Les Vietnamiens sont peut-être plus libres aujourd'hui de vivre leur foi, mais cette liberté religieuse reste sujette au bon vouloir du gouvernement.
C’est ainsi que, selon le père Bernardo Cervellera, directeur de AsiaNews, plus que de liberté religieuse, il faudrait parler d’une certaine tolérance religieuse. Le P. Cervellera a accordé une interview à l'émission de télévision « Là où Dieu pleure ».
Q : Environ 10% de la population vietnamienne est catholique. Les choses se sont améliorées, mais peut-on parler de liberté religieuse au Vietnam aujourd’hui ?
Père Cervellera : Il y a quelques améliorations. Par exemple, ces dernières années, les séminaires qui auparavant étaient limités à un nombre fixe de candidats, ont été ouverts et les vocations se multiplient. On observe aussi une certaine tolérance de la part du gouvernement envers, par exemple, l’assistance médicale fournie par les religieuses, l’éducation dans les maternelles etc. Je parlerais de tolérance, pas de permission. Dans un certain sens, il y a davantage de liberté, mais toutes ces libertés sont sujettes au bon vouloir du gouvernement qui tantôt les accorde, tantôt non.
Abbaye Sainte Madeleine du Barroux (près de Vaison-la-Romaine, dans le Vaucluse), juin 2011 : lettre du Père Abbé Dom Louis-Marie (photo) aux Amis du Monastère, sur le mariage et la fidélité. Le mariage c’est, peut-être aujourd’hui encore, l’état de vie le plus commun mais, au fond, la lettre vaut pour la conduite à tenir dans tous les états de vie légitimes :
Le 27 octobre prochain à Assise, Benoît XVI priera avec d'autres religions pour la paix, en récusant tout syncrétisme. Sa venue suscite déjà des critiques. Dans le « Figaro ». Jean-Marie Le Guénois cite cette « mise au point » du cardinal Jean-Louis Tauran, président du conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, parue dans l’ « Osservatore Romano » du mardi 5 juillet :
Epinglée par « Le salon beige », cette réaction d'un lecteur, parue dans le n° 1746 de l’hebdomadaire « Famille chrétienne » :