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Spiritualité - Page 493

  • Rentrée en fanfare pour les dix ans de l’Académie de Chant Grégorien à Liège

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    Affluence record pour les cours de l’Académie de Chant grégorien qui rouvrait ses portes le samedi 10 novembre 2012 à l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy à Liège : 42 élèves (19 nouveaux) inscrits contre 23 l’an dernier.

    Stephan Junker_2.jpgAu programme de ce cycle 2012-2013 : « plain-chant et déchant sur les chemins de Compostelle et autres lieux de pèlerinage au temps des cathédrale (XIIe-XVe siècle) ». Douze cours d’initiation pratique au chant médiéval (dir. Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers), deux samedis après-midi par mois de novembre 2012 à mai 2013.

    Trois événements ponctueront ce dixième cycle d’apprentissage ouvert à tous (des cours spécifiques sont aussi organisés pour les juniors de 8 à 16 ans) :

    -le samedi 9 février 2013 à Liège (abbaye des bénédictines) : une conférence et unemarcel-peres.jpg mini-session de chant avec Marcel Pérès fondateur de l’Ensemble Organum (à l’ Abbaye de Sénanque en 1982) : Marcel Pérès dirige depuis 1984 le CERIMM (le centre de recherche pour l'interprétation des musiques médiévales, installé auprès de la Fondation Royaumont, puis depuis 2001 le CIRMA (Centre itinérant de recherche sur les musiques anciennes), à l'Abbaye de Moissac.

    imagesCAJYFV22.jpg-le samedi 11 mai 2013 à Liège, une messe festive (église du Saint-Sacrement) et un grand concert (église des Bénédictines) au cours desquels l’excellent ensemble  « Psallentes ♀ »  (direction : Hendrik Vanden Abeele, professeur aux conservatoires de Leuven, Rotterdam et La Haye) alternera avec les élèves et l'organiste Patrick Wilwerth (professeur au conservatoire de Verviers).

    -le dimanche 29 septembre 2013, à Saint-Séverin en Condroz (église romane du XIIedyn007_original_173_317_pjpeg_3828_5a51a350f34d704e1ddc961865b36ea5.jpg siècle) : journée grégorienne animée par les élèves, avec le concours du quatuor vocal parisien « Caliomène » placé sous la direction de Ximena Gonzales (chœur grégorien de Paris). 

    Les élèves désireux de s’inscrire au cycle de cours préparatoires à ces événements peuvent s’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège. Les candidatures seront prises en considération jusqu’au 30 novembre 2012 au plus tard.

    Téléphone  04.344.10.89 ( en cas d’absence :GSM 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye).  Courriel : jpschyns@skynet.be  

    Informations générales : http://www.gregorien.be   http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

  • Recevoir les textes liturgiques du jour et une homélie appropriée

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    ...c'est possible, grâce à homelie.fr (site de la Famille de Saint-Joseph) où l'on peut s'inscrire gratuitement pour recevoir quotidiennement un courrier électronique avec ces précieux éléments.

  • Pourtant, nous sommes avertis...

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    Le Père Joseph-Marie Verlinde commente l'évangile du jour (homélies.fr)

    Il est toujours difficile d’interpréter les passages annonçant la fin des temps et le jugement final, car ils utilisent un langage « codé » dont il faut posséder la clé pour accéder au sens des énoncés. « Les jours du Fils de l’homme » est une expression qui désigne la manifestation finale de la seigneurie du Christ. Cette mise en lumière de la vérité de sa Parole dénoncera par le fait même le mensonge de ceux qui se sont opposés à lui et dévoilera le jugement qui leur est réservé, ou plutôt qu’ils se sont eux-mêmes préparés par leur obstination.

    Les hommes mangent, boivent, procréent ; cultivent, font du commerce, construisent des maisons : rien de répréhensible dans ces activités indispensables pour la survie des individus et de l’espèce. Sauf qu’elles se déploient dans l’oubli de la finalité de cette existence, finalité qui va se manifester à l’improviste alors que plus personne n’y prêtait attention. Dieu avait averti de ce qui allait advenir « dans les jours de Noé ou de Loth », mais personne n’en avait tenu compte – sauf les deux personnages mentionnés. De même le Seigneur nous prévient des événements dramatiques qui auront lieu « le jour où Fils de l’homme se révèlera » ; mais nous vivons comme s’il n’avait rien dit, afin de ne pas avoir à nous convertir.

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  • Le nouveau livre du pape sur l'enfance du Christ bientôt en librairie

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    (Radio Vatican) Le troisième tome de "Jésus de Nazareth" du Pape en librairie le 21 novembre 


    Le troisième tome de l’ouvrage signé "Joseph Ratzinger-Benoît XVI" sur Jésus de Nazareth sera publié le 21 novembre 2012 dans plusieurs pays et dans les langues de grande diffusion, une information confirmée par le Vatican le 14 novembre. ’Ce troisième volume, qui est centré sur « L’enfance de Jésus », un ouvrage très attendu et best-seller annoncé, sera présenté le 20 novembre à la presse. 

    Le Pape a achevé l’écriture en allemand de cet ouvrage l’été dernier, lors de son congé estival à Castelgandolfo. Le premier volume de cette étude du Pape sur la personne du Christ, publié en 2007 était consacré à la période allant du baptême dans le Jourdain à la Transfiguration, le deuxième, sorti en 2011 couvrait la période de l’entrée à Jérusalem jusqu’à la Résurrection. 

    Un best-seller annoncé

    « La recherche scientifique et l’œuvre de Joseph Ratzinger-Benoît XVI visent à faire connaître la figure et le message de Jésus », avait souligné le Saint-Siège, dans un communiqué publié au mois de septembre, et avait mentionné un livre “d’une grande importance d’un point de vue théologique et scientifique“ la Librairie éditrice du Vatican (LEV) avait officiellement confié à la maison d’édition italienne Rizzoli le mandat de vendre les droits de l’ouvrage dans le monde entier. 

    Mi-octobre, les visiteurs de la Foire internationale du livre de Francfort –le plus grand salon du livre au monde- avaient pu découvrir en exclusivité « L’enfance de Jésus » de Benoît XVI.

  • Les trois voies de la connaissance de Dieu

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    (Vatican Information Service - VIS) Au cours de l'audience générale tenue Salle Paul VI (ce mercredi 14 novembre), le Saint-Père a consacré sa catéchèse au trois voies de la connaissance de Dieu: Tout d'abord, a dit Benoît XVI, "Dieu a toujours l'initiative sur l'homme. C'est lui qui nous éclaire le chemin dans sa direction, nous oriente et précède nos initiatives, dans le respect de notre liberté... Il ne cesse de nous chercher, fidèle à l'homme qu'il a créé, rédempteur qui lui demeure proche par amour. Cette certitude doit nous accompagner chaque jour... Notre époque, nous le voyons bien, est difficile pour la foi, souvent peu ou mal comprise, contesté et même refusée... Il y avait autrefois en occident une société considérée comme chrétienne, imprégnée de la foi, où la référence et l'adhésion à Dieu étaient naturelles pour la majorité. L'incroyant devait lui se justifier. La situation est changée et c'est le croyant qui, de plus en plus, doit être prêt à justifier sa foi... Ainsi s'est manifesté un phénomène particulièrement dangereux pour la foi. Il s'agit d'une forme d'athéisme pratique dans lequel ne sont contestés ni la vérité de la foi ou les rites, mais qui les considère simplement comme sans importance pour l'existence quotidienne, inutiles et détachés de la vie. Ainsi en vient on à croire en Dieu de manière superficielle ou à vivre comme s'il n'existait pas... Une attitude finalement encore plus destructive car pétrie d'indifférence envers la foi, envers la question de Dieu".

    "En réalité, séparé de Dieu, l'homme est réduit à sa seule dimension horizontale, ce qui est la cause fondamentale des totalitarismes aux tragiques conséquences du siècle dernier, comme de la crise des valeurs que nous connaissons. En écartant la référence à Dieu, c'est l'horizon éthique même qui est occulté... Face à cela, fidèle au mandat du Christ, l'Eglise ne cesse d'affirmer la vérité sur l'homme et son destin... Quelles sont donc les réponses que la foi propose avec respect à l'athéisme, au scepticisme, à l'indifférence pour la verticalité, afin que l'homme contemporain puisse réfléchir à l'existence de Dieu et trouver le chemin qui y conduit? Voici certaines des voies qui découlent de la simple réflexion comme de la force de la foi... Il faut aider l'homme d'aujourd'hui à retrouver la contemplation de la création, sa beauté. Le monde n'est pas une masse informe, et plus nous le connaissons mieux nous percevons ses mécanismes merveilleux, et derrière eux un dessein, une intelligence créatrice. Einstein disait que les lois de la nature révèlent une raison tellement supérieure que la somme des raisonnements humains apparaît insignifiante".

    Pour illustrer une deuxième voie, le Saint-Père a cité le Catéchisme: Avec son ouverture à la vérité et à la beauté, avec son sens du bien moral, avec sa liberté et sa conscience, son aspiration à l'infini et au bonheur, l'homme s'interroge sur l'existence de Dieu. Et pour la troisième il a affirmé que par la foi le croyant est uni à Dieu, ouvert à sa grâce et à la force de sa charité... Il ne craint pas de monter sa foi, il est ouvert au dialogue et exprime son amitié profonde pour tout homme, ouvert qu'il est à l'espérance comme au besoin de se racheter, d'atteindre la lumière à venir. La foi est rencontre avec Dieu, qui oeuvre et parle dans l'histoire... Un chrétien, une communauté fidèle au projet de Dieu...constitue une voie privilégiée pour qui est indifférent ou qui doute de son existence et de son action... Beaucoup ont aujourd'hui une conception étroite de la foi chrétienne qu'ils voient comme un banal système de croyances et de valeurs, et non pas comme la vérité d'un Dieu qui s'est révélé dans l'histoire et désire communier avec l'homme... En vérité, avant d'être une doctrine le christianisme est une rencontre entre l'homme et Dieu en Jésus-Christ. Avant d'être une morale ou une éthique, c'est l'évènement de l'amour et de l'accueil pour Jésus".

  • Stanislas Kostka, un saint mort à 18 ans

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    Il est fêté le 13 novembre. Le site des Jésuites de la Province de France le présente ainsi :

    Né d'une grande famille de Pologne en 1550 à Rostkow, Stanislas s'adonna aux études classiques à Vienne à partir de 1564. Invité par la Vierge à entrer dans la Compagnie, afin de prévenir l'opposition de son père, il s'enfuit de chez lui en 1567, parcourant à pied toute l'Allemagne.

    Arrivé à Rome, il fut admis au noviciat par saint François de Borgia. C'est là qu'il mourut le 15 août 1568, parvenu à une haute sainteté. Il fut canonisé par Benoît XIII en 1726.

    Extraits des Lettres Annuelles du Collège de la Compagnie de Jésus à Vienne et des lettres de saint Pierre Canisius, prêtre et docteur de l'Eglise.

    Jésus et la Compagnie occupaient son cœur jour et nuit.

    Un jeune Polonais, appartenant à une noble famille, mais encore plus noble par sa vertu, a passé deux années entières auprès des Nôtres à Vienne. Cependant, il n'était pas possible de le recevoir sans le consentement de ses parents, non seulement parce qu'il avait été notre pensionnaire et sans discontinuer élève de notre collège, mais aussi pour un certain nombre d'autres raisons (en effet, les Pères se sont engagés à n'accepter dans la Compagnie aucun de leurs pensionnaires sans le consentement de leurs parents) ; aussi a-t-il toujours essuyé un refus. Il y a peu de jours, désespérant d'entrer ici dans la Compagnie, il est parti ailleurs voir s'il lui serait possible de réaliser son désir en un autre lieu.

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  • BXL, 14-25 novembre : Festival d'adoration "Venite Adoremus"

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    Le Festival d’Adoration Eucharistique « Venite Adoremus » 2012 aura lieu cette année du mercredi 14 au dimanche 25 novembre, fête du Christ Roi : on est invité à y participer, et/ou à le faire connaitre (tracts à disposition).

    Historique :

    En mai 2007, répondant à l’invitation du cardinal Danneels à Bruxelles-Toussaint-2006, que Bruxelles devienne « une ville d’Adoration », une paroisse a répondu en proposant une Adoration Eucharistique continue de 20 heures autour de la fête du Corps du Christ. En 2008 et en 2009, une deuxième paroisse ainsi qu’une communauté l’ont rejointe pour vivre un « Triduum de l’Adoration » du jeudi soir au dimanche soir autour de la Fête du Christ Roi.

    En novembre 2010, 7 lieux se sont succédés nuit et jour du mardi au dimanche dans un relais d’Adoration continue : ce fut le « Festival d’Adoration » avec en point d’orgue, l’enseignement de Mgr André-Joseph Léonard à La Viale Europe.

    En 2011, le Festival, baptisé « Venite, Adoremus » s’agrandit encore à tout le Diocèse et commença le 10 novembre à l’église de la Sainte-Croix à Ixelles pour se terminer le dimanche 20 novembre à la fête du Christ Roi à la Cathédrale. Il y a eu cette année un nouvel aspect « évangélisation » : à Leuven et sur le parvis à saint-Gilles, les passants ont été invités à entrer dans l’église. Les échos en ont été très positifs. Et les passants intéressés nombreux.

    Concrètement :

    Chaque communauté paroissiale, religieuse ou laïque, s’inscrit dans une plage horaire pour une nuit, une journée ou une ½ journée d’adoration autour d’une Célébration Eucharistique. Chacune l’organise et l’anime selon sa spécificité propre. Elle peut néanmoins solliciter des supports extérieurs en terme de tracts et d’ affiches diffusés dans le diocèse, de priants extérieurs, d’un intervenant qui viendrait prêcher l’homélie, d’une évangélisation de rue, ou encore des textes de méditation…

    Le site www.veniteadoremus.be fournira l’horaire et les lieux des temps d’adoration, des célébrations d’ouverture et de clôture dans le Brabant Flamand et le Brabant Wallon, et à Bruxelles, ainsi que des temps d’enseignement.

    Cet événement reçoit le soutien de l’Archevêque ainsi que des 3 Évêques Auxiliaires.

    Si vous êtes intéressés par ce relais d’adoration et que vous désirez y insérer votre communauté, merci de nous le signaler.

    Le comité organisateur : ThierryMonfils s.j. - Monique de Radzitzky - Etienne Seys - Kathleen Van Craenenbroeck – Marie-Agnès Misonne

    veniteadoremus@catho.be ou 0476 70 90 12

  • Que faisons-nous au milieu de ce monde ?

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    Jeudi dernier (8 novembre), lors de la messe annuelle des étudiants catholiques d'Ile-de-France à Notre-Dame de Paris, le cardinal Vingt-Trois a interpellé ses auditeurs en ces termes : 

    "... que faisons-nous au milieu de ce monde ? Quelle est la passion qui habite notre cœur ? Quel est le désir qui nous met en mouvement ? Il ne s’agit pas de nous protéger du mal dans ce monde, mais d’essayer, si nous le pouvons, d’aller au-devant de ce qui est perdu, de nous mettre en route pour renouer l’alliance avec les Publicains et les pécheurs de notre temps ! Disciples du Christ envoyés par le Christ dans ce monde, nous avons été bénéficiaires de cette miséricorde active de Dieu, qui est venu nous chercher et qui nous a constitués comme enfants de Dieu par le baptême. Il est venu nous chercher quand nous étions perdus, brebis échappées un moment du troupeau, pièces égarées du trésor de l’Église, ou fils perdu parti dilapider son héritage en menant une vie de débauche. Il est venu nous retrouver, nous reprendre et nous ramener à la maison. Mais une fois à la maison, il n’a pas fait de nous simplement, des gardiens béats du foyer, des hommes et des femmes qui se fortifient eux-mêmes dans la satisfaction d’avoir été appelés et choisis, reculant quand la vie sollicite d’eux un signe de leur désir d’annoncer l’amour de Dieu.

    Nous ne pouvons pas être des chrétiens impassibles devant le mal du monde et devant la souffrance des hommes ! Nous ne pouvons pas être des chrétiens insensibles face à tant de nos contemporains tentés de sombrer dans le désespoir, dans le cynisme ou l’indifférence ! Nous ne pouvons pas jouir de la joie de la foi et de la joie de l’Église, sans être en même temps poussés par l’Esprit-Saint pour aller nous aussi à la recherche de ce qui est perdu ! Ce dynamisme missionnaire que le Christ a insufflé à ses disciples n’est pas simplement une charge qu’il fait peser sur nos épaules, c’est une fierté ! « Nous mettons notre orgueil dans le Christ Jésus et nous ne plaçons pas notre confiance dans les valeurs charnelles... J’ai considéré tout comme une perte à cause du Christ » (Ph 3, 3 ; 7). Cet attachement au Christ, même s’il nous paraît fragile, cette conviction qu’il ne nous abandonne pas, cette joie de savoir que jour après jour il est le compagnon de notre vie, cette espérance qu’après les erreurs ou les fautes que nous avons commises, il vient nous relever et nous remettre debout, cette certitude qu’il est venu partager la condition humaine pour conduire les hommes à devenir vraiment enfants de Dieu, tout cela constitue le fondement de notre confiance, non seulement dans l’avenir -qui a toujours des aspects quelque peu mythiques-, non seulement dans nos forces -dont nous savons qu’elles peuvent être brisées sans grandes difficultés-, non seulement dans nos talents, -même si nous nous efforçons de les faire progresser-, mais d’abord dans cette certitude que le Christ est avec nous pour toujours, jusqu’à la fin des temps.

  • Malheur à celui par qui le scandale arrive

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    Le Frère Dominique (de la famille Saint-Joseph) commente ainsi ce verset de l'évangile du jour (Luc 17) :

    "Les scandales dont Jésus parle ne désignent pas les faits retentissants dont se délecte une certaine presse. Jésus prend le mot scandale dans sa définition stricte : ce sont des « pièges pour la foi », c’est-à-dire des provocations à l’apostasie. En effet, le mot initial désigne la pierre qui fait trébucher quelqu’un.  Jésus considère donc que celui qui place une pierre sous les pieds de son frère, ferait mieux de l’avoir attachée à son cou : ceux qui prononcent des discours pervers pour détourner de la foi les petits envers lesquels le Seigneur montre tant d’attention, ceux qui cherchent à les rendre infidèles à Dieu, ceux-là sont dits « malheureux ! »."

  • Prière de Taizé (9 novembre)

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    Prière

    Dieu notre paix, nous te confions tous ceux qui ne voient pas d’avenir, à qui l’espérance fait défaut. Ton Esprit Saint rend notre prière encore plus ardente, et nous voudrions veiller pour ceux qui ne le peuvent plus. Oui, aussi par notre prière nous préparons le chemin pour ta venue.

  • Belgique : il y a communautés et communautés…

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    Selon la « Libre » de ce jour :

    "Les études statistiques tablent sur une forte progression de la population belge de confession musulmane d’ici à 2030. Jusqu’à 10 %.

    En 2008, le sociologue et anthropologue des religions à l’UCL Olivier Servais craignait que des partis communautaristes ne se présentent aux élections belges en capitalisant notamment sur le taux de chômage très élevé qui frappe la population musulmane. Quatre ans plus tard, l’élection de deux élus du parti Islam à Bruxelles lui donnait raison.

    L’un des deux élus de ce parti affiche en effet sa volonté d’imposer la charia en Belgique, entre autres joyeusetés. “À long terme, au moment où les gens vont prendre conscience que les lois islamiques sont bénéfiques pour le peuple belge, on s’acheminera vers un État islamique” ,déclarait le néoconseiller communal anderlechtois Redouane Ahrouch sur Télé-Bruxelles.

    Olivier Servais craignait que la capitale européenne ne devienne majoritairement musulmane d’ici à 15 ou 20 ans. D’après les extrapolations statistiques effectuées par un autre sociologue, Jan Hetogen, Bruxelles compte 22 % de musulmans. En 2030, la communauté musulmane devrait atteindre un petit 30 % de la population bruxelloise, avec de fortes disparités selon les communes, révèle ce vendredi La Dernière Heure.

    Au plan national, l’augmentation de la population musulmane grimpera elle aussi fortement, pour atteindre 10 % de la population totale dans une vingtaine d’années. Un peu plus de 627.000 musulmans en 2010 (5,8 % de la population) contre 1,17 million en 2030, soit 9,3 % de la population.

    L’extrapolation effectuée par Jan Hetogen (publiée sur le site www.npdata.be et en partie dans le livre Une majorité musulmane en 2030 : comment nous préparer à mieux vivre ensemble ? ) rejoint l’étude mondiale menée mi-2012 sur l’évolution du peuple musulman dans le monde du Pew Forum of religion and public life . D’après leur enquête, la Belgique comptera 1,149 million de musulmans en 2030 (10,2 % de la population), soit une hausse de 80,1 % par rapport à 2010 (638.000 musulmans en Belgique).

    Bruxelles et a fortiori la Belgique ne deviendront donc jamais majoritairement musulmanes, constate Jan Hertogen. “Avec la meilleure volonté du monde, nous ne réussirons pas à calculer une majorité musulmane à long terme, ni en 2040 ni en 2050 ni plus tard” , commentait le sociologue lors du colloque Une majorité musulmane en 2030 : comment nous préparer à mieux vivre ensemble ?, organisé en 2010 par l’ASBL La pensée et les hommes. “On arrive tout au plus à 35 %.”

    Sur Bruxelles, le calcul est vite fait : “À l’heure actuelle, 71,6 % de la population est d’origine étrangère dont 22 % de musulmans. Obtenir, au sein des 28,4 % restants de la population qui n’est pas d’origine étrangère une dynamique démographique entièrement remplie par des musulmans est exclu. Ce n’est que dans certains esprits que ce fantôme des 50 % continue d’exister.”

    Référence : La Belgique ne sera jamais majoritairement musulmane

    Mais 10 % (30 % à Bruxelles) de citoyens belges d'origine musulmane, ce n’est pas rien ! La Belgique de demain, comme toute l’Europe,  sera celle de la diversité : patchwork ou meltingpot ? Voilà l’enjeu, plus important que la question des «  nationalismes » flamand, basque, écossais ou autres..

  • Sermon pour la Dédicace de la Basilique Saint-Jean de Latran

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    De l'Abbé Guy Pagès :

    Nous célébrons aujourd’hui l’anniversaire de la dédicace (c’est-à-dire de la consécration, de l’inauguration) de la basilique du Latran, qui est la cathédrale de l’évêque de Rome. Pourquoi célébrer l’anniversaire d’une église ? N’y a-t-il rien de plus important à faire que de célébrer un bâtiment de pierre ?

    C’est que ce bâtiment de pierre – l’église du Latran –, parce qu’elle est la cathédrale de l’évêque de Rome, est le symbole, le signe de la communion de toutes les Églises particulières répandues à travers le monde. Une Église particulière, où qu’elle soit dans le monde, n’a la garantie d’être catholique, d’être l’Église du Christ bâtie sur Pierre que dans la mesure où elle est en communion avec l’Église qui est à Rome, siège de saint Pierre.

    Trop souvent dans l’esprit de certains, l’Église catholique serait la somme des différentes Églises locales, ou encore l’Église Catholique serait une fédération d’Églises particulières. Non, l’Église catholique est une réalité qui précède, dans le temps comme dans l’existence, toute Église particulière… Bien plus, elle précède la Création elle-même… Les premiers Chrétiens disaient que le monde a été créé en vue de l’Église… Ils avaient une autre idée de la dignité de l’Église que celle que l’on perçoit trop souvent aujourd’hui dans le cœur même de ceux qui se dévouent à son service… Mais comment expliquer qu’ils aient pu dire que le monde lui-même a été créé en vue de l’Église ?! Eh bien, en considérant l’intention originelle que Dieu avait en créant le monde, et qui était d’introduire Sa Création – dont l’homme est le couronnement – dans la communion à Sa propre vie divine… Communion qui se réalise par la « convocation » des hommes dans le Christ, laquelle « convocation » est l’Église. L’Église est la fin de toutes choses, et les vicissitudes douloureuses elles-mêmes, comme la chute des anges et le péché de l’homme, ne furent permises par Dieu que comme occasion et moyen pour déployer toute la mesure d’amour qu’Il voulait donner au monde. De même que la volonté de Dieu est un acte et qu’elle s’appelle le monde, ainsi Son intention est le salut des hommes, et elle s’appelle l’Église.

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