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"Una Voce sera bientôt cinquantenaire. C’est en effet en 1964 qu’elle fut fondée pour que soient sauvegardés la langue latine, le chant grégorien et la musique sacrée dans la liturgie catholique, et que soient préservées la dignité, la beauté et l’orthodoxie du culte divin.
Avons-nous vraiment quitté les temps de désolation liturgique et spirituelle qui avaient suscité cette saine réaction ?
« Le célibat est une question de radicalité évangélique », a estimé dans L'Osservatore Romano le cardinal Mauro Piacenza, préfet de la Congrégation pour le clergé, qui a encouragé à ne pas avoir peur de la baisse des vocations dans le monde.
S'il est difficile à la société sécularisée de comprendre le célibat des prêtres, le cardinal a invité à ne pas se laisser « intimider » par ceux qui ne le comprennent pas ou cherchent à le modifier. Le célibat « défie la mentalité du monde » et sa « valorisation dans l'Eglise et dans le monde peuvent représenter un des chemins les plus efficaces pour dépasser la sécularisation », a-t-il expliqué.
Paul Bhatti, frère du Ministre assassiné Shahbaz Bhatti, a été nommé aujourd’hui « Conseil spécial » du Premier Ministre du Pakistan pour les affaires des Minorités religieuses. Le Conseiller spécial disposera de pouvoirs exécutifs similaires à ceux d’un Ministre et il devra prêter serment officiellement dans le cadre de ses nouvelles fonctions au cours des prochains jours.
Le "vaticaniste" de renom, Sandro Magister, se penche sur l'attitude du Vatican à l'égard de la guerre en Lybie et sur les évènements qui se déroulent dans le monde arabe en général. Il intitule sa chronique : "Le Vatican s'associe à la Babel de Libye. En se taisant" et en sous titre : "Un silence qui est une acceptation passive des raids aériens contre Kadhafi. Des raids à buts "humanitaires" ? L'évêque de Tripoli n'y croit pas : "Cette guerre ne résout rien" Voici son analyse :
Le 2 février dernier, nous avions fait écho sur ce blog aux résultats d'une enquête sur les enfants du divorce.
"Valeurs Actuelles" y revient aujourd'hui en publiant une interview de Dominique Marcilhacy, porte-parole de l'Union des familles en Europe (UFE). On découvrira cette interview ICI.
Le projet n’a pas passé la rampe aux Facultés jésuites Notre-Dame de la Paix à Namur et l’assentiment des Facultés Universitaires Catholiques de Mons est lui-même assorti d’une clause suspensive : les petits chaperons rouges soupçonnent-ils le grand méchant loup d’intentions pas trop catholiques ? Après tout, small is beautifull et de bons accords de coopération ne suffiraient-ils pas à mieux garantir les intérêts et la spécificité de chacun ? Sur la tournure prise par le projet, voici ce qu’écrit Laurent Gérard dans la Libre Belgique de ce 24 mars :
Selon des sources diplomatiques à New-York, le Département d'État américain a fait croire aux délégations latino-américaines à l'Organisation des Nations Unies que le Vatican avait changé sa position sur l'orientation sexuelle. Le but de l'opération était de les faire voter en faveur d'une déclaration débattue au Conseil des droits de l'homme à Genève.
On ne peut que dénoncer le comportement criminel de Terry Jones, ce pasteur fondamentaliste américain qui n'a rien trouvé de mieux à faire que de brûler publiquement un exemplaire du Coran. Il avait déjà menacé de le faire en septembre dernier mais y avait finalement renoncé. Des représailles s'étaient cependant déjà produites au Pakistan où deux églises avaient été attaquées.
La "Talpa Brusseliensis" fait un excellent travail et son blog est une mine de renseignements pour y découvrir des informations dont les médias généralistes sont avares. En témoigne cette nouvelle qui révèle une fois encore le vrai visage de la Turquie d'aujourd'hui...
"Bien que le rapport de Mme Oomen-Ruijten soit le plus critique depuis des années sur la candidature turque à l’Union européenne, la Fédération Euro-Arménienne pour la Justice et la Démocratie considère que le Parlement européen a conforté ce pays dans son refus de faire face à ses crimes d’Etat :
Dans une interview de Mgr Fisichella, Président du Conseil Pontifical pour la nouvelle évangélisation, parue dans la Vanguardia et traduite ICI, le journaliste lui pose cette question :
- Beaucoup de frictions entre l’Église et la société concernent la morale sexuelle et la bioéthique. Une partie de la société a l’impression que l’Église veut imposer ses valeurs.
- Réponse : Les questions de bioéthiques sont de plus en plus importantes, elles ne peuvent se limiter à l’avortement. Il y a la génétique. L’Église ne regarde pas avec défiance la recherche scientifique mais elle veut être écoutée quand elle donne l’alerte pour que la recherche soit éthique, que ses objectifs soient en accord avec la dignité de la personne. Mais non pas la dignité dans la conception individualiste prédominante comme c’est le cas aujourd’hui dans beaucoup de domaines, une vision qui mène à la discrimination.
Toute l'interview est à lire parce que les questions posées reflètent bien tous les a priori des journalistes des grands medias.
Alors que nous sommes à nouveau sollicités par les campagnes du "Télévie" ou du "Téléthon" pour financer la recherche scientifique, y compris celle qui est menée sur les cellules souches embryonnaires occasionnant la destruction d'embryons humains, l'information suivante parue sur le blog d'Albert Barrois mérite d'être suivie attentivement. Directeur d'une équipe de recherche, Albert Barrois (pseudonyme) s'intéresse à tout ce qui touche aux sciences biomédicales, avec un accent particulier sur la relation entre la science et la religion.