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Spiritualité - Page 105

  • Comment contribuer à préparer la naissance du Christ Jésus au cours de cet Avent 2023 ?

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    Avec la Vierge Marie, en propageant la lumière des bougies,
    contribuons à préparer la naissance du Christ Jésus

    au cours de cet Avent 2023.

    « Voici l’Epoux, allez à sa rencontre avec vos lampes allumées » (Mt. 25, 6)

    Quelques propositions pour un Avent missionnaire : 

    L'année liturgique touche à son terme et un nouveau cycle commencera avec le 1er dimanche de l'Avent, ce 3 décembre. 

    L'Avent (du mot latin adventus, qui signifie avènement) comporte quatre dimanches avant Noël. Il a pour but de nous préparer à la venue du Messie : venue sur terre (rappelée par la fête de Noël), venue dans nos âmes par la grâce, venue dans la gloire à la fin des temps.

    Ce temps liturgique est particulièrement marqué par la figure de la Vierge Marie, mère du Sauveur. Nous souhaitons donc profiter de la fête de l'Immaculée Conception, le 8 décembre, pour honorer et remercier notre mère bien-aimée et lui demander d'intercéder pour notre diocèse. 

    Nous vous invitons donc à vous joindre à notre initiative :  

    • en priant chaque jour la Vierge Marie à l'occasion de la neuvaine à l'Immaculée Conception, à partir du 30 novembre jusqu'au 8 décembre ;
    • en illuminant vos fenêtres et balcons les nuits du 7 et 8 décembre prochains ;
    • en distribuant à vos voisins bougies et neuvaines pour s’associer à cette démarche missionnaire ;
    • en participant à une messe de l’Immaculée Conception, le vendredi 8 décembre. 

    A titre d'information, veuillez trouver ci-dessous le programme, autour de la fête, à l'église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy 132, 4000 LIEGE). 

    N'hésitez pas à relayer ces initiatives et à vous en inspirer dans vos familles, paroisses, Unités pastorales, et partout autour de vous, afin que la Vierge Marie soit dignement fêtée dans notre diocèse. Soyons sûrs qu'elle nous conduira vers Jésus.  

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  • Les intentions mensuelles du pape pour 2024

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    Les intentions de prière du pape pour l’année 2024 (source)

    Voici la liste des intentions du pape pour toute l’année 2024.

    Janvier
    Pour le don de la diversité au sein de l’Église
    Prions pour que l’Esprit nous aide à reconnaître les divers charismes dans la communauté chrétienne et à découvrir la richesse des différentes traditions rituelles au sein de l’Église catholique.

    Février
    Pour les malades en phase terminale
    Prions pour que les malades en phase terminale, ainsi que leurs familles, bénéficient toujours d’un accompagnement médical et humain de qualité.

    Mars
    Pour les nouveaux martyrs
    Prions pour que ceux qui risquent leur vie pour l’Évangile, dans différentes parties du monde, fécondent l’Église de leur courage et de leur élan missionnaire.

    Avril
    Pour le rôle des femmes
    Prions pour que la dignité et la richesse des femmes soient reconnues dans toutes les cultures et que cessent les discriminations dont elles sont victimes dans différentes parties du monde.

    Mai
    Pour la formation des religieuses, des religieux et des séminaristes
    Prions pour que les religieuses, les religieux et les séminaristes grandissent dans leur parcours vocationnel grâce à une formation humaine, pastorale, spirituelle et communautaire qui les conduise à être des témoins crédibles de l’Évangile.

    Juin
    Pour ceux qui fuient leur pays
    Prions pour que les migrants, qui fuient les guerres ou la faim et sont contraints à des voyages pleins de dangers et de violence, puissent trouver l’hospitalité ainsi que de nouvelles opportunités de vie dans les pays d’accueil.

    Juillet
    Pour la pastorale des malades
    Prions pour que le sacrement de l’onction des malades donne aux personnes qui le reçoivent, ainsi qu’à leurs proches, la force du Seigneur, et qu’il soit de plus en plus pour tous un signe visible de compassion et d’espérance.

    Août
    Pour les dirigeants politiques
    Prions pour que les dirigeants politiques soient au service de leur peuple ; qu’ils œuvrent en faveur du développement humain intégral et du bien commun, tout en se souciant de ceux qui ont perdu leur emploi et en donnant la priorité aux plus pauvres.

    Septembre
    Pour le cri de la Terre
    Prions pour que chacun d’entre nous écoute avec son cœur le cri de la Terre et les victimes des catastrophes environnementales et de la crise climatique, en s’engageant personnellement à prendre soin du monde qu’il habite.

    Octobre
    Pour une mission partagée
    Prions pour que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.

    Novembre
    Pour ceux qui ont perdu un enfant
    Prions pour que tous les parents qui pleurent la mort d’un fils ou d’une fille trouvent un soutien au sein de la communauté et obtiennent de l’Esprit consolateur la paix du cœur.

    Décembre
    Pour les pèlerins de l’espérance
    Prions pour que le Jubilé qui s’ouvre nous renforce dans la foi, en nous aidant à reconnaître le Christ ressuscité au milieu de nos vies, et nous transforme en pèlerins de l’espérance chrétienne.

  • Le célibat, cœur de l'identité du prêtre selon François

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    De Vatican News :

    Vocation, pastorale, figure du prêtre: les conseils du Pape aux séminaristes français

    Le cardinal Pietro Parolin a transmis le message du Pape aux plus de 700 séminaristes et formateurs de séminaires en France, rassemblés pour la première fois depuis près de dix ans à Paris du 1er au 3 décembre. Le Souverain pontife les exhorte à adopter «un nouveau style pastoral» pour affronter le contexte culturel du pays, où «la figure du prêtre a perdu prestige et autorité». Le Pape les conforte également dans le célibat, «exigence mystique» selon lui.

    «Le Pape rend grâce pour l’appel singulier que le Seigneur vous a adressé, vous ayant choisis parmi tant d’autres, aimés d’un amour privilégié et mis à part ; et il rend grâce aussi pour la réponse courageuse que vous souhaitez donner à cet appel», a d’emblée souligné le Secrétaire d’État du Saint-Siège au nom du Souverain pontife. «C’est en effet un motif d’action de grâce, d’espérance et de joie que de constater que nombre de jeunes –et de moins jeunes– osent encore, avec la générosité et l’audace de la foi, et malgré les temps difficiles que traversent nos Églises et nos sociétés occidentales sécularisées, s’engager à la suite du Seigneur pour son service et celui de leurs frères et sœurs», a-t-il relevé, les remerciant chaleureusement.

    «Merci de donner de la joie et de l’espérance à l’Église de France qui vous attend et qui a besoin de vous». L’Église de France a besoin des séminaristes pour qu’ils soient ce que le prêtre doit être: «Participer à l’autorité par laquelle le Christ édifie, sanctifie et gouverne son Corps» (Presbyterorum ordinis, n. 2).

    Le célibat, cœur de l'identité du prêtre

    Le successeur de Pierre invite les séminaristes français «à enraciner» en leurs âmes «les vérités fondamentales» de la vocation: «Au plus haut point, source et sommet de la vie de l’Église et de sa vie personnelle, le prêtre célèbre la messe où, rendant présent le sacrifice du Christ, il s’offre en union avec Lui sur l’autel et y dépose l’offrande du Peuple de Dieu tout entier et de chacun des fidèles.»

    Au cœur de cette identité se trouve le célibat, rappelle François. «Le prêtre est célibataire -et il veut l’être- parce que Jésus l’était, tout simplement. L’exigence du célibat n’est pas d’abord théologique, mais mystique: comprenne qui pourra!», écrit-il (cf. Mt 19, 12).

    «On entend beaucoup de choses sur les prêtres aujourd’hui, la figure sacerdotale est bien souvent déformée dans certains milieux, relativisée, parfois considérée comme subalterne. Ne vous en effrayez pas trop: personne n’a le pouvoir de changer la nature du sacerdoce et personne ne la changera jamais, même si les modalités de son exercice doivent nécessairement prendre en compte les évolutions de la société actuelle et la condition de grave crise vocationnelle que nous connaissons», poursuit le Saint-Père dans cette missive, constant que l’institution ecclésiale, et avec elle la figure du prêtre, n’est plus reconnue en France.

    Simplicité, douceur, pauvreté comme style pastoral

    «Elle a perdu au yeux du plus grand nombre tout prestige, toute autorité naturelle, et se trouve même malheureusement salie. Il ne faut donc plus compter dessus pour trouver audience auprès des personnes que nous rencontrons», observe le Pape, plaidant ainsi pour «l’adoption d’un style pastoral de proximité, de compassion, d’humilité, de gratuité, de patience, de douceur, de don radical de soi aux autres, de simplicité et de pauvreté». C’est selon lui la seule manière possible de procéder à la nouvelle évangélisation, afin que chacun fasse une rencontre personnelle avec le Christ. En somme, un prêtre qui connaisse l’«odeur de ses brebis» (Messe chrismale, 28 mars 2013) et qui marche avec elles, à leur rythme.

    «De cette manière, le prêtre touchera le cœur de ses fidèles, gagnera leur confiance et leur fera rencontrer le Christ. Cela n’est pas nouveau, bien entendu; d’innombrables saints prêtres ont adopté ce style dans le passé, mais il est devenu aujourd’hui une nécessité sous peine de ne pas être crédible ni entendu», soutient encore le Secrétaire d’État du Saint-Siège au nom du Pape.

    Nourrir une relation personnelle forte avec Jésus

    «Afin de vivre cette exigeante, et parfois rude, perfection sacerdotale, et faire face aux défis et aux tentations que vous rencontrerez sur votre route, il n’y a, chers séminaristes, qu’une solution: nourrir une relation personnelle, forte, vivante et authentique avec Jésus», continue le message. Le Pape rappelle aux séminaristes que seul l’amour du Christ les fera sortir victorieux de toute crise et difficulté.

    «Car si Jésus me suffit je n’ai pas besoin de grandes consolations dans le ministère, ni de grands succès pastoraux, ni de me sentir au centre de réseaux relationnels étendus; si Jésus me suffit je n’ai pas besoin d’affections désordonnées, ni de notoriété, ni d’avoir de grandes responsabilités, ni de faire carrière, ni de briller aux yeux du monde, ni d’être meilleur que les autres; si Jésus me suffit je n’ai pas besoin de grands biens matériels, ni de jouir des séductions du monde, ni de sécurités pour mon avenir. Si au contraire je succombe à l’une de ces tentations ou faiblesses, c’est que Jésus ne me suffit pas et que je manque à l’amour.» 

    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus comme guide de confiance

    Enfin, l’évêque de Rome recommande aux séminaristes sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, en ce 150ème anniversaire de sa naissance. Elle, docteur en scientia amoris -en science de l'amour- dont ils ont «le privilège de pouvoir lire l’admirable doctrine dans sa langue d’origine». «Elle qui “respira” sans cesse le Nom de Jésus, son “seul amour” (cf. Exhortation apostolique C’est la confiance, n. 8), elle vous guidera sur la voie de la confiance qui vous soutiendra chaque jour et vous fera tenir debout sous le regard du Seigneur lorsqu’Il vous appellera à Lui».

    «Le Pape François vous confie à son intercession et à la protection de Notre Dame de l’Assomption, Patronne de la France, ainsi que tous les membres de vos communautés de séminaires. Il vous accorde de grand cœur la Bénédiction apostolique», a conclu le cardinal Parolin.

  • Le 29 novembre 1932, la Vierge Marie apparaissait à Beauraing...

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    De Morgane Afif  sur Aleteia.org :

    Apparition mariale : le message de Beauraing

    Beauraing

    Sanctuaire de Beauraing et ASBL PRO MARIA

    28/11/23

    Le 29 novembre 1932, la Vierge Marie apparaît à Beauraing, en Belgique, à cinq jeunes voyants. Elle est venue déposer une lumière dans la banalité de la vie de tous les jours.

    Cette petite ville de l’Ouest de la Wallonie ressemble à toutes les petites villes de Belgique, de France et de Navarre. Coincée entre le chemin de fer et la grand’route, les ardoises grises de ses maisons ne cachent rien de grandiose. En 1932, Beauraing est un petit village de 1.500 âmes. Ni beau, ni laid, entouré par les champs qui s’étendent jusqu’à l’horizon de la plaine wallonne. C’est dans cette campagne banale que la Vierge Marie apparaît, 33 soirs de suite, du 29 novembre 1932 au 3 janvier 1933, à cinq jeunes enfants issus de familles modestes. 

    En Europe, les temps sont troubles : en Allemagne, Hitler conquiert le pouvoir. « La Vierge Marie apparaît souvent dans des périodes historiques complexes, souligne le père Joël Rochette, recteur du sanctuaire. A Pontmain, c’est la guerre franco-prussienne, à Fatima, la Première guerre mondiale. Ici, nous sommes juste avant la Seconde. Marie nous rejoint dans notre Histoire et dans notre vie. A Beauraing, on est loin des paysages sublimes de Lourdes, de Fatima, ou de La Salette, Marie est apparue sur un lopin de jardin sans fleur, au cœur de l’hiver, dans la nuit, pas très loin de l’église paroissiale et à deux pas du cimetière, dans un village sans charme particulier comme on en trouve beaucoup dans le pays. J’aime l’appeler Notre-Dame du quotidien : ici, Marie est vraiment venue déposer une lumière dans la banalité de la vie de tous les jours, dans la monotonie du temps qui passe. Elle nous redit sa présence, dans un lieu bruyant, qui est un peu l’image de notre monde aujourd’hui ».

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  • Emission KTO : "la foi prise au mot par Léon Bloy (1846-1917) ":

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    Bloy images (27).jpg« Figure souvent méconnue de nos jours, Léon Bloy fut pourtant une figure flamboyante de la littérature française du XIXe siècle. Profondément catholique, ne vivant que pour l'absolu et détestant le « Bourgeois » - ce « cochon qui voudrait mourir de vieillesse » - son oeuvre est marquée par un style violent, éclatant, volontiers pamphlétaire. On ne saurait, toutefois, minimiser l'incroyable drôlerie qui se dégage des critiques de ses congénères. « Dans son rapport à l'absolu et à la foi, Bloy s'est rendu insupportable à ses contemporains, avec beaucoup de méthode, d'énergie et de compétence. Mais, Bloy, au fond, c'est un peu le sel. S'il n'y a pas de Léon Bloy, avec quoi salera-t-on ? », s'amuse François Angelier, auteur et producteur de l'émission « Mauvais genre » sur France Culture. Ce nouveau numéro de La Foi Prise au Mot présente le portrait d'un esprit tourmenté mais aussi profondément mystique pour qui tout était symbole. »

  • 8 décembre : grande procession aux flambeaux à Ixelles pour fêter l'Immaculée

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    Flyer Immaculeģe 3.png

    Le 8 décembre, fêtons en lumière l’Immaculee Conception de Marie !

    ***

    Programme de la soirée :

     Grande Procession aux Flambeaux

    Rejoignez-nous pour une procession magique qui débutera à l’Abbaye de La Cambre, illuminant le chemin jusqu’à l’église Sainte-Croix. Portez votre flambeau avec fierté et marchons ensemble dans la ferveur de cette belle tradition.

     Célébration à l’église Sainte-Croix

    À notre arrivée, une célébration spéciale à l’église Sainte-Croix nous attend. Un moment de prière, de réflexion et de communion, où nous honorerons l’Immaculée Conception de Marie.

    Bon Goûter et Camaraderie

    Après la cérémonie, nous vous invitons à vous joindre à nous pour un délicieux goûter dans l’enceinte de l’église. C’est l’occasion parfaite de se retrouver.

    ***

    Détails pratiques :

    Date : 8 décembre Heure : 17h45 – 19h00 Lieu : Départ de l’Abbaye de La Cambre, suivi de la célébration à l’église Sainte-Croix

  • Besoin de vitamines ? Faites le plein d'espérance avec "l'Esprit des lettres" (Jean-Marie Guénois)

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    De KTO Télévision :

    L’Esprit des Lettres de novembre 2023 : Jérôme Cordelier, Alexia Vidot, Frère Sylvain Detoc

    24/11/2023

    Jean-Marie Guénois se penche sur le passé de l’Europe avec Jérôme Cordelier (« Après la nuit » chez Calmann Levy). La Seconde Guerre mondiale terminée, tout est à reconstruire ; les chrétiens, qui furent parmi les premiers à résister à l’occupant nazi, sont aux avant-postes pour relever une France en ruines. Ils marquent cette ère nouvelle par leurs engagements dans les luttes économiques, sociales et spirituelles. Leur vision du monde oriente les combats politiques et intellectuels. Et ce sont eux, français, allemands et italiens, qui fondent une Europe de la paix. Voilà pour le passé. Et le présent ? Comment assumer nos limites au lieu de les masquer ? Comment s’aimer de façon juste sans se déprécier ou s’illusionner ? Alexia Vidot sonde notre coeur et dessille notre regard pour nous rappeler comment Dieu transforme notre boue en or, dans « Éloge spirituel de l’imperfection », chez Artège. Et l’avenir ? Le Christ n’a-t-il pas enseigné que sa résurrection inaugurerait des noces sans fin, demande le frère Sylvain Detoc ? A travers la fête de la Création, à travers l’histoire du salut, à travers la danse du Ressuscité et l’effervescence de son Esprit Saint, Dieu nous dit, comme au fils prodigue : « Toi, mon enfant, c’est toi que j’attendais pour faire la fête. ». Une émission coproduite par Le Jour du Seigneur, La Procure et KTO

  • Tu es donc roi ?

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    Angélus de Benoît XVI en la Solennité du Christ Roi de l'Univers

    archive 23 novembre 2008

    En ce dimanche, Solennité de Notre Seigneur Jésus Christ, Roi de l'univers , le Saint Père Benoît XVI a récité la prière de l'Angélus depuis la fenêtre de son bureau du Palais Apostolique du Vatican avec les fidèles et les pèlerins rassemblés en Place Saint Pierre.

    Paroles du Saint-Père avant la paroles de l'Angelus

    Chers frères et soeurs !

    Nous célébrons aujourd'hui, dernier Dimanche de l'année liturgique, la Solennité de Notre Seigneur Jésus Christ, Roi de l'univers. Nous savons des Évangiles que Jésus refusa le titre de roi comme il était entendu au sens politique, comme « chefs des nations » (cfr Mt 20.24). Par contre, lors de sa passion, il revendiqua une royauté particulière devant Pilate, qui l'interrogea explicitement : « Tu es donc roi ? », et Jésus répondit : « Tu le dis, je suis roi » (Jn 18.37) ; peu avant, cependant, il avait déclaré : « mon royaume n'est pas de ce monde » (Jn 18.36. La royauté du Christ, en effet, est la révélation et la réalisation de celle de Dieu le Père, qui gouverne toutes les choses avec Amour et avec justice. Le Père a confié à son Fils la mission de donner aux hommes la vie éternelle en les aimant jusqu'au sacrifice suprême, et en même temps lui a conféré le pouvoir de les juger, dès le moment où il s'est fait Fils de l'homme, en tout semblable à nous (cfr Jn 5,21-22.26-27).

    L'Évangile d’aujourd’hui insiste justement sur la royauté universelle du Christ juge, avec la superbe parabole du jugement dernier, que saint Matthieu a placée immédiatement avant le récit de la Passion (25.31-46). Les images sont simples, le langage est populaire, mais le message est extrêmement important : c'est la vérité sur notre dernière destinée et sur le critère avec lequel nous serons jugés. « J'ai eu faim , et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif , et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez accueilli » (Mt 25.35) et ainsi de suite. Qui ne connaît pas cette page ? Elle fait partie de notre civilisation. Elle a marqué l'histoire des peuples de culture chrétienne : la hiérarchie des valeurs, les institutions, les multiples oeuvres de bienfaisance et sociales. En effet, le royaume du Christ n'est pas de ce monde, mais mène à son accomplissement tout le bien qui, grâce à Dieu, existe dans l'homme et dans l'histoire. Si nous mettons en pratique l'Amour pour notre prochain, selon le message évangélique, alors nous laissons la place au pouvoir de Dieu, et son royaume se réalise parmi nous. Si par contre chacun pense seulement à ses propres intérêts, le monde ne peut qu'aller à sa ruine.

    Chers amis, le royaume de Dieu n'est pas une question d'honneurs et d'apparences, mais, comme l'écrit Saint Paul, il est « justice, paix et joie dans l'Esprit Saint » (Rm 14.17). Le Seigneur a à coeur notre bien, c'est-à-dire que chaque homme ait la vie, et que ses enfants, particulièrement les plus « petits » puissent accéder au banquet qu'il a préparé pour nous tous. Il ne sait donc pas que faire de ces formes hypocrites de celui qui dit « Seigneur, Seigneur » et ensuite néglige ses commandements (cfr Mt 7.21). Dans son royaume éternel, Dieu accueille tous ceux qui s'efforcent jour après jour de mettre en pratique sa Parole. Pour cela, la Vierge Marie, la plus humble de toutes les créatures, est la plus grande à ses yeux et est assise comme Reine à la droite du Christ Roi. Nous voulons nous confier encore une fois avec une confiance filiale à son intercession céleste, pour pouvoir réaliser notre mission chrétienne dans le monde.

  • Le Christ Roi de l'Univers (dimanche 26 novembre)

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    C’est à la lumière de la tendresse attentive du pasteur qu’il faut entendre l’exaltation de la royauté guerrière de celui qui triomphe de la mort après avoir détruit toutes les puissances. L’humilité du Roi vainqueur n’est d’ailleurs pas démentie, puisque sa victoire n’est pas au profit de son exaltation personnelle : nous lisons en effet que lorsque « tout sera achevé, il remettra son pouvoir royal à Dieu le Père », afin que « Dieu soit tout en tous ». Lorsque Jésus exerce le ministère de Juge universel, il parle encore au nom de son Père qui à travers lui prononce la sentence. Mais quel n’est pas notre étonnement de n’entendre parmi les critères de discernement pour l’entrée dans le Royaume, aucune allusion à une confession de foi. C’est pourtant bien le même Jésus qui disait à ses disciples : « Quiconque se déclarera pour moi devant les hommes, je me déclarerai moi aussi pour lui devant mon Père qui est aux cieux » ; et il ajoutait en contrepoint la proposition symétrique - tout comme dans l’Evangile de ce jour : « mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai moi aussi devant mon Père qui est aux cieux » (Mt 10, 32-33).

    Il ne s’agit pas d’opposer ces deux passages, ni de privilégier exclusivement l’un par rapport à l’autre : ils sont bien plutôt complémentaires. Jésus ne peut pas demander aux hommes qui n’ont pas eu la chance d’entendre l’annonce de la Bonne Nouvelle, de proclamer sa Seigneurie ; ceux-là ce sont leurs œuvres de miséricorde en faveur des plus petits qui témoigneront pour eux et leur serviront de confession de foi. Quant aux croyants qui se déclarent pour le Christ devant les hommes, « il ne leur suffit pas de dire “Seigneur, Seigneur !” pour entrer dans le Royaume des cieux : il faut aussi qu’il fasse la volonté du Père qui est aux cieux » (Mt 7, 21).

    Au bout du compte, ce sont donc bien les œuvres de charité qui sont déterminantes, tant il est vrai que « celui qui n’agit pas, sa foi est bel et bien morte » (Jc 2, 17). Or ce qui frappe de prime abord, c’est le caractère « ordinaire » des actions rapportées : nourrir un affamé, vêtir un démuni, accueillir un étranger, visiter un malade ou un prisonnier, rien de tout cela n’est hors de notre portée. Ce qui situe bien cet Evangile dans le prolongement de ceux que nous avons médités ces dernières semaines. Avec la parabole des vierges sages et des vierges folles, Jésus soulignait l’importance de la vigilance au jour le jour dans l’attente de la venue de l’Epoux ; la semaine passée nous étions invités à mettre en œuvre nos talents au quotidien ; aujourd’hui Notre-Seigneur nous rappelle l’exigence d’incarner notre foi dans un comportement fraternel cohérent, marqué par la gratuité. Si le service des démunis attire la bienveillance divine, c’est précisément parce qu’il est gratuit : ceux qui en bénéficient auraient en effet bien du mal à nous l’offrir en retour. C’est en cela qu’il entre dans la logique du Royaume, qui est celle de l’amour (nécessairement) gratuit. L’accès au Royaume n’est pas une récompense pour bons et loyaux services ; la pleine communion avec Dieu sera l’accomplissement de ce qui est déjà commencé dans le cœur de ceux qui ont écouté la voix de leur conscience et sont entrés en solidarité concrète avec leurs frères dans le besoin. Oui heureux sont-ils, car les œuvres qu’ils accomplissent ainsi dans l’Esprit de charité, purifient leurs cœurs et leur permettront au jour du jugement de voir Dieu ; et de le voir précisément sous les traits de ceux en faveur desquels ils se sont mis en peine.

    « Tout ce que vous avez fait - ou omis de faire - à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ». L’identification entre le Christ et chacun de « ces petits » qu’il appelle « ses frères » est inouïe. Le Fils de Dieu s’est tellement uni à notre humanité, qu’il est personnellement concerné par le sort de chacun d’entre nous. Nous pourrions intituler cette péricope : le dévoilement du Roi caché. Nous avions souligné que si les bons serviteurs de la parabole de la semaine passée poursuivent généreusement leur travail, c’est tout simplement parce que leur Maître n’a pas quitté la demeure de leur cœur. Cette semaine nous apprenons que non seulement les bons serviteurs que nous devrions être, demeurent en communion d’amour avec leur Seigneur, dans l’Esprit, mais qu’ils peuvent même continuer à le servir physiquement dans chacun de leurs frères, particulièrement les plus démunis.

    « Seigneur, je remarque que tous les hommes, les bons comme les mauvais, seront surpris par le jugement. Il ne sert donc à rien d’essayer de nous imaginer ce qu’il en sera : il vaut mieux mettre en œuvre ce qui ressort de la parabole. En commençant par mesurer l’enjeu de notre vie quotidienne : il ne nous sera pas donné d’autre temps ni d’autre lieu pour décider de notre sort éternel. C’est ici et maintenant, Seigneur, que tu te présentes à nous sous les traits des frères et sœurs démunis avec lesquels nous cheminons sans les voir. C’est aujourd’hui que nous décidons de notre éternité, car tu ne demeures qu’en ceux qui aiment, c'est-à-dire ceux qui ne ferment pas leur cœur aux appels de détresse, mais acceptent de perdre joyeusement leur vie au profit de ceux qui la réclament. »

    Père Joseph-Marie

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  • La fête du Christ-Roi : un antidote au sécularisme

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    De Mgr Giovanni d'Ercole, évêque émérite d'Ascoli Piceno, sur le site de la Nuova Bussola Quotidiana :

    La fête du Christ-Roi est un antidote au sécularisme

    Introduite par Pie XI en 1925, cette solennité qui clôt l'année liturgique est plus que jamais d'actualité : elle est une invitation à se réveiller et à ne pas s'accommoder de l'esprit du monde.

    25_11_2023

    L'année liturgique se termine par la solennité de Jésus-Christ Roi de l'Univers, introduite par Pie XI dans l'encyclique Quas primas du 11 décembre 1925, pour couronner le Jubilé de cette année-là, un "Jubilé de la paix" après les tristes événements de la Première Guerre mondiale. Placée à l'origine le dernier dimanche d'octobre, la solennité a été déplacée au dernier dimanche de l'année liturgique par le Concile Vatican II. L'anniversaire a également été adopté par les confessions luthérienne et anglicane.

    La préface de la messe définit la royauté du Christ comme "un royaume éternel et universel, un royaume de vérité et de vie, un royaume de sainteté et de grâce, un royaume de justice, d'amour et de paix". Parler de la royauté du Christ a-t-il encore un sens aujourd'hui et, si oui, comment la faire vivre dans notre société post-chrétienne de plus en plus indépendante de toute référence à Dieu et au Christ ? Les raisons qui ont poussé Pie XI, à la demande des pasteurs et des fidèles, à l'instituer sont-elles encore valables aujourd'hui ?

    L'encyclique Quas primas susmentionnée soulignait l'engagement des catholiques dans la société pour accélérer et hâter le retour à la royauté sociale du Christ et en expliquait la raison : opposer "un remède très efficace à ce fléau qui envahit la société humaine", le fléau du "soi-disant sécularisme avec ses erreurs et ses incitations impies". Il s'agit donc de s'opposer à la naissance et à la croissance d'une société athée et sécularisée, que le pape a qualifiée de "fléau de notre temps". Il a poursuivi en rappelant que les maux du monde proviennent de l'éloignement du Christ "et de sa sainte loi" de la pratique de la vie quotidienne, de la famille et de la société, et que l'espoir d'une paix durable entre les peuples est donc impossible tant que les individus et les nations continueront à nier et à rejeter "l'empire du Christ Sauveur". Il est donc nécessaire, conclut le Pape, d'établir le Royaume du Christ et de le proclamer Roi de l'Univers".

    A y regarder de plus près, au-delà du langage de l'époque, l'analyse de Pie XI sur la société apparaît d'une grande actualité, une analyse qui nous aide aujourd'hui à constater qu'au nom d'une autonomie de plus en plus réaffirmée, l'humanité contemporaine semble choisir volontairement de se passer de Dieu. Écoutons encore ces paroles de Pie XI : "Si nous ordonnons que le Christ-Roi soit vénéré par tous les catholiques du monde, nous pourvoirons ainsi aux nécessités du temps présent, en apportant un remède très efficace à ce fléau qui envahit la société humaine". Il se référait précisément au "soi-disant sécularisme avec ses erreurs et ses incitations impies".  Hier comme aujourd'hui, un fait indéniable apparaît : la foi se dilue de plus en plus, au point de devenir insignifiante dans la conception de la vie et dans les choix de nos sociétés ; même les chrétiens renoncent parfois à être le sel et le levain évangélique dans la pâte de ce monde et beaucoup semblent s'enfermer dans leurs propres clôtures, presque réticents à affronter les grands défis de l'époque contemporaine.

    La fête du Christ-Roi peut être un stimulant pour que les catholiques se réveillent du sommeil de l'indifférence et de la complaisance à l'égard de l'esprit du monde ; une poussée pour qu'ils se convertissent au courage du témoignage évangélique dans toutes les sphères de la société. Si hier le "fléau" était le sécularisme, aujourd'hui le "fléau" est l'indifférence, le désengagement, l'acceptation sans critique de tout, comme s'il n'y avait plus de différence entre le bien et le mal. L'héroïsme des martyrs, richesse impérissable de l'Église, est toujours indispensable pour aller à contre-courant, prêt à risquer même sa vie pour témoigner du Christ. Prétentieuse est la polémique de ceux qui considèrent l'image de Jésus Roi comme si nous, chrétiens, voulions imposer nos croyances aux autres.  Les destinataires de cette fête sont nous, les catholiques, l'Église dans son ensemble, poussés par l'Esprit Saint à considérer le Christ comme notre Roi et notre Seigneur : en effet, ce n'est que par notre fidélité à l'Évangile que le message du Christ peut parvenir à tous, croyants et non-croyants.

    Le Christ est l'Alpha et l'Oméga (Ap 21,6) ; devant Pilate, il a affirmé catégoriquement sa royauté, répondant à sa question : "Tu es donc roi ?", "Tu le dis, je suis roi" (Jn 18,37). Son royaume, explique Pie XI, "avant tout spirituel", s'oppose uniquement à celui de Satan et des puissances des ténèbres. Royaume qui n'est donc pas de ce monde, car il ne vient pas des hommes, mais de Dieu seul.

    Ce Roi exige de ses sujets, poursuit Pie XI, non seulement un esprit détaché des richesses et des choses terrestres, la douceur des mœurs, la faim et la soif de justice, mais aussi de renoncer à eux-mêmes et de prendre leur croix pour le suivre. Ce Royaume du Christ est déjà présent sur la terre, mais dans le mystère - le Concile Vatican II le rappelle également dans la constitution pastorale Gaudium et spes (nos 19-22 ; 33-39) ; cependant, il atteindra sa pleine perfection à la fin des temps avec la venue du Seigneur, Juge et Roi suprême, pour juger les vivants et les morts (Mt 25, 31 ss).

  • Sainte Catherine d'Alexandrie (25 novembre)

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    catherineMemling1479.middle.jpgSouvent représentée (ici par Memling, XVe s.) à l'occasion de son mariage mystique avec le Christ, sainte Catherine d'Alexandrie symbolise l'union de la philosophie et de la religion. Plus que sur l'histoire, c'est sur la tradition que s'appuie la dévotion à cette sainte martyrisée au 4e siècle.

    "Alors âgée de dix-huit ans, Catherine s'opposera à Maximinus à l'origine de nombreuses persécutions. Incapable de répondre aux arguments de la jeune femme, l'empereur demandera à cinquante philosophes de lui fournir les arguments. Catherine les convertira. L'empereur les fera brûler sur un bûcher et demandera à Catherine de l'épouser. Celle-ci, qui avait reçu un anneau d'or du Christ, refusera. Battue et emprisonnée, Catherine sera sauvée par le Christ qui lui apparaîtra de nouveau et lui enverra une colombe blanche pour la nourrir. Elle convertira la femme de l'empereur, Faustina, et le chef de sa garde, Porphyrius, qui à son tour convertiront deux cents gardes impériaux. Ils seront tous exécutés. Catherine, qui subira le supplice d'une roue parsemée de clous et de rasoirs, sera libérée par miracle durant l'épreuve. Elle sera finalement décapitée. De l'huile recueillie sur ses ossements sera à l'origine de guérisons miraculeuses durant plusieurs siècles. Son corps sera transporté par des anges, au IXème siècle, au sommet du Mont Sinaï, dans le monastère de la Transfiguration du Christ fondé en 542, qui sera ensuite rebaptisé monastère Sainte Catherine. Sainte Catherine appartiendra aux visions de Jeanne d'Arc, avec sainte Marguerite." (insecula.com)

  • Du triomphe au désastre. Les cinq écueils des communautés nouvelles

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    De Sandro Magister sur Diakonos.be :

    Du triomphe au désastre. Les cinq écueils des communautés nouvelles

    Il était une fois les communautés nouvelles. Oui, celles-là mêmes qui avaient été triomphalement convoquées par Jean-Paul II le jour de la Pentecôte 1998. Il voyait en elles les « expressions providentielles du nouveau printemps suscité par l’Esprit avec le Concile Vatican II ». Toutes au service direct du Pape et libérés des tracasseries des diocèses, afin que l’Église puisse refleurir dans le monde. Opus Dei, Focolari, Légionnaires du Christ, Communion et Libération, Communauté de Saint’Egidio, charismatiques, chemin néocatéchuménal, et bien d’autres encore, diverses et variées.

    Mais aujourd’hui, le printemps a fait place à une saison sombre et orageuse. Après le triomphe, le désastre. Effondrements numériques, décompositions, scandales intolérables, fondateurs idolâtrés se révélant être des abuseurs de l’esprit et du corps de leurs adeptes, victimes innombrables trahies dans leur confiance.

    Pourtant, les signaux d’alarme n’ont pas manqué. En 2004, « La Civiltà Cattolica », la revue des jésuites de Rome publiée avec l’imprimatur des plus hautes autorités vaticanes, publiait un éditorial de son rédacteur-vedette, Giuseppe De Rosa, mettant en garde contre les « dangers » identifiés dans de nombreux mouvements.

    Et toujours en 2004, la Conférence épiscopale italienne dirigée par le cardinal Camillo Ruini confiait à un sociologue éminent, Luca Diotallevi, le soin de réaliser une analyse critique du rôle joué par les communautés nouvelles aux dépens des diocèses, des paroisses et des structures associatives « classiques » telles que l’Action catholique.

    Mais la catastrophe a fait son œuvre et aujourd’hui, quasiment toutes les analyses publiées sur le sujet s’accordent pour imputer également aux pasteurs de l’Église une responsabilité dans ce qui s’est passé, à cause de leur silence et de leur incurie.

    Que faire ? Parmi les réponses à ce défi, il en est une qui vaut la peine d’être signalée. Elle est l’œuvre d’un évêque et théologien italien de premier plan et a été publiée dans la revue « Il Regno » sous le titre « Nuovi movimenti religiosi: i rischi di una deriva settaria ».

    L’auteur est Franco Giulio Brambilla, 74 ans, évêque de Novara depuis 2011 et vice-président de la Conférence épiscopale italienne de 2015 à 2021, après avoir été professeur de christologie et d’anthropologie théologique à Milan, à la Faculté théologique où ont notamment enseigné Carlo Colombo, le théologien de Paul VI pendant le Concile, Giuseppe Colombo et Giacomo Biffi, qui deviendra archevêque de Bologne et cardinal.

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