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Spiritualité - Page 467

  • Wisques (Nord Pas-de-Calais) : arrivée des frères de l’Abbaye Notre Dame de Fontgombault

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    Nous en avions déjà parlé ici L'abbaye de Fontgombault reprend l'abbaye Saint-Paul de Wisques et l’essaimage se concrétise cet automne, aux portes de la Belgique :

    « Depuis le mois de janvier dernier, tous les deux mois environ, les frères de Fontgombault destinés à venir en aide à notre communauté sont venus, par équipe de quatre, passer trois semaines-un mois chaque fois, à l’Abbaye Saint Paul, en vue de préparer leur arrivée définitive. C’est ainsi que l’orgue de la chapelle vient d’être restaurée, grâce à la générosité de l’Association des Amis de Wisques.

    L’arrivée des frères est fixée au Jeudi 10 octobre prochain. Dom Jean Pateau, Abbé de Fontgombault, accompagné de son prédécesseur, Dom Antoine Forgeot, conduira les 13 frères qu’il a choisis pour mener à bien la reprise de notre Abbaye.

    À 9 h 45 notre évêque, Mgr Jaeger, présidera la messe où les prêtres des deux communautés concélébreront.  Tous les fidèles qui le désirent pourront assister à cette eucharistie et s’unir à notre prière.

    Par la suite, mais en privé, dans la salle du Chapitre, le Père Abbé de Solesmes, Dom Philippe Dupont, supérieur général de la Congrégation bénédictine de Solesmes, nommera Dom Jean Pateau, Abbé de Fontgombault, comme « Abbé administrateur de l’Abbaye Saint Paul ». Et il reviendra à ce dernier  d’organiser le monastère en donnant à chacun de ses moines les diverses charges nécessaires à la bonne marche de l’Abbaye.

    A compter du Vendredi 11 octobre, l’Abbaye Saint Paul adoptera les us et coutumes de l’Abbaye de Fontgombault ; en particulier la messe selon le ‘Rite extraordinaire’.

    La communauté se recommande à vos prières et vous assure des siennes. »

    Réf. :  Wisques (Nord Pas-de-Calais)  arrivée des frères de l’Abbaye Notre Dame de Fontgombault

    JPSC

  • Ce qui va se passer ce 13 octobre

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    De l'Homme Nouveau :

    Le 13 octobre, le Pape François consacre le monde au Cœur Immaculé de Marie et invite tous les catholiques du monde entier à s'unir à lui dans cet acte fondateur de son pontificat. Petit aperçu en forme de questions/réponses de deux journées pas comme les autres.

    • Que se passe-t-il ce 13 octobre 2013 ?

    À Rome, le Pape François consacrera le monde au Cœur Immaculé de la Vierge Marie au pied de la statue de Notre-Dame de Fatima, en la date anniversaire de l'apparition de 1917. Il invite tous les catholiques du monde entier à s'unir à lui.

    • Est-ce la statue originale ?

    Selon le site du sanctuaire de Fatima, c'est bien la statue de Notre-Dame du Rosaire de Fatima, qui est vénérée habituellement dans la petite chapelle des Apparitions, qui sera présente à Rome les 12 et 13 octobre à l'occasion de cette Journée mariale. La statue de la Vierge de l'un des sanctuaires les plus connus au monde quittera le Portugal le matin du 12 octobre pour y retourner dans l'après-midi du 13. En son absence, on installera dans la Chapelle des apparitions la première statue de la Vierge pèlerine de Fatima, intronisée dans la basilique Notre-Dame-du-Rosaire, le 8 décembre 2003.

    • Pourquoi vient-elle spécialement à Rome à cette occasion ?

    Comme l'a indiqué Mgr Rino Fisichella, le président du Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation, en charge de l'organisation de cette journée, dans sa lettre adressée à l'évêque de Leiria-Fatima, Mgr António Marto : « C'est le vif désir du Saint-Père que la Journée mariale puisse avoir comme signe particulier une des statues mariales les plus importantes pour les chrétiens du monde entier et c'est pour cette raison que nous avons pensé à la statue originale et bien-aimée de Notre Dame de Fatima ».

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  • Banneux, 12 octobre : chapelet international en direct avec le Vatican et 10 sanctuaires

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  • A Fichermont, les "Samedis Saint Joseph" du Verbe de Vie

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  • Les intentions de prière du pape pour octobre 2013

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    Intention de prière universelle : les personnes qui perdent espoir
    Prions pour que ceux qui se sentent écrasés par le poids de la vie, jusqu'à en désirer la fin, puissent ressentir la proximité de l'amour de Dieu.

    Intention de prière pour l'évangélisation : la Journée Missionnaire Mondiale
    Pour que la célébration de la Journée Missionnaire Mondiale rende tous les chrétiens conscients d'être non seulement destinataires, mais aussi annonciateurs de la Parole de Dieu.

  • Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus (1er octobre)

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    TheresedeLisieux.jpgDe BENOÎT XVI, lors de l'audience générale du mercredi 6 avril 2011 :

    Chers frères et sœurs,

    Je voudrais vous parler aujourd’hui de sainte Thérèse de Lisieux, Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, qui ne vécut que 24 ans dans ce monde, à la fin du XIXe siècle, conduisant une vie très simple et cachée mais qui, après sa mort et la publication de ses écrits, est devenue l’une des saintes les plus connues et aimées. La «petite Thérèse» n’a jamais cessé d’aider les âmes les plus simples, les petits, les pauvres, les personnes souffrantes qui la priaient, mais elle a également illuminé toute l’Eglise par sa profonde doctrine spirituelle, au point que le vénérable Pape Jean-Paul IIen 1997, a voulu lui conférer le titre de Docteur de l’Eglise, s’ajoutant à celui de patronne des missions, qui lui avait été attribué par Pie XI en 1927. Mon bien-aimé prédécesseur la définit «experte en scientia amoris» (Novo Millennio ineunten. 42). Cette science, qui voit resplendir dans l’amour toute la vérité de la foi, Thérèse l’exprime principalement dans le récit de sa vie, publié un an après sa mort sous le titre Histoire d’une âme. C’est un livre qui eut immédiatement un immense succès, et qui fut traduit dans de nombreuses langues et diffusé partout dans le monde. Je voudrais vous inviter à redécouvrir ce petit-grand trésor, ce commentaire lumineux de l’Evangile pleinement vécu! L’Histoire d’une âme, en effet, est une merveilleuse histoire d’Amour, racontée avec une telle authenticité, simplicité et fraîcheur que le lecteur ne peut qu’en être fasciné! Mais quel est cet Amour qui a rempli toute la vie de Thérèse, de son enfance à sa mort? Chers amis, cet Amour possède un Visage, il possède un Nom, c’est Jésus! La sainte parle continuellement de Jésus. Reparcourons alors les grandes étapes de sa vie, pour entrer au cœur de sa doctrine.

    Thérèse naît le 2 janvier 1873 à Alençon, une ville de Normandie, en France. C’est la dernière fille de Louis et Zélie Martin, époux et parents exemplaires, béatifiés ensemble le 19 octobre 2008. Ils eurent neuf enfants; quatre d’entre eux moururent en bas âge. Les cinq filles survécurent, et devinrent toutes religieuses. A l’âge de 4 ans, Thérèse fut profondément frappée par la mort de sa mère (Ms A, 13r). Son père s’installa alors avec ses filles dans la ville de Lisieux, où se déroulera toute la vie de la sainte. Plus tard, Thérèse, frappée d’une grave maladie nerveuse, fut guérie par une grâce divine, qu’elle-même définit comme le «sourire de la Vierge» (ibid., 29v-30v). Elle reçut ensuite la Première Communion, intensément vécue (ibid., 35r), et plaça Jésus Eucharistie au centre de son existence.

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  • BXL, 19 octobre : folia par les pèlerins danseurs

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    Folia 2013.jpgUn Spectacle à Bruxelles

    Folia

    « Dans la forme de l’homme, c’est la totalité de son œuvre que Dieu a consignée » (Ste H. von Bingen).  

    Il a créé l’homme en forme de croix, inscrivant en son corps sa vocation, corps ouvert aux dimensions de l’univers et de l’accueil de l’autre. Rien de tel que les bras ouverts pour être à l’image et à la ressemblance du Père !« Pour le chrétien, il n’est donc pas question de s’évanouir dans l’ombre, mais de monter dans la lumière de la croix » (P. Teilhard de Chardin).

    La croix ! Folie de Dieu, plus sage que les hommes.

    Cette présentation originale parcourt le mystère chrétien, de la Genèse à la Résurrection. Les ‘ Pèlerins danseurs ‘ de Namur sont rejoints, pour l’occasion, par une petite équipe intergénérationnelle de 7 à 70 ans. Par une écriture très simple de leur corps dans l’espace, toutes et tous témoigneront du mouvement de vie que l’Incarnation de Dieu est appelée à opérer en tout être humain. Leur démarche est, par ailleurs, accompagnée par un ensemble de musiciens, heureux d’apporter à ce spectacle leurs compétences instrumentales et vocales, lui donnant ainsi une tonalité plus vive encore.

    Le travail proposé par les ‘Pèlerins danseurs’ consiste en une pédagogie gestuelle, conçue à partir du modelage naturel de l’homme, enracinée dans la Tradition chrétienne et fondée sur la Parole de Dieu dans la Bible. Toute la chorégraphie « Folia » est portée par cette expérience osant effectivement le lien entre le corps de l’homme vivant, et la Parole de Dieu dans la Bible. Quoi de plus normal, somme toute, pour celles et ceux qui se réclament du Dieu incarné !                                  

    Site : www.lespelerinsdanseurs.eu

    • Quand ?  le samedi 19 octobre 2013 à 20h
    • Où ?   Eglise St Julien - Avenue Lebon, 1 - 1160 Auderghem
    • N.B. : « Folia » sera présenté à Tournai le samedi 23 novembre 2013.
    • Info’s : 0487/11 11 02 - peldanseursbelg@hotmail.com
  • Octobre: mois du Rosaire.

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    Sur le blog du « Petit Placide », ce texte (extraits) du Père Garrigou-Lagrange (1877-1964) ) :

    Virgen_del_Rosario_Santo_Domingo_y_Santa_Catalina_de_Siena.jpg« Parmi les formes habituelles de la dévotion mariale, comme le sont l'Angelus, l'office de la Sainte Vierge, le Rosaire, nous parlerons spécialement de ce dernier, en tant qu'il nous dispose et nous conduit à la contemplation des grands mystères du salut.

    C'est, après le sacrifice de la messe, une des plus belles prières et des plus efficaces, à condition de la bien enten­dre et d'en vivre véritablement (…)

    On peut sans doute faire déjà une bonne prière, en pensant confusément à la bonté de Dieu et à la grâce de­mandée, mais pour rendre au chapelet son âme et sa vie, il faut se rappeler qu'il n'est qu'une des trois parties du Rosaire, et qu'il doit s'accompagner de la méditation, facile du reste, des mystères joyeux, douloureux et glo­rieux, qui nous rappellent toute la vie de Notre-Seigneur, celle de sa sainte Mère et leur élévation au ciel.

    Les quinze mystères du Rosaire, ainsi divisés en trois groupes ne sont autre chose que les divers aspects des trois grands mystères du salut : celui de l'Incarnation, celui de la Rédemption et celui de la vie éternelle.

    Le mystère de l'Incarnation nous est rappelé par les joies de l'Annonciation, de la Visitation, de la Nativité de Jésus, par sa présentation au temple et son recouvre­ment parmi les docteurs de la synagogue.

    Le mystère de la Rédemption nous est rapporté par les divers moments de la Passion : l'agonie au jardin des Oliviers, la flagellation, le couronnement d'épines, le por­tement de la croix, le crucifiement.

    Le mystère de la vie éternelle nous est redit par la ré­surrection, l'ascension, la pentecôte, l'assomption de Marie et son couronnement au ciel.

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  • C’est la rentrée au Séminaire de la Communauté Saint-Martin !

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    Photo des séminaristes de 1e année de la Communauté Saint-Martin, devant leur futur séminaire d’Evron (Mayenne).

    evron.jpg

    Voilà qui devrait faire réfléchir certains pasteurs diocésains dont les séminaires sont durablement vacants. Rendons grâce au Seigneur d’avoir permis à Mgr Guérin de fonder - malgré l'opposition de l'épiscopat français de l'époque - une telle Communauté qui s’applique à recevoir les enseignements de l’Eglise et à les mettre en œuvre.

    Ici: 27/9/2013 

    La Communauté Saint-Martin forme des prêtres pour subvenir aux besoins des diocèses des pays où la pénurie de vocations se fait durablement sentir. Suivez notre regard…

    JPSC

  • Prière à Saint Michel Archange (29 septembre)

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    nuit_0023b-thumb.jpgPrière à Saint Michel Archange


    Saint Michel Archange, défendez-nous dans les combats
    Soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
    Que Dieu lui commande, nous L'en supplions, 
    et vous, prince de la milice céleste, 
    par le pouvoir qui vous a été confié, 
    précipitez au fond des enfers Satan et les autres esprits mauvais
    qui parcourent le monde pour la perte des âmes. 

    Ainsi soit-il.

     

    Prière rédigée par le pape Léon XIII, le 13 octobre 1884.

  • Pape François : sous le regard de la croix

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    imagesCAPAZSCV.jpg« Ne fuyons pas de la Croix quand elle se présentera. C’est l’avertissement lancé par le Pape François lors de la messe qu’il a célébrée ce samedi en la chapelle de la Maison Sainte Marthe. « La Croix, souligne le Pape, nous fait peur même dans le travail d’évangélisation, mais il existe la règle que le disciple n’est pas plus grand que le Maître. La règle qu’il n’y a pas de rédemption sans l’effusion du sang, qu’il n’y a pas d’œuvre apostolique féconde sans la Croix ».

    « Peut-être pensons-nous : « Et à moi, qu’arrivera-t-il ? Comment sera ma Croix ? ». « Nous ne le savons pas. Nous ne savons pas, mais elle arrivera! Nous devons juste demander la grâce de ne pas fuir cette Croix quand elle se présentera. Avec la peur, certes ! C’est certain. Mais suivre le Christ, c’est cela.» Et le Pape de citer l’Evangile : « Ils te porteront là où tu ne veux pas aller ! La promesse de la Croix ».

    Le Pape concluait son homélie par une prière à Marie : « Toute proche de Jésus, sur la Croix, se trouvait sa mère, sa maman. Et peut-être qu’en ce jour où nous la prions, il serait bon de lui demander la grâce non pas de nous éviter la crainte, car cette crainte doit venir, la crainte de la Croix, mais la grâce de ne pas prendre peur et de fuir cette Croix. Marie était là et elle sait comment on doit se tenir près de la Croix. » 

    Ici : Le Pape :"Ne fuyons pas la Croix"

     JPSC

  • De Benoît XVI à François : aucune rupture de fond d'après Rémi Brague

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    Rémi Brague : « Aucune rupture de fond avec Benoît XVI » (source : Liberté Politique)

    Dans Le Monde du 25 septembre, l’académicien Rémi Brague réagit aux interprétations dialectiques des propos du pape François dans l’entretien qu’il a accordé aux revues jésuites : non le pape François ne rompt pas avec ses prédécesseurs, en particulier Benoît XVI et Jean Paul II. Le philosophe revient notamment sur un supposé renversement des priorités dans le dialogue avec le monde : le kérigme avant la morale — une interprétation aussi erronée de la pensée du Pape François que des papes qui l'ont précédé...

    « L'entretien accordé le 19 septembre par le pape François révèle une personne concrète, avec son histoire, sa sensibilité, ses goûts littéraires ou musicaux. On a envie de dire que ce qui nous intéresse n'est pas sa petite personne ou sa grand-mère, mais sa fonction. Certes, mais cet aspect personnel est capital si l'on veut comprendre ce qu'est l'Eglise. Elle n'est ni une multinationale avec un PDG et des stratégies de vente ni un parti avec un numéro un et une ligne à défendre. L'Eglise est personnelle. C'est le démon qui est légion (Marc, 5, 9) et sans visage. L'Eglise se fonde sur le témoignage des apôtres autour de Pierre et sur l'expérience de Paul. Elle trouve son origine dans la résurrection d'une personne datée et localisée, le juif palestinien Jésus de Nazareth.

    Je suis frappé par la présence partout dans l'entretien de ce que le pape Benoît appelait, pour la souhaiter, une "herméneutique de la continuité". Au-delà d'évidentes différences de tempérament et de style, il n'y a aucune rupture de fond entre François et son prédécesseur. Le discours de ce dernier devant l'épiscopat allemand (discours de Fribourg, le 25 septembre 2011) peut se lire comme un programme que François applique avec prudence et méthode.

    Cette continuité concerne deux papes, mais elle est avant tout un trait fondamental du développement humain : "l'homme de culture" doit "être inséré dans le contexte dans lequel il travaille", "il n'y a pas d'identité pleine et entière sans appartenance à un peuple", chaque personne, issue d'une histoire, a un devoir de fécondité. Etant une personne, l'Eglise doit croître comme une personne, qui change dans la continuité de son histoire. François le rappelle avec une phrase de Vincent de Lérins (Ve siècle), qu'il faudrait d'ailleurs citer avec son contexte. La croissance n'a de sens que si elle concerne un seul et même être vivant qui récapitule à chaque étape la totalité de son passé en faisant mémoire et en se projetant vers l'avenir : "La tradition et la mémoire du passé doivent nous aider à avoir le courage d'ouvrir de nouveaux espaces."

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