué par le discours de la ministre de la recherche lors de la discussion générale au Sénat le 15 octobre dernier. (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 15/10/12).

    Pour le professeur de neurobiologie "une mise au point s’impose". En effet, "la remise du prix Nobel au professeur Yamanaka pour sa découverte des cellules souches reprogrammées (iPS) a déclenché une manœuvre de récupération par les promoteurs de la recherche sur l’embryon humain", ajoutant qu’ "il est vrai que ceux-ci peuvent se sentir fragilisés puisque leurs recherches avancent si peu au regard de la révolution des iPS et des résultats thérapeutiques prometteurs apportés par les cellules souches non embryonnaires". 

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  • Avortement : quand un hôpital catholique et un archevêché cultivent l'ambiguïté

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    De Jeanne Smits, sur son blog :

    L'hôpital catholique Saint-Paul de Barcelone ne fera plus d'avortements… quoique

    Après avoir longtemps fait la sourde oreille face aux protestations des pro-vie demandant qu'il n'y eût plus d'avortements à l'hôpital Sant-Pau de Barcelone, où l'archevêché catholique de cette ville est partie prenante, ledit établissement vient indirectement d'avouer qu'on pouvait naguère y obtenir « l'ivg » à la demande en décidant officiellement de renvoyer sur d'autres hôpitaux, sans engagement confessionnel, toutes les femmes demandant un avortement dans le cadre de la loi qui en fait un droit jusqu'à douze semaines de gestation.
    C'est une décision de la Fondation dirigeant l'hôpital qui, selon EuropaPress, a institué un nouveau protocole avec l'accord de l'archevêché qui en est membre : il s'agit d'interdire les « avortements volontaires » ; protocole qui aurait été adopté l'an dernier.
    Bravo ? Enfin ? Les choses ne sont pas si simples. Outre que le protocole ne semble pas prévoir d'intervenir auprès des femmes pour les aider à faire le choix de la vie pour leur enfant, outre qu'il participe à la procuration de l'avortement en les renvoyant vers un établissement où elles l'obtiendront à coup sûr, il est prévu de faire malgré tout à Sant-Pau des « interruptions médicales de grossesse » dans les situations dites « extrêmes ». Toujours selon EuropaPress, cette décision a reçu le blanc-seing de l'Eglise.
     
  • France : l'Académie nationale de médecine se prononce sur l'euthanasie

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    Fin de vie : l’Académie nationale de médecine se prononce (genethique.org)

    Dans un entretien au quotidien La Croix, le Pr Denys Pellerin, président honoraire de l’Académie nationale de médecine expose la position que soutiendra l’Académie lorsqu’elle sera auditionnée par la mission Sicard sur la fin de vie.

    En premier lieu, interviewé sur la position exacte de l’Académie nationale de médecine, le Pr Denys Pellerin explique qu’ "A l’heure actuelle, on parle de ‘fin de vie’, mais personne n’est dupe : la question posée à la mission Sicard est de savoir s’il faut ou non dépénaliser l’euthanasie en France. […] Autrement dit" ajoute-t-il, "demander à un médecin de donner la mort à une personne sous certaines conditions".       
    A cette question, le Pr Denys Pellerin précise que "la position de l’Académie est claire : elle est formellement opposée à toute évolution de la loi qui viserait à dépénaliser un tel geste. Nous considérons en effet qu’un médecin qui donne la mort n’est pas un médecin. Son rôle est de soigner et d’accompagnerLes conséquences d’une telle dépénalisation seraient très graves : tout d’abord, cela engendrerait une perte de confiance du patient dans le personnel soignant ; ensuite, l’assistance médicalisée pour mourir ouvrirait une dangereuse brèche, menaçant en premier lieu les personnes les plus vulnérables. Il est de notre devoir de dénoncer le risque d’une grave dérive pour notre société".

    En second lieu, à la question de savoir si la loi Léonetti de 2005 suffit à résoudre les situations de fin de vie difficiles qui perdurent aujourd’hui, le président honoraire de l’Académie nationale de médecine précise que la loi de 2005 "est une loi remarquable, qui a marqué un grand progrès dans la prise en charge de la fin de vie", ajoutant que "comme toute loi dans ce domaine, elle ne pouvait qu’instaurer un cadre" et "qu’il n’est pas possible de légiférer de façon précise car la fin de vie de chacun est nécessairement unique et singulière. Elle a donc maintenu un flou nécessaire qui a toutefois rendu son appropriation difficile. […] Ce qui explique qu’il reste des situations apparemment inextricables".

    Pour remédier à ces difficultés, le Pr Denys Pellerin explique qu’il faut distinguer quatre situations très différentes : "les deux premières ont trait à la fin de vie proprement dite, soit en raison d’une maladie devenue incurable […] soit du vieillissementDans ces situations, la loi actuelle est parfaitement suffisante, à la condition qu’elle soit appliquée et donc connueLe texte de 2005 dit : ‘pas d’obstination déraisonnable’ ".         
    Il ajoute : "Mais cela signifie aussi qu’il ne faut pas être dans un excès déraisonnable de prise en charge, même dans le cas où le patient ne dépend plus de thérapeutiques actives : est-il raisonnable, lorsqu’une personne est en phase terminale d’une maladie, qu’elle n’a plus aucune sensation de faim, de vouloir la nourrir artificiellement à tout prix ?". Dans ces situations, le Pr Denys Pellerin explique que "l’une des pistes de réflexion" que propose l’Académie est "d’introduire dans le code de déontologie médicale la notion ‘d’obstination de soins’ quand les soins devenus inutiles et disproportionnés sont imposés au patient".

    Les autres situations à prendre en compte sont liées "à l’arrêt de la vie, plutôt qu’à la fin de vie", englobant ici les accidents tels que les AVC, mais aussi la néonatalogie, "lorsqu’il s’avère qu’en dépit de tous les efforts médicaux, la personne – ou le grand prématuré – est victime de séquelles gravissimes et irréparables". Dans ces cas, le Pr Denys Pellerin précise que "L’Académie s’interroge sur le ‘triomphalisme médical’ et considère qu’une réflexion sur le sujet mérite d’être lancée", ajoutant que "là encore, la notion d’obstination de soins peut être évoquée".

  • Une conférence internationale sur la défense de la vie s'est tenue à Varsovie

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    Le rassemblement pro vie de Varsovie consolide les efforts pour la défense de la vie

    Par Piero Tozzi, J.D.

    VARSOVIE, 12 Octobre (C-FAM) Des professeurs européens et américains pro vie et des praticiens du droit se rassemblaient à la fin du mois dernier à l’Université de Varsovie pour une conférence sur les « fondements intellectuels et les moyens juridiques permettant la protection de la vie pendant la phase prénatale ». La conférence bénéficiait du haut parrainage honoraire de Son Altesse Royale la Grande Duchesse de Luxembourg, et du parrainage honoraire de son altesse Paul, le Duc d’Oldenbourg.

    Organisée par le Centre juridique polonais Ordo Iuris et par le Rule of Law Institute, la conférence a pour origine l’échec serré de l’initiative citoyenne « loi civile » l’année dernière en Pologne, qui visait à faire abolir les exceptions à l’interdiction générale de l’IVG en Pologne. Aleksander Stępkowski, professeur à la faculté de droit de l’Université de Varsovie et l’un des principaux organisateurs de la conférence, représentait l’institut Ordo Iuris. D’après lui la Pologne a besoin d’informer ses parlementaires et son public à l’importance de la défense de la vie « à toutes les étapes de [son] développement, puisque l’avortement semble être le premier pas dans la direction d’un refus de protéger la vie de ceux qui son déjà nés, mais sont dépendants d’une manière ou d’une autre. »

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  • Quand on distribue des implants contraceptifs nuisibles à la santé aux femmes victimes de la pauvreté

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    USAID fait distribuer les implants du type Norplant aux femmes victimes de la pauvreté

    WASHINGON, DC, 12 octobre (C-FAM) l'Agence américaine pour le développement international annoncé une Journée Mondiale de la Contraception, en partenariat avec les donateurs internationaux. Celle-ci a pour but d’aider à la distribution de Jadelle, la seconde génération de l’implant contraceptif Norplant, aux femmes victimes de la pauvreté dans les pays pauvres. Or ce contraceptif n'est pas même autorisé dans les pays riches.Jadelle a été développée par le Population Council, un groupement connu pour son idéologie eugéniste : « Les objectifs de l’eugénisme auront plus de chance d’être atteints sous un nom autre qu’eugénisme. », écrivait Frederick Osborn, le premier président du Population Council, fondée par John D. Rockefeller III dans les années 1950.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (11/10/2012)

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    Euthanasie suivie d'un prélèvement d'organes

    Sommaire (cliquer sur les titres des articles pour y avoir accès)
  • La COMECE se réjouit de l'attribution du Prix Nobel à la recherche sur les cellules adultes

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    La COMECE (Commission des Conférences Episcopales de la Communauté Européenne) salue l'annonce de ce jour de l'attribution du Prix Nobel de médecine à la recherche sur des alternatives à la recherche embryonnaire des cellules souches

    Le Prix Nobel de physiologie ou médecine 2012 a été attribué conjointement à John B Gurdon (Royaume-Uni) et Shinya Yamanaka (Japon) "pour la découverte de ce que les cellules adultes peuvent être reprogrammés pour devenir pluripotentes ». Il s'agit d'une étape importante dans la reconnaissance du rôle clé que les cellules souches non embryonnaires jouent dans le développement de nouvelles thérapies médicales, comme alternative aux cellules souches embryonnaires humaines (CSEh). En conséquence, dans le cadre de la recherche Horizon nouveau programme 2020, le financement devrait être réorienté plutôt que de poursuivre une recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines qui s'avère problématique sous l'angle éthique et peu prometteuse d'un point de vue scientifique et économique.

    Du point de vue scientifique, les CSEh ont été, jusqu'à présent plutôt décevantes, répondant de moins en moins aux attentes de la promesse clinique. Il est à noter que, récemment, GeronCorp., leader mondial de la société de recherche sur l'embryon, a annoncé qu'elle fermait son programme sur les cellules souches.

    En revanche, il y a eu des progrès scientifiques continus dans les domaines de la recherche impliquant des cellules souches alternatives (adultes, provenant du cordon ombilical ou pluripotentes induites) qui présentent de meilleures perspectives pour des applications cliniques; ou qui ont déjà abouti à de larges résultats cliniques (et ne posent pas de problèmes éthiques particuliers). Le Prix Nobel récompense aujourd'hui de tels efforts pour découvrir des alternatives aux CSEh en recourant aux cellules adultes, spécialisées, qui une fois reprogrammée deviennent des cellules immatures capables de se développer dans chaque tissu du corps.

    En outre, la recherche sur les CSEh ne peut plus être poursuivie, car, dans la décision récente de la Cour Européenne de Justice dans l'affaire Greenpeace v Brüstle, la Cour définit clairement l'embryon humain comme un ovule humain, dès sa fécondation, ou dès qu'il est obtenu par clonage, et confirme que les inventions biotechnologiques utilisant des CSEh ne peuvent pas être brevetées.

    Pourtant, en dépit de tous ces nouveaux développements scientifiques et des décisions juridiques, la Commission européenne a décidé de laisser ouverte la possibilité de financer la recherche sur les CSEh dans le programme de recherche Horizon 2020 qui est actuellement en discussion au Conseil de l'UE et le Parlement européen. Dès lors, la COMECE demande aux institutions européennes d'adopter une règle prévoyant que toute recherche impliquant la destruction d'embryons humains ou l'utilisation de cellules souches embryonnaires humaines ne doivent pas être financés dans le cadre d'Horizon 2020.

  • Et si on laissait les embryons tranquilles ?

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    Lu sur le site de “La Vie”, ce 8 octobre:

    Le prix Nobel de Médecine 2012 vient d'être décerné, ce lundi, au biologiste britannique John B. Gurdon et au médecin et chercheur japonais Shinya Yamanaka pour leurs découvertes sur les cellules souches. "Leurs découvertes ont révolutionné notre compréhension sur la manière dont les cellules et les organismes se développent", précise le comité Nobel. Une récompense à la hauteur de la révolution rendue possible par les travaux de ces deux chercheurs, dans le domaine de la thérapie génique.

    L'objectif poursuivi par la biomédecine, c'est de pouvoir réparer nos organes en utilisant les "cellules souches pluripotentes" qui ont la propriété de pouvoir se différencier en tous les tissus de l'organisme. Or ceux-ci proviennent essentiellement de l'embryon humain, en vertu de son stade de développement.

    En 2006 sur la souris, puis en 2007 sur l'homme, Shinya Yamanaka, a découvert, dans la suite des travaux de John B. Gurdon, que des cellules adultes pouvaient être reprogrammées en cellules souches similaires aux cellules embryonnaires, et que l'on pouvait les produire à volonté. La découverte de ces iPS (cellules souches pluripotentes induites) a ouvert la voie à de nouvelles perspectives de recherche, alors que les travaux réalisés sur l'embryon posent de graves questions éthiques, car ils supposent leur destruction.

    La dimension éthique est d'ailleurs la motivation première du chercheur, qui déclare s'être saisi de cette question suite à une visite dans une clinique de la fertilité. "Lorsque j’ai vu (cet) embryon, j’ai soudain réalisé qu’il y avait si peu de différence entre lui et mes filles. Je me suis dit qu’on ne pouvait pas continuer à détruire des embryons pour nos recherches. Il devait y avoir un autre moyen."

    Cette voie de recherche est soutenue avec force par les Eglises, parce qu'elle "ne pose pas de questions éthiques". En septembre 2006, le Vatican avait accueilli Shinya Yamanaka lors du premier congrès international sur l'avenir des thérapies avec cellules souches organisé par l'Académie pontificale pour la vie. C'est là que nous l'avions rencontré. C'était la première fois qu'il présentait en public ses travaux tout juste publiés quelques semaines auparavant dans une revue internationale.

    Passée inaperçue de l'opinion publique, son expérience démontrant la capacité d'une cellule à se régénérer grâce à l'introduction de quatre gènes commençait à secouer les milieux scientifiques. «Notre méthode présente l'avantage de n'avoir besoin ni d'embryon, ni d'ovocyte. Mais nous n'avons pas encore réussi à le prouver sur l'homme», avait alors expliqué le petit homme d'un ton modeste.A l'époque, en effet, ces travaux n'avaient pas été reproduits et méritaient d'être analysés avec prudence.

    Mais dans les milieux médicaux, on évoquait déjà une « révolution ». Ainsi Jean-Claude Ameisen, à l'Inserm, n'hésitait pas à parler d'une «révolution scientifique et éthique.  "L'originalité de ce travail, c'est qu'il ne s'inscrit pas dans la course à l'embryon que l'on constate ailleurs. Les Japonais ont pris le problème à l'envers et ont peut-être apporté la réponse que tous les autres cherchaient", ajoutait-il. Même enthousiasme chez Axel Kahn: «C'est une piste scientifique passionnante qui permettrait de disposer de cellules aux potentiels quasiment équivalents à ceux de l'embryon!»

    Reste que le chemin est encore long avant de pouvoir traiter des malades. Il s'agit d'apprendre à se servir de ces cellules, qui restent différentes de cellules embryonnaires, et dont il faut s'assurer qu'elles ne génèrent pas de cancer suite à leur mutation.

    Mais la mise en lumière de ces travaux par le comité Nobel représente un signal donné à la communauté scientifique internationale, au moment où la volonté d'aboutir des scientifiques dans ce domaine se fait toujours plus pressante, sans que les questions éthiques aient été résolues.

    En France, la loi cadrant la recherche sur l'embryon a été revue à plusieurs reprises, et justement, le Sénat est actuellement saisi d'un projet de loi qui ferait passer d'un régime d'interdiction avec dérogation à un régime d'autorisation encadrée. Le texte, déposé par le radical de gauche Jacques Mézard et adopté par les sénateurs en commission, y sera discuté le lundi 15 octobre 2012.

    Référence: Prix Nobel de médecine pour Yamanaka : une révolution scientifique et éthique

    Inutile de dire qu’en Belgique on est depuis belle lurette sous le régime de l’autorisation "encadrée", instaurée en 2003 sous le gouvernement des gauches socialo-libérales, le même qui fit passer aussi l’euthanasie (2002) et le mariage “gay” (2003).

    La loi du 11 mai 2003 relative à la recherche sur les embryons in vitro stipule en effet que cette recherche sur les embryons -surnuméraires ou créés spécialement aux fins de la recherche-  est autorisée "si toutes les conditions de la présente loi sont remplies et notamment si elle a un objectif thérapeutique ou vise l'avancement des connaissances en matière de fertilité, de stérilité, de greffes d'organe ou de tissus, de prévention ou de traitement de maladie"… 

  • La livraison d'octobre 2012 de La Nef

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    SOMMAIRE DU N°241 D’OCTOBRE 2012

    NB : de nombreux articles sont en ligne; il suffit de cliquer sur les liens pour y avoir accès


    ÉDITORIAUX
    L’économie à la dérive, par Christophe Geffroy
    Contre-Culture : Chassez le sacré, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Hildegarde de Bingen Docteur, par Aliénor Rousseau
    La Syrie, zone à risques, entretien avec Frédéric Pichon
    Islam en France : Paris sous influence étrangère
    par Karim Ouchikh
    Vie de l’Église : Qui a « pété les plombs » ?, par Loïc Mérian
    Série Vatican II (9) : Dei Verbum (2) : les débats, 
    par l’abbé Christian Gouyaud
    Benoît XVI au Liban : le pèlerin de la paix, 
    par Annie Laurent
    L’exhortation Ecclesia in Medio Oriente, par Annie Laurent
    Géopolitique d’abord : L’Orient simplifié
    par Paul-Marie Coûteaux
    Échos d’Orient : Un regard faussé, par Annie Laurent
    Chronique Vie : Eugénisme high-tech
    par Pierre-Olivier Arduin

    ENTRETIEN
    Au service des jeunes
    entretien avec l’abbé Jean-Pierre Gac 

    DOSSIER : LA CRISE DE LA CATECHÈSE
    Catéchèse : histoire d’une crise
    par l’abbé Christian Gouyaud
    Propositions pratiques, par l’abbé Laurent Spriet
    Une catéchèse éclatée, par Denis Sureau
    Transmettre, par Pierre Louis
    Le Catéchisme : vingt ans après, 
    par le P. Thierry-Dominique Humbrecht, op
    Témoignage : A l’école de Marie, par l’abbé Laurent Guimon
    Témoignage : Un témoin heureux, par l’abbé Cyril Gordien
    Témoignage : L’exemple des Chartreux, par l’abbé Matteo Lo Gioco
    Le devoir de transmettre
    entretien avec Mgr Raymond Centène

    VIE CHRÉTIENNE
    À l’école du Poverello d’Assise (2/2), par Falk van Gaver
    Question de foi : Notre-Dame des sans-abris, 
    par l’abbé Hervé Benoît

    CULTURE
    Une gnose chrétienne ?, par Falk van Gaver
    Au fil des livres : Si je t’oubliais Irlande…, 
    par Philippe Maxence 
    Notes de lecture, chroniques musique, cinéma, sortir,
    Internet, livres jeunes 
    Un livre, un auteur : Cécile Reboul

    BRÈVES
    Toutes nos annonces du mois en ligne

  • Quand le parti-pris en faveur de l'avortement l'emporte sur le souci de la santé des femmes

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    C'est ce que l'on peut à nouveau vérifier dans le cadre d'un débat portant sur l'utilisation du Misoprostol, comme le souligne Rebecca Oas dans un article que l'on pourra lire sur le Friday Fax :

    Une nouvelle étude scientifique ravive la controverse sur la pilule abortive

  • Aborto Cero

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits : "En Espagne, on se bat pour l'avortement zéro"

    Alors que le gouvernement de Mariano Rajoy s'apprête à réviser la loi d'avortement mise en place par son prédécesseur José-Luis Zapatero, la « plate-forme civique » HazteOir (fais-toi entendre) a mis en place une pétition en vue d'obtenir une loi qui bannisse totalement l'« IVG », sans exceptions, sans compromissions.

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  • Etats-Unis : un Mois pour le Respect de la Vie

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    AMERIQUE/ETATS UNIS - Début du Mois pour le Respect de la Vie : « il existe un lien entre la foi et la dignité de la vie »

    Washington (Agence Fides) - L'Eglise catholique aux Etats-Unis se prépare à vivre le mois d'octobre au travers d'une série d'initiatives portant sur la promotion de la Défense de la vie. La première se déroulera le Dimanche 7 octobre au travers de la célébration d'ouverture du mois du Respect de la Vie (Respect Life Month), période dédiée à la prière et à l'action visant à affirmer la valeur et le respect de la dignité de l'être humain. Cette année, la célébration aura pour thème : « La foi nous ouvre les yeux à la vie humaine dans toute son ampleur et toute sa beauté ».
    Dans une note envoyée à l'Agence Fides, S.Em. le Cardinal Daniel N. DiNardo, Archevêque de Galveston-Houston et Président du Comité pour les activités pro-vie de l'Episcopat américain, a remarqué que le thème est lié au début de l'Année de la Foi (11 octobre) et à celui de la paix, à propos duquel le Cardinal a évoqué en particulier la visite de Benoît XVI au Liban : « Les liens entre la foi, la dignité intrinsèque et les droits des êtres humains, et une société juste et pacifique ont été également compris par les pères fondateurs des Etats-Unis et ces principes moraux de base ont forgé la civilisation pendant des millénaires ». Toutefois, ajoute-t-il, « au cours de ces dernières décennies, de nombreuses personnes qui influencent la politique publique ont promu différentes exceptions à ces principes ». Nombreuses sont les questions qui préoccupent l'Episcopat, allant des pratiques abortives à la lutte contre la pauvreté et la discrimination, en passant par la fin de vie, la sauvegarde du mariage et la peine de mort et elles font toutes partie de la réflexion sur laquelle se centre l'initiative lancée en 1972 et organisée dans quelques 200 Archidiocèses et Diocèses.
    En conclusion de la note, le Cardinal rappelle « les fronts » actuellement ouverts, insistant en particulier sur la lutte contre l'avortement et pour la sauvegarde de la liberté de conscience, menacée par les nouvelles directives sanitaires qui imposent l'extension de la couverture assurantielle à l'avortement et à la contraception (voir Fides 13/06/2012). Lancé en 1972, le Respect Life Program est suivi par 195 Diocèses aux Etats-Unis. (CE) (Agence Fides 01/10/2012)