Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 1358

  • Le formatage des maîtres pour enseigner le gender se met en place

    IMPRIMER

    unnamed.png

    dans la dernière livraison de "Prof", "le magazine des professionnels de l'enseignement"

  • Professionalisme, esprit de service, sainteté : les qualités requises pour travailler à la Curie romaine

    IMPRIMER

    Source : Zenit.org « Je ressens le besoin, en mon premier Noël d’Évêque de Rome, de vous dire un grand «merci» », a déclaré le pape François dans son premier discours pour l’échange des vœux de Noël avec la curie. Il a aussi invité à une forme d’« objection de conscience » utile dans cette communauté de travail:  l’ « objection de conscience aux bavardages ».

    Le pape François, on s’y attendait, innove un nouveau style : pas de bilan, pas de passage en revue de l’année. Il a consacré son allocution à la figure idéale du collaborateur de la curie en prenant comme modèle saint Joseph. Un discours de pasteur à ceux qui lui sont confiés en tant « qu’évêque de Rome ».Chaque année, ce discours est très attendu, il fait habituellement le bilan de l’activité de l’Eglise et du pape pendant l’année écoulée et il ouvre des perspectives d’avenir. Il fait pendant avec le discours de janvier au Corps diplomatique, radiographie de l’Eglise et de la situation du monde. Déjà le pape Benoît XVI avait innové, livrant un discours sur l’interprétation de Vatican II (2005) ou un bilan de ses voyages de l’année, dont par exemple la JMJ de Sydney (2008).

    Au moment où le pape opère un discernement pour fuseler davantage les organismes romains au service de la nouvelle évangélisation, il a en quelque sorte brossé le portrait-robot du collaborateur idéal qui réunit « la professionnalisme et le service » et « la sainteté de la vie ».

    Le pape a déclaré « qu’il y a eu et qu’il y a des saints » à la curie, et qu’il l’a déjà « dit publiquement ».

    Discours du pape François à la curie romaine

    Messieurs les Cardinaux,

    Chers frères dans l’Épiscopat et dans le Sacerdoce,

    Chers frères et sœurs,

    Je remercie de tout cœur le Cardinal Doyen de ses paroles. Merci !

    Le Seigneur nous a accordé de parcourir une fois encore le chemin de l’Avent, et nous sommes arrivés rapidement aux derniers jours qui précèdent Noël, jours riches d’un climat spirituel unique, fait de sentiments, de souvenirs, de signes liturgiques et non liturgiques, comme la crèche… Dans ce climat se déroule aussi la traditionnelle rencontre avec vous, Supérieurs et Membres de la Curie romaine, qui collaborez quotidiennement au service de l’Église. Je vous salue tous cordialement. Et permettez-moi de saluer de façon particulière Monseigneur Pietro Parolin, qui a commencé depuis peu son service de Secrétaire d’État, et qui a besoin de nos prières !

    Lire la suite

  • Le Père général des jésuites commente la canonisation de Maître Favre

    IMPRIMER

    favre.jpg(Zenit.org) La canonisation de Pierre Favre, un des premiers compagnons d'Ignace de Loyola, par le pape François, le jour de son anniversaire, le 17 décembre, met en  lumière ce grand savoyard, au moment où la Compagnie de Jésus fête le bicentenaire de son rétablissement (1814).

     

    Cet apôtre plein de douceur était notamment un maître de prière, continuelle, et un maître de la réconciliation, et un "mystique de l'itinérance".

    A cette occasion, le père général des jésuites, Adolfo Nicolas, adresse à toute la Compagnie de Jésus un message dans lequel il pose la question de l'actualité de Pierre Favre: "Que nous enseigne encore « Maître Favre », presque 470 ans après sa mort, avec sapédagogie à voix basse qui était si bien sa manière ? Et que pouvons-nous apprendre « si nous nous livrons au Christ et si nous le laissons occuper le centre de notre cœur » (cf. Mémorial 68) ?" Et il répond à la question.

    A toute la Compagnie

    CANONISATION DE PIERRE FAVRE S.J.

    Chers frères et amis dans le Seigneur,

    Avec une joie profonde je m'adresse à toute la Compagnie le jour où le Pape François proclame « saint » Pierre Favre, « le compagnon silencieux » de la première génération de jésuites. En cette date qui se trouve être aussi l'anniversaire du Saint Père, celui-ci a voulu faire à l'Eglise universelle un cadeau qui est pour lui hautement significatif et précieux.

    La canonisation de Pierre Favre coïncide avec un autre grand événement de notre chemin, oukairos, jésuite : le bicentenaire du rétablissement de la Compagnie en 1814. Sans aucun doute, nous pouvons trouver en notre cher compagnon savoyard stimulation et énergie pour une restauration dynamique, personnelle et collective, de notre vie de jésuites, jamais achevée, toujours en pèlerinage. La foi transparente et spontanée, presque celle d'un enfant, qui animait Favre, doit nous aider à demeurer  « compagnons en Sa Compagnie », pleins de foi, selon la manière ignatienne, en « Celui qui est et qui fait tout en tous, Celui par qui tous les êtres ont l'existence et le mouvement, et Celui en qui tous les êtres subsistent » (Mémorial 245).

    Lire la suite

  • Sur Euthanasie Stop (21.12.2013)

    IMPRIMER

    AUJOURD'HUI SUR EUTHANASIE STOP - 21/12/2013

    Suite du parcours de Lucie.

    Publié par Rachel DORCHAIN (Mère au foyer)

    Lucie a toujours voulu vivre. Tous les ans, elle était hospitalisée pour une ou deux broncho-pneumonies. En 2003, son état se dégrade, grave pneumonie, on lui place une trachéotomie, elle reste 5 jours entre la vie et la mort, elle reprend doucement, et elle rentre à la maison. Après cet épisode, nous savions que la vie de Lucie était en sursis. Nous avons continué la vie normale, les vacances, l'école... Elle s'est toujours battu pour vivre. En sachant qu'elle ne parlait pas, ne mangeait pas (...

    Lire « Suite du parcours de Lucie. »


    Qui cette loi libèrera-t-elle ?

    Publié par André du BUS (Sénateur)

    Extrait de l'intervention au Sénat ce 12 décembre: (...) faisons-nous ici oeuvre utile ? Pour tenter d'y répondre, je reprendrai une expression fréquemment utilisée dans les travées d'un parlement, celle suivant laquelle « La loi libère ». La loi libère le plus faible de l'oppresseur. Ou d'une situation, d'un contexte opprimant. Elle fixe un cadre dans lequel viennent se déployer de nouveaux possibles. C'est là l'utilité de la loi. Appliquons ces questions à la portée de la loi que nous allo...

    Lire « Qui cette loi libèrera-t-elle ? »

    Comment espérer le respect de la loi tant que les médecins sont à la fois juge et partie ?

    Publié par Pierre VAN de PUTTE (Cadre)

    Il est question d'élargir les critères légaux permettant l'euthanasie (encore interdite sauf dans certains cas), mais cela me semble inutile : - le cadre actuel est déjà très large et librement interprété ; - la loi actuelle n'est pas respectée - les écarts pourtant connus ne sont pas poursuivis en justice. En effet : comment se fait-il qu'aucune des 5537 euthanasies déclarées depuis l'instauration de la loi n'ait entraîné de poursuite judiciaires ? Comment espérer le respect de la loi tant...

    Lire « Comment espérer le respect de la loi tant que les médecins sont à la fois juge et partie ?"

    Découvrez nos autres articles en Néerlandais :Marc VERMEULEN

    Ik stel mij daar toch enkele vragen bij...

    Publié par Marc VERMEULEN (Bediende, Brugge)

    Demente personen. Wat is de huidige definitie van dementie? Hoe zal die definitie evolueren? Misschien is morgen iemand die niet akkoord gaat met dit of dat wetsvoorstel al dement? Wie zal er beslissen dat iemand dement is? Is het de familie samen met de arts of de familie of arts alleen? Zal men zeker kunnen zijn dat die arts volledig onafhankelijk is? Heeft de familie er belangen om een ander familielid dement te laten verklaren? Euthanasie voor minderjarigen Misschien is het nu pas vanaf...

    Lire « Ik stel mij daar toch enkele vragen bij..."

  • Mgr Léonard invité de La Libre ce samedi : une interview sans surprises

    IMPRIMER

    On pourra lire, sur La Libre, l'interview accordée par Mgr Léonard qui est l'invité de ce journal aujourd'hui. Une interview qui n'apporte guère d'éléments neufs mais qui confirme les positions bien connues d'un archevêque qui serait devenu plus prudent et qui coifferait volontiers le chapeau cardinalice :

    "La liberté individuelle est capitale, mais elle a aussi ses limites."

    A quelques jours de Noël, le Primat de Belgique évoque pour LaLibre.be et "La Libre" l’élargissement de la dépénalisation de l’euthanasie aux mineurs, le pouvoir d’influence politique de l’Église, sa stratégie de communication, la persécution de chrétiens dans le monde, ainsi que les grands événements de l’année écoulée et ses espoirs pour 2014.


    Comment se porte l’Église catholique belge en cette fin 2013 ?

     Mieux qu’en 2010-2012... Nous avons finalement bien réagi à la manière de répondre aux scandales d’abus sexuels qui ont secoué l’Eglise par le passé. Il a fallu un peu de temps pour mettre en place une bonne procédure qui permette d’écouter, respecter et honorer les victimes, en particulier celles de faits prescrits. Puis l’Église belge a été marquée par le changement touchant de pontificat.

    Lire la suite sur La Libre

  • Le pape François est-il un ange ?

    IMPRIMER

    new-yorker-pape-francois.jpgMoins d'une semaine après Time, c'est au tour d'un autre hebdomadaire américain mythique, le New Yorker, de mettre le pape François (qui fête ses 77 ans ce mardi 17 décembre) à la Une.

    Lu sur le site de « La Vie »

    « Un ange de neige. C'est avec cette figure que les enfants s'amusent à dessiner dans le manteau blanc de l'hiver que le New Yorker a choisi de représenter le pape François à l'occasion de son numéro de Noël. Le prestigieux magazine, qui publie aussi bien des reportages que des bandes dessinées et de la fiction, particulièrement réputé pour ses Unes illustrées, a donc choisi de représenter la joie et la simplicité du nouveau pape dans un dessin aussi décalé que poétique. Une belle réussite.

    La Une est accompagnée d'un long article (en anglais), intitulé « Qui suis-je pournew-yorker-benoit-xvi.jpg juger ? », qui dresse le bilan de « la première année d'un pape radical ».

    Pour mémoire, le New Yorker s'était déjà illustré au début du mois de mars dernier en représentant un autre pape, Benoît XVI, juste après sa renonciation, profitant de ses « vacances » sur une plage au soleil...

    Référence: Le pape François est un ange de neige à la Une du New Yorker

    Ici : Le pape François est un ange de neige à la Une du New Yorker François, homme de l’année (médiatique)… l’ange pur et radieux contre l’ange déchu ? la presse manipulatrice s’en donne à cœur joie..JPSC

  • Espagne : le gouvernement approuve un projet de loi restreignant l'accès à l'avortement

    IMPRIMER

    Lu ICI

    Le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy a approuvé ce vendredi le projet de loi qui restreint l’accès à l'avortement.

    « Un retour en arrière de trente ans ». En Espagne, la gauche et les associations féministes ne décolèrent pas. Le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy a adopté vendredi un projet de loi visant à limiter l’accès à l'avortement. Avant son accession au pouvoir, en novembre 2011, le dirigeant espagnol avait promis de revenir sur la légalisation votée par le gouvernement socialiste de José Luis Rodríguez Zapatero en 2010.

    L’avortement reste un sujet très sensible en Espagne. Jusqu'en 1985, l'avortement était purement et simplement interdit. Puis, la loi a ouvert trois exceptions, en cas de viol, de malformation du fœtus et de danger pour la santé physique ou psychologique de la mère. Dans les faits, toutefois, des IVG ont été pratiquées assez largement, en invoquant le « risque psychologique pour la mère ».

    Le gouvernement de droite revient donc, dans les grandes lignes, à la législation de 1985. Cette future loi fixe deux conditions pour autoriser l'avortement : « la première, que celui-ci soit nécessaire en raison d'un grave danger pour la vie ou la santé physique ou psychologique de la femme, et la deuxième, que la grossesse soit une conséquence d'un délit contre la liberté ou l'intégrité sexuelle de la femme », a expliqué le ministre de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardón, à l'issue du Conseil des ministres.

    La loi n'établira pas un délit pénal

    Les mineures devront cependant obtenir une autorisation (depuis 2010, elles pouvaient avorter avec l’accord du médecin, sans consulter leurs parents). Il a enfin précisé qu’aucune femme n’irait en prison si elle avortait, comme c’était le cas avant 1985. « La loi voulue par le Parti populaire n'établira jamais un délit pénal contre la femme, qui est en fait une victime de l'avortement », a rappelé le ministre de la Justice.

    Source : http://madame.lefigaro.fr/societe/lespagne-limite-droit-lavortement-201213-636152

  • Ces chrétiens confrontés à l'Islam

    IMPRIMER

    Lu ICI :

    Ces chrétiens face à l'Islam

    Par Jean Sevillia, Jean-Marie Guénois

    Alors que la cohabitation entre chrétiens et musulmans, en Afrique, au Moyen-Orient et jusque dans les Balkans, se fait de plus en plus difficile, des hommes ou des femmes d'Église, la foi chevillée au corps, continuent leur mission.

    Enlevé dans sa paroisse du nord du Cameroun, le 13 novembre, par les djihadistes du groupe Boko Haram, le père Georges Vandenbeusch, un prêtre français, aujourd'hui détenu dans le nord du Nigeria, se trouve pris en otage dans un combat qui n'est pas le sien. Tout comme les douze religieuses grecques orthodoxes capturées par les rebelles syriens, le 2 décembre, dans leur couvent de Maaloula. Noël, fête de la joie, peut avoir pour certains un goût de larmes:de par le monde, 200 millions de fidèles du Christ ne sont pas entièrement libres de manifester leur foi.

    Ce rejet, parfois violent, voire mortel, revêt souvent la forme banalisée d'un ostracisme ordinaire. Mais ce visage insidieux de l'intolérance tue, lui aussi, à petit feu, comme le montre la saignée dont sont victimes les chrétiens de Terre Sainte. Jean-Paul II et Benoît XVI ont souvent exprimé leur préoccupation à ce sujet. A son tour, le pape François ne cesse d'alerter sur la menace qui plane sur le berceau historique du christianisme. Lundi dernier, sur son compte Twitter, le souverain pontife lançait le message suivant:«Ne nous résignons pas à penser à un Moyen-Orient sans les chrétiens. Prions chaque jour pour la paix!»

    Lire la suite sur le Figaro Magazine

  • La haine

    IMPRIMER

    Ce matin, une nouvelle agression antichrétienne s'est produite à Paris, dans l'église de la Madeleine, relayant celle qui a eu lieu la veille à Rome, sur la place Saint-Pierre. Les slogans : "Noël est annulé", "Jésus est avorté". Ces actes n'auraient sans doute aucun retentissement s'ils ne bénéficiaient pas d'une amplification complaisante de la part des agences de presse promptes à les relayer. Hier, à Rome, la militante féministe a été neutralisée et emmenée avant que personne n'ait compris de quoi il s'agissait et ce n'est que grâce à la caisse d'amplification médiatique que l'évènement a été "créé". Aujourd'hui, à Paris, cette provocation-profanation serait sans doute passée également inaperçue si les médias n'étaient pas là pour en assurer la publicité. Toute la stratégie des femen est d'ailleurs basée là-dessus. En plus de la complaisance des relais médiatiques, il faut signaler l'indulgence des pouvoirs publics bien plus efficaces pour arrêter quelques "veilleurs" que pour assurer le respect des lieux de culte.Sans titre.png

  • France : l'Ordre national des infirmiers refuse toute légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté

    IMPRIMER

    L'Ordre national des infirmiers refuse toute légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté

    Communiqué de presse de l'Ordre national des infirmiers (ONI) - Jeudi 19 décembre 2013

    Dans un rapport publié ce jeudi, le conseil national de l’Ordre des infirmiers émet 10 propositions sur la prise en charge de la fin de vie et appelle à « faire de la prise en charge de la douleur une cause nationale de santé publique »

    Le conseil national des l’Ordre des infirmiers dévoile aujourd’hui ses 10 propositions pour l’évolution et l’amélioration de la prise en charge de la fin de vie et l’évolution du rôle des infirmiers. Si l’Ordre affirme clairement son opposition à toute légalisation de l’euthanasie et/ou du suicide assisté, il se prononce en faveur d’une vraie prise en compte des problématiques sociétales actuelles et propose notamment une formation obligatoire sur le thème de la fin de vie pour les médecins et infirmiers, ainsi qu’une optimisation des compétences infirmières.

    Les membres du Conseil national de l’Ordre des infirmiers proposent 10 pistes concrètes pour une évolution de la loi et de la prise en charge sanitaire de la fin de vie :

    - Se donner le temps d’un grand débat décliné régionalement

    - Faire connaître les textes à tous les professionnels de santé

    - Rendre obligatoire une formation des médecins et des infirmiers sur le thème de la fin de vie

    - Faire de la prise en charge de la douleur une grande cause nationale de santé publique

    - Rendre obligatoire la présence d’un infirmier de nuit dans les EHPAD

    - Rendre opposables les directives anticipées et garantir la clause de conscience y compris de l’infirmière

    - Renforcer le caractère légal de l’approche pluri-professionnelle

    - Prendre en compte les compétences infirmières et reconnaître l’infirmier comme pivot des soins apportés au patient en fin de vie

    - Envisager la sédation terminale à la demande des personnes en garantissant la clause de conscience de l’infirmier

    - Refuser toute légalisation de l’euthanasie et/ou du suicide assisté tant il est dangereux, inopportun et foncièrement contraire à la déontologie d’organiser l’aide au suicide.

    La profession infirmière a le devoir de répondre aux légitimes attentes des Français et entend s’impliquer dans le débat mais surtout prendre pleinement sa part des indispensables réformes à mettre en œuvre, explique Didier Borniche, récemment réélu président de l’Ordre national des infirmiers. Légaliser l’euthanasie n’est pas, et ne doit pas être, la réponse aux questions des Français. Ce sont les évolutions de la prise en charge et de l’accompagnement médical et social qui permettront d’offrir à chacun une fin de vie digne et sereine dans tous les cas où cela sera possible.

    La déontologie infirmière au cœur des réflexions

    Le rapport du Conseil national insiste sur l’attachement de la profession aux règles déontologiques de l’infirmier. Il rappelle notamment que les soins infirmiers ont pour but le respect de la vie et que le code de la santé publique précise « L’infirmier ou l’infirmière exerce sa profession dans le respect de la vie et de la personne humaine. » (article R4312-2).

    Cet attachement à la déontologie de leur profession est clairement mis en avant dans les réponses des infirmiers à l’enquête à laquelle nous leur avons proposé de participer. Ainsi, c’est pour la profession le devoir de continuité des soins qui prime sur toute considération extérieure. Nos propositions, d’amélioration de la prise en charge de la douleur notamment, visent à conjuguer déontologie professionnelle et aspirations citoyennes.

  • Le rapport Estrela rejeté suite à une erreur de traduction ?

    IMPRIMER

    C'est ce qui s'écrit, notamment sur lepoint.fr. L'explication paraît assez confuse mais les perdants attribuent leur échec à des erreurs de traduction. Le résultat du vote a été sanctionné par le président de l'assemblée et ne devrait pas, à ce titre, être remis en question. Cependant, on voit déjà tout un lobbying s'organiser pour tenter de ramener le projet Estrela au parlement européen. Il faudra donc rester vigilant et ne pas se reposer sur une victoire qui pourrait être remise en question demain.

    Il faut bien constater que les partisans de l'avortement ne lâchent rien et luttent sur tous les fronts pour en faire "un droit comme un autre" qui serait étendu à toute la Communauté Européenne. Et on ne recule devant rien comme cette femen hurlant aujourd'hui, dénudée sur la place Saint-Pierre, que "Noël est annulé" et que "Jésus est avorté".

  • Le cardinal Ouellet s'exprime sur l'année écoulée au Vatican

    IMPRIMER

    Le cardinal Marc Ouellet sur l'année écoulée au Vatican


    (Radio Vatican - Hélène Destombes) Entretien - L’Eglise est vivante, elle est capable non seulement de se renouveler mais également de surprendre. Elle l’a prouvé en cette année 2013 où le évènements marquants et inattendus n’ont pas manqué. Il y a tout d'abord eu la renonciation du Pape Benoît XVI, le 11 février, un évènement historique et déterminant. Puis l’élection de son successeur. 

    Défiant tous les pronostics, c’est le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio qui, le 13 mars, est apparu à la loggia de la basilique Saint-Pierre. Un pape venu « du bout du monde » qui, là aussi fait inédit, a choisi le nom de François.

    Le cardinal Marc Ouellet, l’un des très proches collaborateurs de Benoît XVI, et qui vient d’être confirmé par le Pape François au poste de préfet de la Congrégation pour les évêques, nous livre sa vision de l’année écoulée et nous confie quelques clés de ce nouveau pontificat.

    Quel a été le principal événement de cette année écoulée ? 
    La démission du Pape Benoît XVI a ouvert de grandes possibilités. C’est pourquoi je retiendrai que le grand évènement, c’est la démission du Pape, un geste vraiment nouveau. C’est la plus grande nouveauté dans l’histoire de l’Église qui témoigne d’une grande humilité et aussi d’une confiance en l’Esprit Saint pour la suite des choses. On doit être très reconnaissant au Pape Benoît XVI d’avoir ouvert cet horizon et d’avoir rendu possible toute la nouveauté du Pape François. 

    Je crois qu’il y a une continuité entre la première nouveauté et toutes celles que le Pape François a inaugurées. Quand je regarde l’année 2013, je vois que nous sommes vraiment en présence d’un grand tournant dans l’histoire de l’Église que je qualifierais de pastoral en regardant la figure du Pape François. 

    Lire la suite