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  • Et durant l'éclipse pontificale ?

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    Sur Zenit.org : Vacance du Siège apostolique: une période de prière intense (Anita Bourdin)

    Rien ne se substitue à l'autorité du pape pendant "l'intérim"

    La période de « Sede vacante », de la « vacance » du Siège apostolique commencera jeudi prochain, 28 février 2013, à 20 h, et s’achèvera avec l’acceptation de son élection par le pontife romain élu par le conclave avec les deux tiers des suffrages.

    Habituellement, cette période commence avec le décès d’un pape, mais pour la première fois à l’époque moderne, elle commencera avec la date fixée par Benoît XVI lui-même pour la fin de son pontificat, une renonciation à sa charge « faite librement » et « dûment manifestée», devant les cardinaux le 11 février dernier, selon les exigences du Droit canon (canon 332, § 2).

    Vacance du Siège apostolique

    Dès le premier jour de la « vacance », vendredi 1er mars, le cardinal doyen du collège cardinalice, le cardinal Angelo Sodano, convoquera à Rome les cardinaux du monde entier, certes par la poste, mais aussi par les moyens plus rapides, comme le fax, a précisé le porte-parole du Saint-Siège, le P. Federico Lombardi, lors d’une rencontre avec la presse ce mardi 26 février au Vatican. Le 2 et le 3 mars étant un samedi et un dimanche, la convocation pourrait bien être pour le lundi 4 mars.

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  • Un hors-série historique de l'Homme Nouveau

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    L'Homme Nouveau consacre un numéro spécial à la transition pontificale (cliquer sur l'image) :

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  • Non, Pie XII n'était pas muet

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    Dans son Message de Noël 1942, Pie XII évoque les "centaines de milliers de personnes, qui, sans aucune faute de leur part, et parfois pour le seul fait de leur nationalité ou de leur race, ont été vouées à la mort ou à une extermination progressive. »

    Il répète presque mot pour mot  ce qu'il a dit dans son message de Noël, le 2 juin 1943 devant le Sacré Collège: "Notre coeur répond avec une sollicitude toute prévenante et émue aux prières de ceux qui tournent vers Nous un regard d'anxieuse imploration, tourmentés comme ils le sont, à cause de leur nationalité ou de leur race, par des malheurs plus grands, par des douleurs plus pénétrantes et plus lourdes, et livrés, même sans faute de leur part, à des mesures d'extermination."

  • Trop conservatrice, La Vie ?

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    C'est en tout cas l'avis de Pierre Bergé qui a décidé d'y mettre bon ordre (source OJIM) :

    "Le Monde" : encadrer la liberté éditoriale de La Vie

    Selon la Lettre de l'Expansion, Pierre Bergé, le président du Conseil de Surveillance du Groupe "Le Monde" "s'est inquiété du traitement conservateur du Directeur de la rédaction de "La Vie" (qui appartient au groupe "Le Monde", ndlr), Jean-Pierre Denis" concernant le projet de loi du Mariage pour Tous. Une « préoccupation » paraît-il « partagée par la rédaction ». «Outre le recrutement d’un adjoint plus progressiste, le groupe veut mettre en place un dispositif pour mieux encadrer la ligne éditoriale», indique La Lettre de L’Expansion. Jérôme Anciberro, l’ancien rédacteur en chef de Témoignage chrétien, devrait devenir rédacteur en chef de La Vie.

  • Benoît XVI sera "pape émérite"

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    BENOIT XVI SERA PAPE EMERITE

    Cité du Vatican, 26 février 2013 (VIS). En début d'après-midi, le Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège a informé les journalistes que le Saint-Père sera Pape émérite, qu'il sera appelé Sa Sainteté Benoît XVI, qu'il conservera la soutane blanche sans mantelette.

    Pour l'ultime audience générale, on a déjà distribué 50.000 billets d'accès Place St.Pierre, même si l'affluence sera certainement majeure. Mis à part le parcours en papamobile, qui sera plus ample, l'audience se déroulera comme d'habitude. Les présentations individuelles finales seront remplacées par la réception qui se tiendra après l'audience au palais pour saluer les autorités présentes à Rome, tels le Président slovaque ou le Ministre Président de Bavière.

    Le 28, dernier jour du pontificat, le Pape saluera comme prévu tous les Cardinaux présents à Rome puis, à 16 h 55' dans la Cour St.Damase il recevra les honneurs d'un piquet de la Garde suisse et sera salué par le Secrétaire d'Etat et ses collaborateurs. Il sera ensuite salué par le Cardinal Doyen à l'héliport. A l'arrivée à Castelgandolfo, à 17 h 15', il sera salué par le Cardinal Président et le Secrétaire général du Governorat, l'Evêque d'Albano et de Directeur du domaine pontifical. Ensuite, il se présentera au balcon extérieur du palais pour saluer la foule. A 20 h débutera la vacance du siège apostolique et la Garde suisse se retirera car elle doit passer au service du Sacré Collège. La sécurité du Pape émérite sera assurée par la Gendarmerie vaticane.

    Le P.Lombardi a également précisé qu'il n'utiliserait plus l'anneau du pêcheur et la matrice des bulles à son nom.

    Le 1 mars, le Doyen adressera la lettre de convocation aux Cardinaux, de manière que les congrégations générales puissent en principe démarrer la semaine prochaine. Elles se tiendront dans la Salle du Synode, tandis que les Cardinaux électeurs devront résider à la maison Ste.Marthe voisine dès la veille de l'entrée en conclave. Les logements seront attribués par tirage au sort.

    Et si vous voulez savoir ce qui se passera durant la vacance du siège pontifical : http://www.news.va/fr/news/que-se-passe-t-il-durant-la-sede-vacante

  • Impressions dans un de ces lieux terribles de la modernité

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    Un panneau indique, comme dans une gare, l’horaire des cérémonies « d’adieu » (mais il n’y a plus de Dieu qui tienne). L’atmosphère est aseptisée, baignée par une musique d’ambiance « soft ». Les salles se suivent et se ressemblent, disposées autour d’un espace central vert et vide. Un personnel constipé, en habit strict, vous accueille dans une ambiance feutrée. C’est dans une de ces salles sans âme que nous dirons un dernier adieu à notre ami. Devant un parterre de têtes chenues, des familiers se succèdent pour débiter des hommages convenus. Après une demi-heure, les préposés ouvrent les portes du fond pour y emmener seule la bière qui se dérobe à nos yeux et sera incinérée à l’abri des regards. Rendez-vous est fixé, deux heures plus tard pour la dispersion des cendres. Heureusement, le Centre dispose d’une buvette pour y tuer le temps "en attendant"… Temps mort, ô combien !

    Rien n’évoque en ces lieux vides une quelconque destinée ultérieure. Après des dizaines de milliers d’années où l’homme depuis l’âge des cavernes jusqu’il y a peu s’est adonné à des rites funéraires attestant sa croyance dans un au-delà, l’homme moderne a renoncé à toute espérance. Sa trace se termine ici et s’efface à tout jamais. Exit le sacré; ni symbole, ni rite, il n’y a plus aucun mythe qui tienne.

    La mort de Dieu semble avoir signé à tout jamais celle de l’homme.

  • Une fiche didactique sur la déclaration anticipée en fin de vie

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    L'Institut Européen de Bioéthique continue à faire de l'excellent travail :

    Nouvelle fiche didactique! Déclaration anticipée en fin de vie :  ICI

    La Déclaration anticipée en fin de vie, aussi appelée par certains, testament de vie,  est le document dans lequel la personne exprime par écrit son souhait d’être euthanasiée selon les conditions de la loi si elle n’était plus en mesure d’exprimer sa volonté du fait d’une situation de coma prolongé. Nous n’aborderons pas dans cette fiche didactique cet autre document que sont les directives anticipées relatives au refus de traitements, qui, elles, relèvent de la loi sur les droits du patient du 22 août 2002.

    QUE DIT LE DROIT ? - APPRÉCIATION CRITIQUE

    Expression d'un choix concernant une situation future incertaine - Difficultés d'interprétation et risque de conflits pour l’entourage et les soignants - Volonté du patient vs Serment d'Hippocrate - Extension à la démence : quelles limites ? - Principe d'autonomie : un leurre ?

  • Quand médisances, calomnies et médiocrité s'invitent à "C dans l'air" (corrigé)

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    Peut-être avez-vous regardé l’émission « C dans l’air » de lundi consacrée aux « Dossiers secrets du Vatican ». Une vraie caricature du genre avec des reportages constitués par de troubles images auxquelles on peut faire dire n’importe quoi et des allégations assénées et répétées inlassablement, aussi gratuites qu’invérifiables. Les personnalités invitées se sont surpassées : l’inévitable Terras déchaîné et véritablement hystérique, l’oracle obligé - Odon Vallet – débitant ses jugements approximatifs avec une condescendance ridicule, Isabelle de Gaulmyn avec très peu de consistance. Seul Jean-François Colosimo tranchait dans ce chorus par sa pondération et son souci d’objectivité.

    A regarder une telle émission, on peut se demander comment l’Eglise pourrait survivre à tant de malversations et de vices en tout genre dont le malheureux pape sortant illustrerait l’impuissance à remédier. On doit également en conclure à la débilité de tous ces catholiques, tels ceux qui se sont pressés place Saint-Pierre dimanche dernier, qui s’obstinent dans leur attachement à l’Eglise. Et tout cela à partir d’un mystérieux dossier remis au pape par les cardinaux chargés de l’enquête sur Vatileaks et que Benoît XVI a choisi de garder secret pour le remettre à son successeur. Les illustres augures rassemblés sur le plateau étaient-ils censés en connaître le contenu ? Dans la négative, tout cet échange basé sur des supputations fumeuses et malodorantes se révèle sans fondement et trahit la malveillance d’un certain monde médiatique d’autant plus agressif qu’on le sentait frustré de n’avoir pas accès au véritable contenu de documents gardés secrets, sans doute pour de bonnes raisons.

    Pourquoi ces vertueux faiseurs d’opinion feignent-ils l’étonnement et l’indignation lorsqu’ils semblent découvrir qu’il y a de l’hommerie dans l’Eglise ? Ne savons-nous pas, depuis la trahison de Judas et le reniement de Pierre, que, même dans l’entourage le plus proche du Christ, le mal est tapi. Doit-on en conclure pour autant que le Christ, à cause de tout cela, n’a pas pu accomplir sa mission ? Et, bien sûr, nous aspirons, nous aussi, à une conversion de l’Eglise, dans sa tête et dans ses membres, à commencer par celle de chacun d’entre nous, pour qu’elle puisse rendre témoignage, en toute transparence et cohérence, de Celui qui nous aime et qui nous sauve.

  • La seule cohérence qui tienne

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    Homélie du jour par le Père Joseph-Marie Verlinde - Homélies.fr

    Homélie (Archive 2007)

    Les premières paroles de l’extrait du prophète Isaïe que nous avons entendu en première lecture résonnent comme un coup de clairon : « Ecoutez la Parole du Seigneur ! » Et à qui s’adresse cette injonction ? A ceux « qui ressemblent aux chefs de Sodome », c’est-à-dire à ceux qui font le mal sans scrupule, qui prétendent avoir dépassé l’opposition entre le bien et le mal, qui se vantent d’avoir instauré enfin un relativisme moral libérateur. Le Seigneur ne se répand cependant pas contre eux dans un flot d’invectives ou d’accusations : il se contente de les interpeller vigoureusement : « Ecoutez la Parole du Seigneur », c’est-à-dire reconnaissez l’altérité divine et prêtez l’oreille à ses propos.

    Pour convertir les pécheurs, Dieu commence par leur manifester sa paternité en les convoquant autour de sa Parole. Certes, il propose un enseignement, mais il ne nous impose pas un monologue moralisateur : « Venez donc et discutons, dit le Seigneur ». Le père est celui qui ouvre le dialogue : il parle et donne la parole, et c’est dans cet échange de paroles qu’il veut nous faire découvrir à la fois la vérité et notre responsabilité personnelle devant elle.

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  • Le langage de Vatican II

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    Les actes de ce concile ne sont pas toujours marqués par la limpidité et la rigueur d’expression d’un bon texte juridique, si bien qu’ils dissimulent quelquefois des conclusions pratiques diamétralement opposées au principe d’abord énoncé. Pour s’en tenir à la constitution sur la liturgie par exemple, le « Forum Catholique » nous livre cette petite démonstration :

     « La langue liturgique

    « 1. L’usage de la langue latine, sauf droit particulier, sera conservé dans les rites latins

    La règle est l'usage de langue latine ; cette règle doit être conservée sauf cas particulier.

    «  2. Toutefois, soit dans la messe, soit dans l’administration des sacrements, soit dans les autres parties de la liturgie, l’emploi de la langue du pays peut être souvent très utile pour le peuple ; on pourra donc lui accorder une plus large place, surtout dans les lectures et les monitions, dans un certain nombre de prières et de chants, conformément aux normes qui sont établies sur cette matière dans les chapitres suivants, pour chaque cas.

    Ce qui est au 1 un cas particulier devient au 2 quelque chose de très souvent utile

     «  3. Ces normes étant observées, il revient à l’autorité ecclésiastique qui a compétence sur le territoire, mentionnée à l’article 22 (même, le cas échéant, après avoir délibéré avec les évêques des régions limitrophes de même langue), de statuer si on emploie la langue du pays et de quelle façon, en faisant agréer, c’est-à-dire ratifier, ses actes par le Siège apostolique.

    Comme c'est très souvent utile il est logique de l'étendre au maximum, c'est ce qu'ont fait les évêques.

    Le cas particulier du 1 devient la règle, la règle devient cas particulier ».

    réf.ici:  A ses risques et périls

    On pourrait recommencer la démonstration avec le chant grégorien dont la constitution affirme à l’article 116 qu’il doit occuper la « première place » dans les actions liturgiques, mais s’empresse d’ajouter  « toutes choses égales d’ailleurs », en précisant : les autres genres de musique sacrée, mais surtout la polyphonie, ne sont nullement exclus de la célébration des offices divins et, pour l’emploi de ces « autres genres », renvoie à l’article 30  lequel stipule que pour « promouvoir la participation active », on favorisera ainsi les acclamations du peuple, les réponses, le chant des psaumes, les antiennes, les cantiques et aussi les actions ou gestes et les attitudes corporelles…). Si les répons, les psaumes, les antiennes et les acclamations sont  concernés de la sorte, que reste-t-il encore au chant grégorien finalement ? Voilà pourquoi votre fille est muette, aurait conclu Molière...

    JPS

  • Le Saint Suaire et la nouvelle évangélisation

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    Un Congrès à l'Université pontificale Regina Apostolorum

    (Zenit.org Traduction d'Océane Le Gall

    « Nous voulons voir Jésus » (Jn 12,21) : cette parole de l’Evangile qui résonne encore aujourd’hui dans l’âme de chaque chrétien, est celle qui a inspiré les organisateurs du congrès « Saint Suaire et Nouvelle évangélisation », qui aura lieu les 1er et 2 mars prochains à l’Université pontificale Regina Apostolorum de Rome, dans le cadre de l’Année de la foi.

    Ce congrès s’articulera en deux séances, « Saint Suaire et Kérygme » (1er mars) et « Saint Suaire et communication » (2 mars), animées par des grands spécialistes du Linceul de Turin comme le P. Gianfranco Berbenni, le médecin légiste Pierluigi Baima Bollone, Mgr Giuseppe Ghiberti, assistant du Gardien du Linceul, le prof. Bruno Barberis, directeur du centre international de Turin sur le Saint-Suaire.

    Au cours du programme, très dense, dont la teneur sera connue dans les prochains jours, sont également prévus des moments de réflexion, un concert, et la lecture publique d’extraits de Jean-Paul II sur le Suaire, par l’acteur italien Michele Placido.

    Le congrès est une initiative conjointe de l’université pontificale Regina Apostolorum, de l’Institut de Sciences et foi et de l’équipe de recherche d’études supérieures Othonia sur le saint Suaire.

    Placé sous l’égide des conseils pontificaux de la culture et pour la promotion de la nouvelle évangélisation et du Bureau des communications sociales de la conférence épiscopale italienne, il a également le soutien de l’Institut Veritatis Splendor de Bologne, de la Fondation Dignitatis Humanae, du quotidien italien Avvenire et de Radio Vatican.


  • Un hommage du pape au cardinal Ries

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    Belgique: hommage de Benoît XVI au défunt cardinal Ries

    Le pape salue son « esprit de dialogue »

    Rome, 25 février 2013 (Zenit.orgAnita Bourdin

    Le pape Benoît XVI rend hommage au cardinal Ries, dans un télégramme de condoléances adressé à l’évêque de Tournai, Mgr Guy Harpigny, et salue son « esprit de dialogue ». Le cardinal Julien Ries est décédé, samedi dernier, 23 février 2013, à l'âge de 93 ans, des suites d’une longue maladie. Il avait été « créé » cardinal par Benoît XVI le 18 février 2012 pour son « œuvre théologique » (cf. Zenit di 11 janvier 2012).

    Ses obsèques pourraient avoir lieu samedi, 2 mars 2013, à la cathédrale de Tournai.

    « Apprenant avec émotion le décès du cardinal Julien Ries, je vous adresse mes vives condoléances ainsi qu’à sa famille et à ses proches. Que le Seigneur accueille dans la lumière de la vie éternelle cet éminent homme de foi qui a fidèlement servi l’Eglise », écrit Benoît XVI.

    Le pape rend hommage à ses travaux sur les différentes religions : « Par l’enseignement et la recherche, particulièrement dans le domaine de l’histoire des religions, dont il était un spécialiste reconnu : il a toujours eu le souci de témoigner de sa foi parmi ses contemporains, dans un esprit de dialogue. »

    « En gage de réconfort, je vous adresse une particulière bénédiction apostolique, ainsi qu’à la famille du cardinal défunt, à ses proches, aux religieuses de la « Famille de l’œuvre » qui l’ont entouré, et à toutes les personnes qui prendront part à la célébration des obsèques ».

    Professeur émérite de l’Université catholique de Louvain (1960-1990), il était connu internationalement pour ses travaux d’histoire des religions, ses œuvres complètes ont été publiées récemment.

    Docteur honoris causa de l’université catholique de Milan (Italie), il a été créé Prélat d’honneur de Sa Sainteté, par le Pape Benoît XVI, en septembre 2010.