Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Foi - Page 851

  • Benoît XVI dénonce la dictature de l'agnosticisme tout puissant et intolérant

    IMPRIMER

    Radio Vatican : Benoît XVI qui impose les mains sur la tête de Mgr Georg Gänswein, agenouillé devant lui. C’est l’image que tout le monde gardera en mémoire de ce dimanche de l’Epiphanie. Le Pape, en la Basilique Saint Pierre, a ordonné évêque son secrétaire particulier, nommé aussi préfet de la Maison Pontificale. Trois autres prélats ont reçu l’ordination épiscopale : le nigérian Mgr Fortunatus Nwachukwu, qui devient nonce au Nicaragua, le français Mgr Nicolas Thévenin, qui devient nonce au Guatemala, et Mgr Vincenzo Zani, récemment nommé secrétaire de la Congrégation pour l’Education catholique.

    Le Pape, dans son homélie, a voulu parler des qualités que devraient avoir les évêques. Des hommes « inquiets, qui doivent se préoccuper des autres hommes et être capables de leur indiquer la route vers la foi et le juste chemin de la vie ». Des hommes « courageux, valeureux, que le Seigneur envoie comme des agneaux au milieu des loups » et qui annoncent la vérité « en conflit avec la pensée dominante et avec l’agnosticisme aujourd’hui tout puissant et extrêmement intolérant ».

    Lire la suite

  • Comment l'Eglise s'adresse aux personnes qui ont une tendance homosexuelle

    IMPRIMER

    Une note sur ce sujet a été mise en ligne par un prêtre du diocèse de Tournai et qui y dirige l'Institut Supérieur de Théologie :

    le message de l'Église aux personnes qui ont une tendance homosexuelle

     

    La grandeur du message de l’Église catholique aux personnes homosexuelles est réelle, mais elle n’apparaît pas facilement. Il y a eu trop souvent par le passé des propos très durs et abrupts sur l’homosexualité dans des discours officiels ; et d’autre part l’Église catholique passe aux yeux de beaucoup pour homophobe parce qu’elle refuse simplement de considérer l’homosexualité comme une orientation équivalente à l’hétérosexualité.

    Lire la suite

  • Le Ministre français de l’Education met l’enseignement catholique au rapport

    IMPRIMER

    Pourtant réputée pour sa prudence de sioux, soucieux de respecter la «liberté de conscience» inscrite dans la loi Debré, la direction de l'Enseignement catholique de France est en effet sortie du bois le 12 décembre en envoyant une lettre aux 8500 chefs des établissements catholiques sous contrat. Rappelant «des références sociales aussi fondamentales que le mariage, union d'un homme et d'une femme», le texte invite chaque établissement à «prendre les initiatives qui lui paraissent localement les plus adaptées pour permettre à chacun l'exercice d'une liberté éclairée à l'égard des choix aujourd'hui envisagés par les pouvoirs publics». Si certains y voient un appel à peine déguisé à participer à la manifestation du 13 janvier contre le mariage gay, Éric Delabarre, le secrétaire général de l'enseignement catholique s'en défend, mettant en avant le débat qui doit enfin s'ouvrir «en conscience et avec clairvoyance».

    Dans une lettre adressée à tous les recteurs de France  le ministre français de l'Éducation nationale a décidé aujourd'hui de recadrer l'enseignement catholique au sujet du mariage gay. Il appelle à «la plus grande vigilance à l'égard des conditions du débat légitime qui entoure le mariage pour tous (...) notamment dans les établissements privés sous contrat d'association. Le caractère propre de ces établissements ne saurait leur permettre de déroger au strict respect de tous les individus et de leurs convictions». Interviewé par Le Monde, le ministre est allé plus loin, évoquant «une faute» de l'enseignement catholique.

    imagesCA8X7OS1.jpgDans une interview accordée aujourd’hui au « Figaro » Laurent Wauquiez (photo) s'insurge contre les propos «scandaleux» du ministre de l'Éducation. Député (UMP) de la Haute-Loire, Laurent Wauquiez a été ministre chargé des Affaires européennes puis ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Conseiller politique de l'UMP depuis 2009, il a fondé La Droite sociale, un club de réflexion de parlementaires voué à faire entendre la sensibilité sociale au sein de la droite :

    Lire la suite

  • Des livres...

    IMPRIMER

    image002.jpg

    Notamment :

    ·        Le père Roger-Thomas Calmel, Père Jean-Dominique Fabre, 24 €

    ·        Alessandro Valignano, un jésuite au Japon,  Vittorio Volpi, 24.50 €

    ·        Jean Anouilh, une biographieAnca Visdei, 22 €

    ·        Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale, Laurent Glauzy, 18 €

    ·        Ripostes au politiquement correct – Tome 2Christophe Lacroix, 19 €

    ·        Petit catéchisme des Cons, François de Kehl Karjan, 7 €

    ·        Bourrasques, Hubert Le roux, POUR SOUTENIR LES VOCATIONS SACERDOTALES , 10 €

    ·        Vatican II en débat, Questions disputées autour du XXI° concile œcuménique, Abbé Gleize, 15 €

    ·        Aymar de Foucauld, de Saint-Cyr au Mexique… itinéraires d’un officier de cavalerie… E. Dufour, 27 €

    ·        Rues Barbares, Survivre en ville, Piero San Giorgio & Vol West, 21 €

    etc.

    http://www.livresenfamille.fr/

  • Mgr Aillet sur KTO

    IMPRIMER

    La vidéo est accessible : http://www.ktotv.com/

    Présentation :

    "À l'extrême sud-ouest de la France, terre où se joignent les Pyrénées et l'Atlantique, le diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron a accueilli fin 2012 le colloque pour la Vie. Si cet événement a eu un retentissement international, cette attention à la vie n'est pas la seule priorité du diocèse. Ainsi, nous nous rendrons dans la paroisse Notre-Dame-de-l'Assomption pour y observer comment la nouvelle évangélisation y est mise en oeuvre avec dynamisme. Autre point d'attention : les jeunes, qui pour certains trouvent dans l'Institut Samuel un lieu où discerner l'appel de Dieu dans leur vie, tant vocationnel qu'humain. Mgr Marc Aillet sera notre invité."

  • Le dialogue interreligieux à la lumière du concile

    IMPRIMER

    imagesCA6MTDQ9.jpg…Vatican II, of course. Voici comment la docte Commission Théologique  Internationale (CTI), instituée par le Saint-Siège en 1969, développe le message conciliaire confronté au paradigme traditionnel : « extra ecclesiam, nulla salus » : hors de l’Eglise point de salut. L’expression est de saint Cyprien de Carthage (IIIe siècle), interprétant en ce sens la double sentence de Jésus à Nicodème, dans l’Evangile selon saint Jean, chapitre 3 :  « Dieu n'a pas envoyé le Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui » (verset 17) ; « mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. » (verset 18) :

    A titre documentaire (et non scientifique) nous reproduisons ci-après quelques extraits d’une lecture cursive de l’exposé de la CTI, figurant dans les publications vaticanes officielles  (tous les développements ici  CTI 1997. ) :

    « L’appréciation théologique des religions a été rendue pendant longtemps impossible à cause du principe « extra Ecclesiam nulla salus », entendu dans un sens exclusiviste. Avec la doctrine sur l’Église comme « sacrement universel du salut » ou « sacrement du Royaume de Dieu », la théologie essaie de répondre à la nouvelle manière de poser le problème

    La question première aujourd’hui n’est plus de savoir si les hommes peuvent atteindre le salut même s’ils n’appartiennent pas à l’Église catholique visible ; cette possibilité est considérée comme théologiquement certaine. La pluralité des religions… nous interroge sur la possibilité de parler encore de la nécessité de l’Église pour le salut, et sur la compatibilité de ce principe avec la volonté salvifique universelle de Dieu…

    Lire la suite

  • Quand douze religieuses reviennent dans le giron catholique

    IMPRIMER

    12 religieuses anglicanes de l'Oxfordshire, dans le sud de la Grande-Bretagne, se sont converties au catholicisme le 1er janvier 2013. C'est la conception de l'oecuménisme par Benoît XVI. Et c'est le thème du dernier billet de JL Restan traduit sur Benoit-et-moi : http://benoit-et-moi.fr/2013-I/articles/fidele-a-votre-acte-de-bapteme.php

  • Quand un évêque s'applique à réformer son diocèse selon les directives du Concile

    IMPRIMER

    (Zenit.org Anita Bourdin) - Le bienheureux Alain de Solminihac, évêque français (1593-1659), est inscrit ce 3 janvier au martyrologe romain, bien qu’il se soit éteint le 31 décembre 1659.

    Cahors s'honore de l'avoir eu pour évêque, et les Chanoines de Saint-Augustin comme réformateur.

    Jeune, il songea d'abord à réaliser sa vocation chez les Chevaliers de Malte. Mais il décida finalement d'entrer, à l'âge de 20 ans, chez les chanoines réguliers de Saint-Augustin à l'abbaye de Chancelade, près de Périgueux. En ruine, l’abbaye ne comptait plus que trois religieux. Il allait être à l’origine d’un authentique renouveau spirituel.

    Et après son ordination sacerdotale, il partit pour Paris pour y achever ses études de théologie et de spiritualité. Il y rencontra à plusieurs reprises François de Sales, en 1619.

    Et fit la grande retraite selon les Exercices spirituels d’Ignace de Loyola sous la direction du P. Antoine Le Gaudiery, un jésuite célèbre pour son tact de conseiller spirituel. Jusqu’à la mort, il sera fidèle aux résolutions prises alors.

    En octobre 1622, il était de retour à Chancelade. En 1623, il devint abbé et il entreprit la restauration matérielle et spirituelle de l'Ordre, selon les orientations du concile de Trente.

    Sa réputation de sainteté poussa le pape urbain VIII à le choisir comme évêque de Cahors. A l'instar de Charles Borromée à Milan, qu’il admirait, il décida de donner à son diocèse le visage et la vitalité souhaités par le Concile.

    Son épiscopat, de vingt-deux ans, fut marqué une activité intense: convocation d'un synode diocésain, conseil épiscopal hebdomadaire, visite systématique des 800 paroisses du diocèse - il reverra chacune à neuf reprises -, création d'un séminaire qu'il confia aux lazaristes, multiplication des missions paroissiales, développement du culte eucharistique, promotion et fondation d'œuvres caritatives pour les personnes âgées, les orphelins, et les malades, en particulier les victimes de la peste. Et il prêcha lui-même le Jubilé de 1656.

    Lors de sa béatification, le 4 octobre 1981, le bienheureux Jean-Paul II l’a donné comme modèle aux évêques du monde entier en disant: « La figure admirable d’Alain de Solminihac mérite pleinement d’être mise en lumière par l’Eglise qu’il a servie si ardemment. Puissent les évêques de France et de tous les autres pays trouver dans la vie du bienheureux Alain de Solminihac le courage d’accomplir sans peur leur fonction d’évangélisateurs dans le monde contemporain ! »

  • La mystérieuse origine de Jésus

    IMPRIMER
    Une nouveauté radicale qui change le cours de l'histoire
    Catéchèse de Benoît XVI sur la Nativité, 2 janvier 2013

    ROME, 2 janvier 2013 (Zenit.org) - « Comment cet enfant petit et faible peut-il avoir apporté dans le monde une nouveauté radicale au point de changer le cours de l’histoire ? N’y a-t-il pas quelque chose de mystérieux dans son origine ? », se demande Benoît XVI en contemplant l’Enfant Jésus. Il répond : « Il est le Fils unique du Père, il vient de Dieu ».

    Le pape explique ainsi que « ce qui arrive à Marie, à travers l’action de l’Esprit divin, est une nouvelle création ».

    Dans sa première audience générale de l’année, ce mercredi 2 janvier, le pape a repris ses catéchèses sur le thème de la foi en méditant le mystère de l’origine de Jésus, devant les milliers de visiteurs rassemblés dans la salle Paul VI du Vatican.

    Chers frères et sœurs,

    La Nativité du Seigneur éclaire encore une fois de sa lumière les ténèbres qui enveloppent souvent notre monde et notre cœur, et apporte l’espérance et la joie. D’où vient cette lumière ? De la grotte de Bethléem, où les pasteurs trouvèrent « Marie et Joseph et le nouveau-né couché dans la crèche » (Lc 2, 16). Devant cette Sainte Famille surgit une autre question, plus profonde : comment cet enfant petit et faible peut-il avoir apporté dans le monde une nouveauté radicale au point de changer le cours de l’histoire ? N’y a-t-il pas quelque chose de mystérieux dans son origine, qui va au-delà de cette grotte ?

    Lire la suite

  • Pour construire la paix, partir de la paix intérieure de Marie, la Mère de Jésus

    IMPRIMER

    Maria-mit-dem-Jesusknaben.jpgMESSE EN LA SOLENNITÉ DE SAINTE MARIE MÈRE DE DIEU 
    XLVIe JOURNÉE MONDIALE DE LA PAIX

    HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI

    Basilique Saint-Pierre - Mardi 1er janvier 2013

    Chers frères et sœurs !

    « Que Dieu nous bénisse, qu’il fasse resplendir sur nous son visage ». C’est ainsi que nous avons acclamé, avec les paroles du Psaume 66, après avoir écouté dans la première lecture, l’antique bénédiction sacerdotale sur le peuple de l’alliance. Il est particulièrement significatif qu’au début de chaque nouvelle année, Dieu projette sur nous, son peuple, la lumière de son saint Nom, le Nom qui est prononcé trois fois dans la formule solennelle de la bénédiction biblique. Et il est non moins significatif qu’au Verbe de Dieu – qui « s’est fait chair et a habité parmi nous » comme la « vraie Lumière, qui éclaire tout homme » (Jn 1, 9.14) – soit donné huit jours après sa naissance le nom de Jésus, comme nous le raconte l’Évangile d’aujourd’hui (cf. Lc 2,21). (...)

    Bien que le monde soit malheureusement encore marqué par des « foyers de tension et d’opposition causés par des inégalités croissantes entre riches et pauvres, par la prévalence d’une mentalité égoïste et individualiste qui s’exprime également au travers d’un capitalisme financier sans régulation », en plus des différentes formes de terrorisme et de criminalité, je suis persuadé que « les nombreuses œuvres de paix dont le monde est riche, témoignent de la vocation innée de l’humanité à la paix. En chaque personne, le désir de paix est une aspiration essentielle qui coïncide, d’une certaine façon, avec le désir d’une vie humaine pleine, heureuse et accomplie… L’homme est fait pour la paix qui est don de Dieu. Tout ce qui précède m’a conduit à m’inspirer, pour ce Message, des paroles de Jésus-Christ : « Heureux les artisans de paix, parce qu’ils seront appelés fils de Dieu » (Mt 5,9) (Message, n. 1). Cette béatitude « dit que la paix est à la fois don messianique et œuvre humaine… C’est la paix avec Dieu, en vivant selon sa volonté. C’est la paix intérieure avec soi-même et la paix extérieure avec le prochain et avec toute la création » (id. nn. 2 et 3). Oui, la paix est le bien par excellence à invoquer comme don de Dieu et, en même temps, à construire avec effort.

    Lire la suite

  • Grégoire de Nazianze, le théologien

    IMPRIMER

    San_Gregorio_Nazianzeno.jpgSaint Grégoire de Nazianze, évêque et docteur de l'Église (312-389)

    source : Evangile au Quotidien

    G

    régoire doit sa naissance aux prières et aux larmes de sa mère. Elle se chargea elle-même de sa première éducation et lui apprit à lire, à comprendre et à aimer les Saintes Écritures. L'enfant devint digne de sa sainte mère, et demeura pur au milieu des séductions.

    « Un jour, raconte-t-il lui-même, j'aperçus près de moi deux vierges d'une majesté surhumaine. On aurait dit deux sœurs. La simplicité et la modestie de leurs vêtements, plus blancs que la neige, faisaient toute leur parure. À leur vue, je tressaillis d'un transport céleste. "Nous sommes la Tempérance et la Chasteté, me dirent-elles ; nous siégeons auprès du Christ-Roi. Donne-toi tout à nous, cher fils, accepte notre joug, nous t'introduirons un jour dans les splendeurs de l'immortelle Trinité." »

    La voie de Grégoire était tracée : il la suivit sans faiblir toute sa vie.

    Lire la suite