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Défense de la Vie - Page 156

  • Les Boliviens se sont mobilisés en masse pour la vie et contre l'avortement

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    AMERIQUE/BOLIVIE - Participation massive de la population à la marche pour la vie et contre l'avortement

    Santa Cruz (Agence Fides) - « J'aime la vie » : c'est réunie autour de ce slogan que la population de Santa Cruz a participé en masse à la Marche pour la Vie qui a eu lieu le vendredi 23 novembre, à l'initiative de plus de 300 institutions, dont le Conseil régional de la Jeunesse, l'Eglise catholique et le Comité civique féminin. Ainsi que l'a indiqué à Fides l'Eglise locale, l'initiative a voulu manifester publiquement le total désaccord des participants avec les projets de loi qui proposent la légalisation de l'avortement dans le pays.

    L'Archevêque coadjuteur de Santa Cruz de la Sierra, S.Exc. Mgr Sergio Gualberti, avait invité toute la population à « participer en masse et avec enthousiasme, à la Marche pour la vie et à refuser ainsi l'avortement et l'euthanasie que veulent imposer des groupes d'idéologies étrangères » a-t-il déclaré dans une note officielle parvenue à Fides. « Face à cette situation, nous voulons, en tant que catholiques, exprimer publiquement notre foi au Dieu de la vie, vie inviolable depuis le premier instant de la conception jusqu'à la mort naturelle » a-t-il ajouté.

    Dans la note envoyée à l'Agence Fides, Edwin Bazan, porte-parole de l'Eglise catholique locale, remarque que des propositions de loi de ce type visent à faire en sorte que « la culture de la mort », souvent acceptée de manière dogmatique par les hommes politiques, « s'enracine en Bolivie ». Au travers de la Marche, l'Eglise a voulu leur rappeler qu'ils doivent promouvoir une législation en faveur de la vie : « Nous voulons dire aux hommes politiques que nous, personnes qui avons voté pour eux, nous sommes un peuple qui veut la vie et non pas des projets de mort. Nous croyons que la vie est un don de Dieu et qu'il doit être respecté. Il est temps d'accompagner nos prières par des actes. La Marche constitue un message clair à la classe politique » a déclaré le porte-parole de l'Eglise catholique.

    Agustin Aguilera, Vice-président de l'Association nationale des évangéliques de Bolivie, qui a participé à la Marche, a qualifié la légalisation de l'avortement « d'homicide ». « L'avortement est un mot doux pour dire « droit de tuer » parce que, lorsqu'une personne est conçue, elle a déjà le droit de vivre » a-t-il remarqué. (CE) (Agence Fides 24/11/2012)

  • Amnesty fait campagne aux côtés des lobbies pro-mort

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    Amnesty International, on le savait déjà, prend fait et cause en faveur de l'avortement légalisé. Sa généreuse défense des humains traqués et emprisonnés ne s'étend pas à la protection des vies humaines en gestation. Ainsi cette organisation n'hésite-t-elle pas, avant même que les résultats de l'enquête au sujet de la mort de Savita ne soient clairement établis, à se joindre au concert des lobbies pro-IVG qui somment l'Irlande de libéraliser l'avortement. 

    L'Irlande doit veiller à ce que sa législation nationale et sa politique en matière d'accès à l'avortement soient conformes au droit international relatif aux droits humains, a déclaré Amnesty International.
    L'organisation, qui a écrit au ministre irlandais de la Santé James Reilly, s'inquiète de ce que le cas tragique de Savita Halappanavar met à jour un flou juridique et politique au niveau d'un droit humain des plus fondamentaux, le droit d'une femme à avoir accès à l'avortement lorsque sa vie est en danger. 

    La Cour suprême d'Irlande a déjà institué ce droit en tant que principe constitutionnel. Amnesty International est également préoccupée par le fait qu'il est très difficile de savoir si un cadre législatif spécifique est requis. 

    Le droit international relatif aux droits humains énonce clairement le droit d'une femme à pouvoir avorter légalement et en toute sécurité lorsque sa vie est en danger. Les gouvernements irlandais successifs ont manqué à leur devoir en s'abstenant de préciser sans ambiguïté comment ce droit est protégé et justifié, plaçant ainsi les femmes en Irlande en position de grande vulnérabilité. Le gouvernement doit y remédier sans délai", a indiqué Colm O'Gorman, directeur exécutif de la section irlandaise d'Amnesty International. 

    "L'Irlande a essuyé les critiques des organes internationaux relatifs aux droits humains pour ne pas avoir aligné sa législation nationale sur les principes internationaux. C'est notamment le cas d'un arrêt très clair rendu par la Cour européenne des droits de l'homme", a estimé Marianne Mollmann, conseillère en politique au Secrétariat international de l'organisation. 

    La Cour européenne a en effet souligné la nécessité de mettre en place un cadre législatif ou réglementaire qui offre une procédure accessible et efficace aux femmes, afin qu'elles puissent avorter légalement en Irlande lorsque leur vie est menacée au cours de la grossesse. 

    Après avoir examiné le bilan de l'Irlande en termes de droits humains, l'ONU a publié en octobre 2011 un rapport dans lequel plusieurs États membres de l'ONU invitent ce pays à aligner sa législation sur les obligations internationales relatives aux droits humains et à légiférer sur l'accès à l'avortement lorsque la vie de la mère est en danger. En 2011, le Comité de l'ONU contre la torture a exhorté l'Irlande à préciser le champ d'application de l'avortement légal à la faveur d'un texte législatif. 

    Ayant pris acte de l'ouverture d'une enquête sur la mort de Savita Halappanavar, Amnesty International demande au gouvernement irlandais de faire en sorte qu'elle soit efficace et transparente.

    Malheureusement pour Amnesty et les autres groupes de pression, il semble bien que la mort de Savita ne soit pas dûe à un refus d'avortement : http://www.belgicatho.be/archive/2012/11/23/savita-n-est-pas-decedee-des-suites-d-un-refus-d-avortement.html

  • Les sociaux-chrétiens luxembourgeois ne sont-ils chrétiens que de nom ?

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    On peut le penser au vu du récent vote libéralisant encore davantage l'avortement au Grand-Duché. C'est ce que dénonce ici Paul d'Oldenburg, président de la Fédération pro Europea Christiana. Seule, une député sociale-chrétienne s'est démarquée de ce vote comme le relate "Le Quotidien" :

    La députée CSV Marie-Josée Frank (...) s'est ralliée à la position de l'ADR  (parti de droite). «Selon mes convictions chrétiennes et éthiques, la vie humaine est intangible. Et ce projet ne respecte ni la déclaration des droits de l'Homme, ni la convention sur les droits de l'enfant», a-t-elle clamé, en reprenant de nombreux arguments de l'orateur (Fernand Kartheiser de l'ADR) qui l'a précédée. Ce dernier s'était d'ailleurs dit «personnellement choqué», non sans arrière-pensée sans doute, par la position du CSV dans le débat. «Vous n'êtes pas un parti chrétien», a-t-il martelé. Le ministre de la Justice, François Biltgen, a tenu à se défendre contre cette attaque. «J'arrive à combiner ce texte avec ma conscience chrétienne. Et heureusement, les temps sont révolus où il était question de bons et de mauvais chrétiens», a-t-il constaté.

    Chacun appréciera à sa juste valeur cette subtile - et révélatrice - affirmation du ministre de la Justice luxembourgeois...

  • Savita n'est pas décédée des suites d'un refus d'avortement

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    C'est ce qui ressort de l'autopsie qui a été pratiquée ainsi qu'en informe cet article publié ici : http://www.ncregister.com/daily-news/in-ireland-abortion-case-pro-lifers-warn-against-snap-judgments/

    Halappanavar’s autopsy has revealed that she died of blood poisoning and E. coli ESBL, an antibiotic-resistant strain of the bacterium.

    “Instead of jumping to the conclusions that Halappanavar needed an abortion and that Ireland needs to legalize the killing of the youngest of its kind, the reasonable approach would be to get to the bottom of what Halappanavar’s condition was and examine how it was, or was not, responded to,” Stephanie Gray, executive director of the Canadian Centre for Bio-Ethical Reform, wrote Nov. 20.

    E. coli ESBL has recently spread throughout the U.K., causing urinary tract infections that can develop into blood poisoning.

    “The presence of E. coli ESBL is particularly problematic if Halappanavar was given antibiotics to fight an infection that was resistant to those very antibiotics,” Gray said.

    Both the Irish health department and University Hospital Galway are making independent inquiries into the circumstances of Halappanavar’s death.

    Read more: http://www.ncregister.com/daily-news/in-ireland-abortion-case-pro-lifers-warn-against-snap-judgments/#ixzz2D4igm0Ff

  • Curieux, ces évêques helvètes...

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    Jeanne Smits s'étonne à juste titre de ces curieuses prises de position :

    Est-ce parce qu'il s'agit d'une initiative émanant de personnalités de l'UDC (Union démocratique du centre, la formation politique suisse classée la plus à droite) ou parce qu'ils croient vraiment ce qu'ils disent ? Quoi qu'il en soit, des évêques helvétiques ont exprimé leur opposition au référendum d'initiative populaire « financer l'avortement est une affaire privée » qui visent à mettre fin au remboursement de l'avortement par l'assurance maladie en Suisse.
    Mgr Markus Büchel, rapporte La Croix, a déclaré au quotidien alémanique Blick que le projet touchera davantage les femmes en situation difficile que celles qui sont aisées. Drôle d'argument… Il est vrai que l'évêque de Saint-Gall – et futur président de la conférence épiscopale suisse – précise que l'initiative passera « à côté du but » qui devrait être « la réduction du nombre d'interruptions de grossesse ». Mais il assure qu'il y aura toujours des femmes qui opteront pour un avortement : « En tant qu'Eglise, nous ne pouvons pas l'empêcher, et l'initiative ne l'empêchera pas non plus », raison pour laquelle il estime que la privatisation du financement sera « un pas vers une médecine à deux vitesses ».
    On croît rêver : le prélat semble plus préoccupé par sa vision collectiviste de la médecine et de l'assurance maladie que par la volonté d'un grand nombre de Suisses de ne coopérer en rien, et surtout pas en finançant les opérations, la mise à mort des tout-petits.
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  • Affaire Savita : Génération pour la Vie appelle à manifester devant l'ambassade d'Irlande

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    Voici l'appel tel qu'il est lancé sur le site de Génération pour la Vie :

    Mercredi 21/11/12 des manifestations pour une légalisation de l'avortement en Irlande ont eu lieu devant les ambassades irlandaises de plusieurs villes d'Europe. 

    Il est capital de ne pas nous taire ! L'Irlande compte sur nous !!!

    Récemment, Savita Halappanavar est décédée à la suite d'une fausse couche. Nous sommes profondément attristés par ce décès et présentons toutes nos condoléances à sa famille et à ses proches. Les media présentent son décès comme dû au refus des médecins de lui faire subir un avortement. En réalité, les experts n'ont pas encore rendu leur rapport et il semblerait que son décès soit dû à un retard dans l'administration d'antibiotiques. Selon les spécialistes, il n'est jamais nécessaire de recourir à un avortement pour sauver la vie d'une femme.

    Le lobby irlandais pro-avortement est en train de se servir de la mort de cette femme pour légitimer une législation favorable à l'avortement. L'avortement tue toujours un être un humain !

    L'Irlande nous appelle à nous mobiliser devant les ambassades irlandaises de nos pays afin de les soutenir. Nous devons répondre à cet appel car le lobbying exercé pour une modification de la loi est très puissant ! Concrètement, nous vous fixons rendez-vous pour une démarche calme et pacifique devant l'ambassade d'Irlande mardi soir. Il y aura plusieurs interventions ainsi qu'un temps de recueillement (ou de prière pour les croyants). Voici l'objectif de notre démarche tel que transmis à la police :  Nous souhaitons manifester nos condoléances à la famille et aux proches de Savita Halappanavar et dénoncer la manipulation médiatico-politiquequi est faite de son décès. Nous soutenons la législation irlandaise actuelle en matière d'avortement et savons que l'Irlande est selon l'OMS, l'un des pays au monde où le taux de mortalité maternelle est le plus faible.

    L’événement sur Facebookhttps://www.facebook.com/events/132908660194155/

    Plus d'info : http://www.generation-pour-la-vie.be/123-savita-halappanavar-verite-irlande et http://www.youtube.com/watch?v=cVGvUF217us&feature=youtu.be

  • BXL : 300.000 euros supplémentaires pour éduquer les jeunes à la vie affective et sexuelle

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    La RTBF nous apprend qu'"il y aura bientôt deux fois plus d'heures d'éducation à la vie affective et sexuelle dans les écoles à Bruxelles."

    La Cocof, l'organe compétent pour les francophones de la capitale, a débloqué de nouveau budget pour 2013 : 300 mille euros. L'idée d’une telle initiative est de sensibiliser les jeunes à une sexualité et à une parentalité responsable. Et ce sont les écoles techniques et professionnelles qui bénéficieront en priorité de ces animations, organisées par les centres de planning familial. Ces animations s'axeront autour d'un court-métrage, intitulé "Entre-deux". Il raconte l'histoire d'une grossesse non programmée d'un jeune couple d'adolescents.

    Evelyne de Wolf, coordinatrice de la fédération des centres pluralistes de planning familial, explique l’objectif de la démarche: il s’agit d’amener les jeunes à réfléchir à ce qui se passerait pour eux s’ils étaient dans une telle situation. Comment agiraient-ils face à une telle nouvelle ? Ensuite, une fois qu’ils ont fait ce chemin-là à l’intérieur d’eux-mêmes, ils pourront se poser les questions suivantes : est-ce que, moi, j’aurais envie d’être père ou d’être mère ? Est-ce que je me sens prêt ? Est-ce que j’en ai envie ? Après, on pourra les faire entendre d’autres messages comme ceux de la prévention et de la contraception. Ils pourront donc agir leur sexualité et la vivre de manière saine et protégée.

    "Encourager les jeunes à pousser la porte des plannings familiaux est important car, selon Evelyne de Wolf, dans notre société, la sexualité a longtemps été taboue. "C’était quelque chose de sale, de honteux dont on ne pouvait pas parler. Le corps, lui-même, est honteux. Ça commence à s’améliorer mais il y a encore beaucoup de travail pour reconnaitre que la sexualité fait partie de la vie humaine."La fédération des centres pluralistes de planning familial essayera de toucher un maximum de jeunes. Les animations d'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle sont inscrites dans les missions scolaires mais ne sont pas encore obligatoires. L'objectif est de pouvoir un jour couvrir toutes les écoles la région bruxelloise avec l'aide des 27 centres de planning familial agréés par la cocof.

    Pas de doute que les jeunes bénéficiaires de ces informations vont se retrouver abreuvés de toutes les indications nécessaires pour passer aux exercices pratiques "sans risques". C'est ainsi que sous couvert d'éducation sexuelle, ils se trouvent informés de tout sauf de ce que sont véritablement l'amour et la réalité profonde de l'échange sexuel. Il est impératif d'apprendre à nos jeunes que l'amour passe d'abord par une découverte progressive de l'autre, dans le respect et la maîtrise de son désir, ce qui exclut une vision consumériste de l'autre réduit à la condition d'objet. Et que tout ne se résume pas à prendre des précautions et, le cas échéant, à recourir à l'IVG pour remédier à une contraception ratée.

  • Luxembourg : l'avortement de confort fourgué à la sauvette ?

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    De : FÉDÉRATION PRO EUROPA CHRISTIANA 

    ALERTE au Luxembourg : demain sera votée le projet de loi qui légalise l'«avortement de confort»

    Le projet de loi 6103 portant modification des articles 351, 353 et 353-1 du Code pénal sera voté demain, jeudi 21 novembre à partir de 14 hrs, à la Chambre des députés du Grand-Duché de Luxembourg.

    Par une manœuvre peu digne d'un parlement démocratique, le compte-rendu de la réunion de la Commission juridique du 7 novembre dernier, fixant la date de la discussion du projet, n'a été rendue publique qu'à la dernière minute.

    Ce projet est néfaste. Il consacre la totale autonomie de la femme dans sa décision d'avorter. Il suffit à une femme de déclarer que la grossesse la place en situation de détresse pour qu'elle ait le droit de tuer son bébé, bien que cette décision puisse ne résulter que de futiles raisons de convenance.

    Pour les mineures non émancipées, le projet de loi 6103 admet le principe de leur autonomie de décision par rapport aux parents et le principe d'un tiers garant, mais à peine oblige le médecin à s'efforcer d'obtenir préalablement le consentement de la jeune fille pour que les représentants légaux soient consultés.

    Mobilisez-vous et informez vos contacts. Écrivez aux députés. La liste de députés se trouve ici. En cliquant sur un nom, on trouve sur le menu qui s'ouvre l'adresse électronique du député en question. Privilégiez les députés du groupe chrétien-démocrate CSV, du Premier ministre Jean-Claude Juncker, en leur demandant de voter contre le projet… ou de changer le nom du parti qui n'a plus rien de chrétien!Non aux « avortements de confort » !

    Non à l'anéantissement du droit des parents et à l'introduction de la zizanie dans la vie de famille !
  • Respect de la vie : un conte soufi du XIIIe siècle

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    « Il était une fois un roi qui souffrait d’une terrible maladie. Ses médecins décidèrent que, pour le guérir, il faudrait lui faire une greffe à partir d’un autre être humain.

    Alors le roi envoya ses soldats battre la campagne à la recherche de cet être humain susceptible de le sauver.

    Finalement, les soldats mirent la main sur une enfant pauvre qui travaillait avec ses parents.

    Et après avoir donné de l’argent à ses parents, ils ramenèrent l’enfant à la cour du roi.

    Là, à la cour du roi, le juge décréta qu’il était permis de faire couler le sang d’un sujet innocent dès lors qu’il s’agissait de rendre la santé au roi. Mais, au moment où le bourreau s’apprêtait à exécuter la sentence capitale, l’enfant tourna son visage vers le ciel et éclata de rire.

    Le roi, stupéfait de cette attitude de l’enfant au moment où il allait mourir, lui demanda la raison de son allégresse.

    L’enfant répondit ceci :

    Le devoir des parents est de protéger leurs enfants, celui du juge de rendre la justice et celui du roi de défendre ses sujets. Mais moi, mes parents m’ont voué à la mort, le juge m’y a condamné et le roi y trouve son intérêt. Je ne cherche plus de refuge qu’en Dieu seul !

    A ces paroles, le roi, bouleversé, fondit en larmes et s’écria :

    ma mort est préférable au sang d’un innocent !

    Il embrassa l’enfant, le couvrit de grands biens et lui rendit la liberté » Et, dans la même semaine, le roi recouvrit la santé.

    Saadi, Le jardin de roses, conte soufi du XIIIe siècle

    Un conte repris par Jean-Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune : http://www.canalacademie.com/ida4046-La-trisomie-est-une-tragedie-grecque.html

  • Ces dérives de la médecine moderne qui alertent les praticiens catholiques

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    Les défis de la médecine aujourd'hui - La vision des médecins catholiques

    ZENIT.org - H. Sergio Mora - Traduction d’Océane Le Gal

    (ZENIT.org) –  Des cosmétiques à base d’embryon humain, une euthanasie rampante qui, peu à peu, s’installe par « voie d’omission »  et non parce qu’une loi vous y autorise, la tendance culturelle à assimiler le patient à un puits de pétrole : tels sont tous les thèmes qui interpellent la Fédération internationale des associations des médecins catholiques (FIAMC).Et parmi toutes ces questions, une ne doit pas être oubliée, celle qui a trait aux problèmes de la vie dès sa conception, explique le président de la FIAMC, José Maria Simon, aux lecteurs de Zenit, en marge de la rencontre entre Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, le Congrès européen des médecins catholiques (AMCI - FEAMC), l'Association Médecins catholiques italiens (AMCI) et les participants de la conférence internationale des hôpitaux catholiques, qui a eu lieu samedi dernier, 17 novembre, dans la salle Paul VI du Vatican.

    Zenit - Docteur Simon, tout d’abord dites-nous ce qu’est la Fédération internationale des Associations des médecins catholiques ?

    José Maria Simon - C’est une vieille institution de droit pontifical qui s’occupe de la formation morale des médecins, mais aussi de celle des étudiants et du personnel sanitaire en général. Nous exerçons par ailleurs une activité de coopération sur des questions liées à la maternité, Notre travail s’étend au plus grande nombre de pays possibles et dans les organisations internationale, de manière à ce que notre vision chrétienne de la médecine puisse être mieux comprise et acceptée.

    Existe-t-il de nouveaux défis pour la médecine d’aujourd’hui ?

    Oui, il y en a , mais toujours autour des mêmes problèmes : ne pas voir son prochain comme une source de revenu ; la défense de la vie, dès sa conception jusqu’à sa mort naturelle, et la transmission de cette vie ; le respect spontanée du cadavre ou pour l’embryon mort qui reste tout de même un symbole de la personne et ne peut être utilisé comme bon nous semble.

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  • Avortement : l'Irlande pourra-t-elle résister aux énormes pressions ?

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    Jeanne Smits revient sur "l'affaire Savita" : 

    La pression monte pour légaliser la mise à mort des tout-petits irlandais

    ... tandis que la "Présidente de la Commission sur l'égalité et la non-discrimination" de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe y va de son couplet dans ce communiqué de presse :

    Législation irlandaise sur l’avortement : des changements sont nécessaires pour protéger les droits et la dignité des femmes Strasbourg, 19.11.2012 –

    Suite au décès en Irlande de Savita Halappanavar, à qui une interruption de grossesse avait été refusée malgré les graves complications que présentait sa grossesse, Tina Acketoft (Suède, ADLE), Présidente de la Commission sur l'égalité et la non-discrimination de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), a exprimé sa profonde indignation.

    Les médecins ont refusé de pratiquer un avortement alors même que le fœtus que portait Savita n'avait aucune chance de survivre. Ils l’ont laissée souffrir et implorer de l'aide jusqu'à ce qu'elle meure. Je considère ce qui est arrivé à Savita comme une insulte à la dignité humaine et une grave forme de violence », a déclaré Mme Acketoft.

    J'invite les autorités irlandaises à prendre immédiatement des mesures pour aligner la législation irlandaise sur les normes européennes et la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme. Le seul moyen de faire en sorte que cette mort inquiétante soit un peu moins vaine consiste à s'assurer qu'aucune femme ne meure plus en Irlande parce qu'on lui aura refusé un avortement légal », a-t-elle conclu.

    Telles sont les dérives d'une perception où le "compassionnel" prend le pas sur une approche objective car c'est bien la règle du respect de la vie humaine qui est ici en cause.

  • Massachusetts : rejet du "suicide assisté"

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    Etats-Unis : le Massachusetts rejette le suicide assisté
    le card. O'Malley à l'assemblée des évêques des Etats-Unis

    Ann Schneible - Traduction d’Hélène Ginabat (ZENIT.org)

    Le cardinal Sean O'Malley a salué le rejet d’un projet de loi qui aurait légalisé, dans le Massachusetts, le suicide médicalement assisté des malades en phase terminale. Il invite à promouvoir les soins palliatifs.

    L’archevêque de Boston a en effet évoqué ce fait lors de l'assemblée annuelle d'automne de la Conférence des évêques catholiques des Etats-Unis (USCCB), lundi 13 novembre.

    Le projet de loi sur le suicide médicalement assisté a été rejeté de justesse lors du vote des habitants du Massachussets, le 6 novembre dernier. Cette mesure aurait légalisé le suicide médicalement assisté dans cet Etat américain pour les patients en phase terminale.

    Les diocèses du Massachusetts ont uni leurs forces à celles d'autres groupes religieux pour s’opposer au projet de loi. Diverses associations, médicales ou non, se sont également opposées à cette mesure

    « Le suicide médicalement assisté est une menace morale et éthique de la société, de la profession médicale, de la communauté des personnes handicapées et du bien commun », a déclaré le cardinal O’Malley : « Il apporte la mort spirituelle, une dépréciation de la vie humaine, et corrompt la profession médicale ».

    Le serment d’Hippocrate stipule en effet que le médecin ne remettra à personne une drogue mortelle si on la lui demande, ni ne prendra l'initiative d'une telle suggestion.

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