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  • Il manque 800 000 euros pour financer la visite du Pape François en Belgique

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    Source : cathobel.be

    Ces 20 et 21 septembre, une collecte spéciale sera organisée dans les paroisses du pays. Elle a pour but de récolter les 800 000 euros qui manquent encore pour financer la visite du Pape François en Belgique. Un numéro de compte est aussi communiqué. Voici la lettre "à lire à toutes les célébrations dominicales le week-end des 20 et 21 septembre 2025".

    Frères et sœurs,

    Il y a un an, nous étions à la veille de la visite unique du Pape François dans notre pays et à notre Église. Près de 40 000 personnes ont célébré l'eucharistie avec le Pape ce magnifique dimanche d'automne au Stade Roi Baudouin. Beaucoup ont suivi via la radio, la télévision ou d'autres canaux.

    Beaucoup se souviennent encore régulièrement de ces moments merveilleux. Pas moins de 5500 jeunes ont participé au festival Hope Happening sur le plateau du Heysel ; une expérience unique de foi partagée avec enthousiasme par les jeunes. Nos pasteurs sont venus de tout le pays à la basilique de Koekelberg pour prier avec François et réfléchir à notre vie commune en tant que chrétiens aujourd'hui et demain.

    Les universités catholiques de Louvain et de Louvain-la-Neuve ont également vécu des moments uniques lorsque François est venu personnellement célébrer leur 600ième anniversaire. La réception au château de Laeken et la visite surprise aux sans-abris à Bruxelles ont également été très spéciales.

    Tout comme la rencontre avec les victimes d'abus sexuels qui a laissé une impression profonde chez beaucoup. La grande attention médiatique pour cette visite, tant au niveau national qu'international, a mis en lumière notre communauté ecclésiale belge dans toute sa diversité : une Église en marche, pleine d'espérance.

    L'organisation de cette visite de quatre jours a été une entreprise particulièrement difficile. La partie pastorale a été principalement financée par des dons de fidèles. Près de deux millions d'euros ont ainsi pu être collectés. Ces dons ont permis, entre autres, de louer le Stade Roi Baudouin et de le rendre accessible gratuitement aux participants, de financer l'enregistrement audiovisuel de tous les grands moments de cette visite pour tous les médias belges et internationaux, et d'assurer toute la logistique et la sécurité de tous les participants.

    Aujourd'hui, il reste encore 800 000 euros à trouver. C'est pourquoi nous organisons ce week-end dans toutes les églises de notre pays une collecte spéciale. Nous espérons votre généreux soutien.

    Chers fidèles, l'Église de Belgique veut continuer à bâtir sur la dynamique positive de la visite mémorable que le Pape François nous a rendue l'année dernière. Nous voulons poursuivre notre chemin d'espérance, porté par tant de personnes qui continuent à s'engager pour la Bonne Nouvelle dans un monde qui en a plus que jamais besoin.

    Vous pouvez soutenir via la collecte qui aura lieu tout de suite, mais aussi par un virement. Vous trouverez les informations nécessaires sur le flyer qui se trouve à l'arrière de l'église et que vous pourrez emporter chez vous.

    Merci de tout cœur,

    Les évêques de Belgique

    Vous pouvez encore soutenir cette visite par un don sur le compte spécial ouvert à cette intention : BE60 7350 6617 1970 – Visite du Pape – Centre Interdiocésain, 1040 Bruxelles.

  • L'Église catholique de l'État balte d'Estonie recevra son premier bienheureux samedi

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    De Luke Coppen sur le Pillar :

    Qui est le premier bienheureux d’Estonie ?

    L'archevêque Eduard Profittlich, SJ, deviendra le premier bienheureux de l'État balte le 6 septembre.

    Archevêque Eduard Profittlich, SJ Crédit : Domaine public.

    Le cardinal autrichien Christoph Schönborn présidera au nom du pape Léon XIV la béatification de l'archevêque Eduard Profittlich, SJ, le 6 septembre, sur la place de la Liberté dans la capitale, Tallinn.

    L'évêque de Tallinn, Philippe Jourdan, a décrit l'événement comme « non seulement un moment majeur pour les catholiques estoniens, mais pour la nation tout entière ».

    « Pour la première fois, quelqu’un sera déclaré bienheureux en Estonie après avoir vécu, servi et souffert ici même sur notre terre, au cœur de l’Estonie », a-t-il écrit en août.

    Qui était l'archevêque Profittlich ? Et quel est son héritage ?

    Qui était-il ?

    Eduard Gottlieb Profittlich est né le 11 septembre 1890 dans une famille d'agriculteurs à Birresdorf, un village de Rhénanie, en Prusse. Huitième d'une famille de dix enfants, il fut baptisé le jour de sa naissance.

    Il souhaitait suivre son frère aîné, Peter, dans l'ordre des Jésuites. (Peter mourut en mission au Brésil en 1915, à l'âge de 37 ans.) Mais les parents de Profittlich insistèrent pour qu'Eduard entre au séminaire de Trèves, estimant qu'il serait plus à l'aise financièrement en tant que prêtre séculier. Il quitta le séminaire en 1913, après seulement deux semestres, pour entrer au noviciat jésuite aux Pays-Bas voisins.

    Contraint d'interrompre ses études lorsque la Première Guerre mondiale éclate, il passe les années de guerre à servir comme infirmier et assistant chirurgical dans un hôpital militaire en Belgique.

    Après son ordination sacerdotale en 1922, Profittlich se porta volontaire pour servir dans la mission jésuite russe. Il fut envoyé à Cracovie, en Pologne, pour se préparer à cette mission, où il acquit une excellente maîtrise du polonais.

    Alors qu'il était à Cracovie, les relations entre le Vatican et le nouveau gouvernement communiste russe se sont détériorées, rendant impossible son voyage dans le pays.

    Il fut alors envoyé à Opole, ville alors allemande mais aujourd'hui polonaise, pour y servir comme prédicateur et maître de retraite. Il fut ensuite transféré à Hambourg, où il fut chargé de l'accompagnement pastoral des immigrants polonais.

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  • Le vandalisme dans les églises est-il en hausse en Europe ?

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    De Luke Coppen sur le Pillar :

    Le vandalisme dans les églises est-il en hausse en Europe ?

    4 septembre 2025

    Il ne semble pas y avoir de jour sans qu’un nouveau rapport fasse état d’actes de vandalisme contre des églises en Europe.

    Considérez les incidents récents suivants :

    • Les médias italiens ont rapporté le 24 août que des excréments humains avaient été répandus près de l'entrée de l'église Sant'Antonio al Seggio à Aversa, en Italie.
    • Le 25 août, des vandales ont endommagé des pierres tombales de l'église du Sacré-Cœur de Jésus et de Saint-Cuthbert, à Bedford, en Angleterre, pour la deuxième fois en un mois.
    • Mgr Marc Aillet a demandé aux pasteurs du diocèse français de Bayonne d'organiser, le 27 août, une heure d'adoration réparatrice dans leurs églises suite à une série de vols et de profanations.
    • La tête d'une sculpture d'un apôtre a été volée entre le 29 et le 30 août dans la cathédrale de Trèves, la plus ancienne cathédrale d'Allemagne et un site du patrimoine mondial de l'UNESCO.
    • Le 1er septembre, l'Observatoire espagnol de la liberté religieuse et de la conscience a rapporté que sept églises du pays avaient été victimes d'actes de vandalisme ou de profanation au cours du mois précédent, dans ce qu'il a qualifié de « mois d'août noir » pour l'Église catholique.

    Que penser de ces rapports ? Bien qu'ils soient tous frappants, s'agit-il d'incidents isolés ou reflètent-ils une tendance croissante ?

    Et si le vandalisme des églises en Europe augmente, quelles en sont les raisons possibles ?

    Le tableau d'ensemble

    La question de savoir si le vandalisme des églises est en hausse en Europe est simple. Mais il n'est pas facile d'y répondre.

    L'Europe se compose, selon la méthode de comptage, d'une cinquantaine de pays de tailles et de niveaux de développement économique variés. Si certains pays suivent méticuleusement les incidents, d'autres les enregistrent à peine.

    Le vandalisme semble être une forme de comportement humain profondément ancrée, observée presque partout et à toute époque. Compte tenu des dizaines de milliers d'églises en Europe, les signalements réguliers de vandalisme ne sont guère surprenants.

    Mais nous ne sommes pas totalement dépourvus de données. L' Observatoire sur l'intolérance et la discrimination envers les chrétiens en Europe , basé à Vienne, est l'un des organismes les plus fiables pour recueillir des rapports sur les actes de vandalisme commis dans les églises. Il a débuté ses travaux de surveillance en 2005. Ses rapports annuels sont devenus l'un des moyens les plus fiables de suivre les tendances sur le continent.

    En 2021, plus de 500 crimes haineux antichrétiens ont été enregistrés, dont environ 300 liés au vandalisme.

    En 2022, un total de 748 cas ont été signalés dans 30 pays, dont 516 actes de vandalisme.

    En 2023, l'observatoire a recensé 2 444 crimes haineux antichrétiens dans 35 pays. Le vandalisme a représenté 62 % des incidents (environ 1 500 cas).

    Ces chiffres suggèrent une augmentation rapide du vandalisme dans les églises en Europe.

    L'observatoire n'a pas encore publié ses chiffres pour 2024, mais il devrait le faire en octobre ou novembre. Compte tenu de la forte hausse observée entre 2021 et 2023, une nouvelle hausse en 2024 semblerait confirmer une tendance à la hausse du vandalisme dans les églises à l'échelle du continent.

    Mais il est peu probable que nous disposions un jour d’une image statistique complète de la situation dans toute l’Europe en raison de la difficulté de recueillir des données.

    Le tableau par pays

    La France est l’un des rares pays européens à publier des chiffres annuels sur les actes antireligieux, y compris le vandalisme des églises.

    Le ministère de l'Intérieur du pays a signalé 857 actes antichrétiens en 2021, 923 incidents en 2022 et 854 en 2023.

    Sur les 2023 incidents, 90 % étaient des attaques contre des biens, tels que des églises et des cimetières.

    Il y a un décalage dans la publication des chiffres, donc les chiffres pour 2024 pourraient être disponibles en janvier ou février 2026.

    Selon l'Observatoire du patrimoine religieux, fondé en 2006 pour sauvegarder le patrimoine religieux français, 27 églises ont été endommagées par des incendies en 2023, dont huit ont été considérés comme des actes criminels.

    En 2024, il y a eu 26 incendies d'églises, dont 14 ont été qualifiés de criminels.

    Le gouvernement allemand publie également des statistiques annuelles sur la criminalité, qui incluent les actes de vandalisme contre les églises. Il a recensé 92 crimes contre des églises en 2023 et 111 en 2024, soit une augmentation de 20 %.

    Les chiffres pour 2025 devraient être publiés en mai ou juin 2026.

    Un porte-parole de la conférence épiscopale allemande a déclaré en août 2025 que le vandalisme était devenu plus « brutal » ces dernières années.

    « Les boîtes d'offrandes cassées et les bougies renversées et brisées ont toujours été gênantes, mais depuis 2015 environ, nous sommes confrontés à une dimension intensifiée », a-t-il déclaré.

    Comme exemples de cette intensification, il a cité « les excréments dans les bénitiers et les confessionnaux, les statues décapitées du Christ et des saints ».

    En avril 2025, la Countryside Alliance, une organisation britannique représentant les intérêts ruraux, a signalé que plus de 9 000 crimes avaient été enregistrés dans les églises entre 2022 et 2024.

    Les informations fournies par 34 des 45 forces de police territoriales du Royaume-Uni ont montré qu'il y avait eu 3 396 incidents de dommages criminels, de vandalisme et d'incendie criminel sur un total de 9 648 crimes.

    Compte tenu du taux de réponse modéré, les chiffres totaux sont probablement plus élevés que ceux enregistrés.

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  • Vienne : 41,2 pour cent des élèves des écoles publiques obligatoires sont de confession musulmane

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    De kath.net/news :

    Les musulmans constituent la plus grande communauté religieuse dans les écoles publiques obligatoires de Vienne

    4 août 2025

    C'est ce que montrent les chiffres du Fonds d'intégration autrichien : 41,2 pour cent des élèves des écoles publiques obligatoires sont de confession musulmane et un peu plus d'un tiers sont chrétiens.

    – L'islam est la religion la plus répandue dans les écoles publiques obligatoires de Vienne, la capitale autrichienne. C'est ce que montrent les chiffres du Fonds autrichien d'intégration (ÖIF), rapporte le quotidien Heute .

    Au cours de l'année scolaire 2024/25, 112 600 élèves fréquentaient les écoles publiques obligatoires de Vienne, comprenant des écoles élémentaires, secondaires, spécialisées et polytechniques. Les élèves musulmans constituaient la majorité relative, soit 41,2 %. 34,5 % appartenaient à une confession chrétienne. Parmi eux, 17,5 % étaient catholiques romains, 14,5 % orthodoxes et 1,7 % protestants. 23 % des élèves de ces écoles n'appartenaient à aucune confession religieuse.

    Dans les collèges et les écoles polytechniques, la proportion d'élèves musulmans est d'environ 49 %. La proportion d'élèves chrétiens se situe entre 31 et 33 %. Les élèves non confessionnels représentent entre 13 et 16 %. Dans les écoles primaires, 37,7 % sont musulmans, 32,1 % sont chrétiens et 26,2 % sont non confessionnels.

    Les chiffres concernant les écoles privées ainsi que les lycées publics et les écoles professionnelles supérieures ne sont pas inclus.

    Sur les quelque 518 400 jeunes issus de l'immigration vivant en Autriche, un tiers sont nés à l'étranger. Deux tiers sont déjà nés en Autriche et ont des parents nés à l'étranger. Le groupe le plus important de jeunes nés à l'étranger est celui des Syriens (28 503), suivis des Ukrainiens (24 995). Les Allemands (21 655) arrivent en troisième position, suivis des Roumains (13 644) et des Hongrois (9 924).

    Dès l'année scolaire 2023/24, 26 % des élèves autrichiens ne parlaient pas l'allemand au quotidien. Vienne affiche la proportion la plus élevée, avec 49 %. Les Länder du Vorarlberg (25 %) et de Salzbourg (21 %) suivent de loin. À l'école primaire, cette proportion est supérieure à la moyenne, avec 32,8 %.

  • Mère Teresa : une vie qui nous parle

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    calcutta-mere-theresa-3c.jpg« Durant plus de 40 ans, la vie de Mère Teresa a été consacrée aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants. Cela commença avec l’ouverture du ’mouroir’ de Calcutta pour assurer une fin digne à ceux qui, leur vie durant, avaient vécu "comme des bêtes". En 1996, la congrégation des Missionnaires de la Charité comptait 517 missions dans plus d’une centaine de pays. Il y a actuellement près de 4 000 sœurs Missionnaires de la Charité.

    « Pendant 50 ans la vie de Mère Teresa de Calcutta a été marquée par la grande épreuve spirituelle de la nuit de la foi. Elle était assaillie par le doute concernant l’existence de Dieu. Ces années de nuit intérieure constituent un trait important de sa figure spirituelle. C’était un supplice secrètement enfoui en elle et dissimulé derrière un visage paisible qu’elle avait en public. Personne ne savait qu’elle était aussi tourmentée. Cette épreuve de la nuit de la foi apparaît avec une précision jusque-là inédite avec la publication en 2007 d’un ouvrage compilant 40 lettres rédigées au cours des soixante dernières années de sa vie et qu’elle voulait voir détruites pour certaines.

    « Il y a eu un miracle de Mère Teresa de Calcutta peu après sa mort. Le 5 septembre 1998, lors du premier anniversaire de sa mort, on posa une médaille de la Vierge, que la mère avait portée, sur le ventre d’une indienne qui était atteinte d’un cancer incurable de l’estomac. Le lendemain, à la stupeur des médecins, la tumeur avait disparu ". Le miracle a été reconnu par l’Église.

    « Monseigneur Henri de Souza, archevêque de Calcutta est à l’origine de la demande de canonisation de Mère Teresa. Le processus de béatification de Mère Teresa de Calcutta a été particulièrement rapide : il a débuté en 1999, seulement deux ans après sa mort en 1997, grâce à une dérogation du pape permettant d’écourter le délai habituel de cinq ans. Celle-ci a bénéficié d’un traitement de faveur de la part de Jean-Paul II fervent admirateur. Ses lettres, qui révèlent ses doutes, étaient connues au moment du procès de béatification de Mère Teresa. Elles ont été prises en compte pour la béatification de Mère Teresa de Calcutta (2003).

    (quatre extraits de l’article « Vie et béatification de Mère Teresa de Calcutta » publié sur le site « cybercuré »)

    Un second miracle, la guérison en 2008 d’un Brésilien souffrant d’une tumeur au cerveau, a ouvert la voie à la canonisation qui sera proclamée ce dimanche 4 septembre 2016 par le pape sur la place Saint-Pierre à Rome.   

    La date de la fête de Mère Teresa est le 5 septembre qui est, selon l'expression chrétienne, son "dies natalis" c'est à dire la date de sa mort. Les Missionnaires de la Charité ont choisi la fête du 5 septembre, comme jour de jeûne et de prière en solidarité avec les chrétiens victimes de la violence en Orissa état de l’Inde orientale.

    JPSC

  • Sainte Mère Teresa de Calcutta (5 septembre)

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    Sainte Mère Teresa de Calcutta (source)

    Vie de Sainte Mère Teresa de Calcutta (1910 - 1997)

    1. Biographie de Mère Teresa - Enfance et adolescence au Kosovo

    Agnès Gonxha Bojaxhiu est née d’une famille d’origine albanaise le 26 août 1910 à Skopje, une ville située aux croisements de l’histoire des Balkans. À l’âge de douze ans, Agnès commence à ressentir l’appel de se consacrer à Dieu. La vie de Mère Teresa comporte alors deux périodes bien distinctes : sa vie dans l’institut de Sœurs de Lorette et sa vie dans l’ordre des Missionnaires de la Charité.

    2. Biographie de Mère Teresa - Religieuse à l’Institut des Sœurs de Lorette

    En 1928, à l’âge de dix-huit ans, elle entre à l’Institut des Sœurs de Lorette, en Irlande. En 1929 elle est envoyée à Calcutta. En 1931, après deux années de noviciat, elle fait sa première profession de foi et prend le nom de Teresa. Elle enseigne la géographie à l’école Sainte-Marie à Calcutta où elle est nommée directrice en 1944. Elle reçoit l’appel de consacrer sa vie aux pauvres des bidonvilles. En 1946 avec le soutien de l’archevêque de Calcutta, elle obtient du pape Pie XII la permission de quitter l’ordre des Sœurs de Lorette.

    3. Biographie de Mère Teresa - Fondation des Missionnaires de la Charité

    En 1948, la vie de Mère Teresa de Calcutta se transforme. C’est un tournant dans la biographie de Mère Teresa. Elle s’installe dans un bidonville (à Taltola) avec quelques autres religieuses qui l’ont suivie. Elle crée la fondation des Missionnaires de la charité, établie officiellement dans le diocèse de Calcutta en 1950. Les Missionnaires de la Charité sont des religieuses.

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