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  • L'Église cherche à stopper la crise des vocations

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    Mais en prend-elle vraiment les moyens ? De Jean-Marie Guénois, sur le site du « Figaro » :

    « Confrontée à une chute des entrées dans les séminaires, elle lance une campagne appelant les jeunes au sacerdoce.

    Il y a une courbe que l'Église de France n'aime pas regarder. Elle est inquiétante pour son avenir: en douze ans, le nombre de candidats au sacerdoce a chuté de 29,2 %… Celui des entrées en premier cycle de séminaire de 31,7 %. Alors que, dans les années 1990, le nombre total de séminaristes en France dépassait la barre des mille candidats, ils sont seulement 691 en 2012. Les ordinations semblent se maintenir, mais pour combien de temps? L'acte d'ordination arrive au terme de sept années de formation au cours desquelles la moitié des candidats changent de voie. Il est donc à prévoir que le nombre d'ordinations - 94 en 2012 - subira, lui aussi, une érosion mécaniquement liée à cette baisse des entrées en séminaire.

    Ce sujet désagréable pour les évêques (même si des disparités étonnantes existent entre eux) est devenu à ce point crucial que la conférence épiscopale a refondu en 2012 l'organisation de La Pastorale des vocations. Elle engage désormais une nouvelle politique plus explicite d'«appel au sacerdoce». La campagne de publicité présentée vendredi à Paris en témoigne.

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  • En rire ou en pleurer ?

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    Bonjour,

    Merci de bien vouloir prendre connaissance du communiqué de presse de notre association ci-après (et pièce jointe) :

     

    Soutien à Sandrine Mazetier. Il faut renommer l' "école maternelle" !

     

    Notre association soutient l'initiative de la députée de Paris Sandrine Mazetier, qui a demandé au ministre de l'Education de remplacer "école maternelle" par une dénomination neutre.

     

    En effet, "école maternelle" traduit une conception de l'éducation qui en fait le domaine réservé des mères ou plus largement des femmes. Il s'agit d'une conception archaïque : dans leur apprentissage de la société et de la vie, les enfants des deux sexes ont besoin du contact et de l’exemple de personnes des deux sexes.

     

    Bien évidemment, ce changement de nom, n'ayant qu'une portée symbolique, ne saurait être qu'un point de départ. Il devrait être complété par deux politiques fortes : l'une de revalorisation du rôle des pères dans l'éducation, l'autre de recrutement de personnels masculins dans le corps enseignant, où les hommes sont désormais très minoritaires.

     

    Bonne journée.

     

    Patrick Guillot

     

    Groupe d'études sur les sexismes (GES)

  • L’Église de France se décomplexe

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    Dans "Valeurs Actuelles":

    Mgr%20Aillet%20-%203976.png"L’engagement des catholiques dans le débat sur le mariage homosexuel est un jalon important d’une évolution qui voit l’Église rompre progressivement avec une certaine timidité en matière politique.

    « Ce serait indigne de ne rien dire », déclarait à la veille de la “manif pour tous” le cardinal Barbarin au journal la Croix. Pour la plupart des catholiques, les interventions répétées depuis des mois de l’Église contre le projet de loi Taubira (lire notre article « L’Église dans l’arène » dans Valeurs actuelles du 17 janvier) ont semblé une chose absolument naturelle. Et pourtant… si l’on jette un regard sur les décennies passées, cet engagement massif n’avait rien d’évident. En 1974, lors des débats préparatoires au vote de la loi Veil légalisant l’avortement, c’est par un silence assourdissant que s’était signalée l’Église. En 1999, alors que plus de 100 000 Français descendent dans la rue contre le pacs, parmi lesquels beaucoup de catholiques, pas un seul évêque n’est présent ; la Conférence des évêques de France s’était contentée, quelques mois plus tôt, de faire connaître sa position par un communiqué, d’ailleurs assez ferme, contre « une loi inutile et dangereuse ».

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  • Ni optimisme, ni pessimisme, mais la confiance

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    2013-02-09 L’Osservatore Romano

    « L’arbre de l’Eglise n’est pas un arbre mourant, mais l’arbre qui croît toujours à nouveau ». C’est un message d'espérance que le Pape a laissé aux éducateurs et aux élèves du grand séminaire pontifical romain, où il s’est rendu en visite dans l’après-midi du vendredi 8 février, à l’occasion de la fête de la Vierge de la confiance. « En tant que chrétiens nous avons un avenir: l’avenir nous appartient, l’avenir appartient à Dieu » a t-il dit en mettant en garde contre le risque de céder au « faux pessimisme qui dit: le temps du christianisme est fini », ou de s’abandonner à un « faux optimisme » selon lequel « tout va bien ». En réalité  – a t-il admit – « il y a aussi des chutes graves, dangereuses, et nous devons reconnaître avec un sain réalisme qu’ainsi cela ne va pas. Mais aussi être sûrs que si ici et là l’Eglise meurt à cause des péchés des hommes, à cause de leur non croyance, dans le même temps elle naît à nouveau ». Parce que « l’avenir appartient réellement à Dieu: telle est la grande certitude de notre vie, le grand, véritable optimisme »

    Dans la lectio divina qui s’est déroulée dans la chapelle principale du séminaire le Pontife, commentant les versets 3-5 de la première Lettre de saint Pierre, a rappelé la figure du pécheur de Galilée. Décrit comme « l’homme qui a péché, qui est tombé », mais aussi comme « l’homme qui a trouvé Jésus » et est devenu « le messager de son amour » à travers sa mission de « premier apôtre » et « vicaire du Christ ». Précisément dans ce rôle il ne parle pas comme « individu » mais comme « homme d’Eglise ». « Et donc il porte en lui réellement les eaux de la foi, de toute l’Eglise », dans laquelle les « divers charismes » et les « divers tempéraments » s’unissent dans la « foi commune ».

    En rappelant ensuite le passage de Pierre de Jérusalem à Rome – où il serait allé à l’encontre de la crucifixion –  Benoît XVI a souligné le caractère central de l’ « aspect de martyre du christianisme, qui peut prendre des formes très différentes ». et à ce propos il a fait référence au drame des chrétiens persécutés aujourd’hui encore dans de nombreuses parties du monde. Comme pour souligner le fait que celui qui vit à la suite de Jésus fait en permanence l’expérience du « paradoxe de la gloire et de la croix ». Parce que – a-t-il expliqué en répétant les paroles du texte pétrinien – « nous sommes élus » mais aussi « dispersés et étrangers ». Et cette dimension « appartient à notre vie: c’est le moyen d'être avec le Christ crucifié ».

  • Les chrétiens sont les plus persécutés parce qu'ils sont les moins conformes

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    Benoît XVI aux séminaristes : les chrétiens sont « les plus persécutés » parce que les moins « conformes »


    2013-02-09 Radio Vatican 
    Comme chaque année à l’occasion de la fête de Notre Dame de la confiance, la Patronne du Grand Séminaire de Rome, le Pape est allé à la rencontre ce vendredi soir des séminaristes étudiant à Rome dont il est l’évêque.
    Devant 190 étudiants des cinq séminaires de Rome réunis au palais du Latran, le Pape âgé de 85 ans a affirmé dans un discours improvisé de trente minutes sans note ou aucun support, que « malgré les chutes graves, dangereuses », l'arbre de l'Eglise n'est pas mourant, car « l’Eglise est l’arbre de Dieu qui vit pour toujours et porte en lui l’éternité ».
    « Si ici ou là, l’Eglise meurt à cause des péchés des hommes, à cause de leur manque de foi, dans le même temps, elle nait à nouveau. Le futur est réellement Dieu, telle est la grande certitude de notre vie, le grand le vrai optimisme que nous connaissons », a affirmé Benoît XVI. Contre un faux pessimisme qui annonce « que le christianisme a fait son temps, eh bien non, il commence à nouveau », a dit le Pape qui a exhorté vendredi les séminaristes a un « sain réalisme ».
    En occident, « tout en étant chez eux », les chrétiens « vivent comme des étrangers »
    Le Pape n’a pas ignoré les persécutions dont les chrétiens font l’objet. Ils forment « le peuple le plus persécuté, a-t-il dit, parce qu'ils sont non-conformes, contre les tendances de l'égoïsme et du matérialisme ». Bien qu’ayant contribué à la formation de la culture occidentale, les chrétiens « tout en étant chez eux » vivent depuis toujours en minorité comme des étrangers. 
    « Prions pour que le Seigneur nous aide à accepter cette mission de vivre dispersés, comme des minorités dans un certain sens, et de vivre comment des étrangers en étant malgré tout responsables pour les autres, donnant la force du bien à notre monde.
    « Nous devons être joyeux, car Dieu nous a donné cette grâce, cette beauté de connaître pleinement la vérité de Dieu, la joie de son amour ». C’est un don. Etre « élu » signifie « privilège et humilité », en aucun cas « triomphalisme ». Citant longuement la première lettre de Pierre, le Pape a enfin rappelé aux séminaristes que « personne ne peut être chrétien sans suivre le Crucifix, sans accepter aussi le martyr ».
  • Une réflexion sur l'hospitalité monastique accordée à Michelle Martin

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    Dans la revue "Vies consacrées" (janvier-février 2013, pp. 33-47), le Père Xavier Dijon s.J. consacre un article à une réflexion intitulée "Michelle Martin au monastère de Malonne; « l’abîme appelle l’abîme »

    A la fin du mois d’août 2012, après avoir purgé 16 ans de prison, Mme Michelle Martin a été accueillie comme hôte par les sœurs clarisses du couvent de Malonne (Namur). Est-il possible de découvrir une logique dans cette étrange hospitalité, apparemment provoquée par les nécessités de la vie ? Pour trouver cette convenance, nous évoquons d’abord le combat spirituel mené partout entre le bien et le mal, analysant ensuite les pratiques du droit pénal puis les théories sur lesquelles ce droit s’appuie en vue de combattre le mal présent dans la société, montrant enfin, par l’appel à un lien social plus profond, la pertinence de l’hébergement accordé par les religieuses à la femme reconnue coupable de grands crimes.

  • De graves propos au sujet de Vatican II

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    C'est Sandro Magister qui les partage sur Chiesa.Espresso :

    L'impossible "road map" de la paix avec les lefebvristes

    Un représentant de pointe du camp traditionaliste dicte les conditions nécessaires pour mettre fin au schisme. Il y en a quatre, mais trois d'entre elles paraissent impossibles à réaliser. Les critiques que le père Divo Barsotti adressait au concile Vatican II 

    par Sandro Magister

    ROME, le 9 février 2013 – Dans son nouveau livre, qui est sous presse ces jours-ci, le professeur Enrico Maria Radaelli – philosophe, théologien et disciple préféré de l’un des plus grands penseurs catholiques traditionalistes du XXe siècle, le Suisse Romano Amerio (1905-1997) – cite trois passages des carnets inédits du père Divo Barsotti (1914-2006).

    Dans les passages en question, ce mystique et maître spirituel génial et estimé – qui fut appelé, en 1971, à prêcher les exercices de Carême devant le pape et la curie romaine – exprimait de fortes critiques contre le concile Vatican II.

    Le père Barsotti écrivait ceci :

    "Je suis perplexe en ce qui concerne le concile : la pléthore de documents, leur longueur, souvent leur langage, me font peur. Ce sont des documents qui témoignent d’une sûreté tout humaine plutôt que d’une fermeté simple de la foi. Mais ce qui m’indigne surtout, c’est le comportement des théologiens".

    "Le concile et l'exercice suprême du magistère ne sont justifiés que par une nécessité suprême. La gravité impressionnante de la situation actuelle de l’Église ne pourrait-elle pas découler justement du fait que l’on a voulu, avec légèreté, provoquer et tenter le Seigneur ? Peut-être a-t-on voulu contraindre Dieu à parler alors que cette nécessité suprême n’existait pas ? Peut-être en est-il ainsi ? Pour justifier un concile qui a voulu rénover toutes choses, il fallait affirmer que tout allait mal, ce qui est fait sans cesse sinon par les évêques, en tout cas par les théologiens".

    "Rien ne me paraît plus grave, contre la sainteté de Dieu, que la présomption des clercs qui croient, avec un orgueil qui est seulement diabolique, qu’ils peuvent manipuler la vérité, qui veulent renouveler l’Église et sauver le monde sans se renouveler eux-mêmes. Dans toute l’histoire de l’Église il n’y a rien de comparable au dernier concile, dans lequel l'épiscopat catholique a cru pouvoir renouveler toutes choses en n’obéissant qu’à son orgueil, sans s’efforcer à la sainteté, en une opposition si patente à la loi de l’évangile qui nous impose de croire que l'humanité du Christ a été l’instrument de la toute-puissance de l'amour qui sauve, dans sa mort".

    Il y a, dans ces affirmations du père Barsotti, deux éléments qui sont impressionnants.

    Tout d’abord, ces critiques proviennent d’un homme à la vision théologale profonde, ayant une réputation de sainteté, très obéissant envers l’Église.

    Et, en second lieu, les critiques ne s’adressent pas aux déviations de l’après-concile, mais au concile en soi.

    Ces deux impressions, on les ressent aussi à la lecture du nouveau livre de Radaelli, intitulé : "Il domani - terribile o radioso ? - del dogma" ["Les lendemains - terribles ou radieux ? - du dogme"].

    Lire la suite sur le site de S. Magister

  • Pour nos amis français : "allez go, go, go!"

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    La pétition auprès du CESE et les signatures pour lutter contre cette foutue loi, c'est maintenant ! C'est possible, ça afflue et ça doit affluer encore ! Le moment n'est pas aux ronchonnements, aux questions de pertinence stratégique, de calculs et de conjectures. Que les dépressifs systémiques nous les lâchent, et que les « ça-ne-marchera-jamais » prennent leur carte à gauche, au moins ils enquiquineront les autres. Pour l'heure et pour les autres, nous devons y aller, aller chercher une par une ces signatures. L'internet, c'est fait. Et, comme nous n'aurons pas dix minutes au 20 heures pour expliquer la démarche à nos concitoyens, c'est donc à « la mano » qu'il faut aller les chercher.

    Comme cette mère de famille qui a fait signer son boucher, lequel a demandé un paquet de feuilles car, dit-il, « je connais des clientes qui devraient être d'accord »... et voilà quinze pétitions supplémentaires postées ! Il y a aussi cette vielle dame qui s'est coltinée les résidents de sa maison de retraite. Allez zou ! Trente signatures. Là au moins, ils étaient tous majeurs ! La subsidiarité, c'est aussi ça, chacun dans son domaine de compétences et de relation.

    Au-delà des signatures et du nombre de pétitions que nous devons impérativement avoir, c'est la redécouverte de l'action de proximité, du militantisme « de paroisse », de la certitude que je change le monde quand, ici et maintenant, je fais ce que je dois faire ; c'est ça l'action chrétienne, et si la rue appartient à celui qui y descend, alors elle doit être à nous.

    Allez mes bons amis, vous n'avez pas épuisé toutes les possibilités autour de vous, il y a encore des « pétitionneurs » à dénicher ! Non, nous ne militons pas quand nous nous scandalisons devant les déclarations des uns et des autres, nos états d'âme devant l'écran d'ordi ou de télé ne changent rien. Les blogs et les forums Internet, bravo à eux, font un remarquable travail de suivi et d'information en temps réel, L'Homme Nouveau, un vrai travail de réflexion et d'analyse. Donc voilà votre ordonnance : deux à trois fois par jour les blogs et forums de réinformation, et deux fois par mois L'Homme Nouveau. Et entre-temps, la rue, le militantisme, les pétitions,… Bref… « l'action directe ». Allons les amis ! J'vous laisse, j'ai des pétitions à aller chercher.

    Télécharger et signer la pétition CESE à adresser à la Manif Pour Tous, 15 rue Pottier – 78150 LE CHESNAY avant le 12 février.

  • Belgicatho est au repos

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    Nos interventions sur ce blog seront plus occasionnelles durant les prochaines semaines. D'autres urgences nous requièrent et nous devons renoncer à poursuivre notre activité au même rythme. Cela coïncide avec la période du carême et cela tombe finalement assez bien. Un "jeûne informatique" ne peut pas faire de tort et peut contribuer à se recentrer sur l'essentiel. La vraie vie est étrangère à cet emballement quotidien où l'on voudrait croire qu'une présence, à tout moment et sur tous les créneaux de l'information virtuelle, est capitale. Cette illusion peut nous conduire à déserter l'univers quotidien concret où nous vivons notre relation avec des êtres de chair et de sang et où nous avons à intervenir de façon réelle et incarnée. Ce moment de répit sera aussi l'occasion de mesurer les résultats et de réfléchir sur la "productivité" de l'immense emballement des derniers jours, sur internet et sur tweeter, au sujet de la discussion sur le "mariage pour tous" à l'assemblée nationale française. Nous reprendrons une cadence régulière, sans être pour autant aussi soutenue que précédemment, dans quelques mois, mais nous sommes disposés à "relayer" les informations et les contributions qui nous seront communiquées par nos amis et sympathisants. Nous vous souhaitons d'ores et déjà un bon cheminement vers Pâques.

  • Belle prière à Jésus Crucifié

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    Lue sur le « Forum Catholique » :

    imagesCA7FLXRS.jpg « Prière à Notre Seigneur Jésus-Christ pour obtenir la guérison intérieure  selon le Père Gabriel Amorth

    Seigneur Jésus-Christ qui êtes venu guérir les cœurs blessés et éprouvés, je Vous prie de guérir tous les traumatismes qui ont pu troubler le mien. Je Vous prie, en particulier, de guérir ceux qui sont cause de péché. Je Vous demande d'entrer dans ma vie, de me guérir des traumatismes psychiques qui ont pu blesser ma petite enfance, et des blessures qu'ils ont provoquées tout au long de ma vie.

    Seigneur Jésus, Vous savez mes difficultés. Je les dépose toutes dans Votre Cœur de Bon Pasteur.

    Je Vous prie, par la grande plaie ouverte dans Votre Cœur, de guérir les petites blessures qui sont dans le mien.

    Seigneur Jésus-Christ, guérissez les blessures de mes souvenirs afin que rien de ce qui m'est arrivé ne me laisse dans la douleur, dans l'angoisse, ni en préoccupation.

    Seigneur Jésus-Christ, guérissez toutes les blessures qui, dans ma vie, ont été cause ou racine du péché. Je veux pardonner à tous ceux qui m'ont offensé ; regardez ces blessures intérieures qui m'empêchent de pardonner. Vous qui êtes venu guérir les cœurs affligés, guérissez mon cœur. Accordez-moi la guérison des douleurs qui m'oppressent au souvenir de la mort des personnes qui m'étaient chères. Faites que je puisse retrouver la paix et la joie dans la certitude que Vous êtes la Résurrection et la Vie. Faites de moi un témoin authentique de Votre Résurrection, de Votre victoire sur le péché et sur la mort, et de Votre présence vivante au milieu de nous.

    Amen » ( ill. Retable l'Issenheim, détail)

    Ici: Une belle prière qu'on m'a transmise

  • Les derniers films sortis sur les écrans (8.2.2012)

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    Sur le site tout neuf de l'Ecran :

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    Arrêtez-moi (libre accès)
    Arrête-moi tu le peux. L'intrigue saisit d'emblée : pourquoi cette femme avoue-t-elle le meurtre de son mari alors que l’enquête l’avait innocentée ? C’était il y a dix ans. Est-ce le remords ? Devant elle, la policière refuse...