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International - Page 372

  • Virginie : l'échographie devient un préalable à l'avortement

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    « A compter du 1er juillet prochain, les femmes de l'Etat de Virginie (Etats-Unis) qui souhaitent avorter, devront effectuer une échographie; seules seront exemptées les femmes ayant subi un viol ou un inceste », indique « Gènéthique », la synthèse de presse de la Fondation Jérôme Lejeune.

    La Virginie, précise la même source, est le huitième Etat américain à imposer cette procédure avant un avortement.


    Concrètement, les femmes pourront refuser  de "voir l'image du fœtus et d'entendre les battements de son cœur", sous réserve de l'avoir stipulé par écrit.

    En revanche, elles ne pourront refuser l'échographie.

    Enfin, pendant celle-ci, le médecin aura l'obligation d'informer les femmes sur "les risques de l'avortement pour la santé, les modalités d'allocations maternité et les possibilités d'adoption". 
Il faut rappeler que l'avortement, aux Etats-Unis, est "dans la ligne de mire des législateurs".

    La loi a été votée dans le seul but d' "aider les femmes à prendre une décision bien informée".

    Mais pour Rosemary Codding, féministe, directrice du « Falls Church Health Care », un centre de santé de la Virginie qui effectue des avortements, "c'est une intrusion totale du gouvernement dans le cabinet médical, avec un seul objectif, continuer à faire honte aux femmes et les rabaisser". 


    Dans 32 Etats, l'avortement n'est pas remboursé par les fonds publics ; dans 46 Etats, des établissements de santé peuvent refuser de le pratiquer ; et dans 19 Etats, les conseils relatifs "aux risques de cancer du sein, de souffrance du fœtus, ou de dépression en cas d'avortement" sont obligatoires.

    Enfin, d'autres Etats tentent "de faire reconnaître l'humanité de l'embryon et ses droits constitutionnels".

    (source : Zenit.org)

  • Le sort préoccupant des chrétiens soudanais

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    Khartoum (Agence Fides) – Les affrontements entre le Soudan et le Soudan du Sud ont de lourdes conséquences sur la communauté chrétienne vivant à Khartoum et dans d’autres zones du Soudan. « Les chrétiens ont peur parce que, voici deux jours, au cours de manifestations de protestation contre l’occupation d’Heglig de la part des troupes du Soudan du Sud, s’est levée la voix d’un certain nombre d’extrémistes qui incitaient à attaquer les lieux de cultes chrétiens dans la capitale soudanaise » indiquent à l’Agence Fides des sources de l’Eglise depuis Khartoum.

    « Un groupe de voyous a cherché à attaquer une église anglicane mais heureusement il n’y a pas eu d’autres épisodes de violence ». Selon ce qu’indique le site Internet du Sudan Tribune, un groupe d’extrémistes conduits par Muhammad Abdel-Kareem a tenté de marcher en direction de l’église anglicane de Sawafi mais a été bloqué par les forces de sécurité avant qu’il ne puisse parvenir au lieu de culte. « La situation est maintenant un peu plus tranquille mais il reste le problème de milliers de personnes, originaires du sud du Soudan (actuel Soudan du Sud), qui cherchent à régulariser leur position de manière à pouvoir demeurer à Khartoum » affirment les sources de Fides.

    Entre temps, Heglig, zone riche en pétrole disputée entre le Soudan et le Soudan du Sud, a été reprise le 20 avril par les militaires de Khartoum, après de violents combats avec les militaires du Soudan du Sud qui l’avaient occupée le 10 avril. Dans un communiqué, l’armée soudanaise affirme avoir tué 1.200 militaires sud-soudanais, un chiffre qu’il est pour l’heure impossible de vérifier. Des sources journalistiques indiquent que les installations pétrolières de la zone ont été lourdement endommagées.

    Malgré la reprise d’Heglig, les bombardements des zones frontalières du Soudan du Sud, et en particulier de la ville de Bentiu, capitale de l’Etat d’Unité, de la part des avions soudanais se poursuivent. (L.M.) (Agence Fides 23/04/2012)

  • Syrie : quand prudence et circonspection s'imposent

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    Nous sommes un peu étonnés de voir un célèbre journaliste catholique reprendre à son compte, sur son blog, les déclarations de la Mère Agnès-Mariam de la Croix sur la situation en Syrie. Les positions inconditionnellement favorables au régime de Bachar el-Hassad de cette religieuse qui attise les tensions sont à prendre avec un minimum de précautions et sont loin de refléter le sentiment de l'ensemble des chrétiens syriens. Elles risquent en outre, en amalgamant la défense de la minorité chrétienne avec le soutien au régime, de compromettre les chrétiens qui sont ainsi désignés comme des partisans inconditionnels d'el-Hassad. Cela ne signifie pas que ces propos de la Mère Agnès-Mariam soient mensongers ou dénués d'intérêt mais ils doivent être lus et entendus avec la circonspection qui s'impose parce qu'ils semblent ne pas tendre à l'objectivité et alimenter une logique de guerre civile.

    Plus crédibles sans doute, ces informations transmises par l'agence Fides :

    Montée en puissance du militantisme islamique au sein de l'opposition syrienne

    De « Journée de la dignité » à « Vendredi des Armées de l’islam » : de ces titres, choisis pour les manifestations de l’opposition syrienne, il est possible d’appréhender la montée en puissance du militantisme islamique, wahhabite et salafiste, dans les rangs des rebelles syriens. Comme cela a déjà été le cas dans les expériences du Printemps arabe au Yémen, les dissidents ont choisi de donner un titre, variant à chaque fois, aux manifestations de protestation organisées chaque vendredi. La première journée de protestation publique, en mars 2011, celle qui inaugura la révolte, fut appelée « Journée de la dignité » et elle indiquait le désir de renaissance, de dignité, de droits et de démocratie existant chez les révolutionnaires.

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  • La mise à mort des enfants anencéphales

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    Une étape dans l'inhumanité vient d'être franchie au Brésil. Mais elle suscite des réactions dans le corps médical. C'est ici : leblogdejeannesmits.blogspot.com et cela commence ainsi :

    Le Tribunal fédéral suprême du Brésil a donné son feu vert à l’avortement des anencéphales, mais tous les médecins du Brésil ne sont pas d’accord, loin s’en faut. Le vice-président du Conseil fédéral pour la médecine, le Dr Carlos Vital, n’a pas perdu de temps pour mener une contre-attaque, s’exprimant dans le plus populaire des magazines d’informations de son pays, Veja.
     
    Et il l’a fait de la manière la plus frappante, expliquant de façon brutale la manière dont les bébés anencéphales seront légalement mis à mort dans le sein de leur mère.
     
    Notant que l’avortement d’un anencéphale se pratique au cours du 2e ou du 3e trimestre, le Dr Vital a souligné que les médecins avaient le choix entre deux méthodes : le curetage ou l’aspiration.
     
  • Pennsylvanie : un million de chrétiens soutiennent le combat de l’Église catholique pour la défense de la liberté religieuse

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    C'est la bonne nouvelle que nous découvrons sur un site très bien documenté où l'on pourra lire le détail de cette information :

    americatho/un-million-de-chretiens-de-pennsylvanie-soutiennent-le-combat-de-leglise-catholique-pour-la-defense-de-la-liberte-religieuse

  • Si nous étions Français...

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    Si nous étions Français...

    nous ne voterions évidemment pas pour un candidat qui ose à nouveau brandir l'étendard rouge d'une idéologie qui a démontré son inhumanité,

    nous ne voterions pas pour une gauche bobo prête à cautionner toutes les dérives éthiques,

    nous ne voterions pas pour des gens qui prétendent défendre l'environnement mais qui sont prêts à sacrifier l'humain sur l'autel de la nature,

    nous ne voterions pas pour une candidate qui surfe sur tous les mécontentements et toutes les frustrations légitimes mais qui ne propose pas de solutions crédibles,

    nous nous reporterions vers la solution du moindre mal, celle qui ne risque pas d'accélérer des processus qui remettraient en cause la marge de liberté qui reste pour défendre les valeurs auxquelles nous tenons,

    nous exclurions donc un vote marginal, vers des candidats minoritaires qui n'ont aucune chance et qui risquent de concourir indirectement à l'élection de candidats du pire,

    nous éviterions l'abstention ou le vote blanc qui ne font que renforcer les votes qui aboutiront à l'élection du candidat qu'on voudrait éviter...

    Notre attitude serait pragmatique, visant à ne pas faire pire que bien, à ne pas nuire davantage, quels que soient les travers de celui qui obtiendrait notre voix. Notre souci serait celui du bien commun et de la préservation d'un maximum d'éléments qui nous permettraient de poursuivre notre entreprise de redressement, demain.

    Mais, ce que nous en disons...

  • Irlande : le Parlement refuse de légaliser l'avortement

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    Source : Nouvelles de France ()

    Irlande. La proposition de loi légalisant l’avortement a été rejetée jeudi par l’immense majorité des Teachta Dála (membres de l’Oireachtas, le Parlement irlandais) : le Dáil Éireann s’y est opposé par 111 voix contre 20. Un résultat « décevant » pour Sinead Ahern, porte-parole de Choice Irlande, mais néanmoins conforme à celui de l’enquête en ligne réalisée par le Parti travailliste irlandais qui voit sa proposition de légaliser l’avortement rejetée par plus de 89% des internautes y ayant participé.

    Les lobbies  "pro-choix" ne s’avouent pas vaincus pour autant : ils ont prévu de remettre la question sur le tapis à l’automne 2012 et espèrent cette fois-ci l’emporter.

    Les débats jeudi furent l’occasion pour certains députés de défendre les droits de l’enfant à naître (« Je crois que l’enfant dans l’utérus est une personne et que, par conséquent, il y a une obligation de protéger la vie humaine », a argumenté Eamon O’Cuiv), de s’opposer à un projet qu’ils jugent extrémiste (Paul Bradford a par exemple regretté qu’à l’heure actuelle, la seule alternative à la culture anti-avortement de l’Irlande soit la culture de l’avortement de la Grande-Bretagne ou des États-Unis. Il a, pour cela, préfèré le statu quo.) ou insuffisant (« Ce projet de loi ne va pas assez loin » a déploré Catherine Murphy).

    Lire tout l'article : Le Parlement irlandais refuse de légaliser l'avortement

  • Le "Friday Fax" du 20 avril

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    Friday-Fax-Header-French.jpg

    Austin Ruse présente le contenu du Friday Fax de cette semaine :

    Tim Herrmann vous commente les commentaires de Melinda Gates, qui se prétend fidèle catholique alors qu’elle est en désaccord avec l’enseignement de l’Eglise en matière de contraception. Elle s’est en effet exprimée en faveur d’un large accès à la contraception et particulièrement en Afrique. Elle travaille en collaboration avec le Fonds de l’ONU pour la Population.

    Voir : L’épouse du milliardaire attaque l’enseignement de l’Eglise sur la contraception

    Lisa Correnti s’est penchée sur le nouvel attirail préparé par la Fondation Internationale du planning familial conçu pour aider les personnes souhaitant envoyer aux institutions de l’ONU veillant au respect des droits de l’homme des plaintes pour violation de leurs droits sexuels..

    Voir : Les militants de l’IVG créent un nouveau « Kit des droits sexuels » pour l’ONU

  • Nigeria : le témoignage de Marc Fromager

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    Nous prenons la liberté de reproduire cette interview du Directeur de l'Aide à l'Eglise en Détresse (France) parue sur le site de l'Aide à l'Eglise en Détresse (France).

    (Cette interview, nous signale M. Hamiche, était destinée au n°3 de la version papier du blogue "L'Observatoire de la Christianophobie" qui sortira ces prochains jours; nous espérons que nous ne commettons aucune indélicatesse en la mettant en ligne.) :

    Nigeria : « La force de l’Eglise m’a édifié », raconte Marc Fromager

    Marc Fromager s’est rendu au Nigeria au début de la Semaine Sainte.

    « J’ai rarement été autant impressionné par ce que j’ai vu là-bas en termes de persévérance dans l’adversité, nombre et qualité des vocations sacerdotales et religieuses, autorité de l’Eglise dans le pays, qui se fait respecter y compris au niveau politique… » a-t-il expliqué à son retour.

     Marc Fromager a répondu aux questions de Daniel Hamiche

     Vous vous êtes récemment rendu au Nigéria, un pays qui est aujourd’hui à la une de l’actualité. Pourquoi ce déplacement ?

    Vous le savez, l’AED soutient l’Eglise dans le monde entier, dans 150 pays pour être précis. L’Afrique recouvre à peu près le quart de notre budget, avec une Eglise en plein développement mais qu’il faut bien sûr aider. Le Nigéria est le pays le plus peuplé d’Afrique et en effet un des pays au cœur de l’actualité récente, notamment à cause des attentats antichrétiens qui se multiplient. Il était donc naturel pour moi de me rendre auprès de nos frères qui souffrent aujourd’hui, d’abord pour leur dire qu’on ne les oublie pas et aussi pour mieux comprendre ce qu’ils endurent là-bas afin de pouvoir mieux les aider.

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  • La femme serait-elle une espèce menacée ?

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    Signée par Sabine Pérouse, l'hebdomadaire Dimanche Express publie une réflexion sur ce phénomène inquiétant :

    La femme, une espèce menacée ? Président du Groupe de travail "Dignité humaine" au Parlement européen, le député Gay Mitchell a réuni quelques experts, le 19 mars dernier, pour jeter un coup de projecteur sur un drame d’une ampleur méconnue…

    à lire ici : http://www.dimanche.be/Gendercide.html

  • La vitalité étonnante de l'Eglise sud-coréenne

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    Sandro Magister, sur chiesa.espresso.repubblica.it, publie ces informations réconfortantes :

    La Corée du Sud, tigre asiatique de l'Église

    Dans ce pays le nombre de catholiques augmente à un rythme stupéfiant. Chaque année plusieurs milliers d'adultes y sont baptisés. Le reportage d'un grand missionnaire

    Benoît XVI achèvera demain la septième année de son pontificat ; sept années qui sont associées, dans l’opinion courante, à un déclin général de l’Église.

    Mais cette opinion est fondée sur une vision limitée au christianisme du Vieux Continent, à cette Europe qui, en effet, subit les coups d’une sécularisation qui va croissant.

    En effet, aussitôt que l’on élargit le champ visuel, la réalité qui apparaît est tout à fait différente. Au cours du siècle dernier, l’Église catholique a connu une phase d’expansion missionnaire qui est la plus extraordinaire de toute son histoire.

    Au début du XXe siècle, les catholiques étaient moins de 2 millions en Afrique subsaharienne. Cent ans plus tard, ils y étaient 130 millions.

    Pour lire la suite : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350223?fr=y

  • Le statut juridique de l'embryon...

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    ...fait l'objet d'une discussion au Canada (genethique.org) :

    Le 26 avril 2012, la "motion" déposée par le député Stephen Woodworth fera l'objet d'un débat aux Communes. La question est la suivante : "Quand le fœtus devient-il un être humain?".

    Pour le député, il est nécessaire de redéfinir le statut de l'être humain. En effet, selon la loi canadienne, "l'être humain est une personne née vivante". Si ce sujet est susceptible d'ouvrir un grand débat au Canada, c'est précisément parce que actuellement l'avortement y est légal et qu'il peut avoir lieu à tout moment de la grossesse.

    Pour Sophie de Cordes, porte-parole de la Fédération du Québec pour le planning des naissances, cette "motion" est "une menace [...] pour le droit à l'avortement" et "l'accès à certaines formes de contraception". En effet, "si l'on considère le fœtus comme un être humain dès sa conception, cela veut dire que certaines méthodes comme [...] la pilule du lendemain et même le stérilet  pourraient être remises en question".

    Mais pour Margaret Somerville, éthicienne médicale à l'Université Mc Gill, cette "motion" est doublement nécessaire: d'une part pour "rouvrir le débat sur l'avortement" et d'autre part parce que "l'enfant qui n'est pas né [...] a besoin d'une certaine forme de protection". (cyberpresse.ca)