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Patrimoine religieux - Page 197

  • Liège, 3 novembre – Saint Hubert / Cathédrale: Messe aux Trompes de chasses

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    Ce 3 novembre, c'est la Saint-Hubert - dont la fête tombe cette année un dimanche. On l'ignore souvent, mais si saint Lambert est le patron du diocèse de Liège, le nom de saint Hubert est lié à la Cité Ardente. Né vers 656 dans la haute noblesse franque et mort en 727, il devint évêque de Tongres-Maastricht et établit sur les lieux de l'assassinat de son prédécesseur - saint Lambert - une institution religieuse, base de la future cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Lambert, y ramenant ses reliques. Ce fait contribua à la création d'une métropole qui devint dans le courant du VIIIe siècle, le nouveau siège du diocèse de Tongres-Maastricht. Enterré à Liège et élevé à son tour sur les autels, son corps fut transféré en 825 à Andage en Ardennes - lieu qui reçut dès lors le nom de "Saint-Hubert".

    La Messe en l'honneur de saint Hubert sera célébrée à 10 heures en la Cathédrale Saint-Paul de Liège. L'office sera animé par les trompes de chasses du Bien-Aller Ardennes, qui chaque année - et ce, depuis plus de 20 ans - viennent sonner la Saint-Hubert à la cathédrale. Cette année, la fête tombant un dimanche, cela se fera exceptionnellement au cours de la Messe. A la fin de la liturgie, les fidèles pourront venir admirer la "clef de Saint-Hubert". Ce chef-d'œuvre de l'orfèvrerie mosane sera amené pour la circonstance sur place par l'équipe du Trésor de la Cathédrale. Selon la légende, cette clef aurait été offerte à saint Hubert par le pape comme souvenir de son pèlerinage à Rome. La poignée de la clef contient en effet une limaille des liens de Saint-Pierre. En fait, il s'agit d'un reliquaire datant - selon les parties - du XIIe au XIIIe siècle, et donné à l'évêque pour rehausser le prestige de l'Eglise de Liège.

     

    Contact chanoine Armand Beauduin, Doyen du chapitre, tél0475/913753

  • 3 novembre : festivités de la Saint-Hubert

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    Festivités de la Saint-Hubert :
    Fête Patronale. Folklore et Traditions (source)

    Patron des chasseurs depuis le 9ème siècle, St Hubert est aussi invoqué pour le succès des chasses et la protection des chiens et des chevaux. A Saint-Hubert, le 03/11/13 !

    Dès 9h, différentes animations prennent place devant la basilique avec des groupes folkloriques, un marché artisanal, des sonneries de trompes de chasse, des rassemblements de cavaliers, de chasseurs, de Compagnons de St Hubert, ou encore de lanceurs de drapeaux…

    Après la messe, vers 11h, a lieu la traditionnelle distribution de pains bénis et la bénédiction des animaux sur le parvis de l'église en présence des sonneurs de trompes de chasse.

    La cérémonie est suivie d'un marché artisanal avec dégustation et vente de produits locaux et animations diverses. 

    • 9h : Messe à l’autel de saint Hubert (Basilique)
    • 9h : Marché artisanal - Dégustation et vente de produits régionaux
    • 9h30 à 10h30 : Adoration du Saint Sacrement et permanence pour les confessions (crypte)
    • 10h : Sonneries de trompes de chasse, démonstrations de fauconnerie, lanceurs de drapeaux, démonstrations de dressage de chiens (centre ville)
    • 10h45 : Rassemblement et départ en cortège vers la Basilique (Place du Fays)
    • 11h : Grand-messe en l’honneur de saint Hubert par le Royal-Forêt Saint-Hubert et chantée par la chorale paroissiale.(Basilique)
    • Bénédiction des pains et imposition de la relique (Basilique)
    • 12h15 : bénédiction des animaux (devant la Basilique)
    • 13h : départ rallye équestre (Complexe sportif)

     

    Renseignez-vous
  • Angola : profanations au sanctuaire de Notre-Dame de Muxima

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    imagem.jpgAFRIQUE/ANGOLA - Profanation de la statue de Notre-Dame de Muxima : pour l’Evêque du lieu, « une action froide et lâche »

    Luanda (Agence Fides) – « Une action perpétrée de manière froide et lâche » : c’est ainsi que l’Evêque de Viana, S.Exc. Mgr Joaquim Ferreira Lopes, a qualifié la profanation du Sanctuaire de Muxima, en Angola. Selon Radio Ecclesia – radio de l’Eglise en Angola – le Dimanche 27 octobre, six personnes non identifiées ont vandalisé et détruit un certain nombre d’images de Notre-Dame vénérées à l’intérieur du Sanctuaire.

    « Heureusement, l’image principale de Notre-Dame de Muxima (une statue NDR) n’a subi que des dommages limités mais d’autres images sont irrécupérables en ce que sauvagement détruites » a affirmé l’Evêque. Le grave acte de vandalisme a été commis le jour même de la clôture de l’Année de la Foi en Angola.

    Une fois apprise la nouvelle, quelques centaines de fidèles se sont rassemblés face au Sanctuaire pour protester. Mgr Lopes a invité tout un chacun à conserver son calme tout en soulignant que, outre les dégâts matériels, les autorités devront tenir compte « des dommages moins visibles, les dommages moraux qui frappent le cœur des personnes et provoquent colère et rage au sein de la population qui se sent privée de symboles auxquels elle est très dévote ».

    Les autorités ont annoncé une enquête et le recours à des spécialistes afin de réparer les dommages subis par la statue de la Très Sainte Vierge Marie.

    Selon la presse, la police a arrêté un certain nombre de personnes appartenant à la confession évangélique appelée « église prophétique de l’arche de Bethléem » et évalue actuellement leur position en ce qui concerne l’acte de profanation.

    Les Evêques d’Angola ont exprimé à plusieurs reprises leur préoccupation quant à la montée en puissance des sectes et la forte croissance du nombre des immigrés de religion musulmane dans le pays (voir Fides 18/11/2011). Cette préoccupation a été relancée au terme de leur dernière Assemblée plénière par S.Exc. Mgr Manuel Imbamba, Archevêque de Saurimo et porte-parole de la CEAST qui, dans un entretien accordé à Radio Ecclesia, a affirmé que l’Eglise catholique ne peut empêcher l’entrée d’autres religions dans le pays mais il a souligné que « les graves conséquences » de l’arrivée de formes religieuses caractérisées par « l’intolérance, le fondamentalisme, la violence et la perversion de leur culture elle-même » ne peuvent être ignorées.

    Rappelant que certains pays financent l’expansion de l’islam dans des buts politiques, Mgr Imbamba a conclu : « Nous devons rester en garde contre ces situations, notamment en tenant compte des situations de violence existant au Nigeria, en République centrafricaine et au Moyen-Orient ». (L.M.) (Agence Fides 28/10/2013)

  • La collégiale Sainte-Croix à Liège : un des monuments les plus menacés de la planète

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    sc-exter-complet.jpgLu sur La Libre - Gazette de Liège :

    Quel chemin pour Ste-Croix ?

    Un SOS mondial a été lancé pour la collégiale. Ville et Région se renvoient la balle.

    C’est une première en Région wallonne : depuis quelques jours, la collégiale Sainte-Croix de Liège figure sur la liste des monuments les plus menacés de la planète, dressée par le World Monuments Fund qui a son siège à New York. Ce n’est évidemment pas un compliment pour nos responsables du patrimoine. Mais entre la Ville et la Région, on se renvoie la balle…

    "Ce classement est un signal d’alarme, explique Mathieu Piavaux, de l’ASBL SOS Sainte-Croix, par ailleurs chargé de cours à l’Université de Namur. A Bruxelles, la maison de la Radio place Flagey et le site de Tour et Taxis ont figuré sur la liste Monument Watch et cela a contribué à les sauver. Cette fondation est comme l’Unesco ou comme Amnesty International. Elle ne donne pas les fonds pour lutter contre ce qu’elle dénonce, mais elle est une caution morale, une légitimité". Le message fera-t-il de la restauration de l’édifice médiéval une priorité ? C’est évidemment ce qu’espèrent ses défenseurs qui ont monté le dossier adressé à la fondation américaine.

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  • Trois fêtes successives: 27 octobre, 1er et 3 novembre prochains

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
      

    DIMANCHE 27 OCTOBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête du Christ-Roi

    Propre grégorien de la messe « Dignus est Agnus »

    Kyriale IV « Cunctipotens Genitor Deus » (Xe s.), Credo IV (XVe s), Acclamations carolingiennes (VIIIe s.) 

    VENDREDI 1er NOVEMBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête de la Toussaint

    Propre grégorien de la messe « Gaudeamus omnes »

    Kyriale IV « Cunctipotens Genitor Deus » (Xe s.), Credo IV (XVe s.)

    Hymne de la Toussaint « Christe Redemptor Omnium » (IXe s.)

     

    DIMANCHE 3 NOVEMBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête de saint Hubert, évêque de Liège

    Patron des chasseurs

    Propre grégorien de la messe des confesseurs pontifes « Statuit »,  Kyriale IV (Xe siècle), Credo IV (XVe s.)

    Airs de chasse à l’orgue

    AVEC LE CONCOURS DE LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT

    À L’ORGUE, PATRICK WILWERTH, professeur au Conservatoire de Verviers et Mutien-Omer HOUZIAUX, ancien organiste titulaire de la cathédrale de Liège

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe

    Plus de renseignements : cliquez ici  http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

  • La demande d'obsèques religieuses resterait très forte, mais…

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    Selon le site de "La Vie":

    "Pas moins de 70 % des obsèques en France sont religieuses selon une étude menée par les Pompes funèbres générales que La Vie publie en exclusivité. Ce qui n'empêche pas une progression importante des obsèques civiles et de la crémation comme mode de sépulture.

    Les obsèques religieuses se maintiennent à un niveau très élevé en France. C'est la principale information d’une étude menée par le groupe OGF (Pompes funèbres générales) et que La Vie publie en exclusivité. Pas moins de 7 familles sur 10 ont recours à cette pratique. L'étude, basée sur une observation des convois funéraires du mois de juin dernier, montre aussi que le mode de sépulture est celui de l’inhumation dans la grande majorité des cas pour les obsèques religieuses. « Pour les Français, les funérailles sont de loin la cérémonie la plus importante, bien avant le mariage. Et ce besoin de rite semble même s’accroître », explique Tanguy Chatel, anthropologue et chargé de mission à l’Observatoire national de la fin de vie. Pour lui, le maintien relatif des obsèques religieuses reflète à la fois « le besoin universel du cultuel que les cérémonies civiles ne satisfont pas toujours », et « le besoin spirituel qui est en plein essor aujourd’hui ». 

    Par ailleurs, l'Eglise catholique « offre encore des repères et un lieu approprié et pratique pour accueillir des gens afin de rendre hommage au défunt, le tout indépendamment de la question du sens », constate Jean Ruellan, responsable de communication au groupe OFG et l'un des architectes de l'étude. On comprendrait ainsi pourquoi la part de funérailles religieuses dépasse largement celle des Français qui se disent croyants (60 %) et a fortiori celle des chrétiens pratiquants réguliers (5 %). 

    Mais cette remarquable constance ne doit pas faire oublier une progression, spectaculaire, des obsèques civiles et de la crémation. C'est le deuxième constat établi par cette étude. Les obsèques civiles sont passées de 25 % à 30 % en seulement cinq ans (par rapport à 2008, année de la première étude d'OGF). Parallèlement, le nombre de crémations se trouve également en forte hausse : 36 % en 2013 par rapport à 28 % il y a cinq ans. Une pratique qui ne suppose pas forcément le choix d’obsèques civiles (l'Eglise catholique déconseille la crémation, mais ne l'interdit pas ; les Eglises protestantes l'acceptent). Mais la tendance est clairement en faveur d’une cérémonie non religieuse. Celle-ci est choisie par une majorité (53 %) de ceux qui recourent à la crémation. 

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  • A propos de l’Eglise des pauvres

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    Bartolome_murillo-tres_niños.jpgOn appelle les pauvres des malheureux, et voilà des pauvres que Jésus appelle bienheureux: quelle opposition entre le jugement de Dieu et celui de l'homme!

    « Dieu, dit S. Ambroise, fait commencer la béatitude là où l'homme ne voit que misère ». Toutefois Jésus n'appelle pas tous les pauvres bienheureux.

    "Il y a une pauvreté, dit S. Chromace, qui vient de la nécessité; d'autres fois la pauvreté vient d'une mauvaise conduite; quelquefois de la colère de Dieu." Les pauvres que Jésus déclare bienheureux sont les pauvres en esprit: c'est pourquoi il faut que nous sachions ce qu'est la pauvreté en esprit.

    En interprétant ce texte dans le sens obvie, interprétation qu'appuient les malédictions contre les riches, rapportées en S.Luc, beaucoup d'exégètes y ont vu l'esprit de pauvreté, c'est-à-dire un détachement des biens de la terre, tel qu'on en use sans s'y attacher, qu'on sache en supporter la privation sans se plaindre ou se troubler, ou encore, ce qui est un degré supérieur, qu'on ait à plaisir à s'en dépouiller, et enfin, ce qui est le degré le plus parfait, qu'on ait une horreur invincible pour tout superflu.

    C'est cet esprit de pauvreté que recommandait S. Paul quand il écrivait à son disciple Timothée: Soyons contents quand nous avons la nourriture et le vêtement.

    « Ils sont bienheureux, dit S.Jérôme, ceux qui sont pauvres dans l'esprit: on ne peut avoir cet amour de la pauvreté que par l'onction de l'Esprit-Saint ».

    D'autres interprètes, les plus nombreux, entendent cette béatitude de cette pauvreté de l'esprit qui est l'humilité.

    "Par les pauvres en esprit, dit S. Augustin, il faut entendre ceux qui n'ont pas l'esprit enflé, les humbles et qui craignent Dieu. De même que la crainte du Seigneur est le commencement de la sagesse, la superbe est le commencement de tout péché."

    Et, enfin d'autres traduisent: Bienheureux ceux qui se font mendiants en esprit, bienheureux ceux qui, ayant conscience de leur faiblesse, vont à Dieu en pauvres.

    "Le Sauveur a mis l'humilité au commencement des béatitudes, dit l'Opus imperfectum, parce que l'humilité est le commencement de notre salut. Et pourquoi n'a-t-il pas dit simplement: Bienheureux les humbles? Il voulait béatifier, non l'humilité qui demeure en elle--même, mais l'humilité qui va à Dieu pour lui demander son assistance.

    Il y a des âmes qui sont humbles par nature et demeurent en elles-mêmes; d'autres sont humbles par l'action de la foi; par la foi elles connaissent leurs misères, savent ooù est le secours, et elles ne cessent de le demander. Ce sont ces âmes que Jésus béatifie. Bienheureux les mendiants de Dieu!"

    "Dans la société chrétienne, dit le P. Lacordairela pauvreté est l'arôme qui empêche la richesse de se corrompre et de dégénérer en un égoïsme odieux."

    La pauvreté béatifiée par le Christ est utile, non seulement comme préservatif, mais à cause des heureux effets qu'elle produit sur les âmes.Elle est utile à ceux qui sont réellement pauvres.Si la richesse a ses dangers, la pauvreté a aussi les siens. Si les richesses sont dangereuses à cause de l'orgueil qu'elles développent, la pauvreté est dangereuse à cause des angoisses auxquelles elle expose, à cause des bassesses auxquelles elle peut conduire.

    "Aussi tous les pauvres ne sont pas béatifiés, dit S. Ambroise; il y a de bons et de mauvais pauvres." Il peut y avoir des pauvres orgueilleux, envieux, révoltés, aigris, plein de murmures.

     "Ecoute-moi au sujet de tes pensées, monsieur le pauvre, disait S. Augustin. Ne méprisepas les riches, car il y a des riches miséricordieux, des riches qui sont humbles, des riches qui sont pauvres. Et si le pauvre n'a rien dont il puisse se prévaloir, le riche a des difficultés qu'il doit vaincre."

    "O pauvre, soit vraiment pauvre, c'est-à-dire humble, compatissant. O mes confrères les pauvres, apprenez à être pauvres et à demeurer dans les mains de Dieu."

    'Ce n'est pas la pauvreté qui sauve, dit S. Basile; et toute attache mérite une condamnation; or, il y a des pauvres qui sont pauvres en fait de richesses et qui dans le fond de leur coeur sont remplis d'avarice. Ce ne sont point là les pauvres que Jésus béatifie; car ce que l'on subit par contraite ne peut être une béatitude.

    Rp Thiriet O.P. 

    Réf:  Bienheureux les pauvres en esprit, parce que le Royaume des cieux est à eux.La pauvreté selon l’esprit est un don de Dieu. C’est d’elle que découle la vraie charité. JPSC 

  • Summorum Pontificum, on continue...

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    Un pèlerinage Summorum Pontificum à Rome (une interview de l'abbé Barthe par P. Benoit parue sur le site de l'Homme Nouveau)

    Samedi prochain aura lieu à Rome, cœur de la chrétienté, le deuxième pèlerinage international Summorum Pontificum pour conclure l’Année de la foi. Son aumônier général est l’abbé Claude Barthe. Il nous en dit plus.

    • Vous êtes l’aumônier du pèlerinage Summorum Pontificum qui se déroulera samedi 26 octobre. De quoi s’agit-il ?

    L’abbé Claude Barthe : Ce pèlerinage est le deuxième du genre. L’an passé s’était mis en place un groupe ad hoc, le Cœtus Internationalis Summorum Pontificum (CISP), qui avait organisé un premier pèlerinage à Rome, à la Toussaint 2012, au début de l’Année de la foi, pour lequel s’étaient retrouvés des prêtres, religieux, séminaristes et fidèles du monde entier, attachés à ce que l’on nomme la liturgie selon la forme extraordinaire du rit romain. Il s’était achevé par une messe pontificale à Saint-Pierre du Vatican, célébrée par le cardinal Cañizares, Préfet de la Congrégation du Culte divin. Nous allons conclure l’Année de la foi, du 24 au 27 octobre prochains, par un pèlerinage semblable. Le CISP, présidé par un magistrat italien, Guiseppe Cappocia, et dont le secrétaire général est Guillaume Ferluc, aime qualifier de représentants du peuple Summorum Pontificum ceux qui viennent à Rome à cette occasion et qui, dans une grande diversité, appartiennent à des paroisses, des communautés religieuses, des communautés Ecclesia Dei, et aussi à la Fraternité Saint-Pie-X. Nous collaborons bien sûr fructueusement avec des organisations diverses petites ou grandes, des instituts religieux, instituts Ecclesia Dei, etc., mais pour que tout le monde se sente chez soi, ce sont les individus qui sont invités et qui prennent part comme tels aux cérémonies et aux actes de dévotion, de cette pérégrination vers le Tombeau de Pierre et auprès de son Successeur, la paroisse personnelle de forme extraordinaire de Rome, la Trinité-des-Pèlerins, constituant la base d’accueil, conformément à sa vocation qu’indique son titre.

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  • La nouvelle version du Notre Père, la victoire d'un camp ?

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    Le Notre Père nouvelle version n’est pas la victoire d’un camp !

    Le "boulevard Voltaire" propose un entretien au sujet de cette nouvelle version avec le Père Louis-Marie Guitton (responsable de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon)

    • Le pape propose une « nouvelle version » du Notre Père. Pourquoi maintenant ?

    Le bon Dieu a de l’humour… La popularité du pape François est telle et son invitation souvent répétée à nous « laisser surprendre » qu’on lui attribue maintenant cette nouvelle traduction du Notre Père. C’est en fait un travail de longue haleine, commencé en 1996, qui est en train d’aboutir, avec la reconnaissance donnée par Rome cet été, puis la publication de la traduction officielle au mois de novembre prochain. Cette traduction de la Bible pour la liturgie francophone, qui n’arrivera que dans quelques mois à la messe, lorsque les nouveaux lectionnaires auront été édités, prépare une autre traduction, qui suscitera sans doute beaucoup d’autres débats dans le monde francophone : celle du missel romain.

    • Peut-on y voir une invitation à l’unité pour les chrétiens ?

    La nouvelle traduction en français du Pater avait été annoncée le 29 décembre 1965, puis confirmée le 4 janvier 1966, dans un communiqué commun avec les représentants des chrétiens orthodoxes et réformés : on y précisait qu’elle serait commune aux trois confessions chrétiennes, dans un esprit d’unité. Les protestants ont déclaré, par la voix du pasteur Jean Tartier, que la nouvelle traduction est « de toute façon meilleure que l’ancienne ». De même Antoine Arjakovsky, orthodoxe, s’est réjoui car « l’ancienne formule de 1966 laissait sous-entendre que Dieu était à l’origine du mal ». Il est probable que l’on sera attentif à cette dimension œcuménique lors de la promulgation du missel, pour que l’on utilise la même formule dans les églises et dans les temples et que l’on puisse continuer à réciter ensemble cette prière.

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  • Musique sacrée et musique ancienne: Verviers 2013

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    musique sacree 2013 electronique.jpg

    http://www.quefaire.be/4eme-festival-de-musique-459204.shtml

    http://www.quefaire.be/4eme-festival-de-musique-459212.shtml

    JPSC