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Eglise - Page 1317

  • Vietnam : la prison ferme pour deux chrétiens

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    Vietnam : prison ferme pour deux chrétiens (source)

    Malgré la mobilisation de centaines de chrétiens descendus dans la rue, Nguyen Van Hai et Ngo Van Khoi ont été condamnés à 6 et 7 mois de prison ferme.

    Nguyen Van Hai et Ngo Van Khoi sont enfin fixés sur leur sort. Le 23 octobre, au cours d’un procès auquel leur famille n’a pas eu le droit d’assister, ils ont été condamnés respectivement à six et sept mois de prison pour "trouble de l’ordre public".

    Les deux hommes avaient été arrêtés en juin 2013 suite à un contrôle de leurs papiers alors qu’ils assistaient à la messe dans la ville de Ngi Phuong, au sud d’Hanoi.

    Au moment de leur arrestation, les autorités avaient promis de les relâcher au plus tard le 4 septembre. Ne voyant rien venir, des centaines de personnes étaient descendues pacifiquement dans les rues ce même jour, afin de réclamer justice, mais cette manifestation avait été très durement réprimée par la police. 40 personnes avaient été blessées et 15 autres arrêtées.

    Une législation qui se durcit

    Ces condamnations s’inscrivent dans un contexte de durcissement de la loi à l‘égard des religions et particulièrement du christianisme. Un nouveau décret, le ND-92, entré en vigueur le 1er janvier 2013 sous prétexte de clarifier les choses vise en fait à contrôler encore plus étroitement l’expansion des religions et notamment du christianisme. (Portes Ouvertes)

  • A propos du programme de religion catholique

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    On déplore souvent la médiocrité du cours de religion. Cette video présentée par Arnaud Dumouch devrait permettre d'aller au-delà des clichés habituels : 

    Publiée le 2 sept. 2013

    Le nouveau programme de religion catholique a été institué en 2003. Il est centré sur l'usage de la pédagogie par compétences. Son histoire, ses forces et ses faiblesses. L'abbé Henri Ganty est le vicaire épiscopal du Diocèse de Namur en Belgique, chargé du cours de religion catholique. Il est en outre musicien Son site : http://www.henryganty.net/

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  • Le pape : combien de followers ?

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    Lu sur le Journal de Saône-et-Loire

    compte-du-pape-sur-twitter.jpg

    De plus en plus de followers pour le pape François

    On savait que le Vatican était entré dans l'ère moderne, le compte twitter du pape est autant suivi que celui de Christiano Ronaldo

    Fin Octobre, le compte du Pape dépasse les dix millions de followers ce qui fait de cette personalité la plus suivie des trente tendances de Tweeter.

    Ouvert le 12 décembre par le pape Benoît XVI, avec entre autres son florilège de scandales, il a rapidement grimpé en audience après l'élection du pape d'origine argentine en gagnant plus d'un million cinq cent mille membres. L'espagnol, l'anglais et l'italien sont les langues les plus gazouillées (tweetées). A noter que le latin, langue précursive de l'église, est aussi de la partie.

    Tout cela pour dire que le pape figure en bonne position alors que Tweeter est plutôt axé show business, culture et actualités. Les followers deviendraient-ils plus spirituels ?

  • Les sacrements, force du Christ

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    Les sacrements sont "la force du Christ"
    Catéchèse du Pape du 6 novembre 2013, texte intégral (Zenit.org)
    « Les sacrements ne sont pas des apparences, ce ne sont pas des rites, mais c’est la force du Christ », déclare le pape François ce 6 novembre 2013, lors de l'audience générale place Saint-Pierre.
    Après avoir médité sur la communion des saints la semaine dernière, le pape a centré la catéchèse de de ce mercredi matin sur « la communion aux biens spirituels » que sont « les sacrements, les charismes et la charité ».

    Il a insisté également sur l'évangélisation car « l’engagement apostolique à apporter l’Évangile dans tous les milieux, même les plus hostiles, constitue le fruit le plus authentique d’une vie sacramentelle assidue ».

    Les charismes, a aussi expliqué le pape, « sont les cadeaux que donne l’Esprit-Saint », faits « non pas pour être cachés mais pour servir aux autres... pour être utiles au peuple de Dieu ». En résumé, ils sont « des grâces particulières, données à certains pour faire du bien à beaucoup d’autres ».

    Catéchèse du pape François

    Chers frères et sœurs, bonjour !

    Mercredi dernier, j’ai parlé de la communion des saints, comprise comme communion entre les personnes saintes, c’est-à-dire entre nous, croyants. Aujourd’hui, je voudrais approfondir l’autre aspect de cette réalité ; vous vous souvenez qu’il y avait deux aspects : la communion, l’unité entre nous, et l’autre aspect, la communion aux choses saintes, aux biens spirituels. Ces deux aspects sont étroitement liés, en effet, car la communion entre les chrétiens grandit par la participation aux biens spirituels. Considérons plus particulièrement les sacrements, les charismes et la charité (cf. Catéchisme de l’Église catholique, n. 949-953). Nous grandissons dans l’unité, dans la communion, par les sacrements, par les charismes que chacun a reçus de l’Esprit-Saint et par la charité.

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  • Discrimination anti-chrétienne ?

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    s65_puppinck.gregor.jpgDans un article publié par le mensuel « La Nef » de ce mois de novembre (n° 253), Grégor Puppinck, directeur de l'European Centre for law and Justice, observe que la discrimination antichrétienne qui sévit en Europe n’est autre que la violence par laquelle une nouvelle vision de l’homme prétend remplacer l’anthropologie traditionnelle héritée de la civilisation judéo-chrétienne. Extraits :

    « C’est un fait que les chrétiens ont de plus en plus de difficultés à vivre dans la société occidentale. Tout d’abord, il y a un climat d’hostilité surnaturelle croissante envers le christianisme : il semble que le mal s’enracine dans la société. L’ésotérisme et la violence sont devenus omniprésents dans les médias ; l’avortement, la drogue et la pornographie sont galvaudés ; chaque jour des églises et des cimetières sont profanés ; le blasphème serait devenu une forme d’art dont le grand public devrait se délecter ; des activistes comme les Femens s’attaquent aux symboles de la religion, et les médias manquent rarement une occasion de dévaloriser l’Église. C’est cette hostilité latente envers le christianisme qui explique l’indifférence, voire la complaisance, de notre société face aux profanations de son patrimoine religieux et aux massacres des chrétiens dans le reste du monde.

    Outre ce climat d’hostilité, qui vise à extirper le sentiment chrétien du cœur des personnes, les chrétiens se heurtent de plus en plus à des normes sociales auxquelles ils ne peuvent consentir en conscience. Ces normes portent sur la morale. On observe un phénomène croissant en Europe de limitation des droits des chrétiens, en particulier dans les pays libéraux avancés (…)..

    Prenons l’exemple du Royaume-Uni : depuis l’adoption en 2010 d’une loi sur l’égalité et la non-discrimination, les sanctions et condamnations se multiplient. Ainsi par exemple un couple s’est vu refuser l’agrément pour être famille d’accueil en raison de son jugement sur l’homosexualité, un médecin a dû quitter ses fonctions au sein d’un service social après s’être abstenu de prendre part à la décision de confier des enfants à des couples de même sexe, les agences catholiques d’adoption ont été contraintes de cesser leurs activités en raison de leur refus de confier des enfants à l’adoption à des couples de même sexe, une employée de mairie affectée à l’état civil et un conseiller conjugal ont été licenciés au nom de la non-discrimination, après avoir exprimé leur incapacité, en conscience, à célébrer l’union civile et à conseiller sexuellement un couple d’homosexuels. En janvier 2013, la Cour européenne n’a pas jugé abusifs ces deux licenciements dans un arrêt exemplaire de la tendance liberticide du libéralisme, par laquelle une société fondée sur un consensus d’amoralité devient intolérante envers ceux qui continuent à exercer en conscience un jugement moral sur la conduite humaine (…).

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  • Les responsables religieux de Belgique s'opposent à l'euthanasie des enfants

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    Les chefs religieux en Belgique dénoncent l’euthanasie des enfants

    (source : info.catho.be)

    Ce mercredi 6 novembre 2013, les responsables des principales religions en Belgique ont exprimé leur très grande crainte de voir la mort banalisée par le législateur. Alors que le Sénat discute actuellement de l’euthanasie des enfants, les chefs religieux regrettent que ce débat tourne autour de la condamnation des personnes qui souffrent et non pas autour de leur accompagnement.

    Communiqué des chefs religieux en Belgique au sujet de l’euthanasie

    Alors qu’au Parlement on se penche à nouveau sur un élargissement possible de la loi de 2002 dépénalisant l’euthanasie, nous voulons une fois encore faire entendre notre voix dans ce débat qui concerne toute la société, en tant que citoyens en nous appuyant sur des arguments philosophiques, et en tant que croyants héritiers de nos traditions religieuses respectives.

    Nous marquons notre opposition à ces extensions et exprimons notre vive inquiétude face au risque de banalisation croissante d’une réalité aussi grave.

    Nous aussi, nous sommes contre la souffrance, tant physique que morale, en particulier celle des enfants, car toute souffrance révolte. Mais proposer que des mineurs puissent décider de leur propre euthanasie est une manière de fausser leur faculté de jugement et dès lors leur liberté.

    Proposer que des personnes démentes puissent être euthanasiées est un déni de leur dignité et les livre au jugement, voire à l’arbitraire,  des personnes qui prennent cette décision.

    Quant au corps médical et au personnel soignant, on fait pression sur eux à pratiquer un acte soi-disant médical.

    Au lieu de soutenir la personne souffrante en rassemblant autour d’elle  toutes les personnes  et les forces qui l’entourent, on risque précisément de diviser ces forces et dès lors d’isoler cette personne souffrante, de la culpabiliser et de la condamner à la mort.

    Le consentement prévu par la loi tend à devenir de plus en plus une réalité sans consistance. La liberté de conscience des personnes concernées risque de ne pas être sauvegardée.

    L’euthanasie des personnes fragiles, enfants ou personnes démentes, est une contradiction radicale de leur condition d’êtres humains.

    Nous ne pouvons dès lors entrer dans une logique qui conduit à détruire les fondements de la société.

    Pasteur Steven Fuite, président de l’Église Protestante Unie de Belgique

    Rabbin Albert Guigui,  Grand Rabbin de Bruxelles

    Chanoine Robert Innes, président du Comité Central de l’Église Anglicane en Belgique

    Monseigneur André-Joseph Léonard, président de la Conférence Épiscopale de Belgique

    Monsieur Geert Lorein, président du Synode Fédéral des Églises Protestantes et Évangéliques de Belgique

    Métropolite Panteleimon Kontogiannis, Exarque du Patriarcat Œcuménique de Constantinople (Église Orthodoxe)

    Monsieur Semsettin Ugurlu, président de l’Exécutif des Musulmans de Belgique

  • Syrie : le calvaire des chrétiens de Sadad

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    SYRIE : Mort et destruction dans la ville chrétienne de Sadad (Aide à l'Eglise en Détresse)

    D’horribles détails ressortent des rapports envoyés par les responsables religieux à l’AED sur les atrocités commises dans une ville chrétienne de Sadad, où 1.500 familles ont été prises en otage et 45 personnes ont été tuées.

    Les habitants de Sadad, près de Homs, qui ont fui la ville à majorité syro-orthodoxe quand les rebelles sont passés à l’attaque le mois dernier, sont maintenant rentrés chez eux pour découvrir l’ampleur des atrocités commises au cours de ce qui est considéré comme le pire acte de persécution anti-chrétienne depuis le début de la guerre en Syrie.

    Lire la suite sur le site de l'AED

  • BXL, 14-24 novembre : "Venite adoremus" festival d'adoration eucharistique

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                                                          Adoremus2Qu'est ce qui sauvera le monde?
    "Ma réponse est la prière . 
    Il faut que chaque paroisse se tienne au pied de Jésus dans le Saint-Sacrement dans des heures d'adoration." 

    Bienheureuse Teresa de Calcutta
     
    video-band-announce-festival-2013
     

    ADORATION CONTINUE
    DU 14 AU 24 NOVEMBRE 2013

    11 jours et 11nuits non stop en relais

    dans plus d'une cinquantaine de paroisses et communautés de Malines-Bruxelles

    en préparation à la Fête du Christ Roi

    Plus d’information: www.veniteadoremus.be

    Programme de festival

     

  • Chine : la mort d'un vieux lutteur

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    Mgr Liu Guandong est décédé : une grande figure de l’épiscopat « clandestin » disparaît (EDA)

    La nouvelle remonte à une semaine mais n’a été connue qu’aujourd’hui (5 novembre) par la diffusion d’une dépêche de l’agence Ucanews : le 28 octobre dernier, Mgr Pierre Liu Guandong, évêque émérite et « clandestin » du diocèse de Yixian, dans la province du Hebei, est mort. Décédé à l’âge de 94 ans, celui qui fut le président de la Conférence des évêques catholiques « clandestins » de Chine vivait caché depuis 1997. Dans la plus stricte clandestinité, il a été inhumé le 29 octobre en un lieu tenu secret.

    La vie et le parcours de Mgr Liu Guandong appartiennent à cette partie de l’Eglise catholique en Chine, particulièrement forte dans un certain nombre de diocèses du Hebei - notamment celui de Yixian- qui, avec constance et détermination, a refusé de se soumettre à la politique religieuse du gouvernement communiste et qui le plus souvent, a payé cher ce refus. Selon un prêtre « clandestin » interrogé par Ucanews, Mgr Liu avait joué « un rôle central » lors de l’établissement en 1989, de la Conférence des évêques « clandestins », un acte qui avait « contribué à affirmer la continuité de l’existence en Chine d’une Eglise fidèle au Saint-Siège ».

    Né en 1919 au sein d’une famille catholique de Yixian, le jeune Liu entre au séminaire en 1935. Il ne sera ordonné que dix ans plus tard, le cours de sa formation ayant été perturbé par la guerre qui sévit alors en Chine. Rapidement après la prise du pouvoir des communistes, le P. Liu est confronté aux manœuvres auxquelles se livre le nouveau régime pour mettre en place une « Association patriotique des catholiques chinois ». La résistance des catholiques est vive et le P. Liu est arrêté une première fois en 1955 ; il est emprisonné durant deux ans pour s’être opposé à la mise en place de l’Eglise indépendante de Rome que veut le nouveau pouvoir. Lorsqu’il sort de prison, l’Association patriotique vient d’être mise en place.

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  • "Grâce à la foi, je n'ai jamais pensé à la mort"; le témoignage de Michel Delpech

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    Michel Delpech: "Grâce à la foi, je n'ai jamais pensé à la mort"

    Le chanteur revient sur sa maladie dans une interview accordée à Gala :

    Un jour de février 2013 la vie du chanteur Michel Delpech bascule. Le verdict tombe, cancer de la langue. Entre radiothérapie, traitement lourd, fatigue, l’interprète de Pour un flirt ne baisse pas les bras. C’est en Dieu et dans l’amour des siens qu’il puise force et énergie pour combattre la maladie.

    Pendant presque quarante ans, Michel Delpech mène de front une double vie, «de paillettes et de croyant». Alors qu’il se produit sur toutes les scènes de France, enchaîne les tubes, l’artiste se réfugie dans la lecture des Œuvres spirituelles d’Isaac le Syrien... Un jardin longtemps tenu secret. En 1983, à Jérusalem devant le Saint-Sépulcre, une rencontre va bouleverser sa vie, celle de Jésus. Un moment de grâce, qu’il décrit dans un ouvrage intitulé J’ai osé Dieu (aux Presses de la Renaissance).

    Lorsqu’il apparaît dans l’embrasure de la porte, on remarque ses traits tirés, sa silhouette amaigrie. Le regard est vif et la poignée de main franche. A ses côtés, Geneviève, son épouse. (...) C’est la première interview du chanteur depuis un an. (...) Son élocution est encore légèrement hésitante depuis l’éradication de sa tumeur, mais il n’évite aucune question et répond même parfois avec humour tournant sa maladie en dérision: «Qui vous savez ne m’a pas donné ce cancer de la langue pour rien, dit-il. C’est pour éviter sans doute de dire des conneries.»

    Gala: Ce livre relate votre parcours religieux et l’itinéraire de votre croyance en Dieu. Ne craignez-vous pas de passer pour un «illuminé»?

    Michel Delpech: Bien sûr que si! (...) Ceux qui connaissent la religion, même s’ils ne sont pas croyants, comprendront très bien ce que je leur raconte. Les autres vont au contraire en rire (...) Je comprends qu’ils puissent se moquer, car j’ai été l’un des leurs. (...)

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  • 21-28 avril : voyager au Pays des Cèdres avec l'Ordre Libanais Maronite

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  • Les défis que le prochain synode sur la famille devra relever

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    Extrait du document préparatoire au Synode sur la famille :

    ... Aujourd’hui se présentent des situations inédites jusqu’à ces dernières années, depuis la diffusion des couples en union libre, qui ne se marient pas et parfois en excluent même l’idée, jusqu’aux unions entre des personnes du même sexe, auxquelles il est souvent consenti d’adopter des enfants. Parmi les nombreuses situations nouvelles qui réclament l’attention et l’engagement pastoral de l’Église, il suffira de rappeler: les mariages mixtes ou interreligieux; familles monoparentales; la polygamie; les mariages arrangés avec le problème de la dot qui en découle, parfois assimilée à un montant d’acquisition de la femme; le système des castes; la culture du non-engagement et de la présupposée instabilité du lien; les formes de féminisme hostiles à l’Église; les phénomènes migratoires et la reformulation de l’idée même de famille; le pluralisme relativiste dans la conception du mariage; l’influence des media sur la culture populaire pour la conception des noces et de la vie familiale; les courants de pensée qui inspirent les propositions législatives qui dévaluent la permanence et la fidélité du pacte matrimonial; l’expansion du phénomène des mères porteuses (location d’utérus); les nouvelles interprétations des droits humains. Mais surtout dans le milieu plus strictement ecclésial, l’affaiblissement ou l’abandon de la foi en la sacramentalité du mariage et en la puissance thérapeutique de la pénitence sacramentelle.

    De tout cela, on comprend combien est urgente l’attention de l’épiscopat mondial “cum et sub Petro” face à ces défis. Si, par exemple, on pense au seul fait que dans le contexte actuel tant d’enfants et de jeunes, nés de mariages irréguliers, ne pourront jamais voir leur parents recevoir les sacrements, on comprend combien sont urgents les défis posés à l’évangélisation de la situation actuelle, par ailleurs répandue partout dans le “village global”. Cette réalité trouve un écho particulier dans l’accueil immense que reçoit de nos jours l’enseignement sur la miséricorde divine et sur la tendresse envers les personnes blessées, dans les périphéries géographiques et existentielles: les attentes qui s’en suivent sur les choix pastoraux à propos de la famille sont énormes. Une réflexion du Synode des Évêques sur ces thèmes apparaît donc tant nécessaire et urgente que juste comme l’expression de la charité des pasteurs envers ceux qui leur sont confiés et de la famille humaine toute entière. ...