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International - Page 375

  • Les discriminations dont sont victimes les chrétiens dans le monde

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    Un article paru sur catho.be, sous la plume de Pascal André :

    Discriminations antichrétiennes : un bien triste panorama

    , qui a publié le 24 avril dernier un document sur la à l’égard des musulmans en Europe, n’a pas encore rédigé de rapport complet sur la situation des minorités chrétiennes. Son antenne française vient toutefois de leur consacrer un dossier complet dans le dernier numéro de son magazine mensuel. Instructif et surtout inquiétant.

    C’est à Henri Tincq, ancien journaliste et spécialiste des questions religieuses au « Monde », que les responsables de « La Chronique », le mensuel d’Amnesty France, ont demandé de dresser un état des lieux des discriminations antichrétiennes dans le monde. Se gardant d’abuser du terme de « christianophobie », celui-ci est bien obligé de constater que ces dernières ont tendance à augmenter un peu partout, ces dernières années.

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  • Un avocat des femmes

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    C'est ainsi que Jauffret, sur Agoravox, présente le dissident chinois dont les médias s'abstiennent bien de préciser en quoi il s'oppose au régime chinois :

    Cheng Guangchen, avocat des femmes

    Chen GuangCheng, avocat aveugle de naissance lutte depuis plusieurs années contre les stérilisations et les avortements forcés et tardifs qui se déroulent en Chine dans les régions rurales.

    En effet, malgré les interdictions officielles de telles actions, le taux de naissance doit rester réduit et les autorités locales forcent les femmes à avorter jusqu'à quelques jours avant la naissance et les stérilisent de force pour conserver des statisques correctes. Dénonçant ces actes et lors d'un procès auquel ses avocats ne peuvent assister, l’activiste militant pour le respect des droits humains est emprisonné durant plus de quatre ans puis placé en résidence surveillée avec sa femme et son enfant.

    Il réussit à s’échapper et à rejoindre l’ambassade des Etats-Unis et confirme les tortures subies par lui-même et son épouse dans les réseaux sociaux. Selon Aljazeera, l’avocat autodidacte vient de quitter l’ambassade américaine pour se faire soigner et envisage de quitter le territoire pour la sécurité de sa famille alors que la Secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton -se trouve en ce moment même en Chine pour une visite officielle.

    Pékin exige des excuses des Etats-Unis et mentionne que l'acte d'assistance à un dissident constitue une action d’ingérence inacceptable au sein même de son territoire. L'histoire de Cheng GuangCheng et de celles de toutes les femmes qu'il défend commencent à être entendue à travers le pays...

  • Caritas internationalis un peu plus catholica

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    Le Saint-Siège a repris le contrôle de l’œuvre dont on se souvient des  dérives auxquelles le Cardinal Secrétaire d’Etat Tarcisio Bertone eût le courage de s’attaquer. L’agence VIS (Bureau de Presse du Saint-Siège) communique à ce sujet:

    « Cité du Vatican, 2 mai 2012 : Aujourd'hui a été diffusé le décret renouvelant le statut juridique de la Caritas Internationalis, signé du Cardinal Secrétaire d'Etat et approuvé le 27 avril dernier par le Saint-Père. Voici des passages de la note d'accompagnement rédigée par Mgr.Osvaldo Neves de Almeida (Secrétairerie d'Etat) :La Caritas Internationalis constitue depuis 61 ans un instrument privilégié de la charité de l'Eglise. Et si le Saint-Siège reconnaît sa grande expérience, et en particulier les résultats atteints ces dernières années, il a été rendu nécessaire de réviser son statut juridique pour mieux soutenir son actuelle activité... En 2004, Jean-Paul II a conféré à CI la personnalité juridique publique, largement fondée sur le code de droit canonique. Soulignant le lien particulier de la CI avec le Saint-Siège, le chirographe papal a établi implicitement que sa direction et son action dépendent de la première section de la Secrétairerie d'Etat, confiant au Conseil pontifical Cor Unum une fonction de suivi... Les années d'application de ce régime ont permis de mieux comprendre comment organiser un nouveau statut juridique qui respecte la spécificité de l'organisation tout en précisant les compétences des dicastères intéressés... En mai juin 2011, un groupe de travail composé de représentants de la CI et du Saint-Siège a travaillé à une nouvelle version des statuts, qui tienne compte d'une législation nécessairement complémentaire des dispositions de 2004. Sur cette base, le Pape a chargé le Secrétaire d'Etat d'évaluer le document complémentaire du chirographe, lequel a préparé le présent décret de révision des statuts et du réglement interne.Les articles, 1, 2 et 3 du décret précisent les compétences des divers dicastères au sein de la CI. Le rôle de Cor Unum est en particulier renforcé dans le suivi des actions de l'organisation. Le Conseil pontifical est responsable des textes à caractère doctrinal ou moral... Les articles 4 et 5 fixent les directives de rédaction des nouvelles normes de fonctionnement pour le personnel. Même si le personnel de la CI ne sont pas des fonctionnaires du Saint-Siège, ils appartiennent à sa communauté de travail... L'article 6...fixe la nomination par le Saint-Père de trois membres au moins du conseil de direction...choisies pour leurs compétences et leur appartenance à des régions dignes d'attention... Ceci étant, la désignation de la majorité des membres reste de la compétence des Caritas nationales, de qui dépend la responsabilité de gérer la confédération... Sont également prévus un assistant ecclésiastique et une commission d'assistance... Au nihil obstat du Saint-Siège pour les charges de président et de secrétaire général...le décret ajoute celui relatif au trésorier... L'article 7 réaffirme le principe général de référence du droit canon et de la réglementation vaticane pour les employés des organes basés dans la Cité du Vatican, institutionnellement liés au Saint-Siège.

    Ici : CARITAS INTERNATIONALIS

    Bref : l’organisation d’une tutelle renforcée.

  • France : Vote ou abstention; est-ce LA question ?

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    Nous avons répercuté sur ce blog plusieurs prises de position favorables au choix du "moindre mal" lors du second tour des présidentielles françaises. Mais telle n'est pas la position partagée par tous nos amis français soucieux de faire un choix conforme à leurs convictions catholiques.

    A verser au dossier ces deux messages :

    Quel que soit le résultat de dimanche prochain, le monde ne s'arrêtera pas de tourner pour autant. Nous nous souvenons de ces grands frissons qui ont parcouru certaines mouvances françaises lors de victoires de la gauche à la fin du XXe siècle, mouvances qui s'attendaient à l'apocalypse, ou presque. On sait ce qu'il en est advenu avec les alternances qui ont suivi. Il faut quand même se souvenir que l'avortement légalisé en France est un acquis déplorable dû à la "droite libérale", une droite qui n'a pas déployé beaucoup d'énergie pour maintenir des valeurs sur lesquelles on ne peut transiger. Il est effectivement dramatique de constater qu'on en est arrivé à considérer que l'élection d'un triste Pilate est préférable à une autre issue. On est décidément tombé très bas. La grande illusion de ceux qui espèrent un sursaut de la France profonde nous laisse rêveurs. Par quel miracle voudrait-on qu'une lame de fond apporte à une société enfoncée dans le relativisme et l'individualisme un retour aux valeurs éthiques, familiales, spirituelles... auxquelles on a tourné le dos?

    Les perspectives à court terme ne sont pas réjouissantes et nous mettent face à nos responsabilités. La seule urgence est celle d'annoncer un message d'espérance à un monde qui en est cruellement sevré et de témoigner en vérité de Celui qui nous inspire. Si nous commençons par chercher le Royaume de Dieu et sa justice, le reste ne nous sera-t-il pas donné par surcroît, y compris une bonne gouvernance? Non, tout ne commence pas par la politique.

  • Une analyse éclairante de la situation au Nigeria

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    Un responsable de l'Aide à l'Eglise en Détresse (suisse) s'est rendu au Nigeria. Son analyse :

    Nigeria: "Pas question de diviser le pays sur des bases religieuses"

    Rencontre avec le responsable d’AED, Roberto Simona,  de retour d'une mission de 15 jours dans l'etat le plus peuplé de l'Afrique.

    Avant l’arrivé d’un islam militant formaté dans les madrasas (écoles coraniques) du Pakistan, de Somalie et d’Egypte, le Nigeria était un kaléidoscope de différentes ethnies et traditions religieuses cohabitant en paix. Si les messes et cultes du dimanche devaient être suspendus suite aux attaques kamikazes des membres de la secte islamiste "Boko Haram", le nord et le centre du pays risqueraient d’être vidés de leur population chrétienne, confie à l’Apic Roberto Simona.

    Responsable pour la Suisse romande et la Suisse italienne de l’œuvre d’entraide catholique internationale "Aide à l’Eglise en Détresse" (AED), Roberto Simona s’est rendu en mars dernier durant deux semaines dans ce pays d’Afrique de l’Ouest en proie à la violence. Il relève que l’islamisation du pays, soutenue par les pétrodollars de l’Arabie Saoudite, est toujours plus perceptible.

    Les pétrodollars de l’Arabie Saoudite

    Fortes de cet appui financier, les institutions musulmanes se développent toujours davantage. L’adhésion du pays à l’Organisation de la Coopération Islamique OCI (anciennement l’Organisation de la Conférence Islamique), l’instauration de la charia (le droit islamique) dans certains Etats de la Fédération nigériane, l’ouverture de nouvelles banques islamiques, les textes en caractères arabes sur les billets de la monnaie locale, en sont des signes tangibles.

    Comptant plus de 162 millions d’habitants, le Nigeria est le pays le plus peuplé du continent noir. "Les prêtres et les pasteurs dans le pays sont très conscients de l’importance de leur mission et des enjeux politiques que les célébrations des jours de fêtes ont pour la permanence du christianisme là où on cherche à l’éradiquer", lâche Roberto Simona.

    Lire la suite sur le site de l'Aide à l'Eglise en Détresse (suisse)

  • Indonésie : Sant'Egidio et une organisation musulmane s'engagent pour la paix interreligieuse

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    Mardi 24 avril dernier, la communauté catholique Sant’Egidio a signé un accord avec la Muhammadiyah, deuxième organisation musulmane d’Indonésie, dans le cadre de la visite du Ministre des Affaires étrangères italien Giulio Terzi à Jakarta.

    Intitulé 'Working Together on One Humanity, One Destiny, One Responsibility' , ce memorandum engage les deux organisations à collaborer pour le dialogue interreligieux entre chrétiens et musulmans « dans le domaine de la solidarité, du dialogue interreligieux, de la promotion d'une culture de la tolérance et de la cohabitation pacifique mais aussi de la résolution des conflits, de la recherche de la paix et de l’aide humanitaire ». Ces actions communes seront développés en collaboration étroite avec les institutions et les gouvernements locaux, selon les principes de fonctionnement de la communauté d’origine italienne.

    C’est à l’issue d’une rencontre interreligieuse organisée le 23 avril par la communauté catholique avec la collaboration active des ministres des Affaires étrangères des deux pays, que ce Memorandum of Understanding (MoU) a été signé par le président de Sant'Egidio, Marco Impagliazzo, et le président de la Muhammaddiyah, Din Syamsuddin.

  • Chine : un dissident encombrant

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    Jeanne Smits, sur son blog, commente "l'évasion" de ce dissident :

    L’avocat chinois aveugle et autodidacte Chen Guangcheng s’est échappé de son domicile où il était assigné à résidence dans des conditions très dures depuis plus d’un an et demi. « Il a pu sortir de chez lui le 22 avril et ses amis (…) l’ont conduit en lieu sûr, en dehors de sa province du Shandong », a indiqué à l’AFP Bob Fu, militant des droits de l’Homme basé aux Etats-Unis et en contact avec Chen. Chen Guangcheng a été incarcéré, battu, surveillé, privé de soins, pour avoir osé parler contre la politique de l’enfant unique en Chine et ses stérilisations et avortements forcés. (Source : Présent du 28 avril.)

    Lire la suite : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com

  • Chronique quotidienne des chrétiens persécutés... (30/04/2012)

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    Agence Fides :

     

  • Chrétiens attaqués au Nigeria et au Kenya

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    Des chrétiens attaqués au Nigeria et au Kenya :"des actes terroristes exécrables" (source : Radio Vatican)

    Ce lundi matin, la police quadrille l’université de Bayero dans la grande mégalopole de Kano au nord du Nigeria. C’est là que ce dimanche 29 avril au matin, un groupe d’hommes armés a lancé l’assaut contre des chrétiens. Les assaillants ont d’abord lancé des bombes artisanales sur des fidèles rassemblés pour la messe à l’extérieur de la faculté de médecine. Provoquant la panique, ces hommes ont tiré sur les chrétiens qui tentaient de s’enfuir, avant de s’attaquer à d’autres fidèles qui participaient à une messe dans le complexe sportif de l’université. Selon notre correspondant sur place, il y aurait ce lundi matin au moins 25 morts et de nombreux blessés.

    Cette attaque n’a pas été revendiquée. La secte islamiste Boko Haram, qui signifie en langue haoussa "l'éducation occidentale est un péché", a mené depuis 2009 de nombreuses attaques, essentiellement dans le nord du pays, à majorité musulman. Il est cela dit de notoriété que d’autres groupes armés agissent sous couvert de cette secte, elle-même composée de nombreuses factions certaines plus religieuses, d’autres plus politiques.

    Ce dimanche, des chrétiens ont également été pris pour cible au Kenya. Une grenade a été lancée dans une église alors que la messe commençait. Une personne a été tuée et une quinzaine d’autres blessées. Là encore, aucun groupe ou personne n'a revendiqué l'attaque.

    Le directeur de la Salle de presse du Saint-Siège, le père Federico Lombardi a condamné ces attaques :

    « Ces nouvelles attaques terroristes survenues au Nigeria et au Kenya, à l’occasion de célébrations religieuses chrétiennes, sont des faits horribles et exécrables à condamner avec la plus grande fermeté. Il faut être aux côtés des victimes et des communautés qui souffrent en raison de cette odieuse violence qui s’abat sur eux alors qu’ils célèbrent pacifiquement une foi qui proclame l’amour et la paix pour tous. Il faut continuer à encourager la population entière, au-delà des différences religieuses, à ne pas céder à la tentation de tomber dans le cercle sans issue de la haine meurtrière. »

  • France : le pari insensé des partisans de la politique du pire

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    Nous lisons ceci sur un blog catho (que nous avons qualifié un peu rapidement d'"extrême"), dans une note intitulée "La droite va perdre? Elle va exploser? Tant mieux!" :

    "Franchement, il nous est d’avis qu’un échec cuisant, une véritable gifle électorale, l’éclatement de l’UMP tenu par les libéraux sont des conditions pour qu’émerge une droite française digne de ce nom, attachée aux traditions et à l’histoire de notre pays, réaliste et pratique (vous aurez remarqué que la thématique de la 6e République est un monopole et un réflexe de gauche) mais aussi consciente des dérives du républicanisme outrancier, et surtout, catholique. La seule condition, c’est d’une part qu’il y ait un soutien populaire, soutien qui viendra des français quand ils sentiront le carcan étouffant d’une république dont les traits auront été grossis par la domination de la gauche à tous les niveaux, d’autre part que les chrétiens sortent de leur silence."

    Ce type de discours et d'attitude pariant sur le pire est dans la ligne d'un maurrassisme recuit et totalement irréaliste. Que ceux qui le tiennent sortent de leur hexagone et viennent voir chez nous comment cela se passe une fois que les socialistes sont durablement installés à tous les niveaux de pouvoir. Les arguments de ces desperados chatouillent la fibre nationaliste et l'orgueil de ceux qui se croient plus purs que les purs mais conduisent leurs maigres troupes au casse-pipe, comme ce fut le cas le 6 février 1934, dans une aventure dont la droite française ne s'est jamais relevée.

  • Nouvel attentat et nouvelles victimes chrétiennes au Nigeria

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    C'est à lire ici : http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/Monde/Attaque-a-la-grenade-dans-une-eglise-de-Nairobi-_NG_-2012-04-29-800537

    et ici : http://www.rtbf.be/info/monde/detail_nigeria-environ-vingt-personnes-tuees-lors-d-un-service-religieux-chretien?id=7756463

  • C'était pour rire, gamin !

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    Sur le site de RTL.be, on découvre cette surprenante version de ce qui a failli être un incident diplomatique sous le titre : Quand le premier ministre marocain snobe Annemie Turtelboom, à la limite de l’incident diplomatique(Fabrice Grosfilley) (C'est nous qui soulignons.)

    La scène se passe le 11 avril à Rabat, capitale administrative du Maroc. Ce jour-là, le premier ministre marocain reçoit en audience Didier Reynders, ministre des Affaires étrangères, et Annemie Turtelboom ministre de la Justice. Les deux Belges vont avoir droit à un accueil glaçant.

    Abdelilah Benkiran ne semble pas concevoir qu’on puisse lui envoyer en audience une ministre de sexe féminin. Pendant tout l’entretien, il s’adresse donc ostensiblement à Didier Reynders. Pire, le premier ministre marocain explique à son visiteur qu’il parle fort bien le français et qu’il était donc « inutile de venir avec une interprète ».  Le message est donc clair : je ne parle pas avec une femme. Annemie Turtelboom est sous le choc. Tous les dossiers du ressort de la ministre (et ce ne sont pas de petits dossiers: l’égalité homme/femme, les mariages forcés, ou encore le retour des condamnés à des peines de prison dans leur pays d’origine comme le prévoit l’accord de gouvernement) seront finalement abordés par Didier Reynders. En face, le Marocain ne quitte pas son chapelet ("tsabih" ndbelgicatho) de tout l’entretien.

    En sortant de l’audience, Annemie Turtelboom est furieuse. Si Didier Reynders n’avait pas été présent et si elle n’avait pas craint de déclencher un incident diplomatique majeur, elle aurait quitté la réunion en claquant la porte confie-t-elle sur le moment.

    L’anecdote n’est pas sans valeur. Abdelilah Benkiran est membre du PJD, le parti de la justice et du développement, le parti islamiste, grand vainqueur des dernières élections législatives. Ces derniers jours, il s’est même permis de critiquer l’entourage du roi Mohammed VI, du jamais vu. Le Printemps arabe n’est pas encore terminé. Il est encore là et pourrait bien revenir aurait-il déclaré selon l’agence Reuters.

    Deux semaines après l’incident, on temporise côté belge. La porte-parole d’Annemie Turtelboom précise que le premier ministre marocain a voulu faire une blague et qu’il  a fini par s’excuser. Officieusement pourtant, ceux qui m’ont rapporté l’anecdote n’étaient pas sûrs d’avoir entendu ces excuses.

    Bref, une fois encore, on "écrase". Cela n'empêchera pas la classe politique belge de courtiser les mosquées pour y aller à la pêche aux voix. Cela n'empêchera pas non plus les porte-parole du politiquement correct de continuer à se réjouir du "printemps arabe" dont on voit pourtant bien où il conduit...

    A lire également : Maroc-les-islamistes-au-pouvoir-s-activent