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Lahore (Agence Fides) - Le Pakistan a perdu son « héros national ». Cecil Chaudhry, ancien capitaine des forces armées, catholique fervent engagé en faveur des droits humains et de l'instruction s'est en effet éteint hier (13 avril) à Lahore à l'âge de 72 ans. Chaudhry, touché par une maladie inguérissable, est mort à l'hôpital entouré par ses proches - il laisse quatre enfants - des amis et par les plus hauts responsables de l'Eglise catholique au Pakistan. Au cours des dernières heures de sa vie terrestre, étaient présents à son chevet S.Exc. Mgr Sebastian Shaw, Administrateur apostolique de Lahore, S.Exc. Mgr Joseph Coutts, Archevêque de Karachi et Président de la Conférence épiscopale et le Père Yousaf Emmanuel, Directeur de la Commission Justice et Paix de la Conférence épiscopale avec lequel Chaudhry avait collaboré. Etait également présent Paul Bhatti, Conseiller spécial du Premier Ministre chargé des Mininorités.
"Les Coréens du Nord célèbrent en grande pompe le centenaire de la naissance de Kim Il Sung, le grand père de l’actuel dirigeant, né un 15 avril. Mais derrière ces apparences joyeuses se cache une réalité des plus sordides : de nombreux Coréens du Nord sont emprisonnés dans des camps où les conditions de vie sont tellement dures que leur mort est presque assurée. Amnesty International a réuni 170000 signatures pour demander la reconnaissance officielle et la fermeture immédiate de ces camps.
Nicolas Krameyer, responsable du programme « Personnes en danger » auprès d’Amnesty International France, nous décrit la terrible situation que subissent les prisonniers de ces camps
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Dossier réalisé par Lisa Beaujour."
Voir sur RTS.ch une émission intitulée : "Les coptes dans la tourmente"
Les premières élections libres ont vu triompher les partis islamistes. Les Frères musulmans et les salafistes, qui revendiquent un islam fondamentaliste, dominent l'assemblée qui doit rédiger une nouvelle constitution. Cette prédominance inquiète les minorités religieuses, notamment les chrétiens coptes.
...à consulter sur le site de l'Agence Fides :
... et sur "Portes ouvertes" :
ROME, le 11 avril 2012 – Par une lettre autographe adressée au cardinal William J. Levada, Benoît XVI a ordonné à la congrégation pour la doctrine de la foi d’examiner si les messes néocatéchuménales sont conformes ou non à la doctrine et à la pratique liturgique de l’Église catholique.
Il s’agit là d’un "problème" que le pape considère comme "d’une grande urgence" pour toute l’Église.
Benoît XVI s’inquiète depuis longtemps des modalités particulières selon lesquelles les communautés du Chemin néocatéchuménal célèbrent leurs messes, le samedi soir, dans des locaux séparés.
Ce qui a encore augmenté son inquiétude, c’est ce qui s’est tramé dans son dos à la curie, l’hiver dernier,
Ce qui s’est passé, c’est que le conseil pontifical pour les laïcs, présidé par le cardinal Stanislaw Rylko, avait préparé le texte d’un décret d’approbation globale de toutes les célébrations liturgiques et extra-liturgiques du Chemin néocatéchuménal, à rendre public le 20 janvier à l’occasion d’une rencontre prévue entre le pape et le Chemin.
Le décret avait été rédigé sur les indications de la congrégation pour le culte divin, présidée par le cardinal Antonio Cañizares Llovera. Les fondateurs et leaders du Chemin, Francisco "Kiko" Argüello et Carmen Hernández, en avaient été informés et, tout joyeux, avaient annoncé de manière anticipée l’approbation imminente à leurs disciples.
Le tout à l’insu du pape. Benoît XVI a eu connaissance du texte du décret quelques jours seulement avant la rencontre du 20 janvier.
Il l’a trouvé incohérent et erroné. Il a ordonné qu’il soit annulé et réécrit selon ses indications.
En effet, le 20 janvier, le décret qui a été rendu public se limitait à une approbation des cérémonies extra-liturgiques qui marquent les étapes catéchistiques du Chemin.
Et le pape, dans son discours, a souligné que seules celles-ci étaient validées. En revanche, en ce qui concerne la messe, il a donné aux néocatéchumènes une véritable leçon – presque un ultimatum – à propos de la manière de la célébrer en pleine fidélité aux normes liturgiques et en communion réelle avec l’Église. Voir ici : Cette messe étrange dont le pape ne veut pas
Que la Curie romaine soit traversée par une tension entre courants contradictoires, les médias nous en apportent régulièrement l’écho de plus en plus manifeste, mesurable aux efforts que Benoît XVI déploie pour instiller une réforme de la réforme conciliaire. C’est que le temps presse : le pape a aujourd’hui 85 ans, même si l’avenir appartient à Dieu…
C'est l'agence Fides qui nous en informe : Réouverture d’une école de religieuses détruite par les talibans : « un signe de résurrection »
Islamabad (Agence Fides) – Evénement spécial pour les Sœurs de la Présentation, congrégation d’origine irlandaise comptant trois communautés au Pakistan : les religieuses ont en effet fêté ces jours-ci la réouverture d’une école de filles située dans la vallée de Swat, dans la province de Khyber (ancienne Province de la frontière du Nord-ouest), à la frontière avec l’Afghanistan. L’événement en question « est un motif de grande joie et d’espérance pour toute l’Eglise au Pakistan » remarque dans un entretien accordé à l’Agence Fides Sœur Riffat Sadiq, Principal d’un collège géré par les religieuses au Punjab, « et c’est un signe de résurrection ».
Valeurs Actuelles (Laurence d'Hondt) consacre un article au sort des Coptes d'Egypte, véritablement persécutés, et pour lesquels l'émigration apparaît de plus en plus comme une solution envisageable. Extrait :
« Vous ne voulez peut-être pas le savoir en Europe, mais nous le sentons : vous nous avez déjà abandonnés à notre sort », s’indigne Nora, étudiante en lettres françaises. Pour gagner sa vie et aider sa famille, Nora assure la permanence du collège jésuite du centre du Caire.
« La journée, ça va, je me sens entourée parce que je travaille ici, à l’église de la Sainte-Famille, et que j’y trouve la solidarité et la tendresse dont j’ai besoin. Mais le soir, je me sens isolée, en danger. Je ne peux plus rentrer chez moi, dans le quartier populaire de Choubra, sans craindre des insultes, parce que je ne porte pas le voile. » Cela peut aller plus loin : « Je crains aussi l’agression physique, le coup de couteau. On me fait comprendre que je ne suis plus chez moi, ici, en Égypte. La plupart de nos voisins sont complices. »
Issue de la classe moyenne, Nora a les moyens de suivre des études supérieures pour s’assurer un avenir décent au sein d’un entourage choisi et cultivé. Mais si la situation devait se dégrader, elle déposerait, comme nombre de chrétiens, un dossier à l’émigration : « Beaucoup de mes amis, surtout les filles, ont déposé une demande à l’ambassade des États-Unis, du Canada ou d’Australie. Moi-même, je n’ai pas encore fait les démarches, mais je choisirais l’ambassade de France. Sans exagérer, si cela continue, ce sera la fin des coptes d’Égypte, comme pour les chrétiens d’Irak, en quelques années à peine. »
Cette amertume est partagée par la grande majorité des 10 millions de chrétiens qui vivent actuellement en Égypte. Ils ont le sentiment d’être sacrifiés sur l’autel du nouvel ordre islamique que cherchent à instaurer les Frères musulmans, grands vainqueurs des élections parlementaires, en accord avec l’armée, qui assure la transition. Les chrétiens sont pris dans un étau qui se resserre jour après jour sur leur rêve de liberté, né place Al-Tahrir, en 2011.
« Nous, les zabbalin, les chiffonniers chrétiens, nous étions allés sur cette place dès le début du soulèvement, rappelle M., responsable d’un projet de développement dans son quartier de la colline de Mokattam. À présent, nous n’osons plus y mettre les pieds. » Des milliers de chrétiens démunis vivent sur les pentes de cette colline. Ce sont ceux à qui soeur Emmanuelle avait rendu leur dignité, il y a trente ans, en les aidant à construire des maisons au lieu de dormir sur les poubelles du Caire.
Proies d’attaques armées dès le mois de mars 2011, les chiffonniers chrétiens se sentent encerclés. Une dizaine d’entre eux a déjà été tuée en tentant de repousser les assauts. Lorsque M. parle du quartier, il regarde vers les collines ocre, vers l’horizon brouillé par la pollution : « C’est de là qu’ils envoient des cocktails Molotov. »
Lire tout l'article : L'appel des Coptes
Nous sommes interpellés par la détermination héroïque de ces villageois qui, au risque d'être arrêtés et emprisonnés, ont réinvesti les lieux de culte confisqués. Des faits rapportés aujourd'hui par l'Agence Fides.
Réponse de Jean-Marie Guénois (« Le Figaro ») sur son blog (extraits) :
A Cuba Benoit XVI est allé au bout de ses forces. Mais les jours qui l'attendent à Rome sont les plus chargés de l'année. Ce dimanche des Rameaux, il préside la messe la plus longue du cycle liturgique. Puis il entrera dans la semaine sainte, très dense en célébrations. Et le matin de Pâques, sept jours seulement le sépareront de ses 85 ans...(…)
On pourrait se demander à juste titre pourquoi Benoît XVI a entrepris dans ces conditions de tel périple ? Il avait une dette vis-à-vis de l'Amérique Latine hispanophone qu'il n'avait jamais visité en sept ans de pontificat mais n'avait réellement, aucune obligation. S'il avait renoncé, les catholiques lui auraient, à l'avance, pardonné.(…) Handicap supplémentaire : ce voyage était celui d'un Pape, héritier de son prédécesseur. Au Mexique, il a découvert pour la première fois de son pontificat l'intensité de la passion déchaînée des foules du deuxième pays le plus catholique du monde pour le Pape. On lui a réservé une fête « à la Jean-Paul II ». Partout des foules agglutinées, pas un mètre libre de trottoir, des cris, des chants, du mouvement. De jour, de nuit, une fête incessante.
A Cuba (…), Benoît XVI a développé son style. Il a ses combats - la belle liturgie, la réconciliation foi et raison, le lien entre liberté et responsabilité. Mais il se sait le successeur d'un Pape qu'il a admiré et que beaucoup de ceux qui sont venus le voir ou l'écouter, au Mexique ou à Cuba, admirent encore. Jamais en tout cas, Benoît XVI n'a cherché à « jouer » du Jean-Paul II. Il est lui-même.
La dynamique profonde de ce 23° voyage hors d'Italie de ce Pape est peut-être ailleurs. Ce « témoin du Christ » est le témoin d'un monde qui passe. C'est une évidence à Cuba. On ne voit pas comment un tel régime pourra durer une fois les « Castro » disparus. On a beau avoir dessiné un immense portrait - quasi christique - de Fidel, en fer forgé, sur la façade d'un très haut immeuble de la Place de la révolution à la Havane, où le Pape a dit la messe, cet homme de chair et de sang ne va pas, au-delà de sa mort, « sauver » son peuple. Les vrais ennuis vont commencer.(…)
De même, au Mexique, un monde passe. La maladie chronique de ce pays, « sous » les Etats-Unis au sens géographique mais aussi moral, n'est pas plus porteuse d'avenir. Elle est un mélange de consumérisme, de « schizophrénie » le mot est de Benoît XVI entre éthique publique, visible, et éthique personnelle, secrète. Et d'exploitation outrancière de l'homme par l'homme.
La grande curiosité, donc, est de voir cette vieille dame, l'Eglise catholique, usée, vilipendée, avec les gros défauts de ses deux millénaires, regarder, avec un regard de jeune fille, ces deux sociétés mal en point après des grandes heures d'arrogance. Comme si l'Eglise était pleine d'une autre énergie que politique, jamais battue et génératrice d'espérance. Il fallait voir le regard de Raul Castro sur Benoît XVI à la fin de la messe à la Havane. Ses yeux qui ont tout vu, et le pire, exprimaient une forme de reconnaissance impossible à feindre.
Voilà la faiblesse-force de l'Eglise catholique. Pluri culturelle, pluri séculaire, elle l'une des veilles de l'humanité. Quand cette humanité, construite sur elle-même, étouffe ou n'en peut plus, l'Eglise catholique, peut donner à respirer. Elle n'est pas la seule à dispenser cette vertu mais c'était une évidence pendant ce voyage. Voir ici : Benoît XVI devait-il entreprendre un périple si épuisant ?
L'information nous vient du Friday fax : "l'ONU pourrait reconnaître l'existence de droits sexuels pour les enfants de 10 ans"
NEW YORK, 30 mars (C-FAM) la commission de l'ONU sur la population et le développement est en train d'étudier un document visant à faire bénéficier de droits sexuels et procréatifs pour les enfants à partir de 10 ans.
Même le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon y est favorable. Dans une déclaration publiée récemment, il affirme : « les jeunes, comme toutes les autres personnes, partagent un droit humain à la santé qui inclut les droits à la santé sexuelle et procréative. ». Suite
Source : hermas.over-blog.org
Information développée par J. Smits : leblogdejeannesmits
"Quand les fonds européens de l'aide au développement servent à financer l'avortement dans le monde
Aujourd’hui sera présenté au Parlement Européen un rapport qui révèle que les principales multinationales de l’avortement reçoivent un financement de l’Union Européenne.
L’European Dignity Watch révélera une étude sans précédent intitulée “Le financement de l’avortement à travers l’Aide au Développement de l’Union Européenne”.
Cette étude montre comment les entreprises abortistes mondiales les plus importantes, comme Planned Parenthood et Marie Stopes Internacional, ont reçu et continuent de recevoir des financements venant des fonds d’aide au développement de l’Union européenne, qui sont dirigés vers des projets liés à la santé sexuelle et reproductive, et à la pratique de l’avortement.
En outre, le rapport pose un certain nombre de questions portant sur les objectifs de la Commission européenne, en particulier sur les montants qui sont alloués à ces organisations abortistes – la Commission européenne est le quatrième plus grand donateur du monde – si ces attributions résultent d’une négligence ou si elles sont faites en connaissance de cause et, dans l’affirmative, qui est responsable de ce mauvais usage des fonds publics.
L’European Dignity Watch présentera aujourd’hui son rapport lors d’une intervention organisée au Parlement européen et intitulée “Santé sexuelle et reproductive dans les pays en voie de développement”, qui est patronnée par différents groupes politiques et par des députés du Parlement européen.
SOURCE : LA GACETA