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Foi - Page 766

  • Confession, paroisse et famille au centre du message adressé par le pape aux évêques autrichiens

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    Les évêques autrichiens se sont rendus en visite "ad limina" à Rome; le pape leur a adressé ce message (30 janvier) :

    Discours du pape François

    Chers confrères,

    Je suis heureux parce que cette rencontre intense avec vous, dans le contexte de votre visite ad Limina, me fait le don de quelques-uns des fruits de l’Église qui est en Autriche et me permet aussi, à moi, de donner quelque chose à votre Église. Je remercie votre président, le cardinal Schönborn, pour les paroles courtoises qu’il m’a adressées, et qui me donnent l’assurance que nous poursuivons ensemble le chemin de l’annonce du salut du Christ. Chacun de nous représente le Christ, l’unique médiateur du salut, et rend son action sacerdotale accessible et perceptible à la communauté, permettant ainsi à l’amour de Dieu d’être toujours présent dans le monde.

    Il y a environ huit ans, à l’occasion de sa visite ad Limina, la Conférence épiscopale autrichienne est venue en pélerinage sur les tombes des apôtres Pierre et Paul et a rencontré la Curie romaine pour une consultation. À cette circonstance, la majeure partie d’entre vous a aussi rencontré mon vénéré prédécesseur Benoît XVI qui, à cette époque, ne portait cette charge que depuis quelques mois. Les années qui ont immédiatement suivi ont été marquées par une sympathie de la part des Autrichiens pour l’Église et pour le Successeur de Pierre. Cela s’est manifesté, par exemple, dans l’accueil cordial, malgré la rigueur du temps, qui lui a été réservé par la population pendant la visite papale à l’occasion du 850ème anniversaire du sanctuaire de Mariazell, en 2007. L’Église a ensuite traversé une phase difficile : la tendance à la baisse du nombre des catholiques, par rapport à la population totale en Autriche, continue depuis désormais plusieurs décennies, est symptomatique. Une telle évolution ne doit pas nous laisser inertes, mais au contraire, doit stimuler nos efforts pour une nouvelle évangélisation toujours nécessaire.

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  • Si je t’oublie, chrétienté d’Orient…

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    article_000_Nic524337.jpgLu sur le blog de « La Nef » cet article rédigé par Annie Laurent le 01 février 2014 dans Religion :

    « L’exemple du conflit syrien montre la méconnaissance profonde du monde occidental de la dimension religieuse qui imprègne la vie dans les pays du Moyen-Orient. D’où les mauvaises réactions et les décisions partisanes dont souffrent les chrétiens. Tour d'horizon et enquête.

    La déception des chrétiens d'Orient

    Dans un récent entretien à la revue trimestrielle Politique internationale, un jeune député libanais maronite, Samy Gemayel (34 ans), confie sa déception face à la politique de l’Occident envers les chrétiens du Liban et du monde arabe.

    « Les chrétiens du Liban ne figurent pas sur la carte politique des pays occidentaux. Je peux comprendre leur point de vue : après tout, les chrétiens n’ont pas de valeur stratégique ; ils n’ont pas de rôle à jouer dans le conflit russo-américain ou le conflit chiites-sunnites. Mais au-delà des intérêts matériels, il y a aussi l’intérêt moral. Les chrétiens défendent, au cœur du Moyen-Orient, un mode de vie et des valeurs qui sont celles du monde occidental. En les abandonnant, c’est à ces principes qu’on renonce. C’est regrettable. » (N° 141, automne 2013.)

    L’auteur de ces lignes n’est pas le seul à s’exprimer de la sorte. Ces derniers mois, d’autres voix orientales se sont plaintes de l’oubli ou de l’incompréhension d’un Occident auquel l’histoire et la civilisation les ont attachées. Voici un aperçu de ces regrets.

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  • Octobre 2014 : le cardinal Burke à Saint-Pierre de Rome avec le peuple des « tradis »

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    Communiqué du « Cœtus Internationalis Summorum Pontificum » 2 février 2014, en la fête de la Purification de la Bienheureuse Vierge Marie :

    burke.jpg« Le CISP est très heureux d’annoncer que c’est le cardinal Raymond Leo Burke, préfet du Tribunal Suprême de la Signature Apostolique, qui célébrera à Saint-Pierre de Rome, le samedi 25 octobre 2014 à midi, pour les pèlerins du troisième pèlerinage du peuple Summorum Pontificum. Le CISP remercie Son Éminence, le cardinal Comastri, archiprêtre de Saint-Pierre, pour sa disponibilité et la rapidité avec laquelle il nous a permis de fixer dès aujourd’hui la date et l’heure de cette célébration qui représente désormais le temps fort de son pèlerinage ad Petri Sedem.

    Nous pouvons ainsi donner bien plus tôt que d’habitude le feu vert aux préparatifs du pèlerinage, ce qui devrait aider les pèlerins non européens, même les plus éloignés de Rome, à se joindre plus facilement à nous. D’année en année, grâce au Motu Proprio Summorum Pontificum du pape Benoît XVI, les richesses de la forme extraordinaire du rite romain deviennent toujours plus accessibles à l’Église universelle (Instruction Universæ Ecclesiæ du 30 avril 2011) et il nous semble juste de permettre aux fidèles des périphéries de l’orbe catholique de pouvoir s’unir à ce moment de prière
    et de témoignage.

    Nous rappelons que le pèlerinage commencera le jeudi 23 octobre et se terminera pour la fête du Christ-Roi, dimanche 26 octobre. »

    Référence : Le cardinal Burke à Saint-Pierre de Rome avec le peuple Summorum Pontificum

    JPSC

  • France : La mobilisation contre la «familiphobie» ne faiblit pas

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    PHOa5876874-8c3e-11e3-a525-a455f66d834d-680x453.jpgSelon le « Figaro », une grande détermination a marqué ce dimanche les défilés de Paris et Lyon. La majorité des participants à la Manif pour tous a dénoncé la diffusion de la théorie du genre à l'école :

    « Pari gagné pour cette première Manif pour tous de la «saison II». «Nous étions plus d'un demi-million à Paris!», s'est félicité dimanche soir le collectif, évoquant une «vague rose et bleue». La Préfecture de police, elle, a noté «beaucoup d'espaces entre les manifestants» et compté seulement 80.000 personnes. Un chiffre cependant plus élevé que ses prévisions en fin de semaine.

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  • Lumière pour éclairer les nations

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    Nunc dimittis servum tuum,
    Domine, secundum verbum tuum in pace :
    Quia viderunt oculi mei salutare tuum.
    Quod parasti ante faciem omnium populorum :
    Lumen ad revelationem gentium,
    et gloriam plebis tuæ Israel

     

    Maintenant, ô Maître souverain,
    tu peux laisser ton serviteur s'en aller
    en paix, selon ta parole.
    Car mes yeux ont vu le salut
    que tu préparais à la face des peuples :
    lumière qui se révèle aux nations
    et donne gloire à ton peuple Israël.
  • Débat sur l’euthanasie des mineurs en Belgique : « La paille et la poutre »

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    DSC01787.jpgD’ Eric de Beukelaer, curé-doyen de Liège (rive gauche) sur son minisite web :

     « L’archevêque de Malines-Bruxelles et ses trois auxiliaires invitent à observer ce jeudi 6 février une journée de jeûne et de prière, qui a pour but de «  réveiller les consciences et provoquer un ultime débat public au moment où notre pays risque de se donner une législation étendant la possibilité de l’euthanasie à des personnes mineures  ».

    J’ai cru rêver ce matin en entendant à la radio (RTBF – la Première) le Président du Centre d’Action Laïque (CAL) réagir à cette initiative, en trouvant «  inacceptable qu’une personnalité tente de s’ingérer dans le débat politique  ». En effet, il suffit de se rendre sur le site du CAL pour se rappeler que, il y a quelques jours à peine, celui-ci invitait à manifester contre un projet de loi espagnol, visant à restreindre la dépénalisation de l’avortement.   Comment expliquer ce curieux deux poids, deux mesures? Pourquoi ce qui est permis au Centre d’Action Laïque serait-il interdit à l’Eglise catholique? Quelqu’un n’a-t-il pas dit:« Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » (Matthieu 7, 3) 

    La réponse m’a peut-être été donnée ce matin à la cathédrale de Liège, par un vénérable chanoine: « Le Président du Centre d’Action Laïque croit tellement en l’efficacité de la prière, qu’il la trouve un moyen de pression sur les politiques bien plus redoutable qu’une manifestation de rue ».

     Réf : Débat sur l’euthanasie des mineurs – « La paille et la poutre »

    Rappelons que le diocèse de Liège a décidé d’emboîter le pas à l’archidiocèse de Malines-images (10).jpg Bruxelles, en organisant  le mardi 11 février prochain une journée de jeûne et de prière, avant le vote de la proposition de loi sur l’euthanasie des mineurs prévu au Parlement. " Nous aimerions, écrit Mgr Jean-Pierre Delville, éveiller les consciences et provoquer un ultime débat public au moment où notre pays risque de se donner une législation étendant la possibilité de l’euthanasie à des personnes mineures. Le diocèse de Liège a choisi pour cela la Journée mondiale des malades, le 11 février. C’est aussi la fête de Notre-Dame de Lourdes et l’anniversaire de la 5e apparition de Banneux, lorsque la Vierge dit à Mariette en 1933 : « Je viens soulager la souffrance ». 

    "Concrètement, précise notre évêque, outre l'appel au jeûne, nous organisons une veillée de prière à Liège à la cathédrale le mardi 11 février à 18 h. Chaque communauté est invitée à organiser une prière à cette fin (proposition à télécharger sur le site de l’évêché) ou à insérer une intention de prière (idem, proposition à télécharger) à ce sujet dans la prière universelle de la messe dominicale. "

    Plus de détails ici ,Euthanasie des mineurs : le diocèse de Liège priera et jeûnera le 11 février

    JPSC 

  • Euthanasie des mineurs : le diocèse de Liège priera et jeûnera le 11 février

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    Appel à une journée de jeûne et de prière (source)

    Mgr Delville, évêque de Liège, invite les communautés chrétiennes à vivre le mardi 11 février une journée de jeûne et de prière, avant le vote sur l’euthanasie prévu au Parlement

    En accord avec le Conseil épiscopal de Liège et après concertation avec les évêques de Belgique, j’invite les communautés chrétiennes à vivre le mardi 11 février une journée de jeûne et de prière, avant le vote sur l’euthanasie prévu au Parlement. Nous aimerions éveiller les consciences et provoquer un ultime débat public au moment où notre pays risque de se donner une législation étendant la possibilité de l’euthanasie à des personnes mineures. Le diocèse de Liège a choisi pour cela la Journée mondiale des malades, le 11 février. C’est aussi la fête de Notre-Dame de Lourdes et l’anniversaire de la 5e apparition de Banneux, lorsque la Vierge dit à Mariette en 1933 : « Je viens soulager la souffrance ». 


    Nous serions heureux si d’autres chrétiens, des croyants d’autres religions ainsi que des agnostiques ou des athées nous rejoignent dans cette démarche, qui est d’abord d’ordre philosophique, selon des modalités adaptées à leurs propres convictions. Dans cette ligne le Conseil de l’Europe ce jeudi 30 janvier a publié une forte critique envers le projet belge d’euthanasie des enfants. 


    Nous invitons nos concitoyens à réfléchir aux points suivants :

      1. La menace pesant sur les mineurs d’âgeBeaucoup de personnes professionnellement proches des mineurs d’âge attestent que la demande d’euthanasie émanant de ces derniers est rarissime. C’est en tout cas le constat fait dans les Pays-Bas voisins, qui se sont pourtant dotés d’une législation ouverte à cette extension de l’euthanasie. Extension étonnante quand on sait que, en d’autres domaines de la vie, bien moins décisifs que la résolution de se faire euthanasier, les mineurs d’âge sont jugés incapables de décisions importantes pour leur vie économique ou affective.                                                                             

      2. L’importance des sédatifs et des soins palliatifs pour mourir dans la dignité. En Belgique, où les demandes anticipées d’euthanasie d’adultes se multiplient dangereusement, le risque est grand qu’en élargissant l’offre aux mineurs, la loi projetée ne suscite artificiellement la demande. Et cela, alors que nous disposons de soins palliatifs performants, ainsi que de sédatifs adaptés et progressifs dans les cas de douleur rebelle, pour rencontrer, comme il faut le faire, l’immense détresse physique et psychique des personnes qui souffrent et s’approchent de la mort, même si ces moyens palliatifs ont pour conséquence d’abréger quelque peu la vie, ce qui est moralement acceptable. Mais une mort douce, paisible, dans la dignité, n’est pas synonyme de l’euthanasie, laquelle, de manière directe et en quelques minutes, provoque délibérément la mort. Il y a un monde de différence entre les deux, tant dans l’intention que dans la procédure employée.                                                                                                                       

      3. La dignité de toute vie humaine. L’expérience a déjà montré que, dès qu’on transgresse l’interdit fondamental de toute société humaine, à savoir l’interdit de tuer un être humain innocent, il est impossible de refermer la porte que l’on a entr’ouverte. Au contraire, elle a tendance à s’ouvrir toujours plus largement. Ainsi la loi déjà en vigueur concernant l’euthanasie excluait la prise en compte des mineurs d’âge. Mais la loi aujourd’hui projetée l’inclut. Un mouvement s’est mis en route, qui risque de ne jamais s’arrêter. On finira, dans certains cas, par présumer le consentement qui n’a pas été donné ou n’a pas pu l’être. Par contre, nous nous refusons, comme certains osent le faire, à émettre l’hypothèse qu’on en viendra peut-être un jour à supposer ce consentement dans le chef de mineurs handicapés mentalement, dès lors qu’ils sont par définition incapables d’un jugement mûrement délibéré. Nous sommes fermement convaincus que jamais notre pays ne se laissera entraîner à une telle dérive. En revanche, à plus court terme, le risque n’est pas nul qu’on se demande un jour si une nouvelle loi ou une jurisprudence invoquant le principe de non-discrimination ne devraient pas faire cesser une discrimination, celle qui consiste à ne pas prendre en compte le critère de la souffrance psychique quand il s’agit de mineurs d’âge.                                                                                                                    

      4. Le danger d’une euthanasie des personnes fragiles. D’autres projets de loi sont déjà prêts pour, à l’autre bout de la vie humaine, ouvrir l’euthanasie aux personnes démentes, n’ayant plus une conscience claire de leur identité personnelle, pourvu qu’elles en aient fait anticipativement la demande écrite. Redoutable perspective, qui va exercer une pression insidieuse sur les personnes âgées craignant de peser plus tard sur leur entourage ! Beaucoup de personnes âgées vont se convaincre qu’elles feraient preuve d’un grand égoïsme en ne faisant pas cette demande anticipée… C’est ainsi que s’effritera progressivement l’admirable solidarité qui unit les personnes démentes, leurs familles et tout le monde médical et paramédical qui entoure ces personnes de soins pleins d’humanité, de compétence et de tendresse. Comme solution aux inévitables fragilités de l’existence humaine, surtout quand elle arrive à son déclin, on n’offrira plus aux personnes démentes que la décision solitaire de prévoir à temps leur sortie de ce monde lorsque d’autres en jugeront le temps venu. Il n’est que trop prévisible qu’un élargissement ultérieur de la loi permettra de présumer raisonnablement le consentement de la personne démente, dès lors qu’il ne manque qu’une petite signature en bas d’un document… De plus, comme c’est déjà le cas, beaucoup de personnes âgées et potentiellement démentes, seront tentées de demander l’euthanasie pour ne pas être à charge de leur entourage, voire, à la limite, pour cause de vieillesse et de perte du goût de la vie. Ce sera alors une sorte d’« euthanasie » d’un autre genre, celle de la solidarité même qui doit unir les plus vaillants aux plus fragiles. Enfin, il n’est pas non plus exclu que des considérations d’économie en arrivent un jour à recommander indirectement l’euthanasie pour des raisons de finances publiques ou de solvabilité des institutions de soin.                                                                                                            

      5. La dignité humaine devient l’objet d’un jugement subjectif. En dernier lieu, l’on entend souvent dire que la décision de se faire euthanasier est une simple question de liberté personnelle, de libre disposition de soi, et que la loi n’impose à personne d’y recourir. C’est oublier que cette prétendue décision purement individuelle exerce, surtout quand elle se multiplie, une redoutable pression sur la liberté de tous les soignants, ainsi que sur celle des institutions de soin qui sont opposées à l’euthanasie et, finalement, sur les personnes les plus fragiles de la société. La dignité de la vie humaine n’est dès lors plus liée à la nature de la vie humaine, mais au ressenti qu’on éprouve à ce sujet. Cette dignité devient l’objet d’un jugement subjectif.

    Nous osons donc dire à nos concitoyens, en payant de notre personne : « Il n’est pas trop tard, mais il est temps ! » Secouons notre propre conscience et aussi, avec respect, celle de nos frères et sœurs en humanité. L’histoire ne sert jamais deux fois les mêmes plats ni les mêmes circonstances. C’est donc aujourd’hui qu’il faut agir.

     

    Concrètement, outre l'appel au jeûne, nous organisons une veillée de prière à Liège à la cathédrale le mardi 11 février à 18 h. Chaque communauté est invitée à organiser une prière à cette fin (proposition à télécharger) ou à insérer une intention de prière (idem, proposition à télécharger) à ce sujet dans la prière universelle de la messe dominicale. 


    Un article éclairant sur ce sujet, signé par de nombreux pédiatres, est à télécharger également : Fin de vie des enfants : une loi inutile et précipitée (dans La Libre Belgique).

     

    Nous vous remercions de votre collaboration et vous disons avec insistance notre attente, en ce moment très grave où nous devons absolument en appeler, par un engagement résolu, au débat public et citoyen.

     

    + Jean-Pierre Delville, évêque de Liège

     

    Téléchargements :
        Article dans La Libre Belgique  (26 kb)
        Schéma de veillée de prière  (17 kb)
        Proposition d'intention de prière  (12 kb)
  • Les reliques des Bienheureux Zélie et Louis Martin sont en Belgique

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    images.jpgreliques des bienheureux zélie et louis martin

    Découverte chaque jour de la puissance de l’intercession des parents de Sainte Thérèse pour les couples, les familles, les mamans, les papas et les enfants.

    Découverte de la famille Martin, enseignements, adoration, prière silencieuse et personnelle

                        Du 31 janvier au 2 février : Carmel d'Argenteuil – 0483/202.274

                        Du 7 au 9 février : Wavre, basilique Notre-Dame de Basse-Wavre – 0483/202.954 ou 010/227.180

                        Du 14 au 16 février : Opheylissem, église Saint-Martin – 0483/204.958 ou 019/655.121

                        Du 21 au 23 février : Tubize, église du Christ Ressuscité – 0483/211.308 ou 02/366.23.95

                        Du 28 février au 2 mars : Lieu et horaire à préciser

    Infos : Père Francis Goossens – 0477/60.70.92 - francis.goossens@skynet.be - site du Vicariat du Brabant-Wallon

  • Les intentions de prière du pape pour février 2014

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    Intention de prière universelle : 

    Prions pour que la sagesse et l'expérience des personnes âgées soient reconnues dans l'Eglise et dans la société.

    Intention de prière pour l'évangélisation : 

    Prions pour que les prêtres, les religieux et les laïcs collaborent généreusement à la mission d'évangélisation.

  • Le plus grand péché aujourd'hui est que les hommes aient perdu le sens du péché

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    Lors de l'homélie de ce vendredi à la chapelle de la Maison Sainte-Marthe, le pape a commenté la 1ère lecture de ce jour qui relate comment le roi David tomba amoureux de Bethsabée, la femme d’Urie, un de ses généraux, comment il la lui prit et envoya son mari au front durant la bataille, provoquant sa mort et de fait, commettant un meurtre.

    "Le plus grand péché, aujourd’hui, est que les hommes aient perdu le sens du péché" a affirmé le pape François en citant une célèbre phrase de Pie XII. Urie, a-t-il dit, est devenu l’emblème de toutes les victimes de notre suffisance inavouée : "lorsque je vois ces injustices, cette suffisance humaine et aussi lorsque je vois le danger que cela puisse m’arriver, le danger de perdre le sens du péché, cela me fait du bien de penser à tous les Urie de l’histoire, a expliqué le Saint-Père, aux nombreux Urie qui, aujourd’hui aussi, souffrent de notre médiocrité chrétienne, lorsque nous perdons le sens du péché, lorsque nous laissons tomber le royaume de Dieu. Ces Urie sont «les martyrs de nos péchés non reconnus» a poursuivi le Pape en demandant que le Seigneur donne toujours la grâce de ne pas perdre le sens du péché, « pour que le royaume de Dieu ne diminue pas en nous ».

  • Euthanasie des mineurs : le texte de la déclaration du Conseil de l’Europe à la Belgique

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    Après l’archevêque de Malines-Bruxelles et ses auxiliaires, voici que 58 membres de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe élèvent eux aussi clairement la voix par une déclaration que nous avons déjà signalée ici: Euthanasie des mineurs : sévère déclaration du Conseil de l'Europe mais dont nous reproduisons ci-dessous le texte en langue française.

    Rappelons que le Conseil de l’Europe est la doyenne des organisations européennes. publishable.jpgElle est dotée d’une personnalité juridique reconnue en  droit international.

    Les 47 Etats membres qui en font partie totalisent 800 millions d'habitants.  

    La Convention européenne des droits de l’homme, au champ d’application inégalé, ainsi que la Cour européenne des droits de l’homme qui l’applique, en constituent la cheville ouvrière. C’est auprès de cette Cour que tous les individus, ressortissants ou non des États parties à la Convention, peuvent introduire des requêtes s’ils estiment qu’un État partie à la Convention a enfreint leurs droits.  JPSC.

    Doc. 13414

    30 janvier 2014

    La légalisation de l’euthanasie pour les enfants en Belgique

    Déclaration écrite n° 567

    Cette déclaration écrite n’engage que ses signataires

    Considérant le vote de décembre 2013 au Sénat belge, qui approuve par 50 voix contre 17 une proposition visant à légaliser l’euthanasie pour les enfants (sans aucune limite d’âge);

    Gardant présent à l’esprit que:

    – le Comité des Ministres salue à cet égard le paragraphe 9 (c) de la Recommandation 1418 (1999) de l’Assemblée parlementaire, visant à «encourager les Etats membres du Conseil de l’Europe à respecter et à protéger la dignité des malades incurables et des mourants à tous égards […] en maintenant l’interdiction absolue de mettre intentionnellement fin à la vie des malades incurables et des mourants»;

    – l’Assemblée, dans sa Résolution 1859 (2012), affirme que «l’euthanasie, au sens de tuer intentionnellement, par action ou par omission, une personne dépendante, dans l’intérêt allégué de celle-ci, doit toujours être interdite»; les membres soussignés de l’Assemblée parlementaire sont d’avis que ce vote du Sénat belge:

    – assume de manière erronée que les enfants sont capables de donner leur consentement éclairé à l’euthanasie et qu’ils peuvent comprendre la signification grave et les conséquences complexes associées à une telle décision;

    – trahit certains des enfants les plus vulnérables en Belgique en acceptant que leurs vies puissent ne plus avoir de valeur intrinsèque et qu’ils doivent mourir;

    – défend la croyance inacceptable qu’une vie puisse être indigne d’être vécue, ce qui remet en cause la base même d’une société civilisée. 

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  • Medjugorje : le Vatican devrait se prononcer bientôt

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    Lu sur "le courrier des Balkans" :

    Bosnie-Herzégovine : le Vatican va statuer sur les apparitions de Međugorje

    Depuis 1981, la Vierge est supposé apparaître à six « voyants » du petit village de Međugorje, en Herzégovine. Le Vatican va-t-il finalement reconnaître ce phénomène apparitionnaire ? Au terme de quatre années d’enquête, la Commission internationale créée par le Saint-Siège a remis ses conclusions à la Congrégation pour la doctrine de la foi. Celle-ci devra examiner le dossier et présenter ses conclusions au pape François, à qui reviendra la décision définitive, mais une reconnaissance du phénomène surnaturel semble peu probable.

    (Avec Vatican Insider) - « Mais enfin, la Sainte Vierge ne dirige pas un bureau de poste, elle n’envoie pas des messages tous les jours à heures fixes ! », s’est exclamé le pape François, le 14 décembre dernier, critiquant sans phare les innombrables messages que la Vierge Marie aurait délivré depuis 1981 par le biais des « voyants » de Međugorje.

    Alors que le phénomène contesté des apparitions mariales dure depuis 1981, l’Eglise catholique devrait enfin prendre une position officielle et définitive sur Međugorje. La Commission d’enquête nommée en mars 2010, présidée par le cardinal Camillo Ruini, a terminé ses travaux. Le résultat de cette enquête doit être soumis à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, dirigée par le préfet Gehrard Müller. Les interrogatoires des six voyants et de nombreux autres témoins, les récits des personnes concernées, les expertises, la réflexion théologique sur les messages : ce matériel est désormais à la disposition de la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui doit l’évaluer avec d’autres documents recueillis par la Congrégation.

    D’après les rares informations disponibles, la Commission d’enquête aurait cherché à se concentrer principalement sur la première période des apparitions. Il n’y aurait aucune preuve de supercherie, de tromperie ou d’abus de la crédibilité populaire, mais il semble peu probable que l’on puisse parvenir à une déclaration définitive sur le caractère surnaturel d’un phénomène toujours en cours.

    Sur les six voyants de juin 1981, enfants ou adolescents à l’époque, trois assurent bénéficier encore aujourd’hui de l’apparition quotidienne de la « Reine de la Paix », toujours à la même heure de l’après-midi, où qu’ils se trouvent : Vicka (qui habite près de Međugorje), Marija (qui vit à Monza en Italie) et Ivan (qui réside aux États-Unis, mais retourne souvent à Međugorje). Une quatrième voyante, Mirjana, a une apparition tous les 2 du mois, tandis que les deux derniers voyants, Ivanka et Jakov, ont l’apparition une fois par an. Parmi les principaux problèmes rencontrés par la Commission figure l’énorme quantité de messages diffusés, ainsi que l’annonce prophétique de « signes extraordinaires et secrets », que les voyants ne veulent pas dévoiler à l’autorité ecclésiastique.

    Certains membres de la Commission, - ce point est même évoqué dans le rapport – ont souligné la nécessité d’un changement de rythme dans la pastorale des millions de fidèles qui, du monde entier, se rendent à Međugorje. La Commission a pu constater que les conversions et le rapprochement d’avec les sacrements – autrement dit les fruits que l’Église qualifie de spirituels - sont réels et significatifs. Cependant, faire ce constat ne signifie pas s’exprimer sur la nature surnaturelle des apparitions. Au contraire, cette reconnaissance semble peu probable. Ces derniers mois, les manifestations publiques aux Etats-Unis du voyant Ivan Dragičević ont d’ailleurs été annulées à la demande de Mgr Gerhard Müller, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi.

    L’évêque de Mostar, Mgr Ratko Perić, sous la juridiction duquel se trouve Međugorje, est notoirement sceptique sur le phénomène, tout comme son prédécesseur. Alors que, à l’arrière-plan, il y a aussi l’éternel problème des rapports entre le clergé diocésain et les franciscains d’Herzégovine à l’époque des apparitions. Ces dernières années, deux propositions avaient d’ailleurs été avancées pour « contourner » la juridiction de l’évêque de Mostar : restaurer l’ancien diocèse de Trebinje, afin soustraire Medjugorje du territoire de Mostar, ou créer un sanctuaire dont la gestion serait confiée à un recteur extérieur au diocèse.