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  • 11-17 août : retraite de lectio divina consacrée à l'Apocalypse

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  • 16 juillet : Notre Dame du Mont Carmel

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    Notre-Dame du Mont Carmel


    1. Ave Maris Stella, Dei Mater alma, 
    Atque semper virgo, felix coeli porta.

    Salut, étoile des mers, Auguste Mère de Dieu, salut, 
    ô toujours Vierge, heureuse porte du Ciel.

     
            
    2. Sumens illud Ave Gabrielis ore, 
    Funda nos in pace, mutans Evae nomen.

    Vous qui avez agréé le salut de Gabriel, 
    daignez en changeant le nom d'Ève nous donner l'Ave de la paix.

          
     

    3. Solve, vincla reis, profer lumen caecis, 
    Mala nostra pelle, bona cuncta posce.

    Délivrez les captifs, éclairez les aveugles, 
    chassez loin tous nos maux, demandez pour nous tous les biens.

     

     

    4. Monstra te esse matrem. Sumat per te preces. 
    Qui pro nobis natus tulit esse tuus.

    Montrez que vous êtes notre Mère, et que par vous reçoive nos prières 
    Celui qui, né pour nous, a bien voulu être votre Fils.

     
     

    5. Virgo singularis, inter omnes mitis, 
    Nos culpis solutos, mites fac et castos.

    O Vierge incomparable, douce entre toutes, obtenez-nous, 
    avec le pardon de nos fautes, la douceur et la chasteté.

     
     

    6. Vitam praesta puram iter para tutum, 
    Ut videntes Iesum, semper collaetemur.

    Obtenez-nous une vie pure. Écartez le danger de notre chemin, 
    afin qu'admis à contempler Jésus, nous goûtions l'éternelle joie.


     

    7. Sit laus Deo Patri, summo Christo decus. 
    Spiritui Sancto, tribus honor unus. Amen.

    Louange à Dieu le Père ! Gloire au Christ souverain ! 
    Louange au Saint-Esprit ! Aux trois, un seul et même hommage. Amen.

  • Irlande : quand une ministre irlandaise refuse de voter une loi autorisant l'avortement

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    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    Une ministre irlandaise préfère perdre son poste que de voter l'avortement

    Elle s'appelle Lucinda Creighton, elle a 33 ans, elle est irlandaise, elle est ministre et étoile montante de son parti, le Fine Gael. Ou plutôt, elle l'était. Car elle a préféré démissionner plutôt que de voter, comme l'y obligeait son statut de ministre aux Affaires européennnes, pour la loi sur l'avortement défendue par le gouvernement auquel elle participe.

    Cela s'est passé jeudi soir : les membres du Dail en étaient à l'amendement 56 rendant l'avortement légal pour les femmes enceintes menaçant de se suicider en cas de poursuite de la grossesse.

    Lucinda Creighton, membre du Fine Gael depuis ses 18 ans, savait exactement ce qu'elle avait à faire et et elle en avait mesuré les conséquences. En votant contre l'avortement soutenu par le gouvernement auquel elle participe, elle savait qu'elle serait automatiquement exclue et qu'elle n'aurait plus qu'à démissionner du poste ministériel qu'elle occupait depuis plus de deux ans?

    Souriante et calme, elle s'est jointe au 23 autres élus qui ont osé voter contre (130 élus ont voté pour), après avoir expliqué longuement et posément qu'elle n'était pas une militante pro-vie, mais qu'elle était absolument opposée à l'adoption d'une loi que le parti s'était solennellement engagé à ne pas adopter au cours de sa campagne électorale.

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  • 15 juillet : saint Bonaventure, un grand docteur de l'Eglise

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    pordenone-saint-bonaventure-NG4038-fm.jpgLe 3 mars 2010, le pape Benoît XVI a consacré sa catéchèse à cette grande figure franciscaine :

    Chers frères et sœurs,

    Aujourd'hui, je voudrais parler de saint Bonaventure de Bagnoregio. Je vous avoue qu'en vous proposant ce thème, je ressens une certaine nostalgie, car je repense aux recherches que, jeune chercheur, j'ai conduites précisément sur cet auteur, qui m'est particulièrement cher. Sa connaissance a beaucoup influencé ma formation. C'est avec une grande joie que je me suis rendu en pèlerinage, il y a quelques mois, sur son lieu de naissance, Bagnoregio, petite ville italienne dans le Latium, qui conserve avec vénération sa mémoire.

    Né probablement aux alentours de 1217 et mort en 1274, il vécut au XIIIe siècle, à une époque où la foi chrétienne, profondément imprégnée dans la culture et dans la société de l'Europe, inspira des œuvres durables dans le domaine de la littérature, des arts visuels, de la philosophie et de la théologie. Parmi les grandes figures chrétiennes qui contribuèrent à la composition de cette harmonie entre foi et culture se distingue précisément Bonaventure, homme d'action et de contemplation, de profonde piété et de prudence dans le gouvernement.

    Il s'appelait Jean de Fidanza. Comme il le raconte lui-même, un épisode qui eut lieu alors qu'il était encore jeune garçon, marqua profondément sa vie. Il avait été frappé d'une grave maladie, et pas même son père, qui était médecin, espérait désormais pouvoir le sauver de la mort. Alors, sa mère eut recours à l'intercession de saint François d'Assise, canonisé depuis peu. Et Jean guérit.

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  • BXL, 16 juillet : solennité de Notre-Dame du Mont Carmel

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    Mardi 16 juillet 2013
    Solennité de Notre-Dame du Mont Carmel
    18h30: Messe solennelle animée par la chorale Mater Amabilis.
     

     

    EGLISE DES CARMES
    Avenue de la Toison d'Or 44-45 
    Proximité Avenue Louise
  • Accueil chaleureux des Liégeois pour Mgr Delville

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    L'abbé Jean-Pierre Delville a été officiellement ordonné nouvel évêque du diocèse de Liège dimanche lors d'une cérémonie de trois heures empreinte d'enthousiasme en la cathédrale Saint-Paul.

     Les 1.500 chaises installées pour l'occasion n'ont pas suffi à accueillir les quelques 2.000 personnes venues assister à l'évènement. De nombreux spectateurs sont même restés debout, d'autres équipés de chaises pliables ont pu se faufiler entre les allées combles et le cloître affichait complet. Tous les évêques du pays, dont le cardinal Danneels, étaient présents à l'exception de Mgr Kockerols, en déplacement aux Journées Mondiales de la Jeunesse au Brésil.

    Des personnalités du monde politique liégeois ont aussi répondu à l'appel, comme le bourgmestre Willy Demeyer et Michel Foret, gouverneur de la province de Liège. La Communauté germanophone était représentée par Alexander Miesen, président du Parlement et Isabelle Weykmans, ministre de la Culture, des Médias et du Tourisme.

     Plusieurs évêques sont venus de l'étranger pour soutenir l'ancien professeur d'histoire dans sa mission, mais aussi des représentants de toutes les confessions du pays dont les communautés juives et musulmanes, remerciées personnellement par Mgr Delville pour leur présence. Un autre invité d'honneur a fait le déplacement de Rome, Andrea Riccardi, président-fondateur de la communauté Sant'Egidio, dont le Liégeois est très proche.

     La cérémonie s'est déroulée au sein d'une eucharistie classique, en respectant le schéma traditionnel de l'ordination en plusieurs temps, à commencer par la lecture de la bulle pontificale. Dans son homélie, Mgr Léonard, évêque consécrateur principal du jour, a ensuite souligné "l'engagement social" de Mgr Delville "auprès des plus démunis de notre société" et lui a souhaité force et "enthousiasme communicatif". Après avoir évoqué, non sans humour, le cumul "non taxé" des différents titres associés à l'abbé Delville, Mgr Léonard a finalement fait allusion à la devise choisie par le nouvel évêque: "le fleuve, ses bras réjouissent la ville de Dieu".

     La parabole du Bon Samaritain, sélectionnée pour l'occasion, a servi de fil rouge à la cérémonie. C'est un nouvel évêque attentif et concerné qui a répondu par l'affirmative aux questions posées par les évêques consécrateurs concernant l'acceptation de sa mission. Vient alors la Litanie des Saints, où tous les saints (Jean XII et Jean-Paul II, bientôt canonisés, ont été ajoutés à la liste) sont invoqués en soutien tandis que le futur évêque se prosterne devant l'autel. Les 26 évêques rassemblés ont alors procédé, comme le veut la tradition, à l'imposition des mains avant la prière d'ordination. Le tout dans une cathédrale silencieuse et emplie d'émotion.

     Le point d'orgue de la cérémonie de dimanche restera la remise par Mgr Léonard du Livre des Evangiles, de l'anneau, de la mitre et de la crosse, signes de son ministère, au successeur de Mgr Jousten, d'ailleurs très ému et avec qui Mgr Delville a partagé une franche accolade.

    Lorsqu'il s'est assis, confiant, sur le siège épiscopal, Mgr Delville a été acclamé pendant plus de dix minutes par un public visiblement conquis par la personnalité de ce nouveau veilleur pour le diocèse de Liège, qui a pris le temps de saluer l'assemblée et tous les représentants de l'Eglise qui ont co-célébré l'évènement.

     Nouveau tonnerre d'applaudissements lorsqu'il a été invité à faire le tour de "sa cathédrale", saluant au passage bon nombre de fidèles. L'ancien vicaire de Saint-Jacques a clôturé la célébration par une allocution de remerciements, avec un mot pour chacun de ses proches: sa famille, sa cousine centenaire, ses amis et ses collègues de l'UCL, sans oublier les deux évêques enlevés en Syrie ni la communauté Sant'Egidio, à qui il doit beaucoup "dans son développement spirituel". Celui qui sera à présent à la tête du diocèse de sa ville natale a remercié aussi l'assemblée, "qui donne une image vivante de l'Eglise dans sa diversité et dans sa joie". "L'avenir de notre diocèse est entre nos mains", a-t-il ajouté.

    Particularité de son discours, Mgr Delville s'est essayé à plusieurs langues: l'italien, le néérlandais mais aussi le wallon, en invitant les personnes présentes à un verre de l'amitié "sans peket, mais avec du vin blanc pour le 14 juillet",  terminant par un sympathique "A tot-rade" (à tout à l'heure).

     Mgr Delville a été nommé nouvel évêque de Liège en mai dernier par le pape François. Avant cela, il a, entre autre, enseigné la théologie fondamentale et l'histoire de l'Eglise au Séminaire de Liège. Cet organiste passionné a été ordonné prêtre en 1980.

    Ici: Accueil chaleureux des Liégeois pour Mgr Delville

  • Un traité mal traité

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    De notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Je dois vous avouer que j'ai lu, en son temps, le « Traité d'athéologie » signé Michel Onfray. Autant vous le dire tout de suite, celui-ci m'a convaincu... convaincu que je fais bien de rester catholique. Outre le fait que l'auteur s'improvise historien, exégète et théologien, outre le ton délibérément méprisant à l'égard de ceux qui ont l'audace de ne pas penser comme lui, on ne comprend toujours pas sur quoi repose son athéisme. Sur l'indémontrabilité de l'existence de Dieu ? Autant affirmer que la réalité d'un Etre suprême repose sur l'indémontrabilité de son inexistence ! Si M.Onfray était agnostique, on le comprendrait. Seulement voilà, il est athée et, ce faisant, il quitte le terrain de la raison (cette raison qu'il déifie) pour rejoindre celui de la croyance. Affirmer de façon dogmatique l'inexistence de Dieu sans pouvoir la démontrer relève d'un acte de foi. Paradoxalement, voici l'auteur dans le rang des croyants. Dès lors vient une question : le procès qu'il ne cesse de faire aux déistes et aux théistes, pourquoi ne le fait-il pas à tous ceux qui, comme lui, se contentent de nier l'existence de Dieu sans en apporter la moindre preuve ? Libre à lui de croire que l'univers est une horloge sans horloger, ou un tableau sans peintre. Libre à lui également de refuser le miracle d'une création voulue par Dieu et de préférer croire en un nombre incalculable de miracles produits par le hasard. Personnellement, j'ai fait mon choix. Et ce n'est pas après avoir lu son livre que j'aurai assez de foi pour être athée !...

    Jean-Pierre Snyers - Blindef 2 - 4141 Louveigné

  • Pakistan : quand les manuels scolaires incitent à la haine

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    Lu sur "Eglises d'Asie" :

    Une fois de plus, l’Eglise catholique dénonce les contenus incitant à la haine présents dans les manuels scolaires

    C’est un combat plusieurs fois mené et toujours recommencé, année après année, et qui ne semble pas couronné de succès. Pourtant, le 10 juillet dernier, en prenant la parole à Karachi lors d’un colloque consacré à « l’éducation pour la paix », Mgr Joseph Coutts, archevêque catholique de Karachi, a encouragé les membres de l’Eglise à ne pas baisser les bras. « J’invite toutes les personnes de la société pakistanaise, laquelle est pluri-religieuse, pluriethnique, multiculturelle et multilingue, à prendre les initiatives nécessaires pour faire comprendre à tous que le fanatisme et l’intolérance n’ont pas leur place dans les manuels scolaires », a déclaré l’évêque, qui préside la Conférence épiscopale catholique pakistanaise.

    La présence dans les manuels scolaires du Pakistan de contenus présentant en termes négatifs et péjoratifs les non-musulmans, l’Inde et l’Occident est une réalité ancienne et bien documentée. Toutefois, de récents travaux de la Commission nationale ‘Justice et Paix’ (NCJP), instance rattachée à la Conférence épiscopale catholique, montrent que la tendance n’est pas à l’atténuation de ces travers mais à leur accentuation.

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  • Neuvaine de prière aux intentions du pays et de la dynastie

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    Chères amies et chers amis de la Belgique,

    Nous l’avons tous appris: le Roi des Belges, Albert II abdique le 21 juillet 2013 en faveur de son fils, le Prince Philippe.

    Ayant un âge avancé, Le Roi a en effet jugé bon de se retirer après avoir servi la Belgique et ses citoyens pendant 20 ans ! Durant son règne, le Roi a été un incontestable élément d’unité entre les
    Communautés, continuant ainsi sur les traces de son frère le Roi Baudouin.

     

    Tournés vers l’avenir, nous voulons manifester notre joie, notre confiance et notre espérance en la personne du Prince Philippe, notre futur Roi. Conscients que son règne ne sera pas simple, nous tenons à lui adresser tout notre soutien, nos encouragements et surtout nos prières.

    Nous vous proposons donc de vous joindre à une grande Neuvaine  (ci-joint) qui débutera le samedi 13 et se terminera le dimanche 21 juillet, jour de la Fête Nationale, aussi jour de l'abdication du Roi Albert IIet de l’intronisation du Prince Philippe.


    textes et prières en pdf accessible ICI


    Nous vous encourageons de tout coeur à être nombreux à la prier. Elle ne prend pas beaucoup de temps, et nous sommes certains que ces prières porteront la Belgique en cette période de transition.

     

    Prions, par l’intercession du Roi Baudouin, pour que cette transition se fasse dans la paix, la joie, le respect et l’espérance, en incluant dans nos prières tout spécialement le Roi Albert et la Reine Paola, ainsi que le Prince Philippe et la Princesse Mathilde et leurs enfants.

    Nous vous invitons dès maintenant à transférer la neuvaine à tous vos proches. Le plus nombreux nous sommes, le mieux!

    L'Union fait la Force!

    Le Comité de "Prier pour la Belgique avec le Roi Baudouin"

    PS: Flemish and English Version will follow shortly
    PPS: Pour les 20 ans de la mort du Roi Baudouin, Messe le 31 juillet à
    11h, à la cathédrale Ste. Gudule, en présence de la famille royale.

  • Le nouvel évêque de Liège interviewé sur RTC

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    C'est ICI

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    Rappelons que le nouvel évêque sera consacré en la cathédrale de Liège ce dimanche 14 juillet à 15H00.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (10/7/2013) : Fin de vie / Euthanasie / Mourir à la maison

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    header_fr.jpgSommaire

  • Pour en finir avec le Moyen Âge

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    De Michel Hébert sur le site Contre-info.com (l’information alternative), 12 juillet 2013 :

    « Encore un mythe à détruire, concernant l’horrible « Moyen-Age » chrétien.

    « Présentation : Christophe Colomb n’a jamais eu à démontrer que la Terre était ronde. Car tout le monde le savait déjà. Et depuis longtemps ! C’est ce que confirme l’ouvrage d’un historien américain, Jeffrey B. Russel, qui met à mal bon nombre d’idées reçues sur les géographes du Moyen Age et de l’Antiquité. Il commence par constater que les auteurs médiévaux affirment la rotondité de la Terre, comme le faisait Platon. Il examine ensuite l’apparition du mythe moderne selon lequel le Moyen-Age croyait la Terre plate. En fait ce sont des évolutionnistes libéraux américains qui ont créé de toutes pièces ce mythe aujourd’hui repris dans la presse et dans les manuels scolaires.

    En cette année anniversaire de la découverte du Nouveau Monde, c’est un véritable déluge de publications qui s’abat sur nous ; à cette occasion, nombre d’idées reçues sont remises en question. L’une d’elles, selon laquelle les contemporains de Christophe Colomb croyaient que la Terre était plate, a trouvé son historien, Jeffrey B. Russel, dans un petit ouvrage décapant qui vient d’être publié aux Etats-Unis.

    Considérons le cas de Christophe Colomb : les historiens ont depuis longtemps dénoncé la fable selon laquelle il aurait dû affronter les foudres des docteurs de Salamanque pour avoir osé prétendre que la Terre était ronde – sans quoi le passage des Indes par l’ouest était inconcevable. Certes, le découvreur a eu ses détracteurs et ses opposants, mais leurs arguments tenaient aux probabilités d’échec de l’entreprise.

    Et ils avaient raison, puisque la distance qui sépare les îles Canaries du Japon est de deux cents degrés de longitude, là où Colomb, pour avancer son projet, voulait n’en voir que soixante. Mais nulle part dans ces discussions il ne fut question d’une sphéricité que le navigateur aurait dû démontrer.

    Déjà au XVème siècle, l’affaire était entendue. La Géographie du Grec Ptolémée (90-168) est traduite en latin en 1410. Or cet ouvrage ne laisse subsister aucun doute sur la rotondité de la Terre : il est tout entier fondé sur le quadrillage de la sphère en degrés de latitude et méridiens de longitude.

    Et le cardinal Pierre d’Ailly en a bien retenu toutes les leçons dans son Image du monde écrite en latin dès 1410. Mais avant ? Là où les médiévistes ont souvent été plus évasifs, Jeffrey Russell nous invite à voir partout et toujours la même représentation, les mêmes comparaisons.

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