Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

liturgie - Page 124

  • Année de la miséricorde à Liège : où trouver un lieu de prière et d’adoration ?

    IMPRIMER

    Dans une lettre publiée le 6 juillet 2016, le pape encourage les chrétiens à rendre visite au Saint-Sacrement "souvent abandonné" dans nos églises, "pour parler filialement avec Lui, pour L’écouter dans le silence et pour se confier tranquillement à Lui". En cette année de la miséricorde, où trouver un lieu de prière et d’adoration silencieuse au cœur de la Ville de Liège ?

     A L’ EGLISE DU SAINT-SACREMENT 

    P1011224.JPG

    Boulevard d'Avroy, 132 à Liège

    plan st sacrement.gif

    Tous les mardis, de 17h00 à 19h00, adoration eucharistique et confessions (vêpres grégoriennes à 17h00, suivies d’un temps de silence et d’une lecture d’évangile ; chapelet à 18h00, suivi des litanies du Sacré-Cœur ; bénédiction du saint-sacrement à 18h45)

    Le 1er samedi de chaque mois, de 14h00 à 16h00 : dévotion mariale, avec le groupe de prière Notre-Dame de Fatima

    Plus de renseignements: tél. 04.344.10.89 (de l'étranger: +32.4.344.10.89)

    courriel sursumcorda@skynet.be

    L'église du Saint-Sacrement à Liège (Bd d’Avroy, 132) est un sanctuaire appartenant à l'association canonique de fidèles "Sursum Corda". La desserte pastorale de ce sanctuaire est confiée à deux prêtres diocésains: l'abbé Jean Schoonbroodt, chapelain et président de l'association, ainsi que l'abbé Claude Germeau, directeur du foyer d'accueil des jeunes à Herstal.

    Si vous désirez en savoir plus :

     JPSC

  • Rendre nos célébrations liturgiques plus fidèles au souhait des Pères du Concile ?

    IMPRIMER

    D'Arthur Herlin sur aleteia.org :

    Comment rendre la messe « plus fidèle au souhait des Pères du concile » ?

    À quelques heures d'une conférence organisée à Londres sur le thème de la liturgie au cours de laquelle le cardinal Sarah doit intervenir, Mgr Rey dévoile les changements qui y seront annoncés.

    Aleteia : Monseigneur, vous organisez cette année à Londres la troisième conférence internationale Sacra Liturgia. Pouvez-vous présenter cet évènement ?

    Mgr Dominique Rey : Sacra Liturgia est un colloque qui a lieu du 5 au 8 juillet, auquel participent plusieurs évêques, prêtres et laïques, qu’ils soient pasteurs de terrain, universitaires, servants d’autel, musiciens, etc. Nous travaillons sur l’importance de la formation et de la célébration pour l’Église d’aujourd’hui. Pendant quelques jours, tous peuvent se rencontrer, joindre et confronter les idées et la théorie avec les expériences concrètes. C’est un temps de prière, de célébration et de réflexion.

    Quelle est la nature et l’esprit de votre démarche ?

    Notre démarche s’inscrit dans la fidélité au magistère des derniers papes. Saint Jean-Paul II a écrit dans Ecclesia de Eucharistia que « l’Eucharistie, sacrement par excellence du mystère pascal, a sa place au centre de la vie ecclésiale » (n. 3). Dans le livre d’entretien Lumière du monde, Benoît XVI a indiqué que « l’Église est visible pour les hommes par beaucoup de biais, […] mais le lieu où on l’éprouve le plus souvent comme une Eglise est la liturgie » [1]. Le concile Vatican II expose que « la liturgie est le sommet vers lequel tend l’action de l’Église, et en même temps la source d’où découle toute sa vertu » (Sacrosanctum Concilium, n. 10). Le pape François veut poursuivre ce mouvement. Dans Evangelii Gaudium, il a écrit que « l’Église évangélise et s’évangélise elle-même par la beauté de la liturgie, laquelle est aussi célébration de l’activité évangélisatrice et source d’une impulsion renouvelée à se donner » (n. 25). Notre démarche est de communion : nous souhaitons célébrer la diversité des rites ou des usages légitimes au sein de l’Eglise ; la messe de clôture sera par exemple célébrée suivant les usages anglicans approuvés par la curie romaine.

    Le cardinal Robert Sarah, préfet de la congrégation pour le Culte divin et la discipline des sacrements, « ministre de la liturgie » du Pape, a prononcé le discours d’ouverture. Qu’en avez-vous retiré ?

    La présence du cardinal Sarah est un honneur et une forme d’encouragement de la part du Saint-Siège. C’est une manière de diriger nos travaux dans le sens de l’impulsion donnée par le Saint-Père à l’Église.

    Dans son discours d’introduction, le cardinal a clairement affiché son objectif : rendre nos célébrations liturgiques plus fidèles au souhait des Pères du concile. Dans le domaine de la liturgie, la constitution Sacrosanctum Concilium reste profondément d’actualité. En la relisant, on s’aperçoit par exemple du chemin qu’il reste à parcourir pour une plus grande participation intérieure des fidèles.

    Lire la suite

  • JMJ : aller aux périphéries ?

    IMPRIMER

    Lu sur le site « Riposte catholique » :

    « Alors que 35 000 Français se préparent à partir pour les JMJ, une étude réalisée avec l’équipe nationale des JMJ Cracovie 2016 (Conférence des évêques de France), dresse leur portrait. 2574 jeunes ont rempli intégralement le questionnaire, du 25 au 27 mai 2016. Les questions portaient sur leurs motivations, mais aussi sur leur profil socio-démographique, leur appartenance  religieuse, leurs activités associatives ou militantes, leur perception de l’Église, etc.

    Dans l’ensemble les jeunes participants aux JMJ se disent proches ou relativement proches des positions de l’Eglise.

    C’est en matière de défense de la vie (contre l’avortement, l’euthanasie, la gestation pour autrui) que l’adhésion inconditionnelle (« très proche ») est la plus forte : plus de la moitié (52 %), auxquels s’ajoutent ceux qui sont « assez proches », dont l’accord est plus mesuré et sans doute conditionnel sur certains points ou sur certaines formulations mais globalement acquis. Soit au total 72 %. Ceux qui se sentent explicitement loin de ces positions représentent quand même un jeune sur quatre (24 %).

    En matière de questions sociales (la priorité aux plus pauvres et aux « périphéries ») la proximité aux positions de l’Église est encore plus importante qu’en matière de défense de la vie (85 %). Mais elle se répartit différemment : l’adhésion forte fait jeu égal (43 %) avec l’adhésion mesurée (42 %). Il y a manifestement matière à débat. En revanche on ne relève que très peu d’opposition explicite (6 %).

    Il est intéressant de rapprocher ces réponses sur le social en général de celles qui concernent la question des réfugiés et des migrants en particulier, sur laquelle le pape a pris des positions très claires, de manière spectaculaire. Tout le monde ne le suit pas sur ce terrain, ou pas aussi loin : le total des adhésions reste certes majoritaire (62 %), mais c’est le plus faible de tous les points abordés dans l’enquête. Et l’accord mesuré (« assez proche » : 37 %) est plus important que l’accord sans réserve (« très proche » : 25 %). Enfin, leur divergence est revendiquée par 23 % des jeunes, un sur quatre, tandis que 15% se réfugient dans la non-réponse.

    Lire la suite

  • EgliseInfo - Nouveau partenariat et nouvelle fonctionnalité !

    IMPRIMER

    On nous demande de diffuser l'annonce suivante:

    eglise info.jpg

    "Chères contributrices, Chers contributeurs d'ÉgliseInfo.be,

             Dans cette newsletter de début de vacances, nous vous parlerons d'un nouveau partenariat avec le Mouvement Eucharistique Liégeois (le MEL) et d'une nouvelle fonctionnalité de gestion des récurrences.

    Un nouveau partenariat

            Partant de la même intuition de départ que les initiateurs d'EgliseInfo, le MEL souhaitait rendre facilement accessible les informations sur les lieux où il y a l'adoration eucharistique. De notre coté, nous sentons bien qu'il y a un besoin de mettre en évidence certaines capacités sous-exploitées de la plateforme.

            C'est donc avec une grande joie que nous avons accepté ce nouveau partenariat, dont l'objectif est de faciliter la géolocalisation des lieux d'adoration dans le diocèse de Liège, berceau de la Fête-Dieu si chère à notre évêque.

            Dans la pratique, des membres du MEL vont « marquer » (mettre un tag) avec le mot « adoration » sur les fiches des églises où il y a l'adoration. Ils vont ensuite ajouter les heures d'adoration qu'ils récoltent.

            Nous vous transmettons leur communiqué :

    Message du MEL (Mouvement Eucharistique Liégeois)

    Monsieur le Curé et chers Membres des équipes pastorales,

    Fondé en 2012, le MEL s'inscrit dans l'histoire de la dévotion au Saint-Sacrement. Il veille à la mise en valeur de ce cadeau fait par le diocèse de Liège à l'Église universelle.

    Ayant déjà mené diverses initiatives à Liège, notre Mouvement s'adresse à présent à toutes les unités pastorales et communautés du diocèse. Plusieurs UP ont déjà instauré des moments réguliers d'adoration. Notre souhait est d'encourager toutes les communautés à s'inscrire dans ce courant. 

    Nous nous sommes associé à la plate-forme « Eglise Info » pour référencer sur internet tous les jours/heures et lieux d'adoration que nous avons pu répertorier. Nous invitons toutes les UP et paroisses "contributrices" à inscrire leurs horaires d'adoration sur leur page EgliseInfo.be ; ou à nous communiquer ces données, afin que nous les inscrivions, à l'adresse

     mouvementeucharistiqueliegeois@gmail.com.

    Nous invitons aussi les responsables de toutes les communautés du diocèse à diffuser l'adresse www.adoration.egliseinfo.be pour y trouver les lieux et horaires d'adoration et à encourager la participation aux adorations afin de réveiller les cœurs.

    Par ailleurs, nous vous invitons à diffuser cette invitation : la 31° Session du Renouveau qui aura lieu au Palais des Congrès à Liège du 12 au 16 juillet prochains. Le thème de l'Adoration s'est imposé en mémoire de Sainte Julienne du Mont Cornillon : 

    www.sessionrenouveau.be

     

    En union fraternelle,

    Les membres du MEL

    Contacts : John Lannoye, Marie-Jeanne Maréchal, Doyen Jean-Pierre Pire."

    mouvementeucharistiqueliegeois@gmail.com

    Une nouvelle fonctionnalité

            Elle est récente et elle était attendue. Certains la connaissent déjà et l'ont déjà adoptée.

            « Elle », c'est la nouvelle fonctionnalité de gestion des récurrences. Elle va permettre d'avoir une surveillance des « fins de récurrences ». Ainsi, vous pourrez voir d'un coup d'œil toutes les récurrences que vous avez encodées, anticiper leurs échéances et vous pourrez les prolonger facilement en deux clics.

            Cette fonctionnalité se trouve dans la gestion des horaires, et « en haut à droite », il y a un lien « récurrences ». Cliquez dessus et vous aurez votre mini tableau de bord.

    église info 2 mini tableau de bord.png

            Sur l'image suivante, au n°1, il est indiqué le nombre d'offices qui restent. Sous le n°2, le crayon permet d'aller directement à l'édition pour prolonger l'horaire.

    eglise info 3 prolonger l'horaire.png

            Certaines paroisses arrivent au bout de leurs récurrences, c'est le moment de vérifier les vôtres et de préparer la suite : l'Assomption c'est pour bientôt !

            Pour l'équipe,

            Alain Tiri

    support@egliseinfo.be    

     JPSC

  • Liturgie : le cardinal Sarah réitère son appel à célébrer « vers le Seigneur »

    IMPRIMER

    Le préfet de la Congrégation pour le culte divin estime qu’il est « de première importance » que « prêtres et fidèles » soient « tournés dans une même direction » « dans les parties du rite où l’on s’adresse au Seigneur ». De Jean-Marie Dumont sur le site de « Famille chrétienne » :

    « Un mois après son entretien à Famille chrétienne, le cardinal Sarah réitère son appel à des changements importants dans la célébration de la messe. S’exprimant à Londres dans le cadre d’un congrès Sacra Liturgia, le 5 juillet, l’adjoint du pape au Vatican pour les questions de liturgie a une nouvelle fois demandé aux prêtres de célébrer « vers le Seigneur qui vient » « les parties du rite où l’on s’adresse au Seigneur ». « Je veux lancer un appel à tous les prêtres. Peut-être avez-vous lu mon article dans L’Osservatore Romano il y a un an, ou mon entretien donné au journal Famille chrétienne au mois de mai de cette année. A chaque fois, j’ai dit qu’il est de première importance de retourner aussi vite que possible à une orientation commune des prêtres et des fidèles, tournés ensemble dans la même direction – vers l’est ou du moins vers l’abside – vers le Seigneur qui vient, dans toutes les parties du rite où l’on s’adresse au Seigneur. »

    Seules certaines parties de la messe sont concernées

    Que signifie en pratique cette demande ? Dans un article publié dans l’Osservatore romano le 12 juin 2015, le cardinal proposait que « tous, prêtre et fidèles, se tournent ensemble vers l’Orient » pendant « le rite pénitentiel, le chant du gloria, les oraisons et la prière eucharistique ». Il ne s’agit donc pas dans son esprit que l’ensemble de la messe soit célébrée « vers l’Orient », mais seulement certaines parties, au cours desquelles la prière de la liturgie s’adresse directement à Dieu. Le reste de la messe resterait inchangé.

    Cette pratique est-elle autorisée par l’Eglise ? Oui, répond le cardinal Sarah. « Cette pratique est permise par les règles liturgiques actuelles. Cela est parfaitement légitime. » « Contrairement à ce que l’on a parfois prétendu, écrivait-il encore dans l’Osservatore romano, il est tout à fait conforme à la Constitution [du concile Vatican II sur la liturgie] que, pendant le rite pénitentiel, le chant du Gloria, les Oraisons, et la Prière eucharistique, tous, prêtre et fidèles, se tournent ensemble vers l’Orient ». « En tant que préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, soulignait-il plus récemment à Famille chrétienne, je tiens à rappeler que la célébration versus orientem est autorisée par les rubriques du Missel, qui précisent les moments où le célébrant doit se retourner vers le peuple. Il n’est donc pas besoin d’autorisation particulière pour célébrer face au Seigneur. »

    ► À lire aussi : Cardinal Sarah : comment remettre Dieu au cœur de la liturgie 

    Mgr Rey : « je le ferai le dernier dimanche de l’Avent ! » 

    Comment faire concrètement ? Dans son intervention à Londres, le cardinal Sarah demande à ses « chers frères dans le sacerdoce » de « mettre en œuvre cette pratique partout où cela sera possible, avec la prudence et la pédagogie nécessaire, mais aussi avec la confiance, en tant que prêtres, que c’est une bonne chose pour l’Eglise et pour les fidèles. » Dans cette perspective, il appelle tout particulièrement les évêques à « donner l’exemple ». « Conduisez vos prêtres et vos fidèles vers le Seigneur de cette façon, particulièrement lors des grandes célébrations de votre diocèse et dans votre cathédrale. Encouragez cette simple, mais profonde réforme dans votre diocèse, votre cathédrale, vos paroisses et vos séminaires. »  « Une telle manière de faire, déclarait-il dans le même sens dans L’Osservatore romano, pourrait opportunément être mise en œuvre dans les cathédrales où la vie liturgique devrait être exemplaire. » 

    Présent dans la salle, Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, a déclaré qu’en « réponse à son appel », il célébrerait cette année la messe du dernier dimanche de l’Avent (18 décembre) « ad orientem, vers le Seigneur qui vient » dans sa cathédrale. Et qu’il le ferait « en d’autres occasions appropriées ». « D’ici la période de l’Avent, a-t-il ajouté, j’écrirai une lettre aux prêtres et aux fidèles du diocèse de Fréjus-Toulon sur cette question pour expliquer ce geste. Et je les encouragerai à suivre mon exemple. »

    Ref. Liturgie : le cardinal Sarah réitère son appel à célébrer « vers le Seigneur »

    Restituer au peuple chrétien l’esprit authentique de la Liturgie est une œuvre pédagogique qui dépasse l’appel à la bonne volonté, quels qu’en soient les mérites.

    JPSC 

  • Journées du Patrimoine 2016 à Liège, les 11 et 12 septembre: l'académie de chant grégorien propose un week-end choral avec Marcel Pérès

    IMPRIMER

    mag_99_juin2016l-page-024.jpg

    Renseignements et inscriptions: 

    Tel. 04.344.10.89 (depuis l'étranger: +32.4.344.10.89)

    Email : academiedechantgregorienliege@proximus.be

    JPSC

     

  • 31e session du Renouveau charismatique francophone de Belgique, du 12 juillet au 16 juillet 2016 à Liège

    IMPRIMER

     

    " Je parlerai à ton cœur"

    renouveau-session-liege.png

     

    31ème  session du Renouveau charismatique au cœur de la cité ardente.

    Lancé depuis quelques années, le mouvement d'itinérance de ce grand rassemblement d'été se poursuit donc. La session d'été du Renouveau charismatique se déroulera cette année à Liège du 12 au 16 juillet 2016. Elle aura lieu au Palais des Congrès. La session débutera le mardi 12 juillet à 16h par une Eucharistie présidée par Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège.

    5 jours de louange, d'enseignements, de témoignages, de temps de prière, de célébrations.

    Sur le thème "Je parlerai à ton cœur", les participants vivront 5 jours ponctués  d'enseignements, de témoignages, de temps de prière, de célébrations et de démarches liées à l’année de la miséricorde.

    La plupart des intervenants ont un lien particulier avec l'Adoration eucharistique: le Père Nicolas Buttet fondateur et modérateur de la Fraternité Eucharistein en Suisse, le Père Florian Racine, fondateur des missionnaires de la très Sainte Eucharistie, l'abbé Pierre Renard, doyen de Ciney et le Père Marc Leroy responsable de la pastorale à la Basilique du Sacré-Cœur à Bruxelles, ces deux lieux ayant l'adoration permanente.

    Jacques Galloy de la Communauté de l'Emmanuel, auteur d'une BD sur Ste Julienne de Cornillon accueillera des groupes lors d’un pèlerinage au Carmel de Cornillon qui leur sera proposé. Alberto Maalouf et son association Notre-Dame Mère de la Lumière  seront présents à nouveau cette année. De même Danny-Pierre Hillewaert, ancien berger de la session participera à la journée évangélisation. Danielle Simonis, Véronique Hargot et Anne Leens animeront chacune un atelier. Autour de l’abbé Philippe Daloze, le berger de la session, divers prêtres liégeois interviendront aussi  : l’abbé Thierry Dobbelstein, le Chanoine Éric de Beukelaer. L'Eucharistie de clôture sera présidée par le nouvel archevêque Mgr Josef De Kesel, le samedi 16 juillet à 14h.

    Durant l’après-midi du jeudi 14 juillet, tous les participants à la session quitteront le Palais des Congrès et se retrouveront à la Cathédrale Saint-Paul et dans d’autres églises de Liège, pour un temps de prière et  d’évangélisation au cœur de la ville.  Cette journée se terminera par une veillée à la Cathédrale et dans une autre église de Liège.

    Une session ouverte à tous

    Enfants, jeunes, jeunes adultes et moins jeunes de tous les horizons sont les bienvenus à cette session qui dépasse largement le cadre du Renouveau. Jeunes adultes, jeunes adolescents et enfants vivront leurs propres sessions.

    S'inscrire à la session

    L’inscription pour la session se fait en ligne jusqu'au 4 juillet sur le site www.sessionrenouveau.be.

    Ceux qui n’ont pas accès à Internet peuvent s’inscrire au Secrétariat de la session : Nachtegaallaan 17/5 à 1731 Zellik, en complétant le formulaire papier qu’ils peuvent demander par téléphone et en joignant une enveloppe timbrée et adressée. Pour toute demande d’information : 0489/ 495 830 - 0489/495 831.

    Pour tout renseignement complémentaire ou demande d’interviews, s’adresser à  Mme Dominique Zeegers  02/268.46.22  ou 0476/428 678.

     JPSC

  • Un évêque diocésain insatisfait de la position des autels qu’on met entre le prêtre et le peuple

    IMPRIMER

    Il s'agit de Mgr Pascal N’Koué, évêque de Parakou au Bénin , dans son bulletin diocésain de juillet 2016.  Lu sur le blog « salon beige » :

    mgr-pascal-nkoue-200.jpg"Je tiens à vous rappeler que la célébration "versus orientem" est autorisée par les rubriques du Missel (de Paul VI), qui précisent les moments où le célébrant doit se retourner vers le peuple. Il n’est donc pas besoin d’autorisation particulière pour célébrer face au Seigneur" Card. Robert SARAH. Et voilà le vieux débat relancé. Le prêtre à l’autel doit-il faire face au peuple, ou se tourner avec les fidèles vers l’Orient, le Soleil levant ? L’auteur du grand livre "Dieu ou rien" tranche sur le vif : "Le Concile n’a jamais demandé de célébrer face au peuple".

    La première fois où j’ai eu le privilège de concélébrer avec le Pape Jean-Paul II, dans sa chapelle privée au Vatican, l’autel était collé au mur. Nous tous (les célébrants et le peuple) étions tous tournés vers la même direction, vers l’autel pour la célébration du Saint Sacrifice. Quel recueillement ! J’en ai été marqué pour la vie. Depuis ce jour, j’ai toujours été insatisfait de la position des autels qu’on met entre le prêtre et le peuple, où on se fait face à face. On m’avait toujours dit que c’était le Concile Vatican II qui l’avait décrété. Un autre argument qu’on donne souvent c’est que, ce n’est pas poli de célébrer la messe "dos au peuple". Mais là, en 1989, j’étais dans la chapelle du Pape Jean-Paul II, qui lui aussi a participé au Concile. Et le Pape, ce "roc inébranlable", ne pouvait pas cultiver ce qui est indécent et manquer de courtoisie au Peuple de Dieu. Alors que penser ?

    J’en étais là quand un jour, j’ai découvert un livre d’une grande valeur. Voici ce que j’y ai lu : ‘‘Après le Concile (qui lui-même ne mentionne pas de se tourner vers le peuple), on disposa partout de nouveaux autels tant et si bien que l’orientation de la célébration ‘‘versus populum’’ (face au peuple) paraît aujourd’hui la conséquence du renouveau liturgique voulu par le Concile Vatican II’’’. Ceci est un extrait de L’esprit de la liturgie, du Cardinal Joseph Ratzinger, devenu le Pape Benoît XVI. Plus loin, il écrit ceci : ‘‘En revanche, l’orientation commune vers l’est pendant le Canon (ou Prière Eucharistique) demeure essentielle. Il ne s’agit pas d’un élément accidentel de la liturgie. L’important n’est pas de regarder le prêtre mais de tourner un regard commun vers le Seigneur. Il n’est plus question ici de dialogue mais d’une commune adoration’’. Et l’ancien Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi conclut son plaidoyer par cette nuance : "il n’est justement pas question de fuir dans un passé romantique et lointain, mais de redécouvrir l’essence de la liturgie chrétienne".

    Effectivement le Concile Vatican II ne donne aucune directive sur la position du prêtre à l’autel. C’est donc sur la base d’une erreur d’interprétation de la position de la basilique saint Pierre, que des liturgistes, après le Concile, ont exhorté abondamment à l’habitude de célébrer face au peuple : « Pour des motifs purement topographiques, dont nous ne donnerons pas les détails, il se trouve que l’abside de la basilique Saint-Pierre de Rome fait face à l’Ouest. Si le prêtre célébrant en conformité avec la tradition de prière chrétienne voulait faire face à l’est, il devait logiquement se tourner vers le peuple. Sous cette influence, certains architectes reprirent cette disposition dans plusieurs églises, ce qui donna valeur de référence à cet usage. Au XXe siècle, le renouveau liturgique s’empara de ce modèle hypothétique pour élaborer un nouveau concept : la célébration de l’Eucharistie "versus populum" (vers le peuple) ; de ce fait l’autel, selon la "norme" de saint Pierre, devait être exposé de telle sorte que prêtre et peuple se regardent l’un l’autre pour former ensemble le cercle des célébrants. Cela seul, pensa-t-on alors, pouvait correspondre à l’esprit de la liturgie chrétienne et à la consigne de la participation active, et rendre ainsi la célébration liturgique moderne fidèle au prototype de la sainte Cène » (L’esprit de la liturgie p.65). Or, la prière liturgique vers l’Orient tient compte non seulement de la tradition depuis l’origine du christianisme mais aussi du cosmos. Cette position tient compte du passé et nous dispose à marcher vers le règne du monde à venir. [...]

    Un dernier témoignage, et non des moindres, puisqu’il vient de celui à qui le Pape François a confié la liturgie dans l’Eglise, j’ai nommé le Cardinal Robert Sarah, Préfet de la Congrégation pour le Culte Divin et la discipline des Sacrements. Il appelle à une conversion intérieure pour remettre Dieu au centre de la liturgie : « Se convertir, c’est se tourner vers Dieu. Je suis profondément convaincu que nos corps doivent participer à cette conversion. Le meilleur moyen est certainement de célébrer - prêtres et fidèles - tournés ensemble dans la même direction : vers le Seigneur qui vient. Il ne s’agit pas, comme on l’entend parfois, de célébrer le dos tourné aux fidèles ou face à eux. Le problème n’est pas là. Il s’agit de se tourner ensemble vers l’abside qui symbolise l’Orient où trône la croix du Seigneur ressuscité. Par cette manière de célébrer, nous expérimentons, jusque dans nos corps, la primauté de Dieu et de l’adoration. » Et le Cardinal de proposer concrètement cette orientation commune « au moins pendant le rite de la pénitence, pendant le chant du Gloria, les oraisons et la prière eucharistique » (Entretien donné à l’hebdomadaire Famille Chrétienne n° 2002, du 28 mai 2016). J’ajouterais aussi pendant la prière universelle.

    Nous avons droit à la vérité. Car très souvent l’ignorance, les idéologies de courte vue, et le manque d’information objective créent et entretiennent un climat de suspicion et même de mépris envers les gestes et les symboles à promouvoir. Et cela est préjudiciable au silence sacré, à la vie intérieure et à l’unité des cœurs. [...]"

    Ref. Un évêque diocésain insatisfait de la position des autels qu’on met entre le prêtre et le peuple

    En soi, absolument rien ne s’oppose à ce qu’un curé ré-oriente la célébration de sa  messe mais c’est la pastorale liturgique dans son ensemble qui devrait être réformée pour que cela porte du fruit. Ceci supposerait un véritable mouvement à entreprendre dans toute l’Eglise latine pour rendre une certaine sacralité à son actuelle liturgie de saveur protestante. On est loin du compte. Malgré des gestes comme celui de Mgr N’Koué ou la bonne volonté de Mgr Sarah, un mur infranchissable entre célébrations « ordinaires » (qui sont encore aujourd’hui l’immense majorité) et célébrations «extraordinaires» (qui demeurent des exceptions, peu accessibles aux fidèles sans culture liturgique adéquate) semble figer une coexistence (pacifique?) excluant toute influence réciproque capable d’induire une réunification du rite romain sur base d’une "réforme de la réforme". Cette division regrettable ne se limite d’ailleurs pas à la liturgie.

    JPSC

  • A l’abbaye des Bénédictines de Liège (Bd d’Avroy, 54), le dimanche 3 juillet à 16 h00 : un concert à ne pas manquer !

    IMPRIMER

    Les moines de l’abbaye Sainte Anne de Kergonan, et les moniales bénédictines de l’abbaye la Paix Notre-Dame à Liège vous convient à un concert qui sera donné au profit de la construction de l'orgue de Kergonan.

    Dimanche 3 juillet à 16h00

    Florence Rousseau

    À l’orgue historique de

     l’Abbaye de La Paix Notre-Dame à Liège (Belgique)

    Bd d’Avroy, 54

    Orgue historique Bénédictines de Liège.JPG 

    « Londres Paris Hambourg »

    Oeuvres des XVIIème et XVIIIème siècles

    Concert à ne pas manquer.jpg 

    L’organiste Florence Rousseau, jouera le très bel orgue historique de Jean-Baptiste le Picard (1737) dont s’honore l’église abbatiale du monastère des Bénédictines de Liège.

    Le programme de ce concert, spécialement conçu pour mettre en valeur cet élément intéressant du patrimoine liégeois, sera consacré à la musique ancienne dont Florence Rousseau est une éminente spécialiste. Il prend place dans une grande tournée de concerts dans les abbayes de plusieurs pays européens qui a débuté en juillet 2015.

    Entrée : 10 €

    A l’issue du concert, à 17h45, il sera possible d’assister à l’office des Vêpres chanté par les Sœurs.

    Soyez les bienvenus !

    Pour en savoir plus sur la construction des grandes orgues de l’abbaye Ste Anne des Kergonan (Bretagne, France) par Jean-François Dupont, bientôt inaugurées : www.orguedekergonan.com

    Le site des Sœurs bénédictines de Liège : http://www.benedictinesliege.com/novo/

    Bien fraternellement,

    Frère François d’Assise Chereau,

    Organiste de l’abbaye de Kergonan

    JPSC

  • Un beau reportage sur la communauté Saint-Martin

    IMPRIMER

    VIDÉO | 22/06/2016 | Par Benoît Pénicaut

    L'équipe de l'émission "Le Jour du Seigneur" est allée à la rencontre des prêtres de la communauté Saint-Martin à Chinon, en Touraine. Des prêtres séculiers au service du diocèse qui ne passent pas inaperçus et dont le charisme est fondé sur quatre piliers : la prière commune, l'Eucharistie, l'enseignement et la communion fraternelle.

    La France ne pourrait-elle pas s’enrichir bientôt d’une autre Communauté sacerdotale florissante: celle que la  Belgique s'apprête à expulser ?

    JPSC

  • Quand Michel Onfray déplore la désacralisation dans l’Eglise postconciliaire…

    IMPRIMER

    JPSC

  • Sous le soleil de Dieu : des chanoines pour l'éternité

    IMPRIMER

    De Stéphen Vallet sur le site web du bimensuel « L’Homme Nouveau »

    « Alors que l’Europe souffre d’une terrible crise des vocations, l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, puisant à la riche spiritualité de saint François de Sales, entend servir l’Église en lui offrant chaque année de nouveaux prêtres. Petit tour d’horizon avec son prieur général, Mgr Gilles Wach, sur cet Institut à la romanité clairement assumée et doucement proposée, esprit salésien oblige.

    Institut du Christ Roi.png

    L’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, dont vous êtes le Prieur général, vient de voir le Saint-Siège reconnaître ses Constitutions. Qu’est-ce que cette situation change désormais pour vous ? Que signifie le fait d’être un institut de droit pontifical ? 

    Mgr Gilles Wach : Depuis sa fondation en 1990, l’Institut a suivi les étapes canoniques habituelles pour les sociétés de vie apostoliques cléricales. Les choses se sont faites progressivement et pacifiquement, malgré le contexte de crise dans l’Église. 

    Pendant dix-huit ans, nous étions de droit diocésain et nous bénéficions de la bienveillance, d’abord de l’évêque de Mouila, Mgr Obamba, puis des différents archevêques de Florence, les cardinaux Piovannelli et Antonelli.

    Nos prêtres ont vite été présents sur trois continents. Il devenait naturel que nous dépendions directement du Saint-Siège. Nous avons donc été reconnus de droit pontifical en 2008 après une enquête soigneuse : tous les évêques avec lesquels nous exercions un apostolat ont été interrogés. Depuis cette date, l’Ordinaire de l’Institut est son prieur général, qui est à la tête de chanoines séculiers répandus dans différentes maisons érigées canoniquement par lui-même à travers le monde.

    À l’issue d’une visite canonique menée par S. Exc. Mgr Bacqué, nonce apostolique, le Saint-Siège a définitivement approuvé nos constitutions le 29 janvier 2016. 

    Rien ne change en revanche dans nos relations avec les évêques diocésains : nous ne nous installons dans un diocèse que si nous sommes appelés par eux. Puis, une convention est passée entre l’évêque du lieu et moi-même, comme ordinaire de l’Institut ; celle-ci fixe les modalités de notre présence. Nous répondons aux nombreux appels des évêques pour travailler avec eux et leur presbyterium.

    Lire la suite