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Eglise - Page 1675

  • Une video présente les JMJ

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    à découvrir ICI sur Daylimotion

    Intitulé « La force de l'Evangile, les Journées Mondiales de la Jeunesse », ce film revient sur l'organisation des JMJ, propose des témoignages, des images d'archives...

    « Quelle est l'origine de la JMJ ? Qu'est-ce qui attire autant de jeunes ? Comment Dieu intervient-Il ? Comment répondre à l'appel de Jésus : « Viens et suis moi » ? » : autant de questions auxquelles le film tente de répondre.

    Mgr Renato Boccardo, chargé pendant presque dix ans de l'organisation des Journées Mondiales de la Jeunesse, introduit avec grande clarté le message central de la Journée Mondiale : la personne du Christ et son Evangile.

    Ce film est disponible en vingt langues (Français, anglais, allemand, espagnol, italien, portugais, hongrois, néerlandais, tchèque, slovaque, letton, lituanien, polonais, russe, arménien, arabe, japonais, kirundi, créole mauricien, malgache).

    Il est l'œuvre du Réseau de prière, de formation et d'évangélisation Net for God créé à l'initiative de la Communauté du Chemin Neuf pour la paix et l'unité entre nos pays et entre nos Eglises. (http://www.zenit.org/article-26978?l=french)

  • La nouvelle évangélisation à Liège ?

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    images.jpgLe Diocèse de Liège  annonce les  prochaines conférences données  par deux de ses « orateurs-maison ».

    L’une, organisée par le doyenné de Spa, le 24 février au Foyer de Charité de Nivezé, a pour titre : « Sacrement de l’Eucharistie : les mots qui fâchent ». Le conférencier, Dominique Martens, élucidera, nous dit la publicité, « tous les mots de la messe qui font difficulté, fâchent ou rebutent ». Il est bien placé pour en  parler  puisque ce prêtre, désormais marié, a renoncé à l’exercice de son sacerdoce, comme il nous l’explique lui-même ici :

    Télécharger le PDF [Dominique Martens | fr] - www.pretresmaries.eu

    Ceci ne l’empêche pas d’être un théologien rompu aux jeux de l’esprit : il fut professeur au séminaire de Liège et il l’est aujourd’hui à l’Institut « Lumen Vitae » et à l’Université Catholique de Louvain.  

     

    Un autre Dominique prend place, lui, dans le cycle des conférences de la paroisse du Sart-Tilman : le 17 février, Dominique Collin présentera, une fois de plus, son essai « Pour un christianisme parabolique » publié aux éditions « Fidélité » et dont il a lui-même situé le contenu (si l’on ose ce vilain mot) dans une « tribune » du journal la Libre Belgique.  Extraits :

    « (…) Un christianisme parabolique parlerait de l’homme, de la vie, des dimensions concrètes et élémentaires de l’existence. Bien sûr, il oserait encore dire Dieu, mais à la manière des paraboles qui le rendent si parlant sans le définir (…). Il ne s’inquiéterait pas inutilement de la sécularisation de notre monde globalisé et de la baisse conséquente de ses "effectifs", mais il se réjouirait plutôt de ce que d’innombrables hommes et femmes vivent du souffle de l’évangile, à l’intérieur comme en dehors de l’Eglise (…) et  il laisserait enfin les chrétiens devenir adultes, responsables de l’écoute de la Parole, de son interprétation, de sa vérification dans la vie. De fait, le langage parabolique autorise différents niveaux de compréhension et appelle - osons le mot - la "démocratie". Lire l’article complet sur : 

    http://www.lalibre.be/debats/opinions/article/581855/pour-un-christianisme-parabolique.html

    Faut-il ajouter que l’auteur-conférencier  ne croit ni au diable (« il n’est pas un être spirituel opposé à Dieu mais une personnification littéraire de tout ce qui nous divise » (Pour un christianisme parabolique, p.73), ni à l’enfer : « nous n’avons pas besoin, écrit-il, de cette fantasmagorie » ( idem, p. 90), quoiqu’il admette que la vie puisse « se condamner » à un enfermement et à une solitude tragique, mais le mot « vie éternelle » n’apparaît jamais sous sa plume et il met le mot péché entre guillemets.

    Le Père Dominique Collin fait partie de l'équipe des dominicains qui a quitté Rixensart pour répondre à l’appel de Mgr Aloys Jousten. Celui-ci leur a confié, au centre de Liège, l’église et les cloîtres de Saint-Jean l’Évangéliste, d’où ils puissent assurer, entre autres, la « pastorale » des étudiants. Dominique Collin est l’un des responsables du projet « Logos » destiné à ceux-ci.

  • Aller aux JMJ avec un groupe...

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    Pour inscrire un groupe aux JMJ ou pour découvrir les groupes déjà constitués, cliquer ICI.

  • De retour à l'Eglise catholique, l'ordinariat anglican d'Australie s'étendra au Japon

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    Un "Ordinariat" permettant aux anglicans australiens de réintégrer le giron de l'Eglise catholique sera mis en place pour la Pentecôte; il inclura aussi le Japon.

    Ainsi 4 évêques et 24 prêtres australiens ont manifesté leur ferme intention de rejoindre cet ordinariat. La "Traditional Anglican Communion" (TAC), un groupe d'anglicans dissidents qui sont rentrés en pleine communion avec Rome depuis des années, organiseront un festival à Perth le 26 février prochain à l'église catholique de la Sainte Famille pour l'Ordinariat Anglican d'Australie.

    Les anglicans catholiques du Japon constituent un groupe restreint conduit par l'évêque retraité Raphaël Kajiwara. Ils considèrent cette intégration comme une chance parce qu'ils constituaient jusqu'ici une minorité discriminée.

    Un pourcent de la population japonaise est chrétienne. Ils sont principalement (509.000 environ) catholiques.

    Source: AsiaNews/The Record/ICN

  • Le célibat sacerdotal n’est pas une simple loi ecclésiastique

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    mauro-piacenza_article.jpgLe site web « Eucharistie Sacrement de la Miséricorde » a publié hier le texte complet de la conférence  L’enseignement des Papes, de Pie XI à Benoît XVI - Le célibat sacerdotal, fondements, joies, défis prononcée par le Cardinal Mauro Piacenza au  colloque sur le célibat sacerdotal qui, comme nous l’avions annoncé, s’est tenu à Ars du 24 au 26 janvier 2011.

    Le cardinal Mauro Piacenza, nouveau préfet nommé à la tête de la Congrégation romaine pour le Clergé par Benoît XVI, n’a laissé planer aucun doute sur la position de Rome, et donc du pape lui-même, face aux agitations récurrentes orchestrée sur ce thème (et sur d’autres) par les forces néo-libérales de l’Église. Voici quelques passages conclusifs de ses propos :

    « (…) Il faut dépasser la réduction, si diffuse en certains milieux, du célibat à une simple loi ecclésiastique. C’est une loi pour la seule raison qu’il s’agit d’une exigence du Sacerdoce et de la configuration au Christ opérée par le Sacrement. En ce sens la formation au célibat, en plus de tous les aspects humains et spirituels, doit comporter une solide dimension doctrinale, car on ne peut pas vivre ce dont on n’en comprend pas le motif ! »

    Le « débat » sur le célibat qui réapparaît périodiquement au cours des siècles, ne favorise pas la compréhension sereine de la part des jeunes générations à propos d’une donnée aussi déterminante de la vie sacerdotale. Tout le monde doit prendre pour soi ce que « Pastores dabo vobis » [exhortation apostolique post-synodale de Jean-Paul II ndlr] a affirmé avec autorité au n. 29, en reprenant intégralement le vœu de toute l’Assemblée Synodale [de 1990, ndlr] : « Le Synode ne veut laisser aucun doute dans l'esprit de tous sur la ferme volonté de l'Église de maintenir la loi qui exige le célibat librement choisi et perpétuel pour les candidats à l'ordination sacerdotale, dans le rite latin. Le Synode demande que le célibat soit présenté et expliqué dans toute sa richesse biblique, théologique et spirituelle comme don précieux fait par Dieu à son Église et comme signe du Royaume qui n'est pas de ce monde, signe aussi de l'amour de Dieu envers ce monde, ainsi que de l'amour sans partage du prêtre envers Dieu et le peuple de Dieu ».

    « Dans un monde profondément sécularisé, poursuit le cardinal Piacenza, il est de plus en plus difficile de comprendre les motifs du célibat. Nous devons cependant avoir le courage, comme l’Eglise, de nous demander si nous voulons nous résigner face à cette situation en acceptant la sécularisation croissante des sociétés et des cultures comme un fait inéluctable, ou bien si nous sommes prêts à œuvrer pour une nouvelle évangélisation profonde et authentique, au service de l’Evangile et, par conséquent, de la vérité de l’homme (…). En ce sens, j’estime que le soutien motivé du célibat et sa juste valorisation dans la vie de l’Eglise et du monde peuvent compter parmi les moyens les plus efficaces pour lutter contre la sécularisation. Sinon, que voudrait dire le Saint Père quand il affirme que le célibat « signifie qu’on accueille et qu’on fait l'expérience de Dieu comme réalité » ?

    Le fondement théologique du célibat doit être perçu à la lumière de la nouvelle identité qui est donnée à celui qui fait partie de l’Ordre sacerdotal. Le caractère central de la dimension ontologique et sacramentelle et, par conséquent, la dimension eucharistique qui fait partie de la structure du Sacerdoce constituent le milieu naturel de la compréhension, du développement et de la fidélité concrète au célibat. Alors, la question essentielle n’est pas de débattre sur le célibat mais sur la qualité de la foi de nos communautés. Quelle attente du Royaume ou quelle tension eucharistique pourrait vivre une communauté qui ne tiendrait pas le célibat en grande estime?

  • Il n'y a pas que des églises vides ou peuplées d'une douzaine de vieux...

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    salzinnes.jpgMesse en direct sur RTBF et France2 à Ste Julienne (Salzinnes - Namur) le 20 février à 10h45. Rendez-vous pour tous à 10h15 dans l'église

    Vous pouvez regarder le petit film d'introduction de la messe de Salzinnes via le lien suivant:
    http://www.dailymotion.com/Coeur-et-Esprit#videoId=xgzldh
     
    Merci de bien prier pour ce projet.
    Père Cédric Claessens ,Rue Ste Julienne, 4, B-5000 Namur Tél. 081/73.58.75 claessens2@me.com
  • Les mots de la messe. La vraie beauté liturgique

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    Les_mots_de_la_messe_s.jpgBernard Dumont, directeur de la Revue Catholica  commente (dans le n° 110, Hiver 2011 de ce périodique trimestriel)) la parution du livre posthume de Mgr Michel Dangoisse (décédé en août 2010)  «Les mots de la messe. La vraie beau­té de la li­tur­gie  (Ad Solem, octobre 2010, 23€) : « Petite en vo­lume (114 p.) mais très pré­cise, cette ana­lyse com­pa­ra­tive des textes du nou­vel Ordo Mis­sae dans ses ver­sions of­fi­cielles et ses tra­duc­tions en langue fran­çaise est pré­fa­cée par Mgr Mi­chel Schooyans (…) ».

    Comme le souligne Bernard Dumont, l’originalité de cette étude, revêtue de l’imprimatur de Monseigneur Léonard, tient à ce que «  chaque tra­hi­son de sens - ma­ni­fes­tée par la com­pa­rai­son entre texte latin, tra­duc­tion of­fi­cielle et tra­duc­tion stricte par Mgr Dan­goisse- est cri­ti­quée, briè­ve­ment mais net­te­ment, à par­tir des don­nées dog­ma­tiques et de la sym­bo­lique li­tur­gique tra­di­tion­nelle. La somme des in­flé­chis­se­ments et tra­ves­tis­se­ments est ac­ca­blante. En­core faut-​il avoir à l’es­prit qu’ils ne consti­tuent pas des dé­via­tions pri­vées, si nom­breuses et com­mises jusque par des évêques (…). Il s’agit bien des tra­duc­tions ap­prou­vées par les confé­rences épis­co­pales de langue fran­çaise – des phé­no­mènes ana­logues se posent ailleurs, en par­ti­cu­lier dans l’es­pace an­glo­saxon –, et agréées en leur temps par Rome (…) »

    Dans l’hebdomadaire « Famille Chrétienne », le Père Alain Bandelier confirme ce jugement : « Bien que sensibilisé depuis longtemps à ces questions, je dois avouer, écrit-il, que j’ai été impressionné devant les innombrables glissements de sens que l’on peut constater quand on passe du Missel latin au Missel français (…) » .

    « La guerre des messes, ajoute-t-il, ne doit pas durer encore cinquante ans ! C’est pourquoi une traduction française plus authentique d’une part, et d’autre part, une célébration plus traditionnelle (au sens positif du mot, c’est-à-dire moins captive de la subjectivité du célébrant ou de l’assemblée), ne peuvent que contribuer à une communion tellement désirable afin que le monde croie »

    On sait que l’Association épiscopale pour la liturgie des pays francophones (AELF) «  travaille » à cette révision – révision demandée fermement il y a presque dix ans par l’instruction « Authenticam liturgiam » de la Congrégation romaine pour le culte divin. Où sont alors les résistances ?

  • Revenir au confessionnal...

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    Depuis quarante ans, le sacrement de pénitence est en crise dans l’Eglise des pays occidentaux : abus des absolutions collectives favorisé par des directives mal inspirées, confusion entre le confessionnal et le divan du psychiatre et finalement abandon d’une pratique sacramentelle dont la nécessité n’apparaît plus clairement. 

    Dans un discours prononcé lors de l’ « année sacerdotale » qui vient de s’achever, Benoît XVI  a, une fois de plus, indiqué la source de cette désaffection : l’Occident est « marqué par une mentalité hédoniste et relativiste, qui a tendance à effacer Dieu de l'horizon de la vie » et qui ne favorise pas la mise en place d'un « cadre clair de valeurs de référence » ni à « discerner le bien du mal » et à faire « mûrir un sens juste du péché ».

    C'est ce qui rend «urgent » le « service des administrateurs de la Miséricorde divine ». Le pape diagnostique en effet un « cercle vicieux » entre « l'obscurcissement de l'expérience de Dieu » et « la perte du sens du péché ».

    Pour Benoît XVI en effet, « la crise du sacrement de Pénitence (...) interpelle avant tout les prêtres et leur grande responsabilité d'éduquer le Peuple de Dieu aux exigences radicales de l'Evangile », ce qui suppose, ajoute le pape, de « se consacrer généreusement à l'écoute des confessions sacramentelles, de guider le troupeau avec courage afin qu'il ne se conforme pas à la mentalité de ce monde  (cf. Rm 12, 2), mais sache faire des choix même à contre-courant, en évitant arrangements et compromis ».

    « Pour cela, ajoutait le pape, il est important que le prêtre ait une tension ascétique permanente, nourrie par la communion avec Dieu, et qu'il se consacre avec une mise à jour permanente à l'étude de la théologie morale et des sciences humaines ». (Agence Zenit).

    Invité récemment par l’archevêque de Valence (Espagne) pour donner une conférence à l’intention des prêtres du diocèse, l’actuel Prélat de l’Opus Dei, Mgr Javier Echeverria, est revenu sur ce sujet, en réponse à la question posée par un jeune prêtre.

    L’extrait vidéo inédit de cet échange est disponible en cliquant ici :

    Le prélat de l'Opus Dei répond à une question d'un jeune prêtre diocésain sur la confession

  • L’Eglise d’Afrique est-elle l’avenir du catholicisme ?

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    Entretien avec l’ancien supérieur-général des Missions africaines

    Le continent africain a souvent été appelé le continent oublié. Toutefois, avec les visites des papes Jean-Paul II et Benoît XVI, l'Afrique s'est révélée aux fidèles comme abritant l'une des populations catholiques dont la croissance est la plus rapide au monde.

    Pour la Société des missions africaines (SMA), l'Afrique est loin d'être tombée dans l'oubli. Cette organisation est présente sur le continent africain depuis plus de 150 ans.

    Pour en savoir plus sur ces missionnaires et leur travail en Afrique, l'émission de télévision « Là où Dieu pleure » a interviewé Mgr Kieran O'Reilly. 

    Mgr O'Reilly a été consacré évêque de Killaloe, en Irlande, en août dernier ; avant cette nomination, il a été près de 10 ans supérieur général de la Société des missions africaines.

    Découvrir ICI cet entretien sur Zenit

  • Un nouveau motu proprio sur la liturgie

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    Benoît XVI publiera prochainement un nouveau Motu Proprio

    sur "E.S.M." - "Au cours des semaines à venir, notre Saint Père Benoît XVI publiera un document portant sur la réorganisation de la Congrégation pour le culte divin. Celle-ci aura pour mission essentielle de promouvoir une liturgie qui soit plus fidèle aux intentions initiales de Vatican II, c'est-à-dire une liturgie ne laissant plus de place pour les changements arbitraires et donnant plus d'espace pour tout ce qui exprime le sacré.

    Ce document du Souverain Pontife, qui prendra la forme d'un Motu proprio, sera le résultat d'un long travail établi à partir des réflexions du Conseil pontifical pour l'Interprétation des Textes législatifs et des travaux menés par les différents bureaux de la Secrétaire d'Etat.

    Selon plusieurs informations, certains passages de ce prochain Motu proprio pourront être considérés comme une mise en route du "nouveau mouvement liturgique" dont a parlé le Cardinal Antonio Cañizares au cours du Consistoire de novembre dernier.
    Au cours d'une interview publiée à la veille de Noël dernier, en effet, le Cardinal Cañizares avait déclaré que la réforme liturgique avait été réalisée trop rapidement et que le renouveau voulu par le Concile avait été confondu par beaucoup avec une possibilité de transformer la liturgie en laboratoire de recherche où pourrait s'exprimer la "créativité" - le mot magique - des célébrants. Le Cardinal avait ajouté: "Il est absolument nécessaire et urgent d'initier, comme le demande le pape, un nouveau mouvement liturgique qui puisse mettre un terme aux déformations arbitraires et au processus de sécularisation qui, malheureusement, affecte aussi l'Eglise."

    On sait que Benoît XVI tente de donner l'exemple de ce qui doit se faire en liturgie en introduisant dans les cérémonies pontificales des éléments que certains avaient abusivement supprimés au nom de ce qu'ils voulaient faire passer pour une "fidélité à Vatican II". Ces éléments sont la dignité, la croix au centre de l'autel, la communion à genoux, le chant grégorien, le silence, l'orientation de la prière...

    La Congrégation pour le Culte divin aura donc à cœur de travailler pour que la liturgie issue de Vatican II à laquelle participent les fidèles puissent à nouveau être qualifiée de "divine" ou de "sainte". C'est également dans cette perspective qu'on assistera prochainement à l'ouverture d'un département, au sein de la Congrégation pour le Culte divin, qui aura pour tâche de veiller à la qualité de l'art sacré et de la musique sacrée.
    Prions pour que le Saint Père soit obéi et pour que les fidèles comprennent tout l'intérêt qu'il y a à participer à la liturgie qui soit celle de l'Eglise et non celle d'un particulier."

    Sources : Proliturgia
    Ce document est destiné à l'information; il ne constitue pas un document officiel
    Eucharistie sacrement de la miséricorde - (E.S.M.) 12.02.2011 - T/Benoît XVI

  • 14 février : fête des saints Cyrille et Méthode, patrons de l'Europe

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    San_Cirillo_P.jpgSAINT CYRILLE, moine et SAINT MÉTHODE, évêque de Moravie
    Patrons de l'Europe
    Fête en Europe
    (IXe siècle)

     

            Jusqu'à ces derniers temps, saint Cyrille et saint Méthode n'étaient honorés qu'en certains lieux, surtout aux divers pays slaves qu'ils avaient évangélisés et à Rome. Le pape Léon XIII étendit leur culte à toute l'Église.

            Ces deux nobles frères, nés à Thessalonique, allèrent s'instruire à Constantinople. Après de profondes études, Méthode se fit moine; Cyrille reçut de l'impératrice Théodora la mission de christianiser certains peuples voisins de la Grèce; de là, il fut appelé avec son frère à l'évangélisation de la Moravie, où leur zèle produisit des merveilles de conversions.

            Ils traduisirent la Bible en langue slave, langue qui leur doit sa formation régulière. Leur renommée les fit appeler à Rome par le pape Nicolas Ier; ils y arrivèrent porteurs des reliques du pape saint Clément Ier, que Cyrille avait découvertes dans la Chersonèse.

            Revenus à leur apostolat, ils furent accusés d'employer la langue slave dans les cérémonies liturgiques; mais ils se défendirent victorieusement auprès du pape Adrien II. Cyrille étant mort à Rome, dans la force de l'âge, eut son tombeau auprès de celui de saint Clément; son frère évangélisa la Pannonie, la Bulgarie, la Dalmatie, la Carinthie.

            Accusé de nouveau à Rome, il se justifia si bien qu'il revint à son apostolat revêtu du caractère épiscopal. Après avoir prêché l'Évangile à la Bohême et à la Pologne, il alla mourir en Moravie, chargé de mérites et de gloire. (Evangelizo.org)

  • "L'Église est invincible"

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    Denis TILLINAC qui vient de publier un "Dictionnaire amoureux du catholicisme" déjà évoqué sur BELGICATHO, s'entretient avec Georges Cordelier dans Le Point du 11 février.

    Extraits :

    "Quel est, à vos yeux, le plus grand ennemi actuel du catholicisme ?

    Le mol relativisme qui rime avec cynisme et nihilisme et tient lieu d'idéologie à notre société mercantile de spectacles. Benoît XVI a parfaitement formulé cela dans son discours d'inauguration du collège des Bernardins à Paris, en 2008 : la foi sans raison conduit à l'intégrisme, et l'inverse pousse au déclin prométhéen et au chaos programmé pour l'humanité. L'Église n'a pas à fayoter avec l'air du temps - de toute façon, l'humanité étant ce qu'elle est, celui-ci est toujours irrespirable. Elle redevient vite le bouc émissaire des apôtres de l'hyperréalisme. Par les temps qui courent, l'anticléricalisme est l'exutoire de la trouille de l'islam.

     

    Cette trouille de l'islam n'est-elle pas aussi un moteur pour les catholiques ?

    Il est évident que l'ostentation des musulmans aide les chrétiens refoulés que sont devenus les Occidentaux à se désinhiber. Tant mieux. Je préfèrerai toujours qui invoque une transcendance à celui qui tourne autour du nombril de son ego. Autant les flux migratoires incontrôlés représentent une grave menace pour l'Europe, autant la confession musulmane pratiquée sereinement peut nous aider à ouvrir les yeux sur notre patrimoine mental, moral, intellectuel et esthétique."

    Découvrir l'intégralité de cet entretien sur Le Point