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Santé - Page 122

  • Sur Euthanasie Stop (27/11/2013)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 27/11/2013Commission éthique de l’Association belge des Praticiens de l’Art Infirmier (ACN)

    A propos de l'euthanasie sur les mineurs : position de l'ACN

    Publié par Commission éthique de l’Association belge des Praticiens de l’Art Infirmier (ACN - Association belge des Praticiens de l'Art Infirmier)

    L'élargissement de la loi de 2002 dont il est actuellement question suscite chez beaucoup d'infirmières et d'infirmiers des interrogations au niveau juridique et au niveau déontologique - éthique. Au niveau juridique, s'agit-il d'un simple "élargissement" de la loi de 2002 ? Au niveau déontologique et éthique, la gestion médicale des fins de vie doit-elle être définie par le seul réflexe "faire le maximum" ou doit- elle également donner une place à une réflexion sur la pertinence de maintenir de...

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    Le médecin doit-il suggérer aux parents l'euthanasie de leur enfant ?

    Publié par Béatrice BOROM (Educatrice)

    « Après la mort de mon enfant, j'ai compris de l'intérieur cette réaction des rescapés des camps de concentration : j'avais le sentiment de vivre une expérience tellement effroyable, qu'elle resterait indicible parce que personne ne pourrait jamais comprendre » disait une maman 10 ans après la mort naturelle de son fils. Et si, pour son enfant malade, elle avait accédé à la suggestion* des médecins pour que son enfant soit euthanasié, serait-elle mieux portante aujourd'hui ? Elle devrait alors...

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    Les écolos ont raison...: les parents ne doivent pas avoir droit au chapitre

    Publié par Marie-Laure BRUNIER (Employé)

    Les Ecolos sont logiques dans leur position lorsqu'ils disent « Pas besoin de l'accord des parents pour l'euthanasie de leur enfant » En effet, si l'on accorde l'euthanasie à un mineur, c'est reconnaître quelque part qu'il est « adulte » et assez mature pour se débrouiller tout seul dans sa décision. Il s'apparente à un « adulte majeur » pour ce « droit » bien spécifique de demander à être euthanasié. Alors, pourquoi donc, faut-il encore obtenir l'accord de tiers, d'autres adultes, fussent-ils...

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    Confusion dans les amendements proposés

    Publié par Michel FRIPPIAT (Neuropsychiatre, Dinant)

    Dans le projet de loi, la notion de discernement de l'enfant est aussi confuse que celle de la simple mise au courant ou... l'accord (minimal) des parents, sans parler de l'absence de limite d'âge ! La triangulation de l'équipe soignante, des parents et de l'enfant n'est-elle pas suffisante pour orienter vers d'éventuels soins palliatifs ? Faut-il légiférer et y a-t-il urgence ? Une loi "Léonetti" adaptée ne serait-elle pas amplement suffisante ? Les risques de dérive ont-ils été évalués et la di...

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    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :

    Euthanasie bij minderjarigen

    Publié par Stefaan VAN GOOL (Kinderneuro-oncoloog, KULeuven)

    In de omschrijving van euthanasie volgens de huidige wetgeving zijn de volgende begrippen essentieel: a) 'opzettelijk levensbeëindigend handelen', b) 'door een andere dan de betrokken patiënt', c) 'op diens schriftelijk verzoek', d) 'bekwaam om op redelijke wijze over zijn belangen te oordelen', e) 'een door ziekte of ongeval ongeneeslijke aandoening', en f) 'het lijden kan op geen enkel andere manier gelenigd worden'. De wet betreffende de patiëntenrechten (artikel 12 van de wet van 22 au...

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    Willen kinderen euthanasie of zijn het de ouders ?

    Publié par Claudine de LOPHEM (Huismoeder)

    Graag het advies van wie met zieke kinderen werkt in het ziekenhuis. Een ziek kind, een gehandicapt kind haalt heel je leven overhoop. Sommige papa's vluchten, ze kunnen het niet aan en dat staat de moeder er alleen voor; ze kunnen niet gaan werken, noch ontspanning zoeken buitenshuis. Als die voor "euthanasie" van het kind kiezen, is het voor een deel te wijden aan ons, de omgeving die er niet voldoende hulp biedt met woord en daad en vooral een luisterend oor. Je kind zien lijden is v...

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  • Le dossier noir du cannabis

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    Dossier noir du cannabis

    – témoignages accablants

    de Serge Lebigot, Président de Parents contre la drogue

    Préface de Sven-Olov Carlsson, Président de la Fédération mondiale contre les drogues

     Editions Salvator

     

    Présentation de l'éditeur :


    Régulièrement, la question de la légalisation du cannabis revient sur le devant de la scène. On assiste alors à des polémiques qui ne laissent pas la place aux arguments tirés de l’expérience. Fort de vingt années d’écoute et de rencontres quotidiennes avec des jeunes consommateurs et leurs parents ; Serge Lebigot lance un cri d’alarme : Non, l’utilisation du cannabis n’est jamais anodine. Non, le cannabis est tout sauf une « drogue douce ». Le cannabis est fondamentalement une drogue comme les autres stupéfiants dits « durs ». Aucun distinguo ne doit être fait entre « drogue douce » et « drogue dure ».

     

    La rencontre avec des consommateurs ont conduit Serge Lebigot à s’engager contre les méfaits de la drogue et plus particulièrement contre les ravages du cannabis sur les enfants et les adolescents. Depuis près 20 ans, il a reçu plusieurs milliers de consommateurs adolescents et jeunes adultes ainsi que leurs parents. Son travail consiste à favoriser l’information sur les effets des drogues, à développer la prévention et les thérapies visant l’abstinence. 80% de ceux qui passent par lui arrêtent de consommer.

     

    En trois chapitres clairs et limpides (Conseils de prévention pour les parents ; Témoignages de parents ou de jeunes reçus à l’association ; Arguments contre la légalisation du cannabis), l’auteur explique dans un langage accessible la dangerosité du cannabis.

     

    Le Dossier noir du cannabis est un véritable guide pratique pour les parents confrontés à des enfants consommateurs. Il est tout aussi utile pour tout parent ou éducateur qui préfère prévenir que guérir.

     

    Serge Lebigot, 56 ans, marié, 4 enfants, est Président de l’association Parents contre la drogue (www.parentscontreladrogue.com). A déjà publié 'Cannabis, ce que les parents doivent savoir', Lethielleux, 2011. Il est auditionné régulièrement par les commissions d’enquêtes parlementaires, participe aux conférences européennes sur la drogue et intervient auprès des pouvoirs publics et dans les écoles. C’est lui qui, en juillet dernier, a déposé trois plaintes contre l’ouverture d’une salle de shoot à Paris – plaintes en cours d’instruction.


    ISBN : 978-2-7067-10650 - 192 p. – 16 €

  • Les représentants des grandes religions chrétiennes, musulmane et juive déplorent le vote de la proposition de loi sur l'euthanasie des mineurs

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    Lu sur Radio Vatican :

    En Belgique, la proposition de loi visant à étendre le cadre légal autorisant l'euthanasie a été adoptée ce mercredi par la Commission des Affaires sociales et de la Justice du Sénat, qui en débattait depuis plusieurs mois. Elle sera soumise pour adoption, probablement dans les prochains mois, au vote des deux chambres du Parlement belge. Le texte prévoit qu'un mineur peut demander à bénéficier de l'euthanasie s'il fait face à des souffrances physiques insupportables et inapaisables, en phase terminale. Il doit pour cela être conseillé par une équipe médicale et recevoir l'accord parental. Les souffrances "psychiques" insupportables, qui ouvrent la voie à l'euthanasie pour les adultes, ont été écartées pour les mineurs par les sénateurs.

    Si le projet de loi était adopté, la Belgique suivrait l'exemple des Pays-Bas où l'euthanasie des mineurs est autorisée depuis 1998. Le projet de loi est soutenu par la grande majorité des partis de la majorité et de l'opposition, à l'exception des centristes démocrates chrétiens flamands et francophones, membres de la majorité gouvernementale.

    Pour le père Tommy Scholtès, porte-parole de la conférence épiscopale de Belgique, cette décision est triste et regrettable :RealAudioMP3

    Les représentants des grandes religions chrétiennes, musulmane et juive, ont exprimé leur opposition dans un message commun et leur "vive inquiétude face au risque de banalisation" de l'euthanasie. En voici le texte :

    Ce 27 novembre 2013, nous ne pouvons qu'exprimer notre déception et notre tristesse. 

    Nous partageons l'angoisse de parents si un enfant arrive à une fin de vie prématurée et, particulièrement quand il souffre. Nous croyons cependant que les soins palliatifs et la sédation sont une manière digne d'accompagner un enfant qui meurt de maladie. Des médecins praticiens, oncologues ou intensivistes, nous l'ont clairement affirmé. Ecoutons-les. 

    Nous plaidons pour un arrêt de l'acharnement thérapeutique et pour le remplacement des soins curatifs par des soins palliatifs. 

    Nous croyons que nous n'avons pas le droit de laisser un enfant souffrir : c'est pourquoi la souffrance peut et doit être soulagée. La médecine en a les moyens. 

    Ne banalisons pas l'acte de donner la mort alors que nous sommes faits pour la vie. 

    Aimer jusqu'au bout demande un immense courage, 

    Mettre fin à la vie est un acte qui non seulement tue, 

    mais détruit un peu plus les liens qui existent dans notre société, 

    dans nos familles, en proie à un individualisme grandissant. 

    Entourons et aimons les malades et leurs familles, ainsi que les soignants, 

    et si la maladie l'emporte, qu'elle soit accompagnée de notre affection intense et par l'irréductible respect de la vie. 

    Rabbin Albert Guigui, Grand Rabbin de Bruxelles

    Chanoine Robert Innes, président du Comité Central de l'Église Anglicane en Belgique

    Monseigneur André-Joseph Léonard, président de la Conférence Épiscopale de Belgique

    Monsieur Geert Lorein, président du Synode Fédéral des Églises Protestantes et Évangéliques de Belgique

    Métropolite Panteleimon Kontogiannis, Exarque du Patriarcat Œcuménique de Constantinople (Église Orthodoxe)

    Monsieur Semsettin Ugurlu, président de l'Exécutif des Musulmans de Belgique

    SIPI - Bruxelles, mercredi 27 novembre 2013

    Au Soir Magazine, Mgr Léonard a redit son opposition la plus totale à ce projet voté en commission :

    « Nous sommes dans une situation paradoxale. Dans beaucoup de domaines de la vie, un mineur d’âge est considéré légalement comme inapte à prendre des décisions majeures, il ne peut pas se marier, ne pas aliéner des biens importants, est limité dans ses activités économiques, mais il serait apte à décider de sa propre mort ? Je ne vois pas la logique là-dedans. D’après les spécialistes, les demandes d’euthanasie de la part de mineurs sont rarissimes. C’est malsain de faire une législation à propos de cas très exceptionnels pour lesquels une jurisprudence peut suffire. Je pense aussi que, pour les adolescents concernés, il y a d’autres moyens de leur épargner des souffrances pénibles. On est tous d’accord qu’il faut éviter autant que possible à des enfants de souffrir mais nous avons en Belgique, pays pionnier en la matière, des soins palliatifs très performants, des moyens de sédation équilibrés, un arsenal de moyens qui élargit encore la faculté de guérir de quelqu’un. » 

    Débrancher, c’est faire mourir ? 

    « On est tous d’accord que le refus d’aller dans le sens de l’euthanasie ne signifie pas qu’on se réfugie dans l’acharnement thérapeutique. Il faut soigner aussi longtemps qu’il y a une espérance raisonnable de guérison, d’amélioration, mais quand la vie d’un être humain est entièrement suspendue à des machines et qu’il n’y a pas d’espoir fondé de récupération, on n’est pas tenu de prolonger quelqu’un par tous les moyens techniques disponibles. L’acharnement thérapeutique est aussi malsain que la volonté délibérée de faire mourir quelqu’un. La mort fait aussi partie de l’existence humaine, il ne faut pas absolument par tous les moyens la faire reculer. »

  • Euthanasier les mineurs d’âge en Belgique : vote en commission au Sénat de Belgique ce mercredi ?

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    Mercredi prochain, 27 novembre, les commissions réunies de la justice et des affaires sociales du sénat belge devraient voter, paraît-il, une proposition d’élargissement de l’euthanasie aux mineurs. L’émission télévisée « mise au point » de ce dimanche était consacrée à la question. Voici le résumé du débat proposé sur le site web de RTBF-info :

    Que faut-il faire si un enfant atteint d'une maladie incurable demande qu'on abrège ses souffrances? Une majorité se dessine au sein d'une commission du Sénat pour étendre la loi sur l'euthanasie aux mineurs. C'était l'objet d'un débat animé ce dimanche sur le plateau de Mise au Point, où les notions d'âge et de capacité de discernement des enfants dans leur décision d'en finir, ou encore de consentement des parents, ont été vivement discutées.

    Pour Philippe Mahoux, chef de groupe PS au Sénat, "le débat est mûr""Depuis de nombreuses années, dit-il, des pédiatres qui sont confrontés à des situations dramatiques nous demandent de poser ce geste ultime d’humanité pour les patients".

    Le cdH, qui fait partie de la majorité, s’oppose pourtant à la proposition telle qu'elle est formulée jusqu'ici. Faut-il avancer sans lui, en formant une majorité alternative à la majorité gouvernementale? "Pour des problèmes d’une telle envergure, on parle de convictions personnelles et non de majorité ou d’opposition", répond Philippe Mahoux, en évoquant une "solution humaine" partagée "par une majorité de collègues".

    Francis Delpérée, chef de groupe cdH au Sénat, rappelle que c’est une commission parlementaire qui devra d’abord prendre une décision, qui devra ensuite elle-même être votée en séance plénière au Sénat, puis à la Chambre. Enfin le gouvernement fédéral devra lui aussi se faire son propre jugement sur le sujet, dit-il en parlant d’"un périple qui doit encore être accompli".

    A-t-on une idée assez claire de la loi de 2002 pour l'élargir aux mineurs?

    Même s'il précise que le lancement du débat est selon lui "une excellente chose", Michel Dupuis, professeur d'éthique biomédicale à l'UCL et président du Comité consultatif de Bioéthique, veut adresser un message de prudence avant d'aller plus loin. "J’ai le sentiment qu’il est trop tôt pour une raison logique", déclare-t-il : "Après dix ans d’application de la loi, nombreux sont les professionnels soignants qui n’ont pas une idée claire de son fonctionnement". Or pour lui il est primordial de bien la comprendre avant de l’étendre.

    Mais quand Michel Dupuis veut temporiser, Jacques Brotchi, sénateur MR et neurochirurgien, voit plutôt une urgence. Il parle d'une pratique à laquelle on recourrait déjà abondamment, et dit préférer "la transparence à la clandestinité" "Je respecte les opinions de chacun, dit-il, mais je souhaite aussi qu’on entende celui qui veut mourir dans la dignité selon les critères qui sont les siens, exactement comme on entend celui qui réclame des soins palliatifs".

    Euthanasie ou soins palliatifs: y a-t-il un choix indigne?

    Benoît Beuselinck, oncologue et initiateur de la plateforme Euthanasie STOP qui craint que l'on banalise l'euthanasie en étendant progressivement la loi, insiste alors : pour lui, "les soins palliatifs sont aussi une façon très digne de mourir". Cette pratique est même selon lui "plus digne que d’administrer directement la mort au malade". Il ajoute même que les soins palliatifs sont souvent un facteur de "resserrement des liens familiaux".

    Mais ce débat sur la façon "la plus digne" d'accompagner le malade en fin de vie ne plaît pas à Jacqueline Herremans. La présidente de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, ne veut pas "qualifier de digne ou d’indigne tel ou tel choix""Ils le sont tous", insiste-t-elle. "Etre opposé à l’euthanasie est votre droit", dit-elle à Benoît Beuselinck. "Mais laissez au moins chacun faire ses propres choix. Notre attitude est inclusive, la vôtre est exclusive".

    Zakia Khattabi, sénatrice Ecolo, soutient cette conception : "Notre travail n’est pas de porter un jugement mais bien de donner à chacun la possibilité de décider de la façon dont il souhaite partir". "Il ne s’agit pas d’imposer quelque chose à qui que ce soit", dit-elle en rappelant que depuis 2002, les médecins qui refusent de pratiquer l'euthanasie ne la pratiquent pas.

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  • Ni euthanasie, ni acharnement thérapeutique

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    (ZENIT.org) Mgr Zygmunt Zimowski, président du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, a prononcé le discours d’ouverture de la XXVIIIème Conférence internationale de son dicastère, qui a lieu du 21 au 23 novembre sur le thème « L’Église au service de la personne âgée : le soin des personnes affectées par des pathologies neurodégénératives ».

    L’événement accueille plus de 400 participants, dont de nombreux spécialistes provenant de tous les continents (cf. Zenit du 19 novembre 2013).

    L’euthanasie, une honte de notre temps

    L’archevêque a invité à « prier et crier au monde ‘non à l’euthanasie’ parce que c’est une honte pour notre époque ».

    « Dans la seconde moitié du siècle dernier, en particulier dans les pays les plus riches, les transformations de la société, le vieillissement de la population, la diminution du rôle de soutien social assuré par la famille et la marginalisation fréquente des personnes âgées, ont eu pour effet d’aggraver la situation des personnes âgées malades, en augmentant la tentation de recourir à l’euthanasie », a dénoncé l'archevêque polonais.

    Mgr Zimowski a rappelé que la vieillesse, qui était autrefois considérée comme « le temps de la sagesse », est vue aujourd’hui comme une « phase de déclin » et que, dans une société qui met à la première place la « productivité », les personnes âgées elles-mêmes peuvent être poussées à se demander « si leur existence est encore utile ».

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  • Belgique : l'euthanasie et ses dérives

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    Euthanasie : jusqu'où ira la Belgique?

    La loi belge votée le 28 mai 2002 et autorisant l'euthanasie pose comme condition préalable que le patient soit atteint d'une "maladie grave et incurable".

    Onze ans après, une extension de la pratique s'apprête à être votée (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 26 novembre 2013) , alors que de nombreuses dérives sont constatées. Cette nouvelle législation pourrait en outre remettre en cause la liberté de conscience des médecins. En effet, "le législateur pourrait contraindre les médecins objecteurs d'indiquer à leurs patients demandant à être euthanasiés le nom d'un confrère favorable à cette pratique". 

    L'hebdomadaire Famille Chrétienne se fait l'écho des dérives flagrantes constatées en Belgique. 

    Il s'agit, d'une part, de dérives d'interprétations des dispositions légales. La Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie semble évacuer de plus en plus le critère d'une maladie "grave et incurable"(1). Le grand âge et la lassitude de vivre "sont devenus des conditions pour être euthanasiés' " s'indigne le Dr Dopchie (2). De même en est-il pour la condition de "souffrance physique ou psychique constante et insupportable", que la Commission perçoit comme une "notion subjective", et qui renvoie désormais à " l'anticipation d'une souffrance future" précise Etienne Montero (3). Le cas de deux jumeaux, âgés de 45 ans, "nés sourds et euthanasiés en 2012 parce qu'un glaucome allait les rendre aveugle" en est un exemple flagrant (Cf Synthèses de presse Gènéthique du 14/01/2013 et 22/01/2013).

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  • Une coalition s’est mise en place pour contrer l’avancée de l’euthanasie en Europe…

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    Une coalition s’est mise en place pour contrer l’avancée de l’euthanasie en Europe…

     


    d'Alex Schadenberg :

     

    Dear Friends of the Euthanasia Prevention Coalition,

     

    1. The Belgian Senate will be voting on the bill to extend euthanasia to children with disabilties on November 26. I am asking you to email important Belgian cabinet ministers who need to be told to stop this bill. http://alexschadenberg.blogspot.ca/2013/11/belgium-senate-will-vote-on-bill-to.html

     
     

    2. The launch of EPC-Europe 

     
    in Brussels Belgium, last week, was a tremendous succes.

    EPC-Europe was launched with a press conference at the European Parliament 

     
    and a debate between myself and Professor Jan Bernheim, a long-time euthanasia promoter.

    At the debate, Bernheim admitted that there were problems with the Belgian euthanasia law

     
    Professor Etienne Vermeersch, an author of the Belgian euthanasia law stated that the euthanasia law was designed for people with disabilities
     
    .

    It is crazy that the Belgian government is planning to extend euthanasia to children with disabilities

    3. The Quebec government is currently holding hearings on Bill 52, the bill that would legalize euthanasia in Quebec.http://alexschadenberg.blogspot.ca/2013/06/quebec-euthanasia-bill-52-very.html
     
    We need you to write a letter to your local or national newspaper
     
     opposing Bill 52.

    Donations to the Euthanasia Prevention Coalition

    are needed to fight the euthanasia bill in Quebec.

    4. The Euthanasia Prevention Coalition (EPC) and EPC-BC have asked for intervener standing in the Bentley 'Spoon Feeding' case in British Columbia. Spoon feeding is not medical treatment

     
    The trial will be heard in a few weeks.

     

    Alex Schadenberg

    Executive Director/International Chair

    Euthanasia Prevention Coalition

    Email: info@epcc.ca, Phone toll free: 1-877-439-3348FacebookTwitter

  • En Belgique, on débat de l'extension de l'euthanasie aux mineurs

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  • Euthanasie des mineurs : souffrance physique et mort à brève échéance

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    Euthanasie des mineurs : souffrance physique et mort à brève échéance

    L’euthanasie pour les mineurs pourrait être votée en Commissions réunies Justice et Affaires sociales mercredi prochain.  Les quatre auteurs (MR, PS, Open VLD et SP.A) des propositions visant à étendre aux mineurs le bénéfice de la loi de 2002 dépénalisant l’euthanasie ont déposé plusieurs amendements à leur texte originel qui renforcent les conditions et permettraient à des enfants de demander à être euthanasiés. Dans leur texte réécrit, l’enfant devrait invoquer des souffrances physiques inapaisables dans le cadre d’une pathologie grave et incurable – ceux dont la souffrance serait psychique, n’entreraient plus en ligne de compte. Ils excluent désormais aussi la possibilité pour les mineurs de demander l’euthanasie quand le décès n’est pas prévu à brève échéance. La possibilité de demander l’euthanasie quand on n’est pas en fin de vie serait donc réservée aux adultes. L'accord des représentants légaux serait requis.Pour le sénateur CDH, Francis Delpérée, ces modifications rendent la proposition incohérente et dénaturent la philosophie initiale de la loi : « Nous ne sommes plus dans une optique d’élargissement, mais dans deux régimes totalement différents pour les adultes et les mineurs ».  Au-delà du principe même d’accorder l’euthanasie aux enfants, le sénateur s’oppose ici à la méthode utilisée, notamment en ce qui concerne la majorité alternative : «Moi, je suis loyal : je fais partie d’une majorité gouvernementale et parlementaire et je travaille dans ce cadre ». Le CD&V, en position délicate, a demandé qu’un texte de synthèse comprenant les amendements et sous-amendements soit déposé. La sénatrice Else Van Hoof demande aussi de nouveaux conseils de psychologues en termes de discernement. … Pour Jacques Brotchi, sénateur MR et chirurgien, il est très probable que l’extension de la loi soit votée mercredi : « Si les sénateurs libéraux, socialistes et ceux de la N-VA votent, nous avons déjà la majorité au point de vue de la commission sénatoriale. Mais cela ne signifie pas qu’on aurait ensuite la majorité en plénière ». La loi devrait en effet ensuite passer en séance plénière au Sénat avant d’être examinée puis votée à la Chambre. 

    Source : Le Soir 20/11/2013 et La Libre

  • Euthanasie : s'adresser à nos représentants

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    A qui envoyer nos mails de contestations par rapport à la loi euthanasie pour les mineurs ?

    Commissions réunies de la Justice et des Affaires sociales 


    Justice

    Président

    Premier Vice-Président

    Deuxième Vice-Président

    Membres

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  • Aujourd'hui sur Euthanasie Stop (20/11/2013)

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    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 20/11/2013

    Le suicide est un drame. L'euthanasie ne le serait-elle pas?

    Publié par Edmond POULLET (Officier général en retraite)

    Il se fait que nous aussi, mon épouse et moi, nous avons connu Lucie Dorchain, que nous l'avons vu vivre,et lui avons témoigné notre affection. Nous pouvons témoigner qu'à chaque geste, à chaque parole, elle réagissait,elle comprenait. Elle était donc une personne pleinement humaine, malgré ses déficiences. Nous avons aussi connu Marc, un jeune Suisse, même maladie que Lucie, mais plus grave encore. Il est mort à 21 ans. Nous le rencontrions au moins une fois l'an à Lourdes. Sa mère lui expliqua...

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    Papa, tu m'as fait découvrir les vraies valeurs de la vie...

    Publié par Carine T., Bruxelles (Animatrice dans un service de soutien aux malades)

    Elargir la loi pour l'euthanasie des personnes mineures et démentes est à l'encontre de ma façon de penser et du sens vrai des normes humaines. Je peux témoigner de l'expérience de la schizophrénie de mon père. A écouter les arguments des personnes politiques, des « grands de notre société », mon père aurait été dans la liste de ceux qui avaient droit à l'euthanasie. Il n'avait aucune rentabilité économique. Il ne pouvait être expert politique, économique. Il n'était pas un «grand » à qui on de...

    Lire « Papa, tu m'as fait découvrir les vraies valeurs de la vie...»

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    Ik kost toch te veel ?

    Publié par Ingrid LANGHOR (Gepens. directie-secretaresse, Antwerpen)

    We weten allemaal uit welke hoek de wetsuitbreiding komt (en de eerste wet...); niet verwonderlijk dus. Het persoonlijke geweten wordt meer en meer vervangen om niet te zeggen verdrongen door allerlei wetten (in de zin van "mag/kan" het volgens de wet, dan is het OK...). Het is onze "beschaving" onwaardig overal te horen en te lezen over de vergrijzing en de kosten die ermee gepaard gaan, en de "nutteloosheid" van al die oudjes: de druk op weerloze ouderen wordt hierdoor constant opgevoerd, zod...

    Lire « Ik kost toch te veel ? »

    Open de deur NIET! 

    Publié par Luc PEETERS (Gepensioneerd, Tienen)

    Stop deze waanzin.Waar eindigt dit? Wie is de volgende? Als men een deur opent op een kier krijgt men ze nooit meer dicht.

    Lire « Open de deur NIET! »

  • Euthanasie : les Veilleurs à la une du JT (RTBF)

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    C'est ici : http://www.rtbf.be/video/detail_jt-19h30?id=1871407