Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Foi - Page 851

  • Un drôle de cathodique

    IMPRIMER

    poster_328028.jpgDe Astrid De Larminat, sur le Figaro :

    Des millions de Français sont férus de la série Fais pas ci, fais pas ça , qui a réussi l'exploit de plaire aux adolescents autant qu'à leurs parents, aux familles bien comme il faut et aux bobos: des curés adorent, notre ministre de la Culture aussi. Savent-ils que l'homme qui a créé et produit cette série formidable, Thierry Bizot, est le même qui a publié en 2008 Catholique ano­nyme, le récit désopilant de sa conversion au Christ, qui a fait un tabac chez les cathos, puis chez les non-croyants par le biais du film qui en a été tiré, Qui a envie d'être aimé, réalisé par Anne Giafferi, son épouse.

    Sans que Thierry Bizot comprenne bien ce qui lui arrivait, après avoir assisté à une soirée de catéchèse pour faire plaisir à un professeur de son fils qui l'y avait invité, Jésus est devenu son meilleur ami. Dans son nouveau livre, Sauf miracle, bien sûr, il raconte, avec un sens de la narration et de l'humour délicieux, les années qui suivirent son coming out christique, lorsqu'il lui a fallu assumer d'être un catho aux yeux du monde et s'ajuster lui-même à sa nouvelle peau.

    Lire la suite

  • Egypte : l’armée arbitre les luttes d’influence au sein d’une société divisée

    IMPRIMER

    Alors que la justice égyptienne a commencé à interroger dimanche 14 juillet 2013 le président déchu Mohamed Morsi et d’autres membres des Frères musulmans, accusé d’espionnage, d’incitation au meurtre de manifestants et de mauvaise gestion économique, Georges Fahmi, chercheur au Forum arabe pour l'alternative (basé au Caire) expose les prises de position des autorités religieuses égyptiennes, copte et musulmane. Lu sur le site de l’œuvre d’Orient cette interview qu'il a accordée au journal " La Croix":

     « Quel a été le rôle des autorités coptes et d’Al-Azhar dans le renversement du président Mohammed Morsi ?

    G.F. : Avant les manifestations de 30 juin, les autorités religieuses, copte et musulmane, ont insisté sur le droit de protester de manière pacifique. Ceci a été perçu par les Frères musulmans comme un encouragement aux manifestations contre le président Mohammed Morsi. Aussi, le cheikh de l’université Al-Azhar, Ahmad Al-Tayeb, et le pape copte Tawadros II ont participé aux négociations qui ont eu lieu le 3 juillet avec l’armée, les jeunes du mouvement Tamarod (« Rébellion »), Mohammad El Baradei comme représentant de Front de Salut National, Sakina Fouad, comme représentante des femmes, le chef du Conseil supérieur de la justice, et un représentant du parti salafiste Nour, afin de trouver une solution à la crise politique. Ils étaient aussi présents durant la déclaration officielle le soir du nouveau plan de transition démocratique. Le discours du général Al-Sissi, chef de l’armée, a été suivi par un discours d’Al-Tayeb et de Tawadros. 

    Lire la suite

  • Le courage de déplaire

    IMPRIMER

    Chaque fois que nous récitons le credo, nous disons : « Il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts ». Pour « juger » et non pour « applaudir ». Evidemnent, cela  suppose notre adhésion à ces paroles.  Cela suppose aussi que nous croyons qu'il y a réellement une vie au-delà de ce monde. Seulement voilà, comme nos évêques et nos prêtres se taisent sur ce sujet, certains en viennent à se demander s'il y a vraiment lieu de se préparer à un avenir éternel. « Silence sur l'essentiel », déplorait  en son temps le cardinal Danielou. Certes, tant qu'il s'agit de prendre des positions qui plaisent au monde et qui suscitent l'admiration des médias, nos épiscopes n'ont crainte de prendre leur plume ou les micros. Mais dès qu'il s'agit de protéger la foi, d'aller à contre-courant, de parler (comme le fait le Pape) des ruses du démon et des fins dernières, motus et bouche cousue. Dès lors, de deux choses l'une : ou bien le Christ et les apôtres se sont trompés en nous parlant à temps et à contretemps de notre salut éternel qu'ils considéraient comme essentiel, et dans ce cas là, nos évêques ont raison, ou bien ils avaient raison et nos évêques sont grandement dans l'erreur (pour ne pas dire dans l'apostasie). Ne leur en déplaise, je crois qu'un jour viendra où, dans l'au-delà (dans cet au-delà dont on peut se demander s'ils y croient encore),  une question leur sera posée, tranchante comme une lame de rasoir : « As-tu eu le courage de déplaire ? Toi qui as eu la responsabilité de guider le peuple, t'es-tu courbé devant le monde pour te faire admirer ou à l'image des martyrs, as-tu eu l'audace de proclamer ma Parole dans son intégralité, sans la déformer, sans la réduire à un message édulcoré et insipide, étranger à la vérité que j'avais donnée ? Oui, notre monde a un urgent besoin d'apôtres, de témoins qui, à l'image d'un saint Paul, accepteront de rester fidèles, quoi qu'il arrive...

    Jean-Pierre Snyers 

  • Diocèse de Toulon : une formation pour la forme extraordinaire

    IMPRIMER

    Nouvelle d’importance pour les aspirants au sacerdoce : le diocèse de Fréjus-Toulon, dès la rentrée de septembre, ouvrira une voie de formation diocésaine spécifique pour les candidats au sacerdoce qui sont attachés à la forme extraordinaire de la liturgie :

    « Une maison annexe du séminaire, un peu conçue selon le modèle des maisons parisiennes accueillant les séminaristes, est destinée à recevoir tant des étudiants en propédeutique que des séminaristes du premier et du second cycle, pour le diocèse de Toulon ou pour d’autres diocèses, et envoyés dans ce cas par les évêques de ces diocèses.

    Mgr Rey a désigné comme supérieur de cette maison, situé sur le territoire de la paroisse de La Crau, un prêtre du diocèse, l’abbé Marc de Saint-Sernin, qui faisait précédemment des études de patristique à Rome. Étudiants en propédeutique et séminaristes y mèneront une vie de communauté et iront suivre cours et conférences au séminaire diocésain de la Castille. Ils bénéficieront, dans leur maison, de cours de chant grégorien et de toute la formation pratique et théorique nécessaire à leur visée spécifique.

    Lire la suite

  • A propos du Père François Mourad, martyr en Syrie

    IMPRIMER
    sur Zenit.org : 

    Depuis le 18 juin, la paix en Syrie, et le sort des chrétiens en particulier, à Homs et Alep, sont l'intention de prière proposée par Zenit. C'est pourquoi nous vous faisons part de ce témoignage.

    Un courriel en date du 13 juillet, dont nous taisons la source pour ne pas la mettre en danger, nous fait parvenir ces lumières sur le martyre du père François Mourad, en Syrie, à Ghassanié, le dimanche 23 juin, à l'âge de 49 ans.

    Son dernier SMS

    Le P. François, après plusieurs essais de vie religieuse et monastique (entre autres chez les Franciscains et à la Trappe de Latroun, au Liban), avait fondé, sous l'obédience de l'évêque syriaque catholique de Hassaké, Mgr Behnam Hindo, un monastère à Saint Siméon le Stylite. Les constructions commençaient quand il dut quitter les lieux par prudence. Il recommença plus loin ; mais même résultat au bout de quelques mois. Finalement il avait construit un monastère près de Ghassanié, au nord ouest d'Alep, près de la frontière turque. Ce monastère avait été inauguré en août 2010. 
    Il y a quelques mois, ce monastère fut envahi et pillé par l'armée libre qui a tout pris - même les portes -!  ou démoli.   Le P. François s'est alors réfugié à la paroisse latine de Ghassanié, tenue par des Franciscains. 
    Le Père François aimait beaucoup – en plus de la Petite Thérèse -  le P. Charles de Foucauld : il vivait une même situation de solitude et d'échec et il est mort comme lui, de mort violente.  
    Sa pauvre maman est effondrée. Elle avait déjà perdu un fils et une fille et un petit- fils mort d'un cancer il y a un an environ. 

    Lire la suite

  • 11-17 août : retraite de lectio divina consacrée à l'Apocalypse

    IMPRIMER

    MRG-Apocalypse_2013_site1-210x300.jpg

    cliquer sur l'image pour accéder aux informations

  • 16 juillet : Notre Dame du Mont Carmel

    IMPRIMER

    Notre-Dame du Mont Carmel


    1. Ave Maris Stella, Dei Mater alma, 
    Atque semper virgo, felix coeli porta.

    Salut, étoile des mers, Auguste Mère de Dieu, salut, 
    ô toujours Vierge, heureuse porte du Ciel.

     
            
    2. Sumens illud Ave Gabrielis ore, 
    Funda nos in pace, mutans Evae nomen.

    Vous qui avez agréé le salut de Gabriel, 
    daignez en changeant le nom d'Ève nous donner l'Ave de la paix.

          
     

    3. Solve, vincla reis, profer lumen caecis, 
    Mala nostra pelle, bona cuncta posce.

    Délivrez les captifs, éclairez les aveugles, 
    chassez loin tous nos maux, demandez pour nous tous les biens.

     

     

    4. Monstra te esse matrem. Sumat per te preces. 
    Qui pro nobis natus tulit esse tuus.

    Montrez que vous êtes notre Mère, et que par vous reçoive nos prières 
    Celui qui, né pour nous, a bien voulu être votre Fils.

     
     

    5. Virgo singularis, inter omnes mitis, 
    Nos culpis solutos, mites fac et castos.

    O Vierge incomparable, douce entre toutes, obtenez-nous, 
    avec le pardon de nos fautes, la douceur et la chasteté.

     
     

    6. Vitam praesta puram iter para tutum, 
    Ut videntes Iesum, semper collaetemur.

    Obtenez-nous une vie pure. Écartez le danger de notre chemin, 
    afin qu'admis à contempler Jésus, nous goûtions l'éternelle joie.


     

    7. Sit laus Deo Patri, summo Christo decus. 
    Spiritui Sancto, tribus honor unus. Amen.

    Louange à Dieu le Père ! Gloire au Christ souverain ! 
    Louange au Saint-Esprit ! Aux trois, un seul et même hommage. Amen.

  • 15 juillet : saint Bonaventure, un grand docteur de l'Eglise

    IMPRIMER

    pordenone-saint-bonaventure-NG4038-fm.jpgLe 3 mars 2010, le pape Benoît XVI a consacré sa catéchèse à cette grande figure franciscaine :

    Chers frères et sœurs,

    Aujourd'hui, je voudrais parler de saint Bonaventure de Bagnoregio. Je vous avoue qu'en vous proposant ce thème, je ressens une certaine nostalgie, car je repense aux recherches que, jeune chercheur, j'ai conduites précisément sur cet auteur, qui m'est particulièrement cher. Sa connaissance a beaucoup influencé ma formation. C'est avec une grande joie que je me suis rendu en pèlerinage, il y a quelques mois, sur son lieu de naissance, Bagnoregio, petite ville italienne dans le Latium, qui conserve avec vénération sa mémoire.

    Né probablement aux alentours de 1217 et mort en 1274, il vécut au XIIIe siècle, à une époque où la foi chrétienne, profondément imprégnée dans la culture et dans la société de l'Europe, inspira des œuvres durables dans le domaine de la littérature, des arts visuels, de la philosophie et de la théologie. Parmi les grandes figures chrétiennes qui contribuèrent à la composition de cette harmonie entre foi et culture se distingue précisément Bonaventure, homme d'action et de contemplation, de profonde piété et de prudence dans le gouvernement.

    Il s'appelait Jean de Fidanza. Comme il le raconte lui-même, un épisode qui eut lieu alors qu'il était encore jeune garçon, marqua profondément sa vie. Il avait été frappé d'une grave maladie, et pas même son père, qui était médecin, espérait désormais pouvoir le sauver de la mort. Alors, sa mère eut recours à l'intercession de saint François d'Assise, canonisé depuis peu. Et Jean guérit.

    Lire la suite

  • BXL, 16 juillet : solennité de Notre-Dame du Mont Carmel

    IMPRIMER
    Mardi 16 juillet 2013
    Solennité de Notre-Dame du Mont Carmel
    18h30: Messe solennelle animée par la chorale Mater Amabilis.
     

     

    EGLISE DES CARMES
    Avenue de la Toison d'Or 44-45 
    Proximité Avenue Louise
  • Accueil chaleureux des Liégeois pour Mgr Delville

    IMPRIMER

    L'abbé Jean-Pierre Delville a été officiellement ordonné nouvel évêque du diocèse de Liège dimanche lors d'une cérémonie de trois heures empreinte d'enthousiasme en la cathédrale Saint-Paul.

     Les 1.500 chaises installées pour l'occasion n'ont pas suffi à accueillir les quelques 2.000 personnes venues assister à l'évènement. De nombreux spectateurs sont même restés debout, d'autres équipés de chaises pliables ont pu se faufiler entre les allées combles et le cloître affichait complet. Tous les évêques du pays, dont le cardinal Danneels, étaient présents à l'exception de Mgr Kockerols, en déplacement aux Journées Mondiales de la Jeunesse au Brésil.

    Des personnalités du monde politique liégeois ont aussi répondu à l'appel, comme le bourgmestre Willy Demeyer et Michel Foret, gouverneur de la province de Liège. La Communauté germanophone était représentée par Alexander Miesen, président du Parlement et Isabelle Weykmans, ministre de la Culture, des Médias et du Tourisme.

     Plusieurs évêques sont venus de l'étranger pour soutenir l'ancien professeur d'histoire dans sa mission, mais aussi des représentants de toutes les confessions du pays dont les communautés juives et musulmanes, remerciées personnellement par Mgr Delville pour leur présence. Un autre invité d'honneur a fait le déplacement de Rome, Andrea Riccardi, président-fondateur de la communauté Sant'Egidio, dont le Liégeois est très proche.

     La cérémonie s'est déroulée au sein d'une eucharistie classique, en respectant le schéma traditionnel de l'ordination en plusieurs temps, à commencer par la lecture de la bulle pontificale. Dans son homélie, Mgr Léonard, évêque consécrateur principal du jour, a ensuite souligné "l'engagement social" de Mgr Delville "auprès des plus démunis de notre société" et lui a souhaité force et "enthousiasme communicatif". Après avoir évoqué, non sans humour, le cumul "non taxé" des différents titres associés à l'abbé Delville, Mgr Léonard a finalement fait allusion à la devise choisie par le nouvel évêque: "le fleuve, ses bras réjouissent la ville de Dieu".

     La parabole du Bon Samaritain, sélectionnée pour l'occasion, a servi de fil rouge à la cérémonie. C'est un nouvel évêque attentif et concerné qui a répondu par l'affirmative aux questions posées par les évêques consécrateurs concernant l'acceptation de sa mission. Vient alors la Litanie des Saints, où tous les saints (Jean XII et Jean-Paul II, bientôt canonisés, ont été ajoutés à la liste) sont invoqués en soutien tandis que le futur évêque se prosterne devant l'autel. Les 26 évêques rassemblés ont alors procédé, comme le veut la tradition, à l'imposition des mains avant la prière d'ordination. Le tout dans une cathédrale silencieuse et emplie d'émotion.

     Le point d'orgue de la cérémonie de dimanche restera la remise par Mgr Léonard du Livre des Evangiles, de l'anneau, de la mitre et de la crosse, signes de son ministère, au successeur de Mgr Jousten, d'ailleurs très ému et avec qui Mgr Delville a partagé une franche accolade.

    Lorsqu'il s'est assis, confiant, sur le siège épiscopal, Mgr Delville a été acclamé pendant plus de dix minutes par un public visiblement conquis par la personnalité de ce nouveau veilleur pour le diocèse de Liège, qui a pris le temps de saluer l'assemblée et tous les représentants de l'Eglise qui ont co-célébré l'évènement.

     Nouveau tonnerre d'applaudissements lorsqu'il a été invité à faire le tour de "sa cathédrale", saluant au passage bon nombre de fidèles. L'ancien vicaire de Saint-Jacques a clôturé la célébration par une allocution de remerciements, avec un mot pour chacun de ses proches: sa famille, sa cousine centenaire, ses amis et ses collègues de l'UCL, sans oublier les deux évêques enlevés en Syrie ni la communauté Sant'Egidio, à qui il doit beaucoup "dans son développement spirituel". Celui qui sera à présent à la tête du diocèse de sa ville natale a remercié aussi l'assemblée, "qui donne une image vivante de l'Eglise dans sa diversité et dans sa joie". "L'avenir de notre diocèse est entre nos mains", a-t-il ajouté.

    Particularité de son discours, Mgr Delville s'est essayé à plusieurs langues: l'italien, le néérlandais mais aussi le wallon, en invitant les personnes présentes à un verre de l'amitié "sans peket, mais avec du vin blanc pour le 14 juillet",  terminant par un sympathique "A tot-rade" (à tout à l'heure).

     Mgr Delville a été nommé nouvel évêque de Liège en mai dernier par le pape François. Avant cela, il a, entre autre, enseigné la théologie fondamentale et l'histoire de l'Eglise au Séminaire de Liège. Cet organiste passionné a été ordonné prêtre en 1980.

    Ici: Accueil chaleureux des Liégeois pour Mgr Delville

  • Un traité mal traité

    IMPRIMER

    De notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Je dois vous avouer que j'ai lu, en son temps, le « Traité d'athéologie » signé Michel Onfray. Autant vous le dire tout de suite, celui-ci m'a convaincu... convaincu que je fais bien de rester catholique. Outre le fait que l'auteur s'improvise historien, exégète et théologien, outre le ton délibérément méprisant à l'égard de ceux qui ont l'audace de ne pas penser comme lui, on ne comprend toujours pas sur quoi repose son athéisme. Sur l'indémontrabilité de l'existence de Dieu ? Autant affirmer que la réalité d'un Etre suprême repose sur l'indémontrabilité de son inexistence ! Si M.Onfray était agnostique, on le comprendrait. Seulement voilà, il est athée et, ce faisant, il quitte le terrain de la raison (cette raison qu'il déifie) pour rejoindre celui de la croyance. Affirmer de façon dogmatique l'inexistence de Dieu sans pouvoir la démontrer relève d'un acte de foi. Paradoxalement, voici l'auteur dans le rang des croyants. Dès lors vient une question : le procès qu'il ne cesse de faire aux déistes et aux théistes, pourquoi ne le fait-il pas à tous ceux qui, comme lui, se contentent de nier l'existence de Dieu sans en apporter la moindre preuve ? Libre à lui de croire que l'univers est une horloge sans horloger, ou un tableau sans peintre. Libre à lui également de refuser le miracle d'une création voulue par Dieu et de préférer croire en un nombre incalculable de miracles produits par le hasard. Personnellement, j'ai fait mon choix. Et ce n'est pas après avoir lu son livre que j'aurai assez de foi pour être athée !...

    Jean-Pierre Snyers - Blindef 2 - 4141 Louveigné

  • Neuvaine de prière aux intentions du pays et de la dynastie

    IMPRIMER

    Chères amies et chers amis de la Belgique,

    Nous l’avons tous appris: le Roi des Belges, Albert II abdique le 21 juillet 2013 en faveur de son fils, le Prince Philippe.

    Ayant un âge avancé, Le Roi a en effet jugé bon de se retirer après avoir servi la Belgique et ses citoyens pendant 20 ans ! Durant son règne, le Roi a été un incontestable élément d’unité entre les
    Communautés, continuant ainsi sur les traces de son frère le Roi Baudouin.

     

    Tournés vers l’avenir, nous voulons manifester notre joie, notre confiance et notre espérance en la personne du Prince Philippe, notre futur Roi. Conscients que son règne ne sera pas simple, nous tenons à lui adresser tout notre soutien, nos encouragements et surtout nos prières.

    Nous vous proposons donc de vous joindre à une grande Neuvaine  (ci-joint) qui débutera le samedi 13 et se terminera le dimanche 21 juillet, jour de la Fête Nationale, aussi jour de l'abdication du Roi Albert IIet de l’intronisation du Prince Philippe.


    textes et prières en pdf accessible ICI


    Nous vous encourageons de tout coeur à être nombreux à la prier. Elle ne prend pas beaucoup de temps, et nous sommes certains que ces prières porteront la Belgique en cette période de transition.

     

    Prions, par l’intercession du Roi Baudouin, pour que cette transition se fasse dans la paix, la joie, le respect et l’espérance, en incluant dans nos prières tout spécialement le Roi Albert et la Reine Paola, ainsi que le Prince Philippe et la Princesse Mathilde et leurs enfants.

    Nous vous invitons dès maintenant à transférer la neuvaine à tous vos proches. Le plus nombreux nous sommes, le mieux!

    L'Union fait la Force!

    Le Comité de "Prier pour la Belgique avec le Roi Baudouin"

    PS: Flemish and English Version will follow shortly
    PPS: Pour les 20 ans de la mort du Roi Baudouin, Messe le 31 juillet à
    11h, à la cathédrale Ste. Gudule, en présence de la famille royale.