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Spiritualité - Page 492

  • Pour l'Année de la Foi, un nouveau livre de Michel-Marie Zanotti-Sorkine

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    FIC70660HAB40.jpgCroire


    Questions éternelles,

    réponses actuelles


    Michel-Marie Zanotti-Sorkine

     


    Editions Artège


    2012 - 108 pages

    Présentation de l'éditeur

    « Dans quelques instants, je vais devoir vous quitter et descendre dans mon église pour recevoir tous ceux qui sont à la recherche d’une lumière, d’une compréhension, d’une indulgence, d’une consolation, d’une prière, d’un respect, d’un sourire, d’un élan, en un mot, de Dieu ! Et à tous les coups, quelqu’un me demandera s’Il existe, un autre m’assurera que le Christ n’est qu’un homme et que toutes les religions se valent, et celui-ci me dira que la morale catholique est un carcan, et celui-là que le mal sur la terre prouve que Dieu est une invention des hommes, et en choeur, beaucoup ajouteront sans imaginer la peine qu’ils me causeront : « Nous n’avons pas besoin de Dieu et surtout pas de l’Église catholique ! » et je vais pleurer, à ma façon, c’est-à-dire en priant, et en espérant aussi que ces modestes pages…arriveront jusqu’à eux – et qui sait ? ouvriront peut-être dans leur coeur et leur esprit une brèche par laquelle Dieu pourra s’engouffrer comme un vent salutaire.»

    Ce recueil de réponses à toutes les questions que chacun se pose à un moment ou un autre de sa vie, le Père Zanotti-Sorkine l’a voulu dans la simplicité de coeur et la grande profondeur qui le caractérisent, comme un père parlerait à son enfant, comme le petit prince recevait avec les mots les plus simples les plus grandes leçons de sagesse. Ce bijou de spiritualité est à mettre entre les mains de tous, croyants ou non, car il a la double vertu d’éveiller et de nourrir la vie en Dieu…

  • La Royauté du Christ

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    Dimanche 25 novembre 2012

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 18,33b-37. 

    Alors Pilate rentra dans son palais, appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? » 
Jésus lui demanda : « Dis-tu cela de toi-même, ou bien parce que d'autres te l'ont dit ? 
Pilate répondit : « Est-ce que je suis Juif, moi ? Ta nation et les chefs des prêtres t'ont livré à moi : qu'as-tu donc fait ? » 
Jésus déclara : « Ma royauté ne vient pas de ce monde ; si ma royauté venait de ce monde, j'aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. Non, ma royauté ne vient pas d'ici. » 
Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit : « C'est toi qui dis que je suis roi. Je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Tout homme qui appartient à la vérité écoute ma voix. »

    Homélie du Cardinal André Vingt-Trois, Saint-Séverin - Dimanche 26 novembre 2006

    Source: http://www.paris.catholique.fr/447-Rassemblement-des-Associations.html

    Frères et Soeurs, le dialogue entre Jésus et Pilate, tel que nous le rapporte l’évangile selon saint Jean, fait bien ressortir, comme c’est souvent le cas dans cet évangile, la différence du sens dans lequel chacun emploie un même mot.

    Ici, c’est le mot roi. Pilate comprend ce titre dans le sens où il le pratique habituellement dans son métier de procurateur. Il s’agit d’une fonction publique, une autorité, dans le contexte historique des évangiles une autorité absolue et sans discussion, une domination sur les peuples. Jésus, Lui, ne pense pas à ce titre de royauté. Le dialogue, s’il ne peut pas rester un dialogue de sourds, doit faire apparaître quelques éléments de différence entre la conception commune de la royauté et le sens que le Christ veut y mettre. "Ma royauté ne vient pas de ce monde " : comment comprendre cette royauté qui ne vient pas de ce monde ?

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  • Valaam, l'archipel des moines sur KTO

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    Nous lisons sur Orthodoxie.com :

    Valaam, archipel d’une cinquantaine d’îles, figées six mois par an dans les glaces de l'immense lac Ladoga, abrite le plus ancien monastère de Russie.  Fondé selon la tradition au XIe siècle, la prière du monastère de Valaam s'est interrompue pendant près de 50 ans, lorsque le régime communiste expulsa les moines de l'île dans les années 1940.  Mais en 1989, six moines accostent à Valaam, pour restaurer une vie monastique dont le fil a été brisé. 23 ans plus tard, ils sont près de 150, et la plupart des églises dévastées ont été rebâties. Le réalisateur François Lespés est parti à la rencontre des moines de Valaam, pour découvrir leur vie quotidienne, dans le grand monastère principal, et dans les ermitages perdus dans les bois des îles alentour. Travail manuel, peinture des icônes, grandes liturgies dans la nuit: une vie de combat permanent avec soi-même, ancrée dans l'obéissance et la prière perpétuelles. Portrait d'une foi en pleine renaissance, qui fait de ce lieu hors du commun, le symbole de l’impressionnant réveil spirituel de toute la Russie. Diffusé à partir du 26 novembre sur KTO, à 20h40, et www.ktotv.com.

    Voir un extrait du documentaire : site du film

  • Beauraing, 29 novembre : Temps forts pour le 80ème anniversaire des Apparitions mariales

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    c609ae6f.jpgSanctuaires de la Vierge au Coeur d’or – Beauraing

    80ème anniversaire des apparitions

    Annonce et Temps forts

    A l’occasion du 80ème anniversaire des apparitions de la Vierge Marie à Beauraing, qui ont eu lieu du 29 novembre 1932 au 3 janvier 1933, les Sanctuaires de Beauraing vivront différents temps forts le 29 novembre prochain. Mme Gilberte Degeimbre, dernière des cinq voyants de Beauraing encore en vie ici-bas, participera à cet anniversaire. Elle priera notamment le chapelet de 18h30.

    Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, présidera la messe solennelle internationale de 11h00 et donnera un enseignement à 15h30, en cette année de la foi pour l’Eglise universelle.

    Les enfants et les jeunes de l’école des soeurs et des frères de Beauraing seront spécialement associés à la fête. Les enfants de l’école de soeurs feront un flashmob le matin dans les Sanctuaires. Les jeunes de l’école des frères animeront la procession dans les rues de Beauraing le soir, ainsi que le chapelet de 18h30, avec Mme Gilberte Degeimbre.

    Temps forts du 29 novembre

    • Avant la messe de 11h00 : flashmob dans les Sanctuaires par les enfants de l’école des soeurs de Beauraing
    • 11h00 : messe solennelle internationale présidée par Mgr Léonard
    • 14h30 : chapelet médité
    • 15h30 : enseignement par Mgr Léonard
    • 16h30 : adoration du Saint-Sacrement jusqu’à 17h30
    • 18h00 : procession dans les rues de Beauraing animée par les jeunes de l’école des frères de Beauraing
    • 18h30 : chapelet prié par Mme Gilberte Degeimbre avec les jeunes de l’école des frères de Beauraing
    • 19h00 : messe du doyenné de Beauraing

    Attaché de Presse : Abbé Christophe Rouard (Responsable Presse francophone des Sanctuaires de Beauraing) - +32(0)477312815 - chrouard@gmail.com

    Sanctuaires de Beauraing http://beauraing.catho.be - 6, rue de l’Aubépine à 5570 Beauraing ndbeauraing@gmail.com +32(0)82711218

  • L'enfant Jésus raconté par Joseph : entre légende et histoire il a choisi

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    C'est une "histoire vraie", affirme le pape, et pas une pure construction théologique :

    ROME, le 20 novembre 2012 – "L'enfance de Jésus" de Joseph Ratzinger-Benoît XVI sera en vente à partir de demain, en allemand - c’est le texte original -  et en huit autres langues : italien, anglais, français, espagnol, portugais, brésilien, polonais, croate. Le tirage global de lancement est de plus d’un million d’exemplaires. Au cours des mois à venir, l’ouvrage sera traduit en onze autres langues et diffusé dans 72 pays.

    C’est un livre court et écrit sous une forme simple et linéaire. Plus facile à lire que les deux autres tomes, plus volumineux, du "Jésus de Nazareth". Il est publié en dernier, mais l’auteur a déclaré que, selon son intention, l’ouvrage "est une sorte de petite 'entrée' qui introduit aux deux ouvrages précédents, consacrés à la figure et au message de Jésus de Nazareth".

    Avant la publication du livre, la grande inconnue était la manière dont Benoît XVI allait répondre à la question de savoir si la naissance virginale, l'adoration des Mages et les autres récits de l'enfance de Jésus, dans les Évangiles de Matthieu et de Luc, sont "vraiment une histoire qui a eu lieu" ou bien "seulement une méditation théologique exprimée sous forme d’histoires".

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  • Puisque tu es tiède, je vais te vômir

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    De la première lecture de ce jour (Apocalypse, 3) :

    ... Tu écriras encore ceci à l'Ange de l'Église qui est à Laodicée : Ainsi parle le témoin fidèle et véridique, celui qui est « Amen », celui qui est le commencement de la création de Dieu : Je connais ta conduite : tu n'es ni froid ni brûlant - mieux vaudrait que tu sois ou froid ou brûlant - 
    Aussi, puisque tu es tiède - ni froid ni brûlant - je vais te vomir. Tu dis : « Je suis riche, je me suis enrichi, je ne manque de rien », et tu ne sais pas que tu es malheureux, pitoyable, pauvre, aveugle et nu ! Alors je te donne un conseil : viens acheter chez moi de l'or purifié au feu, pour devenir riche, des vêtements blancs pour te couvrir et cacher la honte de ta nudité, un remède pour te frotter les yeux afin de voir clair. Tous ceux que j'aime, je leur montre leurs fautes, et je les châtie. Sois donc fervent et convertis-toi. ...

  • Une "science chrétienne de la souffrance"

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    Pastorale de la santé : la « compétence supplémentaire » du baptisé
    La « science chrétienne de la souffrance », par Benoît XVI

    Anne Kurian

    ROME, lundi 19 novembre 2012 (ZENIT.org) – Le baptisé qui travaille dans le domaine de la santé a une « compétence supplémentaire, qui va au-delà des titres académiques » : c’est la « science chrétienne de la souffrance », a déclaré Benoît XVI aux participants du 27e Congrès international du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, samedi 17 novembre 2012.

    Le congrès était organisé du 15 au 17 novembre 2012, sur le thème: "L’hôpital, lieu d’évangélisation : mission humaine et spirituelle", (cf. Zenit du 13 novembre 2012). Parallèlement, avait lieu le XXVe Congrès de l’Association des médecins catholiques italiens et de la fédération européens des associations médicales catholiques, dont les membres étaient aussi présents à l’audience de Benoît XVI (cf. Zenit du 14 novembre 2012).

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  • Etre comme un livre ouvert...

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    Le pape et la beauté de la vieillesse (Par le P. Lombardi - Océane Le Gall)

    ROME, lundi 19 novembre 2012 (ZENIT.org) –  « La vieillesse, ce n’est pas chercher à remplir artificiellement son temps de choses à faire, mais communiquer une sagesse du cœur capable de faire la distinction entre ce qui est essentiel et ce qui est secondaire, ce qui dure et ce qui passe », affirme le père Federico Lombardi.

    C’est en ces termes en effet que le directeur du Centre de télévision du Vatican (CTV), revient sur l’apologie du grand âge que Benoît XVI a faite, lundi 12 novembre dernier, en rendant visite aux personnes âgées d’une maison de retraite de la communauté de Sant’ Egidio à Rome (cf . Zenit du 12 novembre 2012 pour l’article, et ce lien de Zenit pour le texte intégral en français).

    Cette visite, souligne-t-il, « est certainement un de ces heureux moments où un grand nombre de personnes comprend facilement que les gestes et les paroles du pape sont un précieux message pour eux et pas seulement pour le petit groupe de privilégiés qui ont pu le rencontrer personnellement ».

    Contrairement à son prédécesseur, Benoît XVI, ne partage pas la situation de la  «  personne âgée malade », mais celle de la personne âgée avec « ses limites, ses difficultés » liées à l’âge et qui, si elle est acceptée « avec sereine et patiente acceptation » et «  dans la conscience  de se savoir aimé de Dieu »,  peut être vécue,  a-t-il dit, comme un « moment à partager avec les autres » pour  transmettre « la sagesse de la vie ».

    A ce propos le père Lombardi réitère l’appel du pape aux personnes âgées à « être comme un livre ouvert dans lequel les jeunes générations peuvent trouver de précieuses indications pour avancer dans la vie ».

    Il ne s’agit donc pas de « chercher à remplir artificiellement son temps de choses à faire, mais de communiquer une sagesse du cœur capable de faire la distinction entre ce qui est essentiel et ce qui est secondaire, ce qui dure et ce qui passe », explique le porte-parole du Saint-Siège et directeur de Radio Vatican.

    La vieillesse, ajoute-t-il, « c’est le moment de la vérité », un temps d’attente qui peut se combler par la prière, une prière ouverte, large,  pour « les pauvres, pour la paix, pour que  cesse la violence, pour l’Eglise…).

    Cette prière, conclut le père Lombardi, est une « prière puissante » car « la personne âgée qui croit et espère, sait qu’elle est plus proche du Seigneur et des Saints », que «  la ligne de passage se fait de plus en plus transparente ».

    « Nous avons besoin de ces personnes âgées », conclut-il, et savons qu’elles sont une « immense richesse ». C’est pourquoi  nous devons les tenir avec amour au milieu de nous, afin de pouvoir dire en vérité, avec le pape : « C’est beau d’être une personne âgée ».

  • Quand l’Université s’intéresse au chant grégorien : de la théorie à la pratique

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    Doyen de la Faculté de Philosophie, Arts et Lettres de l’Université Catholique de Louvain , Paul-Augustin Deproost y enseigne la littérature latine et l’explication d’auteurs latins de l’antiquité à la Renaissance. Il est aussi un amateur et un praticien du chant grégorien puisqu’il préside l’Association Una Cum et dirige le chœur du même nom qui chante chaque dimanche la messe dans la forme extraordinaire du rite romain dans la chapelle du Sacré-Cœur de Lindthout à Bruxelles. Le professeur Deproost est interviewé ici par Jacques Zeegers, président de l’Académie belge de Chant grégorien (http://www.gregorien.be) pour la revue « Canticum Novum (année 2012, n° 60)

    Qu’est-ce qui vous attire dans le chant grégorien ?

    Je suis attiré à la fois par l’aspect spirituel et l’aspect esthétique du chant grégorien.

    Sur le plan spirituel, le grégorien est la prière chantée de l’Eglise. Pour les croyants, la liturgie est le plus grand hommage que l’on  puisse rendre à Dieu. Le grégorien fait partie de cette liturgie et s’y intègre parfaitement. Il confère un développement musical à la prière et à la louange. Dans toutes les religions, le culte que l’on rend à la divinité se fait à travers la prière chantée. Dans l’Eglise catholique, le grégorien est sans doute la forme la plus aboutie de cette prière qui monte vers Dieu. Ce qui m’attire aussi beaucoup dans le chant grégorien, c’est qu’il s’agit d’un texte chanté, celui dela Parolede Dieu. Il existe un lien ontologique entre la musique et ce texte. En tant que philologue, c’est évidemment une particularité à laquelle je suis spécialement attaché.

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  • Foi en Dieu et foi de Dieu

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    Une très belle page sur la foi sur Metablog :

    Ayez la foi de Dieu par 

    Hier samedi, fête de saint Grégoire le Thaumaturge, étonnant faiseur de miracle qui fait penser à Padre Pio.L'Evangile de saint Marc dans le texte latin fait dire à Jésus : 'Ayez la foi de Dieu" (Mc 11). Traduction habituelle des lectionnaires : "Ayez foi en Dieu". Le Christ se serait donné loa peine de nous dire une banalité pareille ! Pas la peine de s'incarner pour si peu ! Texte latin : Habete fidem Dei. Grec : echete pistin Theou. Français : Ayez la foi de Dieu, la foi qui appartient à Dieu.

    Nous sommes obsédés par notre foi EN Dieu, par sa faiblesse souvent vacillante et nous oublions "la foi DE Dieu", nous oublions que notre foi est une vertu théologale, qu'elle a Dieu pour "auteur" comme dit l'épître aux Hébreux (12, 2) et saint Paul ajoute : Dieu comme "consommateur", comme réalisateur. Fides Dei ! On comprend mieux. La foi, notre foi est divine, divine par son origine, divine par son objet, divine par son actualisation, par sa réalisation ultime. Cela devrait pouvoir nous unir : notre foi ne nous appartient pas. Nous sommes vétilleux sur la moindre expression de cette foi ? Nous critiquons le voisin quand il ne l'exprime pas exactement comme nous ? Ne nous sentons donc pas propriétaire de cette foi qui vient de Dieu. Ne nous érigeons pas trop vite en modèle normatif de la foi : Dieu seul est le modèle de la science nouvelle que cette foi nous donne. Et l'Eglise a la charge de nous le rappeler.

    Nous avons trop souvent peur que notre foi nous échappe, qu'elle se dissolve dans le matérialisme ambiant... Il faudrait que nous ayons peur que notre foi nous dépasse. Il faudrait que nous nous disions de temps en temps que nous n'en sommes pas dignes.

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  • BXL, 30/11 - 8/12 : Neuvaine en l'honneur de l'Immaculée Conception

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    NEUVAINE À L’OCCASION

    DE L’IMMACULÉE CONCEPTION 2012

    NOVEEN TER GELEGENHEID

    VAN MARIA ONBEVLEKT ONTVANGEN 2012

    DU VENDREDI 30 NOVEMBRE AU SAMEDI 8 DÉCEMBRE,

    LA MESSE SERA CÉLÉBRÉE EN

    L’ÉGLISE SAINT-JACQUES SUR COUDENBERG, PLACE ROYALE, BRUXELLES.

    EN SEMAINE : 12H30; SAMEDIS 1 ET 8 DÉCEMBRE : 11H; DIMANCHE 2 DÉCEMBRE : 18H.

    UNE DEMI-HEURE AVANT LA MESSE, POSSIBILITÉ DE SE CONFESSER.

    VANAF VRIJDAG 30 NOVEMBER TOT EN MET ZATERDAG 8 DECEMBER

    ZAL DE MIS OPGEDRAGEN WORDEN

    IN DE SINT-JAKOB-OP-KOUDENBERGKERK, KONINGSPLEIN, BRUSSEL.

    IN DE WEEK: 12.30UUR; OP ZATERDAG 1 EN 8 DECEMBER: 11.00UUR; OP ZONDAG 2 DECEMBER: 18.00UUR.

    EEN HALF UUR VÓÓR DE MIS, BIECHTGELEGENHEID

  • Vox clamantis in deserto ?

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    Lu sur le site I Media :

    Une piqûre de rappel. C’est en ces termes que l’on commente au Vatican l’envoi par le secrétaire d’Etat du Saint-Siège, le cardinal Tarcisio Bertone, d’une circulaire demandant aux responsables du Saint-Siège de faire respecter par leurs subordonnés “l’usage quotidien de l’habit ecclésiastique (soutane ou clergyman) et religieux“. Le clergé travaillant au Vatican se doit de montrer l’exemple aux autres membres de l’Eglise, explique le ‘numéro deux’ du Saint-Siège dans ce texte daté du 15 octobre 2012, et dont I.MEDIA a eu connaissance.

    “A une époque où chacun est particulièrement appelé à renouveler la conscience et la cohérence de son identité“, le cardinal Bertone demande ainsi aux chefs des dicastères, des tribunaux et des différents services du Saint-Siège et du Vicariat de Rome de faire respecter “l’usage quotidien de l’habit ecclésiastique (soutane ou clergyman) et religieux“ par leurs subordonnés. Les responsables doivent aussi rappeler aux prêtres “le devoir de porter leur habit dans les règles et de façon digne, en toute saison“, en conformité avec “le devoir d’exemplarité qui incombe surtout à ceux qui sont au service du Successeur de Pierre“.

    Par ailleurs, la circulaire du secrétaire d’Etat du Saint-Siège salue l’exemple des évêques “fidèles à l’usage quotidien de la soutane durant leurs heures de travail“. Ce choix constitue “un encouragement pour les épiscopats et ceux qui viennent en visite à la curie romaine et à la Cité du Vatican“.

    La question de l’habit ecclésiastique est abordée dans l’article 284 du Code de droit canon. Il est simplement écrit que “les clercs porteront un habit ecclésiastique convenable, selon les règles établies par la conférence des évêques et les coutumes légitimes des lieux“. Successivement, les différentes conférences épiscopales du monde entier peuvent élaborer leur propre réglementation en la matière, qui doit cependant être approuvée par la suite par le Saint-Siège.

    Un vêtement identifiable

    A la Congrégation pour le clergé, on explique à I.MEDIA que “les fidèles ont le droit de reconnaître les prêtres par un habit identifiable“. Les membres de la curie romaine sont les premiers à devoir donner l’exemple, en particulier lorsqu’ils sont appelés à représenter le Saint-Siège. La soutane est donc de rigueur lorsqu’il s’agit par exemple d’accueillir des évêques venus à Rome en visite Ad Limina ou pendant des événements au Vatican en présence du pape. Les responsables des dicastères doivent aussi abandonner leur clergyman au profit de la soutane pendant les assemblés plénières.

    Au Vatican, on estime que la note circulaire du cardinal Bertone est donc une “piqûre de rappel“ s’adressant notamment aux rares membres du clergé qui se rendent chez le pape sans porter la soutane. Néanmoins, les consignes du Vatican sont de manière générale plus respectées que par le passé. L’image d’évêques français se présentant devant le pape en clergyman à l’occasion d’une visite Ad Limina n’est plus qu’un lointain souvenir, vieux d’une vingtaine d’années.

    Ce type de rappel à l’ordre n’est pas une nouveauté du pontificat de Benoît XVI et s’est avéré nécessaire à plusieurs reprises au cours de l’histoire, note-t-on au Vatican. Ce fut par exemple le cas au 18e siècle, lorsque le clergé adoptait les mêmes codes vestimentaires que la haute société.

    Bien plus récemment, en 1997, le cardinal Dario Castrillon Hoyos, qui était alors préfet de la Congrégation pour le clergé, avait déclenché une polémique violente, en particulier en France, sur les habitudes vestimentaires des prêtres. Il reprochait alors aux “prêtres laïcisés“ leur manière de penser et de s’habiller. CP

    Ici : Le cardinal Bertone rappelle l’importance du code vestimentaire pour le clergé au Vatican.

     Ce genre de monitions s’égrènent depuis la fin du concile "Vatican II" avec la même inutilité  que celles qui concernent  les abus liturgiques dans le nouveau rite de la messe : le clergé « conciliaire » n’en a rien à faire et le clergé  « identitaire » des nouvelles communautés n’en a pas besoin : il est déjà convaincu. Deux mentalités (et, en filigrane, demain deux Eglises ?)...