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International - Page 376

  • Les femmes ouzbeks stérilisées de force

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    Une information de Liberté politique : Ouzbékistan : stérilisation forcée des femmes

    Après la Chine, l’Ouzbékistan. D’après l’ONG Avaaz, une politique drastique de « contrôle des naissances » serait en cours en Ouzbékistan. Karimov, le dictateur ouzbek, obligerait les médecins à couper l'utérus des femmes, sans qu'elles l'aient su ou accepté.

    Des militants des droits de l'homme estiment que des milliers de femmes ont été stérilisées secrètement lors d'une visite de routine ou d'un accouchement à l'hôpital. "On indique à chaque médecin ... le nombre de femmes à stériliser ... mon quota est de quatre femmes par mois," a reconnu une gynécologue ouzbek. Les arrestations arbitraires et la torture étant monnaie courante, les femmes n'osent pas parler par peur des représailles, tandis que les journalistes étrangers et les militants des droits humains sont régulièrement expulsés du pays.

    La BBC a récemment diffusé un reportage explosif sur ces stérilisations forcées dans le but d’alerter les dirigeants susceptibles de pouvoir soutenir ces femmes ouzbeks qui ont osé raconter leur histoire malgré la répression violente.

    Source : La politique secrète de stérilisation des femmes en Ouzbékistan (BBC - en anglais)

  • Les chrétiens du Soudan du Nord pris au piège

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    Soudan : Chrétiens pris au piège par le gouvernement de Khartoum

    source : Portes Ouvertes

    Au Soudan, les chrétiens sont chassés par le gouvernement de Khartoum, mais les frontières vers le sud ont été fermées. Ils sont pris au piège alors que l’hostilité envers eux augmente 

    Le 8 avril dernier, le gouvernement de Khartoum a donné aux chrétiens trente jours pour, soit quitter le pays, soit se faire enregistrer en tant que citoyens soudanais. Mais à leur grande surprise, ces chrétiens se sont rendus compte que les voies terrestres aussi bien qu’aériennes vers le Soudan du Sud avaient été fermées !

    Ceux qui souhaitaient partir pour le Soudan du Sud se retrouvent donc pris au piège dans un pays où l’islam ne cesse de se radicaliser et qui n’hésite pas à considérer les chrétiens comme des ennemis à combattre. En effet, le Soudan se considère en guerre avec le Soudan du Sud depuis que les forces armées des deux pays s’opposent dans la région pétrolière d’Heglig.

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  • Un prêtre syrien témoigne

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    "Ma maison n'est plus ma maison et mes voisins ne sont plus mes voisins"

    Un témoignage mis en ligne sur le site de l'Oeuvre d'Orient

    Les écoles ont cessé les classes et les magasins ont fermé leurs portes, quant aux églises, les prêtres les ont délaissées, confiant leur garde aux laïcs. Un témoignage d'un prêtre syrien.

    À Homs, les quartiers de Bustan el-Diwan, el-Hamidiyyé et el-Arzoun, appelés «la région chrétienne», se sont vidés de leurs habitants.

    Ceux-ci les ont abandonnés après avoir vécu une bataille sanglante. Ils ont préféré partir vers les montagnes environnantes ou des villes plus éloignées, à la recherche de la tranquillité après une semaine de terreur à la fin du mois de février. Dans notre quartier de Bustan el-Diwan, il ne reste que nous pour garder notre résidence et les maisons de ceux qui sont partis. Les nuits se passent sans que nous entendions les querelles des voisins ou les cris des passants et les chuchotements des enfants. Les écoles ont cessé les classes et les magasins ont fermé leurs portes, quant aux églises, les prêtres les ont délaissées, confiant leur garde aux laïcs. La vue des maisons, des rues, des magasins, des églises et des mosquées fait peur ; pas un seul endroit qui ait été épargné des balles et de la destruction : les lignes d’électricité et de téléphones sont coupées, les conduites d’eau détruites, les réservoirs de mazout et d’eau éventrés. Notre résidence aussi n’est pas épargnée. ( …) Notre maison n’est plus en sécurité, notre quartier et notre ville non plus. (…)

    La situation a empiré au début de mars, quand beaucoup de nos concitoyens sunnites ont abandonné leurs quartiers au sud de Homs et se sont dirigés vers les «quartiers chrétiens». Comme la plupart des maisons étaient vides, abandonnées par leurs habitants, les nouveaux arrivants n’avaient qu’à entrer et s’y installer, cherchant un refuge qui les protège du froid glacial de l’hiver de cette année. Des femmes, des enfants, des jeunes et des vieux de toutes les classes sociales sont arrivés dans des camionnettes, qui les ont déchargés pour aller en chercher d’autres. Cela a poussé certains chrétiens à revenir malgré la situation difficile et le danger réel ; ils ont trouvé que la maison n’était plus à eux et que leurs voisins avaient changé!

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  • Le Soudan au bord de la guerre ouverte

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    Selon Caritas Internationalis, « nous sommes au bord d’une guerre ouverte entre les deux Soudans, guerre qui risque de provoquer une catastrophe »

    source : Agence Fides

    Caritas Internationalis craint une guerre imminente entre le Soudan et le Soudan du Sud avec des conséquences humanitaires importantes pour les deux pays, à moins que de nouvelles actions militaires ne soient bloquées. C’est ce qu’affirme un communiqué envoyé à l’Agence Fides, communiqué qui fait également état de la préoccupation de l’organisme s’agissant de la situation au Darfour, la région se situant dans l’ouest du Soudan où opère une série de mouvements de guérilla qui combattent l’armée soudanaise et les milices qui lui sont affiliées. « Caritas Internationalis cherche à obtenir de plus amples informations après que le bureau de Sudan Aid (organisation associée à la Caritas) de Nyala ait été fermé par les forces de sécurité. Au Darfour, Sudan Aid participe à l’assistance de 500.000 personnes en fournissant entre autres de la nourriture, de l’eau potable et de l’assistance médicale.

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  • Syrie : les chrétiens taxés

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    Rapporté par Natalia Trouiller (source) :

    SYRIE: LES CHRETIENS TAXES
    C'est une rumeur qui courait depuis quelques semaines. Elle se voit confirmée par Mario Tosatti du Vatican Insider et par AsiaNews: les chrétiens de Homs, en Syrie, se voient obligés de payer un impôt spécifique à l'armée des opposants au régime de Bachar Al-Assad. Cet impôt, appelé jizya, tire son origine du Coran: "Faites la guerre à[...] ceux d'entre les hommes des Écritures qui ne professent pas la vraie religion jusqu'à ce qu'ils payent le tribut de leurs propres mains et qu'ils se soient soumis". D'autre part, selon le site Al Haqiqah, plusieurs centaines de Pakistanais armés sont arrivés à Homs pour venir en aide aux rebelles.

  • Canada : choisir la vie au quotidien

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    « Choisir la vie au quotidien », c’est l’appel de l’Organisme catholique pour la vie et la famille, en vue de la Marche pour la vie, au Canada. (source : ZENIT.org - Anne Kurian)

    L'Organisme catholique pour la vie et la famille (OCVF), fondé par la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC) et le Conseil suprême des Chevaliers de Colomb, a publié un message à l'occasion de la Marche nationale pour la vie, qui aura lieu à Ottawa, le 10 mai 2012, sur le thème « L'avortement heurte tout le monde ». Des dizaines de milliers de Canadiens sont attendus pour cette marche dans les rues de la capitale, jusqu'au Parlement canadien.

    Déplorant notamment 100.000 avortements annuels dans une société qui « fait de l’être humain un simple moyen de parvenir à une fin », le message invite à un engagement concret pour la vie, au quotidien et auprès des politiques.

    Choisir la vie au quotidien

    S’engager pour la vie signifie « respecter la vie humaine à chaque stade de son développement et en toutes circonstances », souligne l’OCVF. Pour cela, il encourage chacun à « réfléchir à [ses] propres attitudes et à [son] propre mode de vie » afin d’être « cohérents dans [ses] propres actions ».

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  • Virginie : l'échographie devient un préalable à l'avortement

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    « A compter du 1er juillet prochain, les femmes de l'Etat de Virginie (Etats-Unis) qui souhaitent avorter, devront effectuer une échographie; seules seront exemptées les femmes ayant subi un viol ou un inceste », indique « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Jérôme Lejeune.

    La Virginie, précise la même source, est le huitième Etat américain à imposer cette procédure avant un avortement.


    Concrètement, les femmes pourront refuser  de "voir l'image du fœtus et d'entendre les battements de son cœur", sous réserve de l'avoir stipulé par écrit.

    En revanche, elles ne pourront refuser l'échographie.

    Enfin, pendant celle-ci, le médecin aura l'obligation d'informer les femmes sur "les risques de l'avortement pour la santé, les modalités d'allocations maternité et les possibilités d'adoption". 
Il faut rappeler que l'avortement, aux Etats-Unis, est "dans la ligne de mire des législateurs".

    La loi a été votée dans le seul but d' "aider les femmes à prendre une décision bien informée".

    Mais pour Rosemary Codding, féministe, directrice du « Falls Church Health Care », un centre de santé de la Virginie qui effectue des avortements, "c'est une intrusion totale du gouvernement dans le cabinet médical, avec un seul objectif, continuer à faire honte aux femmes et les rabaisser". 


    Dans 32 Etats, l'avortement n'est pas remboursé par les fonds publics ; dans 46 Etats, des établissements de santé peuvent refuser de le pratiquer ; et dans 19 Etats, les conseils relatifs "aux risques de cancer du sein, de souffrance du fœtus, ou de dépression en cas d'avortement" sont obligatoires.

    Enfin, d'autres Etats tentent "de faire reconnaître l'humanité de l'embryon et ses droits constitutionnels".

    (source : Zenit.org)

  • Le sort préoccupant des chrétiens soudanais

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    Khartoum (Agence Fides) – Les affrontements entre le Soudan et le Soudan du Sud ont de lourdes conséquences sur la communauté chrétienne vivant à Khartoum et dans d’autres zones du Soudan. « Les chrétiens ont peur parce que, voici deux jours, au cours de manifestations de protestation contre l’occupation d’Heglig de la part des troupes du Soudan du Sud, s’est levée la voix d’un certain nombre d’extrémistes qui incitaient à attaquer les lieux de cultes chrétiens dans la capitale soudanaise » indiquent à l’Agence Fides des sources de l’Eglise depuis Khartoum.

    « Un groupe de voyous a cherché à attaquer une église anglicane mais heureusement il n’y a pas eu d’autres épisodes de violence ». Selon ce qu’indique le site Internet du Sudan Tribune, un groupe d’extrémistes conduits par Muhammad Abdel-Kareem a tenté de marcher en direction de l’église anglicane de Sawafi mais a été bloqué par les forces de sécurité avant qu’il ne puisse parvenir au lieu de culte. « La situation est maintenant un peu plus tranquille mais il reste le problème de milliers de personnes, originaires du sud du Soudan (actuel Soudan du Sud), qui cherchent à régulariser leur position de manière à pouvoir demeurer à Khartoum » affirment les sources de Fides.

    Entre temps, Heglig, zone riche en pétrole disputée entre le Soudan et le Soudan du Sud, a été reprise le 20 avril par les militaires de Khartoum, après de violents combats avec les militaires du Soudan du Sud qui l’avaient occupée le 10 avril. Dans un communiqué, l’armée soudanaise affirme avoir tué 1.200 militaires sud-soudanais, un chiffre qu’il est pour l’heure impossible de vérifier. Des sources journalistiques indiquent que les installations pétrolières de la zone ont été lourdement endommagées.

    Malgré la reprise d’Heglig, les bombardements des zones frontalières du Soudan du Sud, et en particulier de la ville de Bentiu, capitale de l’Etat d’Unité, de la part des avions soudanais se poursuivent. (L.M.) (Agence Fides 23/04/2012)

  • Syrie : quand prudence et circonspection s'imposent

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    Nous sommes un peu étonnés de voir un célèbre journaliste catholique reprendre à son compte, sur son blog, les déclarations de la Mère Agnès-Mariam de la Croix sur la situation en Syrie. Les positions inconditionnellement favorables au régime de Bachar el-Hassad de cette religieuse qui attise les tensions sont à prendre avec un minimum de précautions et sont loin de refléter le sentiment de l'ensemble des chrétiens syriens. Elles risquent en outre, en amalgamant la défense de la minorité chrétienne avec le soutien au régime, de compromettre les chrétiens qui sont ainsi désignés comme des partisans inconditionnels d'el-Hassad. Cela ne signifie pas que ces propos de la Mère Agnès-Mariam soient mensongers ou dénués d'intérêt mais ils doivent être lus et entendus avec la circonspection qui s'impose parce qu'ils semblent ne pas tendre à l'objectivité et alimenter une logique de guerre civile.

    Plus crédibles sans doute, ces informations transmises par l'agence Fides :

    Montée en puissance du militantisme islamique au sein de l'opposition syrienne

    De « Journée de la dignité » à « Vendredi des Armées de l’islam » : de ces titres, choisis pour les manifestations de l’opposition syrienne, il est possible d’appréhender la montée en puissance du militantisme islamique, wahhabite et salafiste, dans les rangs des rebelles syriens. Comme cela a déjà été le cas dans les expériences du Printemps arabe au Yémen, les dissidents ont choisi de donner un titre, variant à chaque fois, aux manifestations de protestation organisées chaque vendredi. La première journée de protestation publique, en mars 2011, celle qui inaugura la révolte, fut appelée « Journée de la dignité » et elle indiquait le désir de renaissance, de dignité, de droits et de démocratie existant chez les révolutionnaires.

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  • La mise à mort des enfants anencéphales

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    Une étape dans l'inhumanité vient d'être franchie au Brésil. Mais elle suscite des réactions dans le corps médical. C'est ici : leblogdejeannesmits.blogspot.com et cela commence ainsi :

    Le Tribunal fédéral suprême du Brésil a donné son feu vert à l’avortement des anencéphales, mais tous les médecins du Brésil ne sont pas d’accord, loin s’en faut. Le vice-président du Conseil fédéral pour la médecine, le Dr Carlos Vital, n’a pas perdu de temps pour mener une contre-attaque, s’exprimant dans le plus populaire des magazines d’informations de son pays, Veja.
     
    Et il l’a fait de la manière la plus frappante, expliquant de façon brutale la manière dont les bébés anencéphales seront légalement mis à mort dans le sein de leur mère.
     
    Notant que l’avortement d’un anencéphale se pratique au cours du 2e ou du 3e trimestre, le Dr Vital a souligné que les médecins avaient le choix entre deux méthodes : le curetage ou l’aspiration.
     
  • Pennsylvanie : un million de chrétiens soutiennent le combat de l’Église catholique pour la défense de la liberté religieuse

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    C'est la bonne nouvelle que nous découvrons sur un site très bien documenté où l'on pourra lire le détail de cette information :

    americatho/un-million-de-chretiens-de-pennsylvanie-soutiennent-le-combat-de-leglise-catholique-pour-la-defense-de-la-liberte-religieuse

  • Si nous étions Français...

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    Si nous étions Français...

    nous ne voterions évidemment pas pour un candidat qui ose à nouveau brandir l'étendard rouge d'une idéologie qui a démontré son inhumanité,

    nous ne voterions pas pour une gauche bobo prête à cautionner toutes les dérives éthiques,

    nous ne voterions pas pour des gens qui prétendent défendre l'environnement mais qui sont prêts à sacrifier l'humain sur l'autel de la nature,

    nous ne voterions pas pour une candidate qui surfe sur tous les mécontentements et toutes les frustrations légitimes mais qui ne propose pas de solutions crédibles,

    nous nous reporterions vers la solution du moindre mal, celle qui ne risque pas d'accélérer des processus qui remettraient en cause la marge de liberté qui reste pour défendre les valeurs auxquelles nous tenons,

    nous exclurions donc un vote marginal, vers des candidats minoritaires qui n'ont aucune chance et qui risquent de concourir indirectement à l'élection de candidats du pire,

    nous éviterions l'abstention ou le vote blanc qui ne font que renforcer les votes qui aboutiront à l'élection du candidat qu'on voudrait éviter...

    Notre attitude serait pragmatique, visant à ne pas faire pire que bien, à ne pas nuire davantage, quels que soient les travers de celui qui obtiendrait notre voix. Notre souci serait celui du bien commun et de la préservation d'un maximum d'éléments qui nous permettraient de poursuivre notre entreprise de redressement, demain.

    Mais, ce que nous en disons...