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Spiritualité - Page 489

  • Offir un CD de Noël pour une première annonce de l'Evangile

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    Nous souhaitons donner l’occasion aux chrétiens d’aller à la rencontre des habitants de leur quartier et de leur entourage en partageant leur foi par un geste simple. Nous espérons permettre à plus d’un million de personnes d’entendre le sens profond du message de Noël pour leur donner une chance d’être touchées par lui. 

    Ce projet est porté par Argos Production, P.U.S.H. et les Editions Mediaclap. 

    Voir les autres vidéos : http://www.youtube.com/user/ThePUSHLIVE

    Des centaines de personnes, de paroisses et d'institutions participent à ce projet.

    Plus de 200.000 CDs déjà écoulés en francophonie à ce jour. L'opération en cours jusque début janvier. Redonnons une signification à la fête de Noël dans un contexte religieux, ou moins religieux comme les marchés de Noël, redonnons du sens à la naissance de Jésus, fils de Dieu fait petit enfant ! 

    Offrons un CD vendu à prix coûtant. CD à partir de 0,50 € pour 1.000 ou 1,00€ pour 1 unité (prix dégressif en fonction de la quantité) Frais de port en sus, livré sous 24h à réception du règlement.

    Contact en Belgique : famille@galloy.be ou 04 374 23 74

    Regardez l’interview et le clip tourné en Terre Sainte sur la RTBF Une le 25 décembre à 23h55 dans l’émission « il était une foi ».

    Pour plus d’informations, écouter les 6 morceaux, et consultez les vidéos et dessins animés de ce beau projet : http://www.etoilesdenoel.com/

    http://www.facebook.com/etoilesdenoel

  • Quand EVA devient AVE

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    (Via Evangile au Quotidien) Saint Aelred de Rievaulx (1110-1167), moine cistercien 
    Sermon 59, 3ème pour l'Annonciation dans la collection de Durham (trad. cf coll. Pain de Cîteaux, n°23, p. 172) 

    EVA changée en AVE

    Aujourd'hui, le Père souverain nous a envoyé le véritable Joseph « pour revoir ses frères et les troupeaux » (Gn 37,14). Assurément, il est bien ce Joseph aimé par son père « plus que tous ses frères » (v. 3)... C'est lui, plus aimé que tous, plus sage que tous, plus magnifique que tous ; c'est bien lui que Dieu le Père a envoyé aujourd'hui... « Qui donc enverrai-je, dit Dieu le Père, et qui ira pour nous ? » (Is 6,8) Le Fils répond : « Voici que j'irai moi-même à la recherche de mes brebis » (Ez 34,11). Quittant le plus haut des cieux, il descend « dans la vallée d'Hébron » (Gn 37,14).

    Adam avait escaladé la montagne de l'orgueil ; le Fils de Dieu descend dans la vallée de l'humilité. Il trouve aujourd'hui une vallée où descendre. Où se trouve-t-elle ? Non pas en toi, Ève, mère de notre malheur, non pas en toi..., mais en la bienheureuse Marie. Elle est bien cette vallée d'Hébron en raison de son humilité et à cause de sa force... Elle est forte parce qu'elle participe à la force de celui dont il est écrit : « Le Seigneur est fort et puissant » (Ps 23,8). Elle est cette femme vaillante ardemment désirée par Salomon qui disait : « Une femme vaillante, qui la trouvera ? » (Pr 31,10)...

    Ève, bien que créée dans le paradis, sans corruption, sans infirmité ni douleur, s'est révélée si faible, si infirme. « Qui trouvera donc la femme vaillante ? » Pourra-t-on trouver dans le malheur d'ici-bas ce qu'on n'a pas pu trouver dans le bonheur de là-bas ? Pourra-t-on la trouver en cette vallée de larmes, alors qu'on n'a pas pu la trouver en la béatitude du Paradis ?... Aujourd'hui, oui aujourd'hui, elle a été trouvée. Dieu le Père a trouvé cette femme pour la sanctifier ; le Fils l'a trouvée pour l'habiter ; l'Esprit Saint l'a trouvée pour l'illuminer... L'ange l'a trouvée pour la saluer ainsi : « Salut, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi ». La voici, la femme vaillante. En elle, le sérieux, l'humilité et la virginité s'opposent à la curiosité, la vanité, la volupté. « L'ange entra chez elle », est-il écrit. Elle n'a donc pas été trouvée tournée vers l'extérieur, au-dehors ; elle était à l'intérieur, dans sa chambre secrète où elle priait son Père dans le secret (Mt 6,6).

  • Noël, fête de la lumière et de l'inauguration du temple véritable

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    Pneumatis partage une très bonne réflexion sur Noël :

    Noël approche et je ressentais le besoin de partager un peu ces derniers moments d'Avent avec toi. Je trouve qu’il est difficile de se placer dans cette attitude d’attente et d’adoration, face au mystère qui vient. Si peu de choses y contribuent pour nous. Noël fête commerciale, Noël sujet de débat religieux…

    D’avoir lu par exemple ce qui est paru dans la presse au sujet du dernier ouvrage de Benoit XVI (qui restera inaccessible pour moi, emballé au pied du sapin, jusqu’au 25 décembre), cette « surprise » des rédactions autour de la datation de la naissance du Christ, m’a laissé sans voix. Il me semblait qu'on apprenait ça à l'école, bon sang ! C’est, je crois l’une des raisons d’être de l’appel à la nouvelle évangélisation : on entend dire toutes sortes de choses sur Noël, tantôt nourries d'une insondable ignorance (l'un des articles va même jusqu'à parler d'année 0, abomination historique), tantôt frappées du sceau du savoir scientifique, qui tendent à nous éloigner de ce mystère… Noël, comme le Christ, est plus méconnu que jamais. Plus que jamais parce que tout un chacun croit le connaitre, et qu’avant de transmettre la bonne nouvelle, il faut comme arracher du cœur des gens ce qui y est installé comme une mauvaise nouvelle, comme un tissu de préjugés.

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  • Pour vos cadeaux de fin d'année...

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    ... offrez des livres, des bons, par exemple le récent ouvrage du pape consacré à l'Enfance du Christ, Croire et "Au diable la tiédeur" du Père Zanotti-Sorkine, le Catéchisme expliqué de Mgr Centène, le Jésus de Jean-Christian Petitfils, sans oublier les dernières publications de notre archevêque... Consultez le catalogue des éditions Artège :

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  • Des hommes et des prêtres : la Communauté Saint-Martin

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    Un article de l’écrivain Jean Sévillia dans le Figaro Magazine du week-end dernier (extraits):

    « La Communauté Saint-Martin, qui forme des prêtres catholiques, vient d'acquérir l'abbaye d'Evron, dans la Mayenne, afin d'y installer son séminaire. Un pari sur l'avenir (…)

     

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     « Nous sommes un corps mobile de prêtres et de diacres qui vivent en communauté et qui se mettent au service des évêques », explique l'abbé Paul Préaux, le supérieur, qui porte le titre de modérateur général de la Communauté Saint-Martin. Forte aujourd'hui de 80 prêtres, celle-ci compte plus de 60 séminaristes, ce qui place sa maison de formation au troisième rang, dans l'Eglise de France, après les séminaires de Paris et de Toulon.

    Ces dernières années, le nombre de jeunes qui se sont sentis appelés à la prêtrise et qui ont frappé à la porte de la Communauté Saint-Martin est allé croissant. « La moitié d'entre eux ne se seraient pas engagés si nous n'existions pas », précise le responsable de la formation, l'abbé Louis-Hervé Guiny, qui ajoute : « Nous ne faisons donc concurrence à personne. » 

    La communauté doit ses principes à son fondateur, l'abbé Jean-François Guérin, qui la dirigea presque jusqu'à sa mort, survenue en 2005. En 1976, à un moment où beaucoup conjuguaient Marx et l'Evangile, ce prêtre a voulu créer un séminaire pour les candidats au sacerdoce qui, déroutés par la crise de l'Eglise, entendaient rester fidèles au pape, tout en s'inscrivant dans l'enseignement de Vatican II.(…) Soutenu par le cardinal Siri, archevêque de Gênes, l'abbé Guérin a donc établi sa maison de formation en Italie, à l'usage de quelques jeunes Français. En 1993, avec l'accord de l'évêque de Blois, qui avait confié des paroisses à des prêtres sortis de son séminaire, la Communauté Saint-Martin s'est installée à Candé-sur-Beuvron, sur les bords de la Loire.

    C'est là, dans une grosse maison offerte à l'Eglise après la guerre, que se trouve aujourd'hui son séminaire. Les lieux n'ont pas été conçus pour héberger une collectivité, si bien que le moindre recoin de l'édifice est occupé. Au fil de la croissance de la communauté, il a fallu transformer le grand salon en chapelle, investir les dépendances et même loger des séminaristes dans le village. Aussi le déménagement à Notre-Dame d'Evron est-il attendu avec impatience, même si le budget de l'opération, qui est un défi et un pari sur l'avenir, reste à boucler. « Nous faisons appel à la générosité des fidèles », souligne le modérateur, l'abbé Préaux. (...)

    Quatre axes de formation sont privilégiés ici :

    Formation spirituelle, par la prière. Formation intellectuelle, en six années d'études : métaphysique, anthropologie, exégèse, langues anciennes, théologie fondamentale, théologie morale, Histoire sainte, histoire de l'Eglise. L'enseignement est dispensé par des prêtres de la communauté, dont l'Ecole supérieure de théologie, affiliée à l'Université pontificale du Latran, délivre un diplôme qui a des équivalences dans les grandes universités européennes. Conformément aux directives de Vatican II, la formation philosophique et théologique des futurs prêtres de la Communauté Saint-Martin s'effectue à la lumière de saint Thomas d'Aquin. Si certains séminaristes possèdent un bon niveau d'études en arrivant (avec des cursus allant de la philo à l'Essec en passant par la fac dentaire), d'autres n'ont pas le bac. L'entraide prévaut : lors des heures de travail en commun, les plus expérimentés assistent les autres.

         Troisième axe pour les séminaristes, la formation pastorale. A travers un stage d'un an en paroisse ou l'encadrement de camps de jeunes pendant l'été, c'est le choc du concret. Bertrand, 27 ans, en quatrième année à Candé, raconte : « Je suis entré ici avec une image un peu idéaliste sur «le prêtre, homme du sacré». Pendant mon année de stage, j'ai cependant pu mesurer combien notre société est déchristianisée. Benoît XVI compare avec raison notre époque aux premiers temps de l'Eglise. Le prêtre doit donc commencer par le commencement : apporter le Christ aux hommes qui l'ignorent. »

     Quand ils seront prêtres, ils vivront en communauté

    Quatrième axe, au séminaire, la formation humaine. « Avant de faire des prêtres, il faut faire des hommes », répètent les supérieurs de la communauté. Selon eux, un bon prêtre, c'est quelqu'un qui, s'il n'était pas célibataire, serait d'abord un bon mari et un bon père. La vie en collectivité, avec ses contraintes (de la vaisselle à la lessive et du ménage au jardinage, ce sont les séminaristes qui font tourner la maison), prépare les candidats au sacerdoce à l'esprit de service, au don de soi.
         Humilité, discipline, obéissance, partage, écoute, peu ou pas de téléphone ou d'internet. Ces renoncements sont acceptés, car ils font partie du contrat, d'autant plus qu'ils ouvrent l'esprit à l'essentiel. « Je souhaite, explique l'abbé Préaux, que cette maison soit un lieu où l'on fasse l'apprentissage de la liberté intérieure. »

    Trois années de premier cycle, dit de philosophie ; une année de stage ; trois années de second cycle. A l'issue de ces sept années, le séminariste reçoit l'ordination diaconale. Au bout d'un an encore, le diacre accède normalement à l'ordination presbytérale. Huit années en tout sont donc nécessaires, à la Communauté Saint-Martin, pour faire un prêtre. Des prêtres qui, là où ils sont nommés, vivent en communauté, au moins par trois, célèbrent la messe de Vatican II dans sa forme romaine, où le latin a sa large place, et portent la soutane, afin de témoigner de leur état. Actuellement, la communauté est présente dans 12 diocèses. L'abbé Thomas Diradourian, professeur de liturgie à Candé, est vicaire à Saint-Raphaël, dans le Var. « Chez nous, remarque-t-il, le prêtre reste un personnage familier. Notre mission est reconnue, et l'évêque comme la municipalité nous soutiennent. »

         Le modérateur a en attente 25 demandes de prêtres émanant de diocèses français ou étrangers. Pour les satisfaire toutes, il lui faudrait 450 séminaristes... Ceux qui étudient ici, comme dans les autres séminaires français, sont prévenus : une tâche immense les attend. Le long temps de formation qui leur est imposé n'a pour but que de leur donner la force nécessaire à cette mission.

    Qu'est-ce qu'un prêtre, selon eux ? « Quelqu'un qui porte la parole de Dieu, mais qui ne sera écouté que s'il aime les gens », affirme Christophe, 6e année. « Un homme de prière, ce qui n'est pas séparable du service des pauvres et des malades », renchérit Pierre-Marie, 5e année. « Un serviteur de la miséricorde de Dieu », conclut Paul, 3e année. Si on les interroge sur leurs modèles, ils citent saint Pierre, saint Paul, saint Vincent de Paul, le curé d'Ars, le Padre Pio ou Jean-Paul II. Impressionnants garçons, qui ont librement choisi une vie radicalement différente des jeunes de leur âge. Ils ne sont nullement à plaindre : ils respirent la foi, la paix et la joie. En souriant, ils répètent une devise de l'abbé Guérin, leur fondateur : « Prendre Dieu au sérieux, sans se prendre au sérieux. »

    C’est sur le blog de Jean Sevillia, ici : Des hommes et des prêtres

    Il nous étonnerait que parmi ces 25 demandes en attente dont l’abbé Préaux fait état, ne figurent pas quelques pressantes sollicitations venues de Belgique…

  • Liturgie: les grandes antiennes Ô de l’Avent commencent aujourd’hui

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    Ce sont les célèbres antiennes « ad magnificat » des vêpres de la semaine qui précède noël. Ces 7 antiennes commençent toutes par « Ô » et elles énumèrent les plus beaux titres du Messie avec la prière pour sa venue (introduite par : veni, « viens ») et s'appuient sur les textes de l'Ancien Testament (notamment sur le livre d'Isaïe). : 17 décembre : O sapientia, ô Sagesse de Dieu ; 18 décembre : O Adonaï, ô Chef de la Maison de Jessé ; 19 décembre : O radix Jesse, ô rejeton de Jessé ; le 20 décembre : ô clavis David, ô clé  de David ; le 21 décembre : O Oriens, ô Orient, splendeur de la Lumière ; le 22 décembre : O Rex gentium, ô Roi des nations ; le 23 décembre, O Emmanuel, ô Emmanuel, notre Roi.

  • Dans quelques jours, nous fêterons Noël...

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    Georges_de_La_Tour_001.jpgDu pape, hier (dimanche 16/12), lors de la messe célébrée à la paroisse Saint-Patrick à Rome (VIS) :

    "Dans quelques jours, nous fêterons Noël, la fête de la venue de Dieu qui s'est fait petit enfant et notre frère pour être avec nous et partager notre condition humaine. Nous devons nous réjouir de sa proximité, de sa présence et chercher à mieux comprendre qu'il nous est réellement proche, pour être ainsi pénétrés de la réalité de la bonté de Dieu, de la joie que le Christ est avec nous. Saint Paul dit avec force dans une autre lettre que rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu qui s'est manifesté dans le Christ. Seul le péché nous éloigne de lui, mais il s'agit d'un facteur de séparation que nous introduisons dans notre rapport avec le Seigneur. Mais, même lorsque nous nous éloignons, il ne cesse de nous aimer et continue de nous être proches avec sa miséricorde, avec sa disponibilité à pardonner et à nous accueillir de nouveau dans son amour. C'est pourquoi nous ne devons jamais nous angoisser, nous pouvons toujours exposer au Seigneur nos requêtes, nos besoins, nos préoccupations par des prières et des suppliques. Et c'est un grand motif de joie de savoir qu'il est toujours possible de prier le Seigneur et de savoir qu'il nous écoute, que Dieu n'est pas loin mais écoute réellement, nous connaît, et de savoir qu'il ne repousse jamais nos prières, même s'il n'y répond pas toujours comme nous le voudrions, mais qu'il répond... La joie que le Seigneur nous communique doit trouver en nous un amour reconnaissant. En effet, la joie est pleine lorsque nous reconnaissons sa miséricorde, lorsque nous devenons attentifs aux signes de sa bonté... Celui qui accueille les dons de Dieu de façon égoïste ne trouve pas la vraie joie; mais qui les utilise pour l'aimer avec une sincère gratitude et pour communiquer aux autres son amour, a, lui, le cœur vraiment rempli de joie".

  • Malmedy : la messe traditionnelle s’intègre dans le paysage

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    On se souvient (voir ici : Un succès pour la célébration de la messe latine traditionnelle à Malmedy ) qu’à la suite d’une longue procédure qui les avait amenés jusqu’à Rome devant la commission Ecclesia Dei, un « groupe stable » de fidèles malmédiens a obtenu  de l’évêque de Liège l’autorisation de célébrer la messe selon la forme extrordinaire du rite romain, un dimanche par mois à partir de février 2012, dans la jolie église (XVIIe siècle) des capucins, sise ruelle des capucins, au cœur historique de la « Cité du Cwarmè ».

     

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  • Troisième dimanche de l’Avent, dimanche de la joie

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    C’est le dimanche en ornements roses, exprimant la joie des captifs qui voient approcher leur Liberateur et qui, derrière Lui, vont reprendre le chemin de leur  Patrie perdue.

    Introït de la messe du 3e dimanche de l’Avent 

    Gaudete in Domino semper : iterum dico, gaudete. Modestia vestra nota  sit omnibus hominibus : Dominus enim prope est. Nihil solliciti sitis : sed in omni oratione petitiones vestrae innotescant apud Deum. Soyez toujours joyeux dans le Seigneur. Je le répète, soyez toujours joyeux. Que votre sérénité soit remarquée de tous les hommes, car le Seigneur est proche. Ne soyez inquiets de rien ; mais, en toutes choses, présentez à Dieu vos demandes dans la prière (saint Paul aux Philippiens, 4, 4-6)

     Veni, veni, Emmanuel : hymne de l’Avent

    Veni, veni Emmanuel;
    Captivum solve Israel,
    Qui gemit in exilio,
    Privatus Dei Filio.

    Viens, viens, Emmanuel, d
    élivre Israël captif qui gémit en exil en l’absence du Fils de Dieu… 

    Gaude! Gaude! Emmanuel,
    Nascetur pro te, Israel…


    Réjouis-toi, réjouis-toi, l’Emmanuel va naître pour toi, Israël…

    Hymne traditionnel revisité ici par Zoltan Kodaly 

  • 3e dimanche de l'Avent : réjouissons-nous...

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    Voir ici : http://www.introibo.fr/3eme-dimanche-de-l-Avent

    Lire l'homélie du Père Verlinde : http://www.homelies.fr/homelie,3e.dimanche.de.l.avent,3315.html

  • Les moines et le monde selon Dostoïevski

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    Un ami, occupé à lire "Les frères Karamazov", nous en communique l'extrait ci-dessous dont l'actualité le frappe par certains de ses aspects :

    Extrait de: Fyodor Mikhailovich Dostoyevsky. « Les Frères Karamazov. » Feedbooks, 1880. iBooks.

    e) Du religieux russe et de son rôle possible.

    Pères et maîtres, qu’est-ce qu’un religieux ? De nos jours, dans les milieux éclairés on prononce ce terme avec ironie, parfois même comme une injure. Et cela va en augmentant. Il est vrai, hélas ! qu’on compte, même parmi les moines, bien des fainéants, sensuels et paillards, bien d’effrontés vagabonds. « Vous n’êtes que des paresseux, des membres inutiles de la société, vivant du travail d’autrui, des mendiants sans vergogne. » Cependant, combien de moines sont humbles et doux, combien aspirent à la solitude pour s’y livrer à de ferventes prières. On ne parle guère d’eux, on les passe même sous silence, et j’étonnerais bien des gens en disant que ce sont eux qui sauveront peut-être encore une fois la terre russe ! Car ils sont vraiment prêts pour « le jour et l’heure, le mois et l’année » . Ils gardent dans leur solitude l’image du Christ, splendide et intacte, dans la pureté de la vérité divine, léguée par les Pères de l’Église, les apôtres et les martyrs, et quand l’heure sera venue, ils la révéleront au monde ébranlé. C’est une grande idée. Cette étoile brillera à l’Orient.

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  • Un BD sur saint Augustin

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    Dominique BAR, Saint Augustin, 40 pages (BD pour les jeunes de plus ou moins 12 ans), Editions du Triomphe, 14,70 € 

    Présentation de l'éditeur : 

    Augustin, fils de Monique, s'intéresse à toutes les philosophes et théories religieuses qui fleurissement dans l'Empire romain, avant de se convertir au christianisme.

    Un long cheminement vers le mystère du Salut, de la Grâce et de l'amour de Dieu qui influencera les plus grands penseurs et suscitera aussi de nombreuses controverses religieuses.

    Une BD intégralement réalisée par Dominique Bar, à la fois dessinateur et scénariste, qui rend ainsi cette figure de Père de l'Église humaine et proche de nous, par ses tâtonnements dans la Foi et sa recherche de Vérité.