Le site "Benoît et moi" publie la traduction d'un article de "Religion et Libertad" au sujet du sanctuaire marial d'Akita. Nous le partageons avec vous.
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Le site "Benoît et moi" publie la traduction d'un article de "Religion et Libertad" au sujet du sanctuaire marial d'Akita. Nous le partageons avec vous.
Sendai (Agence Fides) – C’est une tragédie qui a eu « un fort impact émotionnel sur la société ». Les citoyens sont « exténués et désorientés ». C’est pourquoi les Evêques japonais se rendront à Sendai pour une réunion d’urgence, le 16 mars et remercient le Pape pour ses paroles qui insufflent « courage et espérance », le don que les chrétiens peuvent faire à la nation en ce moment de souffrance : c’est ce que déclare dans un témoignage plein de tristesse accordé à l’Agence Fides, S.Exc. Mgr Martin Tetsuo Hiraga, Evêque de Sendai, le Diocèse le plus touché par le séisme et par le tsunami. L’Evêque raconte que « les lignes électriques et téléphoniques ont été rétablies depuis peu » et, au cours de la conversation téléphonique avec Fides, il ressent continuellement de nouvelles secousses sismiques de tassement.
"La déchristianisation qui est en cours dans différents pays n’est pas seulement préjudiciable à la foi chrétienne, mais elle est "létale" pour les systèmes démocratiques eux-mêmes. C’est pourquoi les catholiques ne doivent pas se résigner à jouer un rôle périphérique dans le domaine politique. Ils ne doivent pas succomber à ce péché capital qu’est la paresse. Bien au contraire. À une époque comme la nôtre les catholiques doivent être bien conscients qu’ils "sont dans une position de net avantage". Ils disposent d’un patrimoine d’idées et de convictions sur l’être humain, sur la famille, sur les communautés, sur la société, "moins contaminé par ces idéologies qui ont dominé le XXe siècle". Ils ont des compétences et des sensibilités que les autres ne possèdent pas. Ils sont davantage prêts à conduire de manière positive les grands changements."
Cette déclaration émane de Lorenzo Ornaghi, un laïc, professeur de sciences politiques; recteur depuis 2002 de l'Université Catholique du Sacré-Cœur, à Milan.
C'est sur ses épaules que repose, en grande partie, la lourde tâche de faire grandir cette "nouvelle génération" que, depuis plus de dix ans, l’Église d’Italie s'efforce de développer pour assurer l'animation religieuse et civile du catholicisme italien, à travers ce qu’elle a appelé "projet culturel d’inspiration chrétienne", dont l’inventeur et le guide est le cardinal Camillo Ruini.
Voir le contexte ICI (Sandro Magister)
Mgr Henri Brincard succède à Mgr Jean Bonfils comme Commissaire Pontifical de la Congrégation des sœurs contemplatives de Saint Jean.
La Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée et les Sociétés de Vie Apostolique a nommé Mgr Henri Brincard, évêque du Puy-en-Velay, Commissaire Pontifical de la Communauté des sœurs contemplatives de Saint Jean.
Un lecteur attentif nous communique cette réflexion :
« "Trait d'union" est le bulletin de liaison des membres du RWF. C'est aussi le nom de la feuille paroissiale distribuée en toutes-boîtes. J'y lis que les confirmands de cette année ont dû choisir un objet symbolique pour illustrer leur foi catholique. On cite : un paquet de chips, une marmite, une poupée russe... (...)
Quand les symboles chrétiens ne suffisent plus ou ne sont plus compris, la porte est grande ouverte à l'imagination et à la subjectivité. Et tout ceci en présence de l'évêque, garant supposé de la foi héritée du Messie et des apôtres... Quand une religion en arrive à ce stade du blasphème tranquille, on peut affirmer que l'apostasie collective est en bonne voie."
Il suffit de regarder les campagnes de publicité organisées ces dernières années par l’évêché de Liège pour promouvoir (avec le succès que l’on sait) les vocations sacerdotales diocésaines : là, il s’agit d’un sachet de frites.
Lorsque le niveau du symbole tombe aussi bas, il n’y a plus rien à dire. Faut-il rappeler que le mot "symbole" dérive des termes grecs "sun" (avec) et "bollein" (jeter) signifiant « mettre ensemble, joindre, comparer » ?
Le Credo est éminemment un Symbole. Il réunit, il met ensemble les Chrétiens, il emboîte les tessons de leur foi en un signe supérieur indubitable de reconnaissance.
Qu’une feuille paroissiale s’intitule « trait d’union » pourrait donner le sens de ce mot mais lorsqu’elle l’illustre par des images aussi médiocres, il est douteux qu’elle relie encore quoi que ce soit. A fortiori s’agissant de religion (re-ligare en latin, relier) qui a pour objet d’exprimer un lien indicible.
Mais au regard de la religion sécularisée, les catégories classiques n’ont plus aucun sens.
Me promenant un jour dans les rues de V., j'ai été interpellé devant une école fréquentée par de nombreux jeunes issus de l'immigration et je me suis entendu dire "c'est parce que tu bouffes du porc que t'es si blanc!". Cela m'a laissé perplexe parce que, jusque là, nous étions censés faire preuve de racisme à l'égard des étrangers et voilà qu'à présent j'étais la victime de propos insultants...
A ce propos, je découvre cette recension dans l'Express.fr de ce matin :
"Dans un essai, le sociologue Tarik Yildif aborde de front le racisme anti-blanc, pour éviter notamment de laisser le sujet aux extrêmes.
"Sale Français(e) de merde!" Cette expression les renvoyant à leurs origines françaises, Guillaume, Bastien, Anne, Hasan et les autres l'ont entendue souvent. C'est ce que décrit Tarik Yildif au travers de neuf entretiens avec un collégien, un lycéen, une étudiante, des professeurs et des parents d'élèves de Seine-Saint-Denis.
Dans son essai, Racisme anti-blanc, Ne pas en parler: un déni de réalité*, ce doctorant en sociologie de seulement 25 ans dresse une cartographie du phénomène dans certains quartiers de certaines villes d'Ile-de-France.
Insultes, crachats, coups, les protagonistes de l'étude se disent victimes d'"une intolérance qui touche les blancs parce qu'ils sont - ou sont considérés - comme des 'Français de souche', en opposition aux Français issus de l'immigration", explique l'auteur..." voir la suite ICI
Le racisme anti-blanc, Ne pas en parler: un déni de réalité, Tarik Yildiz, Les Editions du Puits du Roulle, 57 p., 8 euros.
"Nous sommes dans une apocalypse molle et médiocre, une apocalypse moribonde et sans grandeur. Il ne nous reste qu’à vieillir, à compter nos sous et notre immobilier, et à espérer ne pas être euthanasiés tout en désirant rester le plus jeune possible le plus longtemps possible. En réalité, depuis que je suis adolescent, je n’ai vu qu’empirer l’Europe ou l’occident en général, mais dans une douce et grasse atmosphère, celle que justement déjà dénoncent Poe, Tocqueville, Flaubert et les grands écrivains russes et chrétiens du XIXème siècle. Bloy attendait les cosaques et le Saint-Esprit, nous aurons eu les oligarques et le feint-esprit."
extrait d'une interview à découvrir ICI
"Alors que le débat sur l'euthanasie a tendance à tourner autour de la question du droit de disposer de son propre corps et de sa propre vie, un intéressant éclairage vient d'être apporté par un médecin de famille et gérontologue néerlandais, Ester Bertholet, dans le quotidien chrétien Trouw.
Le « droit de disposer de soi-même » cache surtout le désir de la famille de voir mettre fin à la vie de leur proche, à un moment où la notion est volontiers mise en avant aux Pays-Bas pour justifier l'euthanasie sur des personnes devenues incapables d'exprimer leur propre volonté."
rendez-vous sur le blog de Jeanne Smits pour y découvrir la suite de cette note éclairante...
"Ce Fils de l’Homme, qui semble lointain, annonce qu’il est très proche. Il est déjà là parmi nous. Où chercher son visage? Comment le reconnaître? Dans les traits des grandes figures de ce monde, dans les expériences de puissance et de gloire? Le roi, au contraire, s’identifie à des gens qui ont faim, qui ont soif, qui sont étrangers, nus, malades, en prison. Le contraste est saisissant. Il se reconnaît lui-même dans le visage de personnes en détresse, en marge, en souffrance, ayant besoin d’être nourris, abreuvés, accueillis, vêtus, visités. Il les appelle même ses frères et sœurs. Il se place en communion avec ces petits, comme s’ils formaient son corps.
L'Eglise ne juge pas les personnes infectées par le sida. Elle cherche plutôt à être une compagne fidèle et devient ainsi en quelque sorte « affectée », par compassion.
C'est une des réflexions proposées par Mgr Alfred Kipkoech Arap Rotich au cours de l'émission de télévision « Là où Dieu pleure ». Dans cette interview (mise en ligne par ZENIT), Mgr Rotich évoque plusieurs aspects du problème du Sida au Kenya. Il parle des enfants « laissés pour compte » et explique pourquoi les Kenyans ont compris que le préservatif n'est pas la solution au Sida.
La Turquie frappe à la porte de l'Union Européenne mais donne à celle-ci de bonnes raisons de ne pas la lui ouvrir. Ainsi, l'arrestation et l'internement de journalistes laissent planer de sérieux doutes sur la liberté d'expression dans ce pays.
La volonté d'éradiquer les derniers vestiges de la chrétienté sur son territoire constitue un autre aspect inquiétant de la politique d'Ankara. Ainsi, le monastère Mar Gabriel est à présent menacé sous toutes sortes de prétextes. Ce vénérable monastère syrien-orthodoxe existe depuis seize siècles et abrite le métropolite de Tur Abdin, des moines, des moniales et plusieurs dizaines d'étudiants.
Le Saint-Père a reçu en audience samedi matin les maires italiens membres de l'ANCI (Associazione nazionale comuni italiani) et leur a notamment déclaré :
"Aujourd'hui la citoyenneté se situe précisément dans le contexte de la mondialisation, qui se caractérise, entre autres, par de grands flux migratoires. Face à cette réalité, comme je l'ai mentionné ci-dessus, il est nécessaire de savoir combiner la solidarité et le respect des lois, afin que la coexistence sociale ne soit pas bouleversée et qu'on prenne en compte les principes du droit et de la tradition culturelle et aussi religieuse dont tire son origine la nation italienne. Cette exigence est particulièrement ressentie par vous qui, comme administrateurs locaux, êtes les plus proches de la vie quotidienne des gens. On attend de vous un dévouement spécial au service public que vous offrez aux citoyens, pour être promoteurs de coopération, de solidarité et d'humanité. L'Histoire nous a laissé l'exemple de maires qui, par leur prestige et leur engagement ont marqué la vie de la communauté; vous avez justement rappelé la figure de Giorgio La Pira (1904-1977), chrétien exemplaire, et administrateur public estimé. Que cette tradition continue à porter ses fruits pour le bien du pays et de ses citoyens! Pour cela, je vous assure de mes prières et je vous exhorte, illustres amis, à faire confiance au Seigneur, parce que - comme dit le psaume - "si le Seigneur ne veille pas sur la ville, la sentinelle veille en vain» (127.1)."