Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Patrimoine religieux - Page 179

  • Schaerbeek restaure ses églises

    IMPRIMER

    Après Sainte-Suzanne, ce sera au tour de l'église Saint-Servais d'être rénovée. Lu sur lalibre.be :

    Schaerbeek : L'église Saint-Servais sera aussi rénovée

    Ce n’est pas parce qu’elles ne font plus le plein comme jadis qu’il faut négliger la sauvegarde et la mise en exergue des églises ! Même sans porter la signature de grands architectes, ce patrimoine religieux n’en demeure pas moins le témoin de l’évolution de nos communes.

    Et il fait pleinement partie du paysage urbain même lorsqu’elles ne se situent pas - nécessairement - au milieu du village ! Les autorités communales schaerbeekoises l’ont parfaitement compris en prenant à bras-le-corps la rénovation et la restauration de certains lieux du culte.

    Ainsi le chantier de l’église Sainte-Suzanne devrait débuter dans les tout prochains mois. Il sera lancé avant les grandes vacances 2015 et devrait durer deux ans. La commune a déjà désigné un entrepreneur pour ce chantier et n’attend plus que l’ultime aval de la Région bruxelloise.

    Une autre église a besoin d’un sérieux rafraîchissement : c’est l’église Saint-Servais sise chaussée d’Haecht et qui clôture la superbe perspective de l’avenue Louis Bertrand. Cet édifice de style néogothique est aussi envahi peu à peu par une couche noirâtre de pollution. C’est la raison pour laquelle une somme de 3,3 millions a été prévue dans le budget 2015 pour sa rénovation comme pour la restauration des vitraux de l’hôtel de ville.

    Déjà une église au XIIIe siècle

    "Elle aussi méritait bien une restauration par la commune, constatent Vincent Vanhalewyn, l’échevin des Travaux publics, et Etienne Noël, l’échevin des Cultes. Saint-Servais est presque aussi ancienne que Schaerbeek… Les premières traces d’une église y remontent au XIIIe siècle. Erigée à l’époque au cœur de l’ancien noyau villageois, elle se dressait au milieu de l’actuelle avenue Louis Bertrand. Le chœur se trouvait à l’emplacement occupé par le Vase Warocqué. Au tournant des XIX e et XX e siècles, la belle église romane a été détruite et a fait place quelques mètres plus haut à celle que nous connaissons aujourd’hui."

    Pour ce qui est des travaux, la commune de Schaerbeek vient de réceptionner le permis d’urbanisme de la Région bruxelloise et les travaux devraient pouvoir commencer dès 2016.

    Travaux largement subsidiés

    Schaerbeek ne devrait supporter que 20 % des frais des travaux, le reste étant pris en charge par la Région.

    "Ce bâtiment retrouvera bientôt son faste d’antan et reprendra la place qui lui est due, au-delà des croyances religieuses ou philosophiques de chacun, au sein du riche patrimoine de notre commune" , concluent les deux échevins.

  • Les actes de christianophobie se multiplient en France

    IMPRIMER

    Source

    B99yhN2CAAAUdzW.png

  • Le modernisme: genèse et bilan - Entretien avec l'abbé Guillaume de Tanoüarn / Cercle Henri Lagrange

    IMPRIMER

    De saint Pie X à nos jours : petit voyage dans la galaxie de la réaction traditionaliste. Vu sur le « metablog » de l’abbé de Tanoüarn :

    JPSC

  • Le Carême et Pâques à Bruxelles

    IMPRIMER

    Sans titre.png

    cliquer sur l'image pour accéder au calendrier des célébrations et activités

  • La vision de Poutine : une Europe chrétienne « de Fatima à Vladivostok »

    IMPRIMER

    Lu sur le site de « Famille chrétienne » :

    « Au lendemain de la signature des accords de Minsk sur le cessez-le-feu en Ukraine, une question demeure : que veut Vladimir Poutine en Ukraine ? Les réponses de Frédéric Pons, journaliste, spécialiste des questions de défense, qui vient de signer une biographie du président russe. Quelle analyse faites-vous de l’accord de cessez-le-feu signé à Minsk le 12 février ?

    Cet accord est un copier-coller de Minsk 1 de septembre 2014. C’est un accord transitoire qui cherche à mettre en place un cessez-le-feu. Il est basé sur un compromis : les Ukrainiens ont dû accepter ce que voulait Moscou : plus d’autonomie pour les séparatistes du Donbass. Par ailleurs, ils ont marqué un point : le contrôle de la frontière orientale est assuré par la Russie et échappe à Kiev. En échange, les Russes ont dû accepter de retirer leurs canons et de cesser l’offensive en cours où ils avaient l’avantage.

    Fondamentalement, que veut Poutine en Ukraine ?

    Outre l’objectif territorial que représente la Crimée, il a un objectif stratégique : empêcher l’Ukraine d’adhérer à l’Otan. C’est une constante. Pour cela, il entretient délibérément et à petit feu des troubles dans l’est du pays. La Russie ne veut pas d’Otan à ses frontières. Or, face à lui, la position européenne est ambiguë. D’un côté Français et Allemands sont d’accord, mais d’autres pays non. Et aux États-Unis, une partie du Congrès pousse à cette adhésion.

    Soldats sans insignes, armes lourdes maniées par des militaires au statut incertain : en Ukraine, Vladimir Poutine a-t-il inventé une nouvelle manière de faire la guerre ?

    Poutine fait de la politique. Et il la fait en jouant sur tout le spectre de la puissance – l’armée, les services, la propagande, le mensonge, la dissimulation. Ces outils ne sont pas nouveaux et sont utilisés depuis la nuit des temps. Il a constamment un coup d’avance sur ses adversaires. On voit bien qu’il prend de court l’Otan, qui fonctionne en mode binaire et purement militaire.

    Lire la suite

  • Denis Crouan publie un guide pratique sur "l’art de célébrer" la liturgie

    IMPRIMER

    Ecrit à la demande de prêtres et de laïcs, ce Guide a pour but d'aider les fidèles catholiques à retrouver le sens du sacré, en renouvelant la vie liturgique des paroisses, dans la fidélité aux normes du concile Vatican II, et le respect des enseignements pontificaux, notamment ceux du Pape émérite Benoît XVI.

    " L'art de célébrer doit favoriser le sens du sacré et l'utilisation des formes extérieures qui éduquent à un tel sens, comme par exemple l'harmonie du rite, des vêtements liturgiques, de l'ameublement et du lieu sacré.(...) La simplicité des gestes et la sobriété des signes, effectués dans l'ordre et dans les moments prévus, communiquent et impliquent plus que le caractère artificiel d'ajouts inopportuns. L'attention et l'obéissance à la structure propre du rite, tout en exprimant la reconnaissance du caractère de don de l'Eucharistie, manifestent la volonté du ministre d'accueillir, avec une docile gratitude, ce don ineffable." Benoît XVI, exhortation Sacramentum caritatis.

    Clair et facile à lire, cet ouvrage permet de redécouvrir le service du sacristain, le sens et l'utilisation des objets et des vêtements liturgiques, le déroulement de la messe, le rôle des servants de messe, l'attitude des fidèles, la place des chants et de la musique.

    L'auteur, Denis Crouan, est Docteur en théologie, professeur de Lettres et d'Histoire, organiste et maître de choeur. Il a publié de nombreux ouvrages sur la liturgie qui font aujourd'hui autorité.

    Lire la suite

  • Le patrimoine religieux de Bruxelles est-il suffisamment valorisé ?

    IMPRIMER

    Lu sur lalibre.be (Ch. Laporte)

    Les églises bruxelloises, un atout touristique à valoriser

    On a beau connaître une sécularisation certaine en Belgique, a fortiori à Bruxelles, ville considérée comme traditionnellement laïque; il n’en reste pas moins que les églises, chapelles et autres lieux religieux ont la cote auprès des touristes et auprès de nos compatriotes fiers de ce patrimoine. Mais les met-on assez en valeur? C’est ce que se demande le député bruxellois Olivier de Clippele (MR) qui va interpeller le ministre-Président bruxellois sur la question.

    "La page d’accueil du site Be.Brussels reprend une vue de l’abbaye de la Cambre pour introduire le chapitre ‘culture, tourisme & loisirs’, ce qui indique l’importance du site pour l’image de Bruxelles", constate l’élu ixellois. "Toutefois, le site parle peu de l’abbaye et de manière générale, il n’y est guère question du patrimoine culturel de notre région représenté par les lieux spirituels. C’est au travers de promenades thématiques que ces monuments sont généralement mentionnés mais on n’invite pas le touriste à les visiter comme c’est le cas pour les parcs, musées, cafés ou théâtres."

    Cela interpelle d’autant plus M. de Clippele que Bruxelles compte près de 100 monuments classés à caractère spirituel sur son territoire. "Le site le plus visité de Bruxelles, après la Grand-Place, est la cathédrale des Sts-Michel-et-Gudule. Il m’a semblé intéressant d’essayer d’en savoir da vantage sur le nombre de visiteurs des églises sises à proximité immédiate des sites fréquentés par les touristes, comme St-Nicolas, Notre-Dame du Sablon, Notre-Dame de la Chapelle, la Madeleine, Notre-Dame du Finistère, Notre-Dame de Bon Secours, St-Boniface, Notre-Dame de la Cambre, St-Jacques sur Coudenberg, Royale Ste-Marie, Notre-Dame aux Riches Claires, St-Jean-Baptiste au Béguinage et Ste-Catherine". A propos de cette dernière, Olivier de Clippele s’étonne que le site mentionne encore celle-ci comme "désacralisée".

    Ste-Catherine n’est plus désacralisée!

    Car l’activité cultuelle y a repris depuis le 20 septembre et le nombre de visiteurs selon divers comptages dépasserait déjà les 200 000 par an au grand plaisir des cafés, restaurants et commerces des environs... Olivier de Clippele demandera aussi à Rudi Vervoort si son administration "a la capacité d’avoir une approche la plus objective possible au sujet de la plus-value qu’apporte ce patrimoine vivant". Le député lui demandera également "s’il est possible de valoriser l’impact touristique des églises et monuments religieux de Bruxelles sans pour autant se positionner dans un combat idéologique."

  • Le temps et la règle bénédictine (KTO)

    IMPRIMER

    Sur KTO (Documents) :

    "Tuer le temps, être prodigue de son temps, ne pas avoir le temps, prendre son temps, perdre son temps" : même si ces expressions usuelles en font un intime de notre quotidien, le temps nous pose trois des questions les plus essentielles sur le sens de notre vie : pourquoi, comment et quand ? Qu'est-ce que la règle bénédictine peut nous apporter en l'apprivoisant ? Comment en faire un allié, un outil à notre main ? Comment arrêter cette marche inexorable vers la mort, symbole de notre finitude ? Commet distinguer l'instant, le temps et l'éternité ? Comment décider entre l'instant éternel et le moment qui nous broie, nous émiette, nous éparpille et nous enferme ? Comment saisir la lumière du temps ? Cette réflexion philosophique viendra suspendre le temps durant 52 minutes... Ce que nous vivons aujourd'hui, ici, maintenant, est déjà porteur d'une valeur infinie. Le monde où nous vivons est finalement une abbaye... Une coproduction KTO / Grand Angle Productions / Premier Cercle, 2014 - Patrice Cros, Thibaut Férié.

  • Belgique : le 12e Festival de Chant Grégorien de Watou aura lieu du 8 au 17 mai 2015.

    IMPRIMER

    img_3 (1).jpg

    img_1 (1).jpg

    « Au cours de cette douzième édition du Festival international de chant grégorien de Watou, près de quatre-cent-cinquante voix, pour la plupart jeunes et professionnelles redonneront vie de façon grandiose à une musique et à des textes très anciens. Watou est le plus grand festival de chant grégorien au monde. Il est devenu un lieu de pèlerinage, une étape indispensable pour les amateurs de silence et de chant grégorien. L’enthousiasme est à son comble et le public en est fasciné.

    Avec tous les collaborateurs, je suis fier de pouvoir vous présenter ce festival triennal de grande qualité et de vous inviter à venir découvrir cette icône de notre culture occidentale.

    Bernard Deheegher »

    31 scholae ou ensembles grégoriens venus du monde entier seront présents pendant 10 jours à Watou ou dans l'une de ses 9 villes partenaires pour proposer 24 événements:11 concerts , 4 auditions, 8 célébrations liturgiques, 1 atelier

    Pour connaître le programme détaillé, cliquer ici.

    JPSC

  • L'Etat Islamique se déchaîne aussi contre les livres et le patrimoine

    IMPRIMER

    Lu sur le Monde.fr :

    L'Etat islamique soupçonné d'autodafés à Mossoul

    Dans le courant du mois de janvier, des combattants de l'Etat islamique auraient détruit environ deux mille livres de la bibliothèque centrale de Mossoul, selon des témoins cités par Associated Press (AP). L'agence de presse américaine affirme que des djihadistes ont brisé les cadenas protégeant cette bibliothèque et emmené pour les brûler quelque deux mille ouvrages, parmi lesquels des recueils de poésie, des livres de philosophie, des ouvrages sur la santé, le sport, la culture, la science ou encore des livres pour enfants. Parmi les ouvrages détruits figureraient une collection de journaux datant du début du XXe siècle, des livres et des cartes de l'empire ottoman.

    « Ces livres font la promotion de l'infidélité et appellent à désobéir à Allah. C'est pour cela qu'ils vont être détruits », a expliqué un des membres de l'Etat islamique à un habitant. Seuls ont été laissés dans la bibliothèque les ouvrages consacrés à l'islam.

    DES OBJETS VENDUS AU MARCHÉ NOIR

    Ce n'est pas la première fois que l'organisation djihadiste, qui a pris le contrôle d'un large pan de l'Irak et de la Syrie, est accusée de pratiquer des autodafés ou de s'en prendre à des sites historiques. Elle affirme que les statues relèvent de l'idolâtrie, et elle a en conséquence dynamité de nombreuses églises et autres monuments des patrimoines chrétiens, juifs ou musulmans.

    Plus récemment, l'EI aurait également pris pour cible l'université de Mossoul et brûlé des livres de science devant les étudiants. Un professeur d'histoire de l'université indique que l'EI a détruit d'autres bibliothèques publiques de la région, des archives sunnites, des bibliothèques chrétiennes (église et monastère dominicain) et le musée de Mossoul, emmenant des œuvres ayant 5 000 ans, en vue d'éventuels trafics. 

    En 2003, lors de l'invasion américaine qui allait mener à la chute de Saddam Hussein, les habitants de Mossoul avaient mis à l'abri des pillards une partie de ces livres. Mais l'EI menace désormais de mort tous ceux qui voudraient protéger ces ouvrages qu'il considère comme impies. La radio américaine NPR rappelle que les moines dominicains, présents à Mossoul depuis environ 1750, ont tenté de préserver le patrimoine culturel qu'ils ont amassé en en numérisant une partie.

  • Plain-chant en Belgique : quelques offres à l'agenda de l’académie de chant grégorien

    IMPRIMER

    Louvain-la-Neuve : le samedi 21 et le dimanche 22 février 2015

    « Ars cantandi – ars modulandi »

    2 jours de théorie et de pratique
    avec David Eben (détails ci-dessous)

    --------------

    Liège : trois week-ends avec Marcel Pérès en juin et septembre 2015 (détails ci-dessous)

    --------------

    Bruges : du mercredi 8 au samedi 11 juillet 2015

    avec Jan-Eik Tulve et Jean-Pascal Ollivry (détails ci-dessous)

    --------------

    Ermeton : du dimanche 16 au dimanche 23 août 2015

    Stage d'été (détails ci-dessous)

    --------------

    Liège : le samedi 30 avril 2016

    Concours international de Musique sacrée pour chœurs de jeunes
    International competition of Sacred Music for choirs of young people
    Internationale wedstrijd voor jongerenkoren: gewijde muziek
    Internationaler Wettbewerb geistlicher Musik für Jugendchöre

    (détails ci-dessous)

    Lire la suite

  • La présence de communautés chrétiennes attestée en Arabie au 5e siècle

    IMPRIMER

    Dans le désert d'Arabie, des croix chrétiennes du Ve s.

    Présentation par un archéologue français, Frédéric Imbert

    Rome, 29 janvier 2015 (Zenit.org)

    Des inscriptions assorties de croix chrétiennes, ont été découvertes en Arabie Saoudite, dans la zone de Jabal Kawkab du désert: elles attestent la présence d’une communauté chrétienne en Arabie du Sud au Ve siècle.

    Frédéric Imbert, spécialiste d'épigraphie arabe et islamique, professeur à l'université d'Aix et membre de la mission franco-saoudienne de prospection dans l'émirat de Najrân, a exposé ces découvertes lors d'une conférence au musée de l'Université américaine de Beyrouth.

    Selon le journal L’Orient-Le Jour, une série de noms chrétiens, peut-être des martyrs tués lors d’une persécution, a été découverte en janvier 2014 au sud de Jabal Kawkab dans le secteur de Hima, dit aussi Bîr Ḥimā ou Ᾱbār Ḥimā, « appellations renvoyant à une zone de puits connus depuis la plus ancienne Antiquité ». Pour l’archéologue, ce coin était probablement une zone d’approvisionnement d’eau pour les caravanes qui voyageaient du Yémen à Najran.

    Les inscriptions gravées sur des rochers sur plus d'un kilomètre, « ne sont pas les seules croix connues en Arabie du Sud et de l'Est, mais il s'agit sans doute des plus vieilles croix chrétiennes en contexte daté de 470 de notre ère », a souligné Frédéric Imbert.

    Quant à la langue – difficile à préciser car les inscriptions ne sont que des noms –, il pourrait s'agir « d'une forme tardive et peut-être locale d'araméen », ou « écriture nabatéo-arabe ».

    Les écrits se situeraient à l’époque du règne himyarite de Shurihbil Yakkuf, qui a gouverné l’Arabie du Sud de 470 à 475. Les persécutions des chrétiens auraient commencé au cours de son règne.

    Pour Frédéric Imbert, il est possible que cette communauté chrétienne soit venue d'Irak, avant même l'essor du christianisme dans la région : présent en Arabie à partir du IVè siècle, c'est cependant « au VIè siècle qu’il se diffuse dans la région du golfe Arabo-Persique, dans les régions côtières du Yémen et dans celle de Najrân », grâce aux missionnaires de l'empire perse sassanide et aux missionnaires syriens monophysites qui sont hostiles au concile de Chalcédoine (451).

    La région du Jabal Kawkab affiche des milliers de représentations humaines et animales, de versets, de croix, de vers de poésie, de textes en arabe, en sudarabique, en thamoudéen ou en nabatéen : « Nous travaillons sur ce que j'appelle "le plus vieux livre des Arabes", un livre écrit sur les pierres du désert par des hommes qui vécurent à l'époque où une certaine forme de monothéisme se met en place dans la douleur et l'opposition, les massacres et les guerres. Aujourd'hui, c'est une page de l'histoire des Arabes et du christianisme que nous essayons de retrouver... », conclut Frédéric Imbert.

    Avec Constance Roques