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Eglise - Page 1321

  • Une jeune bienheureuse morte à 18 ans en 1990

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    561919_658772874154078_1477663529_n.jpgDu blog "Jardinier de Dieu" :

    Bienheureuse Chiara Luce Badano (1971-1990) - 29 octobre

    Chiara est née en 1971 et est morte en 1990, à la veille de dix-neuf ans, à cause d'une maladie incurable. 19 années pleines de vie, d'amour, de foi. Deux années, les dernières, pleines aussi de douleur, mais toujours dans l'amour et dans la lumière, une lumière qui irradiait autour d'elle et qui venait de l'intérieur : de son cœur plein de Dieu ! 

    Comment une jeune de 17-18 ans peut-elle vivre une telle souffrance, humainement sans espérance, en répandant de l'amour, de la sérénité, de la paix, de la foi ? Il s'agit évidemment d'une grâce de Dieu, mais cette grâce a aussi été préparée et accompagnée d'une collaboration humaine : la collaboration de Chiara elle-même, certainement, mais aussi de ses parents et de ses amis

    Les parents de Chiara Badano sont encore vivants aujourd'hui. Ils ont allumé dans l'âme de leur fille unique la flamme de la foi, et ont aidé Chiara à la garder toujours allumée, même dans les moments difficiles de la croissance et surtout dans la grande et longue épreuve de la souffrance.

    La relation entre les parents et les enfants est « fondamentale » et pas seulement en raison d'une « juste tradition ». La famille est fondamentale parce que c'est là que germe dans l'âme humaine la première perception du sens de la vie. Elle germe dans la relation avec la mère et le père, qui ne sont pas maîtres de la vie de leurs enfants, mais sont les premiers collaborateurs de Dieu pour la transmission de la vie et de la foi.

    Chacun de nous a besoin d'un terrain fertile sur lequel plonger ses propres racines, un terrain riche de substances nutritives qui font grandir la personne : ce sont les valeurs, mais ce sont surtout l'amour et la foi, la connaissance du vrai visage de Dieu, la conscience qu'il nous aime infiniment, fidèlement, patiemment, jusqu'à donner sa vie pour nous.

    En ce sens, « la famille est une ‘petite Eglise', parce qu'elle transmet Dieu, elle transmet l'amour du Christ », grâce à la force du sacrement de mariage. L'amour divin qui a uni l'homme et la femme, et qui les a rendu parents, est capable de susciter dans le cœur des enfants le germe de la foi, c'est-à-dire la lumière du sens profond la vie.

    Les dernières paroles de Chiara Luce avant sa mort, de pleine adhésion à la volonté de Dieu, ont été: «Maman, au revoir. Sois heureuse parce que moi je le suis».

    Elevons notre louange à Dieu

    parce que son amour est plus fort que le mal et que la mort;

    et remercions la Vierge Marie qui conduit les jeunes,

    même à travers les difficultés, et les souffrances,

    à aimer toujours plus Jésus et à découvrir la beauté de la vie.

     

    Selon Benoit XVI, Marine Soreau, http://www.zenit.org/article-25580?l=french

    http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/angelus/2010/documents/hf_ben-xvi_ang_20100926_fr.html

  • François salue l'oeuvre de Benoît XVI qui "faisait de la théologie à genoux"

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    "Benoît XVI faisait de la théologie à genoux"

    Le pape François remet le Prix Ratzinger à deux théologiens (zenit.org)

    « Benoît XVI faisait de la théologie à genoux… et il l’a mise à disposition sous une forme la plus accessible possible », a déclaré le pape François en remettant le Prix Ratzinger, samedi 26 octobre 2013, au Vatican.

    Le Prix Ratzinger, institué en 2011 par la « Fondation vaticane Joseph Ratzinger – Benoît XVI », a été attribué cette année au prof. Richard A. Burridge, doyen du King’s College de Londres et ministre de la Communion anglicane et au laïc Christian Schaller, professeur en théologie dogmatique et directeur adjoint de l’Institut pape Benoît XVI à Ratisbonne (cf. Zenit du 26 juin 2013).

    Le pape a rendu hommage à la trilogie « Jésus de Nazareth » de Benoît XVI, qui « a fait don à l’Eglise, et à tous les hommes, de ce qu’il avait de plus précieux: sa connaissance de Jésus, fruit d’années et d’années d’étude, de confrontation théologique et de prière ».

    Discours du pape François :

    Chers frères et sœurs, 

    Je vous remercie et je suis content de vous rencontrer, en signe surtout de notre reconnaissance et de notre grande affection pour le pape émérite Benoît XVI.

    Je voudrais partager avec vous une réflexion qui me vient spontanément à l’esprit quand je pense au don vraiment singulier que celui-ci a fait à l’Église avec ses livres sur Jésus de Nazareth. 

    Je me souviens du jour où sortit le premier volume, certains disaient : «  mais qu’est-ce que c’est ? Un pape ça n’écrit pas de livres de théologie, ça écrit des encycliques!... Le pape Benoît s’était certainement posé le problème, mais dans ce cas aussi, comme toujours, il a suivi la voix du Seigneur dans sa conscience éclairée. Avec ces livres, il n’a pas fait de « magistère » au sens propre du mot, et il n’a pas fait d’étude académique. Il a fait don à l’Eglise, et à tous les hommes, de ce qu’il avait de plus précieux: sa connaissance de Jésus, fruit d’années et d’années d’étude, de confrontation théologique et de prière. Car Benoît XVI faisait de la théologie à genoux, et nous le savons tous. Et il l’a mise à disposition sous une forme la plus accessible possible. 

    Personne ne peut mesurer tout le bien qu’il a fait en faisant ce don ; seul le Seigneur le sait! Mais nous en avons tous une certaine perception, pour avoir entendu dire que tant de personnes, grâce aux livres sur Jésus de Nazareth, ont nourri leur foi, l’ont approfondie,  ou se sont même approchés pour la première fois du Christ de manière adulte, en conjuguant ensemble les exigences de la raisons et la recherche du visage de Dieu.

    En même temps, l’œuvre de Benoît XVI a stimulé une nouvelle saison d’études sur l’Evangile entre l’histoire et la christologie, et c’est dans ce cadre que s’inscrit aussi votre Symposium, dont je  fais tous mes compliments aux organisateurs et aux intervenants.

    Je félicite également tout spécialement le pasteur et professeur Richard Burridge et le professeur Christian Schaller, auxquels est remis le prix Ratzinger cette année. Au nom également de mon prédécesseur – avec qui j’étais il y a trois ou quatre jours – je vous fais mes plus vives félicitations: que le Seigneur vous bénisse  toujours vous et votre travail au service de son Royaume. 

    Et qu’il vous bénisse tous, chers amis, et vos proches. Merci!

    Traduction d’Océane Le Gall

  • Pape François : "Se confesser, en appelant nos péchés par leur nom"

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     Radio Vatican, 25 octobre 2013 : avoir le courage devant le prêtre qui nous confesse d’appeler nos péchés par leur nom, sans les cacher :

     L’homélie de ce vendredi matin, lors de la messe célébrée en la chapelle de la Maison Saint Marthe, a été consacrée entièrement par le Pape François au sacrement de réconciliation. Se confesser, a rappelé le Pape, c’est aller à la rencontre de l’amour de Jésus avec la sincérité et la transparence des enfants, en accueillant la grâce sans honte. « Se confesser face à un prêtre, c’est important parce que se confesser tout seul devant Dieu, c’est comme se confesser par e-mail. Dans ce cas, Dieu est lointain, je dis les choses et il n’y a pas de face à face, les yeux dans les yeux. » Le Pape François, partant des lectures de la liturgie du jour, a voulu parler de la confession, rappelant que « Saint Paul, dans l’épître aux Romains, confesse ses fautes à ses frères face à face ». « Certains chrétiens, a dit encore le Pape, déclarent : « Moi je vais me confesser ». « Mais ils confessent tout un tas de choses abstraites, un peu en l’air, qui ne sont pas concrètes ». « Et alors c’est comme ne pas se confesser, car confesser nos péchés ce n’est pas comme aller chez le psychiatre, ni dans une salle de torture : c’est dire au Seigneur : ‘Seigneur je suis un pécheur, et je suis un pécheur pour telle chose, et telle autre chose ». « La confession des péchés faite avec humilité, a rappelé le Pape, voilà ce que l’Eglise nous demande à tous ». « Et pour se confesser, on va vers notre frère, notre frère prêtre, et on se confesse de manière concrète, comme le faisait Saint Paul ».

    Ici : "Se confesser, en appelant nos péchés par leur nom"

    Il faut aussi des confesseurs plus courageux, mieux formés, dotés du sens surnaturel du péché et de la miséricorde, et qui restituent à la confession son caractère religieux. Les rares endroits où l’on confesse encore ressemblent souvent plus à des parloirs ou à des cabinets de pseudo-psychothérapeutes, où se déroulent des dialogues interminables,  aussi inutiles qu’impénitents.  JPSC

  • Angola : profanations au sanctuaire de Notre-Dame de Muxima

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    imagem.jpgAFRIQUE/ANGOLA - Profanation de la statue de Notre-Dame de Muxima : pour l’Evêque du lieu, « une action froide et lâche »

    Luanda (Agence Fides) – « Une action perpétrée de manière froide et lâche » : c’est ainsi que l’Evêque de Viana, S.Exc. Mgr Joaquim Ferreira Lopes, a qualifié la profanation du Sanctuaire de Muxima, en Angola. Selon Radio Ecclesia – radio de l’Eglise en Angola – le Dimanche 27 octobre, six personnes non identifiées ont vandalisé et détruit un certain nombre d’images de Notre-Dame vénérées à l’intérieur du Sanctuaire.

    « Heureusement, l’image principale de Notre-Dame de Muxima (une statue NDR) n’a subi que des dommages limités mais d’autres images sont irrécupérables en ce que sauvagement détruites » a affirmé l’Evêque. Le grave acte de vandalisme a été commis le jour même de la clôture de l’Année de la Foi en Angola.

    Une fois apprise la nouvelle, quelques centaines de fidèles se sont rassemblés face au Sanctuaire pour protester. Mgr Lopes a invité tout un chacun à conserver son calme tout en soulignant que, outre les dégâts matériels, les autorités devront tenir compte « des dommages moins visibles, les dommages moraux qui frappent le cœur des personnes et provoquent colère et rage au sein de la population qui se sent privée de symboles auxquels elle est très dévote ».

    Les autorités ont annoncé une enquête et le recours à des spécialistes afin de réparer les dommages subis par la statue de la Très Sainte Vierge Marie.

    Selon la presse, la police a arrêté un certain nombre de personnes appartenant à la confession évangélique appelée « église prophétique de l’arche de Bethléem » et évalue actuellement leur position en ce qui concerne l’acte de profanation.

    Les Evêques d’Angola ont exprimé à plusieurs reprises leur préoccupation quant à la montée en puissance des sectes et la forte croissance du nombre des immigrés de religion musulmane dans le pays (voir Fides 18/11/2011). Cette préoccupation a été relancée au terme de leur dernière Assemblée plénière par S.Exc. Mgr Manuel Imbamba, Archevêque de Saurimo et porte-parole de la CEAST qui, dans un entretien accordé à Radio Ecclesia, a affirmé que l’Eglise catholique ne peut empêcher l’entrée d’autres religions dans le pays mais il a souligné que « les graves conséquences » de l’arrivée de formes religieuses caractérisées par « l’intolérance, le fondamentalisme, la violence et la perversion de leur culture elle-même » ne peuvent être ignorées.

    Rappelant que certains pays financent l’expansion de l’islam dans des buts politiques, Mgr Imbamba a conclu : « Nous devons rester en garde contre ces situations, notamment en tenant compte des situations de violence existant au Nigeria, en République centrafricaine et au Moyen-Orient ». (L.M.) (Agence Fides 28/10/2013)

  • L'affaire de "l'évêque bling-bling" de Limbourg

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    Notre amie de "Benoît et moi" a consacré trois notes à cette affaire qui défraye la chronique et qui mérite que l'on y regarde de plus près :

    Lire aussi : http://www.aleteia.org/fr/international/article/laffaire-de-leveque-de-limburg-son-eloignement-est-il-justifie-8054001

  • Liturgie : La réforme de la réforme est bien vivante

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    Lu sur le site du bimensuel « l’Homme Nouveau » :

    Dans son carnet La messe à l’endroit  (Éditions de L’Homme Nouveau, collection « Hora Decima »), l’abbé Claude Barthe disait – il le disait sous Benoît XVI – que l’on ne devait pas attendre des lois et règlements venant d’en haut pour opérer la réforme de la réforme, mais qu’elle était l’affaire des prêtres de terrain :

    « la réforme de la réforme consiste essentiellement dans des choix entre les diverses possibilités laissées par le nouveau missel. Très concrètement, c’est l’aspect systématique des bons choix qui fera la réforme de la réforme ».

    Une floraison d'ouvrages sur la question

    À plus forte raison est-ce vrai sous le Pape François, où l’on n’a plus l’exemple romain des cérémonies pontificales et de leurs petits coups de pouce réformateurs.

    De fait, les parutions de livres en ce sens continuent sous le nouveau pontificat, par exemple du père Giorgio Farè, Le due forme del rito romano (Cantagalli, 2013) ; de Daniele Nigro, I diritti di Dio. La liturgia dopo il Vaticano II (Sugarco, 2013, avec une préface du cardinal Burke). On peut faire entrer dans cette ligne, le petit livre tout récemment paru de Thierry Laurent, La liturgie de la messe geste après geste. Commentaire pastoral de la messe en sa forme ordinaire(Le Laurier, 116 p., 10 €).

     Une préface du cardinal Cañizares

    Laurent-livre.jpgL’abbé Thierry Laurent, prêtre du diocèse de Paris, a commencé son ministère sacerdotal dans le diocèse de Saint-Denis, et il vient d’être nommé aumônier du collège Stanislas, à Paris. Muni d’une préface extrêmement sentie du cardinal Cañizares, Préfet de la Congrégation pour le Culte divin – « L’abbé Thierry Laurent nous a procuré beaucoup de joie… » –, il décrit, analyse, commente chaque rite. Et d’abord les choisit, car comme on le sait la nouvelle forme ordinaire est largement une liturgie à la carte, dans laquelle rien n’interdit, au contraire, d’opter pour le meilleur : « La messe peut débuter par l’aspersion d’eau bénite de tous les fidèles… L’autel est consacré… Il renferme les reliques des saints… », etc.

    Avec d’utiles rappels : « Le lecteur est en priorité celui qui est institué pour cela » (sur le croquis correspondant, c’est un clerc en surplis). Dans cette messe ordinaire, où selon les illustrations, l’autel est bâti sur trois marches, les chandeliers sont posés sur l’autel de part et d’autre de la croix, la messe est dite face au Seigneur, les fidèles s’agenouillent (par exemple, pour réciter le Confiteor !).

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  • Divorcés-remariés : des discours romains contradictoires ?

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    Selon Isabelle de Gaulmyn dans le journal « La Croix »  (extraits):

    « …La parole de l’Église dans l’espace médiatique est dominée par un discours romain par nature normatif. C’est ce que le pape François pointe, lorsqu’il explique, dans son entretien avec les revues jésuites, que l’Église ne doit pas « être obsédée par la transmission désarticulée d’une multitude de doctrines à imposer avec insistance ». Lors de son premier angélus, quatre jours après son élection, François a justement cité le livre du cardinal Kasper, sur la miséricorde, plaçant ainsi son pontificat sous ce signe.

    En l’élisant sur le siège de Pierre, les cardinaux avaient d’ailleurs voulu mettre à la tête de l’Église une personnalité pastorale, avec une expression moins doctrinale que ses prédécesseurs. Le pape fait donc le pasteur, et de ce point de vue, François remplit parfaitement la tâche. Mais cela n’empêche pas l’institution romaine, elle, de continuer de « faire son job » et de rappeler ce qui constitue les principes « non négociables » de la morale chrétienne, avec ses fondements théologiques.

     Texte sur les divorcés-remariés

    Rien d’étonnant à ce que le cardinal [sic] Gerhard Müller, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, publie donc un texte au sujet des divorcés-remariés pour rappeler à ses collègues allemands le point de vue de l’Église. Après tout, il est là pour cela, et il a raison d’écrire que la question des divorcés remariés, et de leur accès à la communion n’est pas seulement d’ordre pastoral, et touche à la théologie du sacrement du mariage. C’est bien parce que le problème est complexe, que le pape a convoqué un synode sur ce sujet l’an prochain.

    Mais pour le fidèle catholique, qui reçoit ces deux discours en provenance de Rome, le message risque de se brouiller singulièrement. D’autant plus que plusieurs passages de ce texte du cardinal Müller semblent prendre l’exact contre-pied d’autres expressions du pape François.

    contradictions 

    Ainsi, lorsque le préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi explique qu’avec ce qui est « objectivement un faux appel à la miséricorde, on court de plus le risque d’une banalisation de l’image de Dieu, selon laquelle Dieu ne pourrait rien faire d’autre que pardonner ». Ou encore lorsqu’il oppose la conscience des fidèles à l’obéissance au magistère, on peut trouver une certaine contradiction avec les propos du pape, sur ce sujet, dans un entretien avec l’éditorialiste italien Eugenio Scalfari.

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  • Banneux : Pause Partage Prière des Pères

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    Inscriptions : Auprès de M. Simon MARTIN P4@stjean-banneux.com 

    Tel : 087-31-60-62 / GSM : 04-97-33-09-49 

    Frais : 34 € + Participation libre pour la prédication 

    N° de compte : 775-5949405-28 (IBAN : BE 37 7755 9494 0528 – BIC : HKCCBEBB) 

    Merci d’apporter vos draps, ou suppléments de 7 €

  • BXL, 11 novembre : Vive la Belgique ! Vive le Roi !

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    du blog "caté à dreusdeille" :

    Vive la Belgique! Vive le Roi!

    StJacquesSurCoudenberg

    Une manifestation patriotique aura lieu à l’église Saint-Jacques-sur-Coudenberg le lundi 11 novembre à 19h30 prochain, organisée par le diocèse aux Armées… et nous y sommes tous conviés!

    Il s’agit de l’inauguration des Emblèmes (étendards) « reprenant les glorieuses citations de l’Armée belge » dans cette église, qui est la « cathédrale du diocèse aux Forces armées » (en quelques lignes, j’ai appris plein de choses!).

    2013-11-11 - InvitationEtendards

    Comme le Roi sera présent, nous sommes invités à être en place avant 19h (mais comme il y aura beaucoup de monde, l’église sera ouverte à 18h).

    Ce qui va se passer? La cérémonie consiste en la lecture des citations reprises sur les étendards (par des élèves de l’École Militaire), entrecoupée de chorales et de sonneries de trompettes. Mgr Léonard, évêque aux Armées, donnera sa bénédiction, et cinq intentions de prière seront lues par des jeunes. Tout cela en présence du Roi. La cérémonie se termine vers 20h45.

    La Place des Palais sera réservée pour le parking.

    Avis aux patriotes, aux chrétiens, aux Belges fiers / amoureux / enthousiastes de leur pays!

  • Joie, fidélité et solidarité intergénérationnelle au coeur du message adressé par le pape aux familles

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    Des dizaines de milliers de familles des quatre coins du monde sont en effet à Rome ce samedi 26 et dimanche 27 septembre, pour un pèlerinage dans le cadre de l'Année de la foi. (zenit.org)

    Voici le texte du pape prononcé pour l'occasion, après différents témoignages de familles :

    Chères familles,

    Bonsoir et bienvenue à Rome !

    Vous êtes venus de plusieurs régions du monde, en pèlerins, pour professer votre foi devant la tombe de saint Pierre. Cette place vous accueille et vous prend dans ses bras : nous sommes un seul peuple, avec une seule âme, appelés par le Seigneur qui nous aime et nous soutient. Je salue aussi toutes les familles qui sont reliées par la télévision et par l’Internet : c’est une place qui s’élargit sans limites.

    Vous avez voulu appeler ce moment : « Famille, vis la joie de la foi ». Ce titre me plaît. J’ai écouté vos expériences, les histoires que vous avez racontées. J’ai vu beaucoup d’enfants, beaucoup de grands-parents… J’ai entendu la douleur des familles qui vivent une situation de pauvreté et de guerre. J’ai écouté les jeunes qui veulent se marier malgré mille difficultés. Et maintenant nous nous demandons : comment est-il possible de vivre la joie de la foi, aujourd’hui, en famille ? Mais je vous demande aussi : « est-ce possible de vivre cette joie ou ce n’est pas possible ? »

    1. Il y a une parole de Jésus, dans l’Evangile de Matthieu, qui nous éclaire : « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos » (Mt 11, 28). La vie souvent est pénible, souvent aussi tragique ! Nous avons entendu récemment... Travailler est pénible, chercher un travail est pénible. Et trouver du travail aujourd’hui nous demande beaucoup d’effort. Mais ce qui est le plus pénible dans la vie ce n’est pas cela : ce qui est plus pénible que toutes ces choses c’est le manque d’amour. C’est pénible de ne pas recevoir un sourire, de ne pas être accueilli. Ils sont pénibles certains silences, parfois aussi en famille, entre mari et femme, entre parents et enfants, entre frères. Sans amour, la peine devient plus pesante, insupportable. Je pense aux personnes âgées qui sont seules, aux familles qui peinent de ne pas être aidées à soutenir ceux qui, à la maison, ont besoin d’attentions spéciales et de soins. « Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau », dit Jésus.

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  • Karnataka (Inde) : 40 attaques antichrétiennes en 2013

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    ASIE/INDE - 40 attaques antichrétiennes au Karnataka depuis le début de l’année, 222 en trois ans (source : Agence Fides)

    New Delhi – Le nombre des attaques antichrétiennes enregistrées en 2013 dans l’Etat indien du Karnataka est de 40, alors que sur les trois dernières années, il s’établit à 222. C’est ce qui ressort d’un rapport envoyé à l’Agence Fides par le Conseil global des chrétiens indiens qui a signalé la situation au Ministère de l’Intérieur fédéral indien. Le climat d’intolérance croissante promu par des groupes extrémistes hindous envers des groupes religieux minoritaires au Karnataka « est ignoré par le gouvernement de l’Etat et par le gouvernement fédéral » affirme le rapport en remarquant que « aucune mesure visant à freiner les auteurs de telles violences en garantissant des punitions adaptées n’a été prise ».

    De même, le Conseil critique « l’usage excessif de la force de la part de la police à l’occasion de manifestations des minorités religieuses, qui protestent légitimement contre cet état de fait » affirmant que « la police n’est pas impartiale » et qu’elle s’est montrée « incapable de protéger la vie et les biens des minorités chrétiennes ».L’image du Karnataka en tant que « Etat amant de la paix », remarque le document parvenu à Fides, a été gravement remise en cause par les nombreuses attaques et incidents antichrétiens qui se sont vérifiés dans un passé récent. C’est pourquoi le rapport invite le Ministère de l’Intérieur à « garantir les contrôles et restrictions nécessaires de manière à freiner l’action d’éléments antisociaux qui menacent le tissu d’une société tolérante et libre ». Il demande en outre au gouvernement de « préserver la sacralité de la loi et de la justice, en particulier dans les situations où des communautés religieuses majoritaires mettent en danger les garanties constitutionnelles reconnues aux minorités ».

    Les auteurs des attaques semblent se concentrer – note le texte – dans les périphéries urbaines et dans les villages situés dans des zones reculées, qui échappent plus facilement au contrôle de l’Etat. Là, « il est facile d’inciter les personnes à fomenter des tensions à cause du laxisme de la police et du manque de conscience générale de la population ».

  • An I du pontificat du Pape François : messe traditionnelle à Saint-Pierre de Rome

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    4SPO2.jpgA 11 heures, hier matin, samedi 26 octobre, les pèlerins Summorum Pontificum venus à Rome pour la fin de l’Année de la Foi en grand nombre (grosse présence de pèlerins italiens, avec une centaine de prêtres et séminaristes, diocésains pour la plus grande part) sont entrés dans la Basilique Vaticane pour participer à la messe pontificale célébrée par le cardinal Castrillón Hoyos. Ils étaient partis en une longue procession de la Chiesa Nuova, de l’autre côté du Tibre. La procession a passé le pont Saint-Ange et empruntant la Via de la Conciliazione, est entrée dans Saint-Pierre en chantant le Credo. Suivit un très beau pontifical, divinement accompagné, comme les précédents, par les chants de la Schola Sainte-Cécile de Paris, en présence de trois évêques, Mgr Pozzo, Secrétaire de la Commission Ecclesia Dei, Mgr Schneider et Mgr Rifan, et de prélats, dont Mgr Perl, ancien Vice-Président d’Ecclesia Dei.

    Le sermon du cardinal Castrillón, prononcé avec une particulière vigueur, se félicitait de la liberté de ce qu’il nomme la « messe grégorienne », et invitait les assistants à la mission, lesquels ont apprécié le « nous » qu’avait choisi d’employer le cardinal, pour se montrer pleinement una cum populo Summorum Pontificum.

    Mgr Pozzo a lu le message adressé par le Pape et signé par Mgr Parolin, texte très cordial, sans la moindre restriction pour ces pèlerins accomplissant leur pieux itinéraire auprès des tombes des Apôtres, célébrant le Christ « dans le culte public de l’Église », et leur accordant sa bénédiction apostolique. D’un point de vue anecdotique, le texte est remarquable en ce qu’il salue non pas des personnes, mais un Cœtus fidelium, un groupe de fidèles, le Cœtus internationalis Summorum Pontificum, ce qui est rarissime, sinon unique, et qu’il est assurément le premier message signé par Mgr Parolin comme Secrétaire d’État.

    Référence : An I du pontificat du Pape François : messe traditionnelle à Saint-Pierre de Rome

     JPSC