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Foi - Page 847

  • Une invitation de Mgr Léonard pour le 9 mars (BXL)

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    Bruxelles, le 9 mars 2013 (Source)

    PRIER ENSEMBLE POUR LA CONVERSION

    DU CŒUR HUMAIN

     

    Depuis plusieurs mois, je suis impressionné par le nombre de personnes qui me disent leur désir de prier ensemble pour la conversion du cœur humain et, par là même, pour la guérison de l’humanité. Je partage leur préoccupation et leur espérance. 

    Nous nous sentons tous submergés par les redoutables dangers qui menacent l’humanité. Une crise financière, puis économique, qui ne cesse de faire des ravages et de fragiliser les plus vulnérables de notre société. Les pertes d’emploi à répétition, sources de graves découragements. La montée de la violence en tant de régions du monde. L’intolérance religieuse dont les chrétiens sont majoritairement victimes à travers le monde. Les menaces pour l’avenir de la famille, liées à des législations qui ne respectent pas son identité fondamentale. Semblablement, les nuages toujours plus menaçants qui pèsent sur le respect de la vie humaine commençante ou finissante de par la banalisation de l’avortement et les projets d’extension de la pratique de l’euthanasie. Le saccage écologique de notre planète avec ses lourdes conséquences pour l’avenir de l’humanité. Et la liste n’est pas exhaustive !

    Face à tout cela, il y a des combats à mener sur divers plans, chacun selon ses responsabilités. Mais tous, nous pouvons intervenir, quelle que soit notre situation, par la prière incessante et suppliante, dont Jésus nous a garantis qu’elle sera exaucée.

    C’est pourquoi je vous invite, le samedi 9 mars prochain, à une journée de prière et d’intercession pour la conversion du cœur humain (d’abord le nôtre, bien sûr !) et la guérison de l’humanité.

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  • Pour la catéchèse des plus jeunes : un cahier de baptême

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    Mon Cahier de baptême

    Dans la ligne de ses précédents albums à succès pour la préparation des enfants aux sacrements de l'Eglise, Transmettre vient de publier Mon Cahier de Baptême.

    Mon Cahier de baptême s’adresse à des enfants en âge scolaire, (de 7 à 11 ans environ) qui désirent recevoir le sacrement du baptême. Il propose une préparation en 4 étapes, conformément à la pratique prescrite par l’Eglise et décrite dans le Rituel du Baptême des Enfants en âge de scolarité (RBE).

    Ce cahier s’applique à fournir aux enfants les éléments indispensables pour comprendre le sens et la richesse du baptême, dans le plan du salut de Dieu, selon une progression qui suit au plus près ces 4 étapes. Elles leur sont présentées dans leur dimension spirituelle, les compléments pratiques ou autres, pouvant leur être donnés de manière plus détaillée à partir du RBE et des choix pastoraux propres à chaque paroisse.

    L’enfant est invité à lire et à comprendre les exposés, à faire les activités qui lui sont proposées à la suite, afin d’approfondir et de mémoriser ce qui a été vu, et ceci, sous la conduite d’un accompagnateur (parent ou catéchiste). Ce cheminement peut être fait en groupe, lorsque l’on aura pu réunir plusieurs candidats progressant au même rythme.

    Au sommaire :

    •  En route vers la première étape : l’appel au Baptême. Comment Dieu se fait-il connaître ? Le Notre Père.
    • En route vers la 2e étape : La foi de l’Eglise : le Credo
    • En route vers la 3e étape : la liturgie du Baptême
    • En route vers la 4e étape, ou Baptême : la vie dans le Christ. Les dons surnaturels du Baptême
    • Après le baptême.

    Seulement 7,90 euros

    Pour commander en ligne 

    www.transmettre.fr

  • Tite et Timothée

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    Sur le très précieux Missel.free.fr :

    Saint Timothée et saint Tite, compagnons de voyage et amis de saint Paul, furent choisis par l’Apôtre pour gouverner, l’un l’Eglise d’Ephèse et l’autre l’Eglise de Crète. Autrefois, le premier était fêté le 24 janvier et le second le 4 janvier.

    Saint Timothée

    Né à Lystres d’un père païen, fut, avec sa mère (Eunice) et sa grand-mère (Loïs), juives et croyantes, converti par saint Paul qui, sur la recommandation des prophètes de la communauté de Lystres, le prit comme compagnon de voyage. Saint Paul lui confia des missions près des communautés (Thessalonique, Macédoine, Corinthe) et l’utilisa comme secrétaire pour rédiger les épîtres. Après avoir partagé sa première captivité, il accompagna saint Paul jusqu’à ce que celui-ci lui demandât de rester à Ephèse dont il fut le premier évêque. La tradition dit qu’il fut massacré à coups de massue et de pierres dans une émeute populaire, pour avoir voulu dissuader le peuple de se mêler aux désordres d’une fête païenne. Le corps de saint Timothée fut enterré près de celui de saint Jean, à Ephèse, où il resta jusqu’à ce qu’on le transportât à Constantinople (356).


    Saint Tite

    Né dans le paganisme, aurait été, selon une ancienne tradition, de parents nobles, de la race royale de Minos, roi de Crète. Cette même tradition ajoute qu’il aurait fait de solides études en lettres profanes quand il aurait entendu une voix mystérieuse lui ordonnant de quitter son pays et de sauver son âme, ajoutant que la science profane des Grecs lui serait peu utile pour son salut. Il aurait attendu un an au bout duquel la même voix lui aurait dit de lire les Ecritures des Hébreux. Son oncle, proconsul de Crète, ayant appris la naissance du Messie d’Israël, l’aurait envoyé à Jérusalem où il aurait connu le Seigneur qui l’aurait compté parmi ses soixante-douze disciples. Témoin de la vie publique de Jésus, de sa Passion, de sa Résurrection et de son Ascension, il aurait été consacré par les Apôtres et adjoint à saint Paul.

    Plus probablement, on pense que Tite, né païen, fut converti par saint Paul qui, quatorze ans plus tard, l’ayant rencontré à Antioche, l’emmène jusqu’à Jérusalem où il assiste au fameux « concile » qui rejette la circoncision des païens. A partir de ce moment là, il accompagne saint Paul dans ses voyages et lui sert de messager, singulièrement vers les communautés de Corinthe et d’Ephèse. Après la première captivité de saint Paul, il aborda en Crète avec l’Apôtre qui l’y laissa jusqu’à ce qu’il l’envoie en Dalmatie. Après le martyre de saint Paul, Tite revint en Crète où, disent les byzantins, il mourut dans un âge très avancé (quatre-vingt-quatorze ans). Le corps de saint Tite resta dans la cathédrale de Gortyne jusqu’à ce que la cité fût détruite par les musulmans (823) ; on ne retrouva que la tête de Tite qui fut transportée à Venise où elle est vénérée à Saint-Marc.

  • Michel Lelièvre, une rédemption dans la foi ?

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    La Libre de ce jour relaie une dépêche de l'Agence Belga intitulée, très approximativement : "Michel Lelièvre veut aussi entrer dans les ordres". 

    En fait, on y apprend que "Michel Lelièvre, l'ex-complice de Marc Dutroux, s'est converti au protestantisme et a écrit à plusieurs couvents afin d'y être accueilli"; ce qui ne signifie évidemment pas qu'il veuille "entrer dans les ordres". D'après cette dépêche, Michel Lelièvre se serait "également adressé à l'archevêque Léonard (sic)" mais aurait essuyé une fin de non-recevoir.

    "Michel Lelièvre, 41 ans, est en prison depuis 1996. En 2004, il a été condamné à 25 ans de prison. Depuis huit ans, il entre déjà en considération pour une libération conditionnelle. Toutes ses tentatives ont jusqu'à présent été torpillées par le fait qu'il a été attrapé en prison en possession de drogue." Il serait aujourd'hui désintoxiqué. 

    "A partir du 26 février, cela fera un an que sa dernière demande de libération conditionnelle aura été introduite. Il pourra dès lors en faire une nouvelle. Il viserait également un congé pénitentiaire sous l'accompagnement de l'aumônier de la prison d'Ittre. Actuellement, il ne sortirait plus de sa cellule que pour participer à la messe du jeudi et aux chants gospel, selon son dossier."

  • "Il était une foi", un film pour aller à la rencontre des chrétiens persécutés à travers le monde

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    20413305.jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpgSortie en France du film «Il était une foi» de Pierre Barnerias : Deux vélos (Osservatore Romano)

    «Le christianisme est devenu de très loin la religion la plus persécutée. Mais l’occident fait l’autruche. Il fait semblant de rien. Ce n’est rien. Rien que des chrétiens qu’on égorge. Des communautés religieuses que l’on persécute. Mais où cela? – Un peu partout. ». Ainsi écrit le très laïc « Nouvel Observateur » à propos des chrétiens persécutés dans le monde et d’une opinion publique qui sous évalue, redimensionne, voire ignore, le phénomène.

    En France, deux jeunes, d’un peu plus de vingt ans, Charles Guilhamon et Gabriel De Lepinau, ont voulu les connaître et les faire connaître. Parce qu’ils savent qu’une grande partie d’entre eux est victime de violences que dans de nombreux pays ils risquent l’extinction. Mais l’objectif du film n’est pas pour autant de dénoncer cela. Les jeunes ont pris deux vélos et ils sont allés les chercher pour parler avec eux, de leur vie, pour essayer de comprendre la force de leur foi. Comment  celle-ci s’enracine-t-elle et reste-t-elle ferme ? Comment réussit-elle à être forte et même joyeuse dans des situations si difficiles ?

    Un film en est né Il était une foi de Pierre Barnerias qui a été sélectionné pour le festival du cinéma des journées mondiales de la jeunesse à Madrid, et au festival du film spirituel de Barcelone et de Rome et, depuis quelques jours, il est projeté à Paris. Un documentaire sans voiles qui pendant une heure et demie permet au spectateur de voyager avec les deux cyclistes, de parcourir des routes désertes ou noires de monde, du Moyen-Orient jusqu’aux rivages du Pacifique. Puis de traverser, en avion, l’océan jusqu’au Brésil, en pirogue, le fleuve Amazone et, encore, d’arriver jusqu’au Sénégal et l’Algérie avant de revenir, après 365 jours, dans les rues de Paris.

    Lire la suite sur le site de l'Osservatore Romano

  • Quand Mgr Lefebvre revient à Liège…

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    lefebvre.jpgOn projette demain (samedi 26 janvier) à Liège un film sur le fondateur de la Fraternité Saint Pie X. Cela me rappelle qu’en 1974, alors que la rupture avec Rome n’était pas encore consommée, Monseigneur Lefébvre vint dans la Cité Ardente où il donna une conférence au Palais des Congrès devant une petite assemblée. Il rencontra alors des personnalités phares du « combat » traditionaliste comme le Professeur Marcel De Corte et l’écrivain Alexis Curvers. Il nous a laissé le souvenir d’une personnalité affable, souriante, aimable, bien éloignée de l’image que l’on peut se faire d’un évêque va-t-en-guerre.

    Religieux spiritain (il en fut supérieur général) et évêque en pays de mission (archevêque de Dakar) avant de revenir en France, Mgr Lefebvre participa au concile Vatican II dont il signa les constitutions et les décrets tout en faisant partie de la minorité qui résistait au courant réformiste majoritaire. Foncièrement « pastoral », il fut effrayé par la dérive des milieux catholiques dans les années soixante. Il constata l’affaiblissement de la vie religieuse dans son ordre où, disait-il, il n’était pas rare de voir les bons pères assis devant la télévision plutôt qu’occupés à chanter les complies. Il s’inquiéta de voir les dévotions traditionnelles mises au rancart : dénigrement de la piété eucharistique et mariale, disparition des processions et autres formes de dévotion populaire. L’œcuménisme l’inquiétait ; il se demandait si « pour rester catholique, il allait falloir devenir protestant ». La « nouvelle messe » de Paul VI lui parut suspecte de faire oublier la réactualisation du sacrifice du Calvaire au profit du seul repas eucharistique. La chute des vocations, le comportement des « nouveaux prêtres », l’évolution des séminaires et des noviciats, le conduisirent à créer un lieu de formation pour de futurs prêtres dans l’esprit de la tradition, sans que, dans un premier temps, cela fit problème.

    L’année 1975 fut celle du tournant crucial qui conduisit l’archevêque vers la rupture avec Rome. Le gouvernement de l’Eglise sous Paul VI, contrairement à ce que l’on voit aujourd’hui, semblait peu disposé à se montrer compréhensif à son égard ou à entendre ses griefs et ses plaintes ; on préféra recourir à une « descente » canonique à Ecône et à des semonces peu fraternelles. Mais, de son côté, l’entourage de Mgr Lefebvre se radicalisait également. Alors que, jusque-là, des personnalités plus modérées fréquentaient le séminaire et y enseignaient, on assista à un resserrement des rangs dans une optique nettement plus intégriste : les éléments « suspects » furent écartés ou ne se présentèrent plus et la conviction d’incarner à soi seul  « l’Eglise de toujours » face à une Eglise dévoyée se fit de plus en plus forte. Doux mais têtu, Monseigneur Lefebvre fut-il bien assisté et conseillé ? On peut se permettre d’en douter. N’a-t-il pas été l’otage d’une coterie de clercs mal inspirés qui l’ont orienté vers des prises de position et des actes qui ne cadraient pourtant pas avec sa personnalité fondamentalement bonne et affable ? On peut le penser. Ainsi le vit-on venir confirmer et ordonner ici et là, et même consacrer des évêques en dépit de toutes les règles canoniques, convaincu qu’il était légitime d’obéir à Dieu et à la Tradition plutôt qu’à un pape et à des évêques apparemment égarés sur le mauvais chemin.

    Ceux qui ont approché ce « prélat », si peu protocolaire en fait, ne pouvaient pas ne pas être touchés par son extrême gentillesse. Son tempérament d'homme des Flandres (il venait de Tourcoing) ne le portait pas spontanément à l'intransigeance. Il a fallu l'y pousser. De même, fils d'un résistant mort dans un camp, il n'était pas naturellement attiré par les nostalgiques du maréchal. Là où il est aujourd’hui, acquiesce-t-il à toutes les attitudes de ceux qui se réclament de lui et cultivent une détestable propension à l’anathème et au rejet ? La tentation est forte, en effet, de se vouloir « purs comme des anges » mais en risquant « d’être orgueilleux comme des démons », comme ce fut autrefois le cas des disciples de Jansénius et de Port-Royal…

    Y.W.

  • Unité des chrétiens: orgueil, colère, impatience et zèle désordonné

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    En cette semaine de prière pour l'Unité, il n’est peut être pas inutile que nous relisions, chacun pour soi-même, une lettre de Mgr Di Noia, qui est au fond pour nous tous (extrait):

    « Afin de persévérer dans l'unité de l'Église, saint Thomas d'Aquin remarque que, d'après saint Paul, « il faut cultiver quatre vertus et proscrire les quatre vices qui leur sont opposés » (Commentaire de la Lettre aux Éphésiens, § 191). Que faut-il éviter sur la voie de l'unité ?

    L'orgueil, la colère, l'impatience et le zèle désordonné. D'après l'Aquinate, « le premier vice rejeté par [saint Paul] est l'orgueil. Quand une personne arrogante décide de diriger les autres, alors que ces autres, dans leur fierté, refusent de se soumettre, des désaccords surgissent dans la société, et la paix disparaît... La colère est le deuxième vice. Car un colérique est porté à l'injustice, verbale ou physique, ce qui provoque la confusion. .... Le troisième est l'impatience. Parfois, un homme humble et doux, qui s'interdit de provoquer le trouble, ne supporte pas avec patience les attaques effectives ou projetées qu'on porte contre lui. ... Le quatrième vice est le zèle désordonné. Le zèle désordonné peut porter sur n'importe quoi; à cause de lui, les hommes vont juger de tout ce qu'ils voient, sans attendre le bon moment ou le bon endroit, et c'est une catastrophe pour la société». 

    Comment pouvons-nous agir contre ces vices? Saint Paul nous dit: « Ayez beaucoup d'humilité, de douceur et de patience, supportez-vous les uns les autres avec amour » (Ep 4, 2).

    D'après l'Aquinate, en nous faisant voir la bonté présente chez les autres et reconnaitre nos propres forces et nos propres faiblesses, l'humilité nous aide à éviter l'esprit de rivalité dans nos rapports avec autrui. La douceur « aplanit les difficultés et préserve la paix » (Commentaire de la Lettre aux Éphésiens, § 191). Elle nous aide à éviter les manifestations désordonnées de colère en nous donnant la sérénité de faire notre devoir avec égalité d'humeur et dans un esprit de paix. La patience nous rend capables de supporter la souffrance pour obtenir le bien recherché, surtout s'il est difficile à atteindre ou si des circonstances extérieures militent contre la réalisation de l'objectif.

    La charité fait éviter le zèle désordonné en nous donnant de nous soutenir les uns les autres, « en portant les défauts des autres avec charité» (ibid.). Saint Thomas donne ce conseil: « Quand quelqu'un tombe, il ne faudrait pas immédiatement le corriger, à moins qu'il y ait un temps et un lieu pour cela. Il faudrait attendre avec compassion, puisque la charité supporte tout (1 Co 13, 7). Il ne s'agit pas de tolérer par négligence ou complicité, par familiarité ou amitié charnelle, mais par charité. ... Nous qui sommes forts, nous devons porter les infirmités des faibles (Rm 15, 1). » 

    Ici : Unité des chrétiens: orgueil, colère, impatience et zèle désordonné

  • Un ordinariat pour les luthériens : des éclaircissements bienvenus

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    Jean Mercier, sur son blog "paposcopie" revient sur cette question que nous avons déjà évoquée à deux reprises :

    En pleine semaine de l’unité des chrétiens, deux responsables luthériens critiquent vivement l’idée, suggérée par deux poids lourds du Vatican, de la création d’un ordinariat destiné à accueillir des luthériens attirés par Rome.

    L’Eglise catholique a t-elle le droit de braconner en terre protestante ? C’est, grossièrement résumée, la question qui sous-tend la polémique secouant les milieux de l’oecuménisme... Alors que nous sommes en plein dans la semaine de prière pour l’unité des chrétiens, des responsables luthériens ont fait savoir leur mécontentement quant à la rumeur d’une possible création par Rome d’un ordinariat luthérien, à l’instar des ordinariats anglicans mis en place ces deux dernières années dans les pays anglo-saxons.

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  • ZENIT.org informe... (24/1)

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    Vietnam: refonte de la Constitution, décryptage de EDA
    Déjà 800 signatures pour une lettre ouverte

    Réseaux sociaux: présentation du Message de Benoît XVI
    "Dans la dynamique de la nouvelle évangélisation"

    Jordanie : plus de 10.000 réfugiés syriens en danger dans le désert
    Secourus par les soeurs comboniennes

    Pologne : le card. Glemp s'est éteint
    Benoît XVI salue "un homme juste dans l'esprit de saint Joseph"

    Réseaux sociaux : Benoît XVI positif mais pas naïf
    Analyse du message du pape par Mgr Celli

    Evangéliser le numérique : authenticité, cohérence, discrétion
    Expertise de Benoît XVI sur les réseaux sociaux

    Benoît XVI rend hommage à un entrepreneur chrétien
    La foi profonde de Giovanni Agnelli

    Emirats Arabes Unis : une loi sur la protection des enfants
    Après la fin tragique d'une petite fille de 8 ans

    Turquie: 15 ans de prison pour l'assassin de Mgr Padovese
    Un geste encore inexpliqué

    Zenit.org a besoin de votre soutien : https://donations.zenit.org/fr/whydonate/

  • Les réseaux sociaux, portes de vérité et de foi ?

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    MESSAGE POUR LA JOURNEE DES COMMUNICATIONS SOCIALES

    Cite du Vatican, 24 janvier 2013 (VIS)."Réseaux sociaux, portes de vérité et de foi, nouveaux espaces pour l’évangélisation". Tel est le titre du message de Benoît XVI pour la Journée mondiale des communications sociales 2013 (12 mai) , publié ce matin, pour la fête de saint François de Sales. Le Pape y propose "quelques réflexions sur une réalité toujours plus importante concernant la manière dont les personnes communiquent entre elles aujourd'hui. Je voudrais examiner -écrit-il- le développement des réseaux sociaux numériques qui contribuent à mettre en évidence une nouvelle Agora, un espace public ouvert où les personnes partagent des idées, des informations, des opinions, et où peuvent naître aussi de nouvelles relations et formes de communauté. Ces espaces, quand ils sont bien valorisés et de manière équilibrée, contribuent à promouvoir des formes de dialogue et de débat qui, si elles sont effectuées avec respect, attention pour la vie privée, responsabilité et dévouement à la vérité, peuvent renforcer les liens d'unité entre les personnes et promouvoir efficacement l'harmonie de la famille humaine. L'échange d'informations peut devenir une réelle communication, les liens peuvent se développer en amitié, les connexions faciliter la communion. Si les réseaux sont appelés à réaliser ce grand potentiel, les personnes qui y participent doivent s'efforcer d'être authentiques, parce que dans ces espaces on ne partage pas seulement des idées et des informations mais en définitive on se communique soi-même. Le développement des réseaux sociaux exige de l’engagement, que les personnes participent à construire des relations et à trouver de l'amitié, dans la recherche de réponses à leurs questions, en se divertissant mais aussi en se stimulant intellectuellement et dans le souci du partage des compétences et des connaissances. En unissant les personnes en fonction de ces besoins fondamentaux, les réseaux font de plus en plus partie du tissu social même. Les réseaux sociaux sont donc alimentés par des aspirations enracinées dans le cœur humain".

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  • A propos de l'Enfance de Jésus de Benoît XVI

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    L’Enfance de Jésus dans le livre de Benoît XVI par Alain Besançon, sur Osservatore Romano

    Sous la protection de la Vierge Marie

    Après le magistral Jésus de Nazareth, qui portait sur la dernière semaine de la vie du Christ, rien n’était plus attendu que le nouveau livre du pape sur la première semaine. La Passion est rapportée dans le plus grand détail et en plusieurs chapitres, par les quatre évangiles. La semaine de la naissance tient en une page dans Mathieu, deux chez Luc, et c’est à peu près tout. Pourtant en elle se concentrent les fêtes les plus populaires de la piété chrétienne, chères même à ceux qui n’ont plus qu’un souvenir de leur religion : Annonciation, Visitation, Noël, Saints Innocents, Epiphanie, Présentation au temple. Et quelle place démesurée occupe-t-elle dans l’art et dans l’iconographie ! Les peintres s’en donnent littéralement à cœur joie de représenter ces événements, qu’on appelle aussi les « mystères joyeux ».

    L’enfance de Jésus est un sujet difficile. On comprend que le pape l’ait réservé pour la fin. La documentation si succincte expose à toutes les fantaisies, à toutes les erreurs et Dieu sait si les vingt derniers siècles en ont été fertiles. C’est un gibier de choix pour  « l’historico-critique », qui peut avancer d’innombrables arguments tirés de l’histoire générale, de l’histoire comparée des religions, de la science mythologique, et aussi de la connaissance philologique des Ecritures et des usages du monde juif. Les enjeux sont capitaux, puisqu’il s’agit du mystère central, l’Incarnation. Ou bien l’enfant Jésus est Dieu, (et homme) dès sa conception, ou il est simplement un homme particulièrement gentil qui a eu une fin malheureuse.

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