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  • Quand Charlie-Hebdo repart

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    ... cela suscite, par exemple, ce commentaire (source), intitulé "Charlie, vrai faux-cul" :

    cc027cbd0a03b8706071f033571627d1-1424715115.jpgÀ grand renfort d'admiration voire de vénération journalistique, on nous apprend que "Charlie-hebdo" va reparaître ... 2 millions et demi d'exemplaires ! On se demande s'il se vend assez de poisson pour utiliser tout cet emballage... Complaisamment diffusée dans tous les journaux, la une de ce nouveau numéro est une sorte d'éditorial qui décrit assez précisément les orientations " nouvelles " de cette feuille, et personne ne sera surpris : le politiquement correct de gauche soixante-huitard elevé au niveau du dogme. Le dessin de couverture représente Charlie poursuivi par le pape (horrible religion catholique), Sarkozy (la droite détestable), Marine Le Pen (le fascisme en plein essor)...  On s'interroge : ou est passée la caricature de Mahomet qui faisait les beaux jours du journal avant qu'il ne devienne riche ?? Disparue ! Remplacée par un dessin de confort, un djihadiste à kalachnikoff, sans doute destinée à aider Hollande à prolonger le fameux "esprit du 11 janvier". On ne saurait reprocher à la rédaction de Charlie d'eviter désormais les provocations qui tuent, le courage n'est pas l'inconscience, et ni le Pape, ni Sarkozy, ni Le Pen ne manient les armes à feu ... Mais l'exercice d'admiration générale pour les " provocations " du journal satirique laisse perplexe : ça coule tellement de source d'être anti-catholique, anti-Sarkozyte, anti-LePen, c'est tellement dans la pente, tellement moderne, tellement dans le sens de l'assentiment unanime que les lecteurs de Charlie finiront peut -être par se demander où est la provocation... Heureusement les généreux donateurs ont assuré la survie du journal pour plusieurs années ..." et c'est ainsi qu'Allah est grand" disait Vialatte ...

  • L'EI répand le feu, le sang et les larmes en Syrie; des dizaines de chrétiens emmenés en otages

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    Alors que le chef du Pentagone promet aux djihadistes une "défaite irréversible", ceux-ci mènent des raids meurtriers contre des villages chrétiens sans que les avions de la coalition ne fassent mine d'intervenir :

    ASIE/SYRIE (Agence Fides) - Attaque des djihadistes du prétendu « Etat islamique » contre les villages chrétiens sur la rivière Khabur

    Hassakè – Aux premières heures d’hier, 23 février, plus de 40 camionnettes avec à leur bord des miliciens djihadistes du prétendu « Etat islamique » ont attaqué différents villages chrétiens assyriens sis sur la rivière Khabur, dans la province syrienne de Jézirah, dans le nord-est du pays. Des dizaines de chrétiens assyriens ont été pris en otage par les djihadistes alors que les églises de certains villages ont été incendiées ou endommagées. C’est ce que confirme à l’Agence Fides S.Exc. Mgr Jacques Behnan Hindo, Archevêque syro catholique d’Hassaké-Nisibi. « Les terroristes – indique-t-il – ont attaqué d’abord le village de Tel Tamar puis ont pris Tel Shamiran et tous les autres villages plus petits, jusqu’à Tel Hermuz, où ils ont tout brûlé. Tant à Tel Hormuz qu’à Tel Shamiran, ils ont pris des dizaines d’otages, peut-être dans l’intention de les utiliser pour demander des rançons ou en vue d’un échange de prisonniers. Hier soir, à 21.30, les milices kurdes nous ont dit être parvenues à reprendre Tel Hormuz, avec l’aide des bataillons formés par les chrétiens syriens, mais nous ne disposons pas encore d’une confirmation de ce fait ».

    Selon l’Archevêque, l’offensive des djihadistes a mis en évidence la responsabilité et les comportements déplorables de différents autres sujets. « Je tiens à dire clairement – déclare-t-il – que nous avons la sensation d’avoir été abandonnés entre les mains de ceux du Daesh . Hier, les bombardiers américains ont survolé plusieurs fois la zone mais ne sont pas intervenus. Nous avons cent familles assyriennes qui ont trouvé refuge à Hassaké mais elles n’ont reçu aucune aide de la part du Croissant Rouge et des organismes gouvernementaux syriens d’assistance peut-être parce qu’elles sont chrétiennes. L’organisme chargé des réfugiés de l’ONU est lui aussi aux abonnés absents ».Le long des rives de la rivière Khabur, affluent de l’Euphrate, se trouvaient plus de 30 villages chrétiens fondés dans les années 1930 où avaient trouvé refuge les chrétiens assyriens et chaldéens ayant fui l’Irak suite aux massacres perpétrés alors par l’armée locale. Il s’agissait de villages florissants, comptant chacun des milliers d’habitants, avec des églises et des communautés très actives qui géraient également des écoles et des initiatives sociales. Mais, depuis le début de la guerre, presque tous s’étaient vidés de leurs habitants, certains ressemblant désormais à des villes fantômes. Tel Hormuz comptait plus de 4.000 habitants avant le conflit, sachant qu’au cours des derniers mois, sa population s’était réduite à moins de 300 âmes.

    Sur Radio VaticanManuella Affejee est parvenue à joindre au téléphone Mgr Jacques Behnan Hindo, l’évêque syro-catholique d’Hassaké. Il revient sur le contexte de cet enlèvement et dénonce quelques faits dérangeants.

    Se rendre sur la page pour écouter ce témoignage

  • Le suicide religieux assisté

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    Mary Eberstadt sur le site « didoc.be » :

    41UnWv+7DNL._UY250_.jpg« Dans un des chapitres du livre How the West Really Lost God: A New Theory of Secularization (Comment le monde occidental a vraiment perdu Dieu : une nouvelle théorie de la sécularisation), Mary Eberstadt explique que le déclin des églises protestantes les plus anciennes d’Europe et des Etats-Unis est lié aux changements doctrinaux qu’elles ont opérés dans les domaines concernant la contraception, le divorce, l’avortement et l’homosexualité. Ce qui a contribué à son tour à la fragilisation de la famille en Occident. Nous avons sélectionné quelques paragraphes de cet ouvrage :

    (…) Ces efforts réformistes ont peu à peu contribué à un dénouement inattendu : ils ont affaibli au propre comme au figuré la famille naturelle, les fondations sur lesquelles étaient basées ces mêmes églises. Dans leur zèle pour attirer les individus qui souhaitaient un relâchement de la doctrine chrétienne, les églises ont progressivement oublié d’assurer leurs arrières : les familles saines dont les membres devaient se reproduire, au sens littéral, mais aussi dans le sens figuré, celui de transmettre la religion. Ici nous voyons à nouveau l’effet puissant de la double hélice famille et foi.

    (…) Depuis le début, le christianisme soutient un code moral, un code sexuel strict comparé aux autres religions (…) La surprise historique n’est donc pas tant que les réformistes s’efforcent de le rendre plus supportable, mais bien que le code soit resté intact, si longtemps, au centre de la chrétienté : plus ou moins jusqu’à la réforme. C’est alors que le clergé commença à détricoter la moralité sexuelle : cela remonte à des siècles, bien avant la révolution sexuelle, et en tirant particulièrement sur le fil du divorce.

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  • Quand les députés britanniques préfèrent sauvegarder l'avortement à tout-va

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    Lue sur le site du Soir cette information qui manifeste l'obstination de nos sociétés occidentales dans les logiques mortifères :

    Londres: rejet d’un amendement pour interdire l’avortement en fonction du sexe

    Les députés britanniques ont rejeté lundi un amendement destiné à interdire explicitement l’avortement motivé par le choix du sexe de l’enfant.

    Cet amendement traduisait l’inquiétude de voir adoptée dans certaines communautés étrangères en Grande-Bretagne la préférence culturelle pour les garçons, comme c’est le cas en Chine et en Inde.

    La ministre de la santé Jane Ellison s’est élevée contre cet amendement déclarant que l’avortement sélectif en fonction du sexe était « déjà illégal ».

    Plusieurs députés ont cependant défendu la nécessité d’une telle mesure parce que la loi n’évoque pas spécifiquement cette pratique.

    «  Cet amendement est nécessaire car il n’y a pas de paragraphe explicite dans la loi britannique sur l’avortement sélectif suivant les sexes  », a affirmé la députée Fiona Bruce qui a présenté le texte ajoutant qu’en 1967 quand la loi sur l’avortement a été adoptée la technologie ne permettait pas de déterminer le sexe du foetus.

    Les députés opposés à l’amendement -rejeté par 292 voix contre 201- ont jugé qu’une interdiction explicite de cette pratique serait inapplicable et aurait des conséquences inattendues en compliquant notamment l’accès des femmes à l’avortement.

    Le délai légal pour avorter en Grande-Bretagne est de 24 semaines.

  • Vous avez dit "populisme" ?

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    populisme (2).jpgLe site "Pour une école libre au Québec" publie cette revue de presse consacrée au dernier livre de Chantal Delsol dont de larges extraits sont publiés sur Atlantico.fr.

     

    Chantal Delsol : défense du populisme et des « demeurés »

     
    Revue de presse sur le dernier ouvrage de Chantal Delsol « Populisme. Les demeurés de l’Histoire ». Chantal Delsol est membre de l’Institut, philosophe et historienne des idées. 

    Le Figaro : Plaidoyer pour le populisme

    Les jeunes gens qui voudraient connaître un de ces admirables professeurs que fabriquait la France d’avant — et qui la fabriquaient en retour — doivent lire le dernier ouvrage de Chantal Delsol. Tout y est : connaissance aiguë du sujet traité ; culture classique ; perspective historique ; rigueur intellectuelle ; modération dans la forme et dans la pensée, qui n’interdit nullement de défendre ses choix philosophiques et idéologiques. Jusqu’à cette pointe d’ennui qui se glisse dans les démonstrations tirées au cordeau, mais que ne vient pas égayer une insolente incandescence de plume. L’audace est dans le fond, pas dans la forme. On s’en contentera.

    Notre auteur a choisi comme thème de sa leçon le populisme. Thème dangereux. Pour elle. Dans le Dictionnaire des idées reçues de Flaubert revisité aujourd’hui, on aurait aussitôt ajouté au mot populisme : à dénoncer ; rejeter ; invectiver ; ostraciser ; insulter ; néantiser. Non seulement Chantal Delsol ne hurle pas avec les loups, mais elle arrête la meute, décortique ses injustes motifs, déconstruit son mépris de fer. À la fin de sa démonstration, les loups ont perdu leur légitimité de loups. « Que penser de ce civilisé qui, pour stigmatiser des sauvages, les hait de façon si sauvage ? »

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  • "Prêtre avant tout", l'abbé Franz Stock mort le 24 février 1948

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    http://laurentius-media.gloria.tv/7o/mediafile-404413-1-sd.mp4?upstream=justina-media.gloria.tv%2ff&sum=GYG1fDh8-lPSVwAVlQIsUA&due=1424807856

    Prêtre de la paroisse catholique allemande et aumônier des prisons de Paris sous l'occupation allemande, " Franz Stock symbolise la preuve de l'amour plus fort que le mal, plus fort que la haine, l'ultime espérance d'une humanité capable d'aimer par-dessus les frontières ", selon René Closset. Franz Stock sera sa vie durant, comme l'écrit Jean-Pierre Guérend, " amoureux de la France et fidèle à son pays ". Il sera amené à assister de nombreux prisonniers et à accompagner plus d'un millier de condamnés à mort au peloton d'exécution. Ce programme, tourné sur les lieux mêmes où il naquit en 1904, vécut et mourut en février 1948, retrace le parcours de cet être exceptionnel qui se disait " prêtre avant tout, ne répondant qu'à une seule question : a-t-il besoin de moi ? ". Franz Stock, c'est aussi un site : " le Séminaire des barbelés ", véritable lieu de mémoire auquel il se consacra de 1945 à 1947 à la formation des séminaristes allemands. Témoignage de la réconciliation franco-allemande, une consécration pour Franz Stock qui y laissa sa vie. Un film réalisé par Janine Isnard. Une coproduction Cat Productions et KTO - 2010.

  • La confession des péchés, pour quoi faire ?

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    La confession des péchés (source)

    SOMMAIRE

    Catéchèse du pape François sur le sacrement de la Réconciliation

  • La gestation pour autrui (GPA) : une atteinte directe aux valeurs fondamentales partagées au sein de l'U.E.

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    COMECE Press 23/02/2015

    La gestation pour autrui: une atteinte directe aux valeurs fondamentales partagées au sein de l’UE

     

    unknownLa gestation pour autrui est un sujet de préoccupation croissant dans le débat politique et juridique à travers toute l’Union européenne. Dans ce contexte, le Groupe de travail de la COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne) sur l’éthique dans la recherche et les soins de santé a publié un “Avis sur la gestation pour autrui: la question de sa régulation au niveau européen et international” qui est présenté ce lundi 23 février au Parlement européen lors d’un conférence sous le patronage de l’eurodéputé Miroslav Mikolasik.

     

    L’avis explique pourquoi toutes formes de gestation pour autrui constituent une atteinte grave à la dignité humaine de ceux qui sont impliqués dans cet échange ; en particulier le fait  que cette pratique instrumentalise la mère porteuse (souvent piégée dans la pauvreté et trafiquée sans scrupules) et traite l’enfant comme un objet. C’est pourquoi on ne peut en aucune circonstance consentir à une telle pratique. Tout en prenant en considération les compétences de l’Union européenne en la matière, l’avis recommande, comme une première étape envisageable, d’évaluer la faisabilité du refus de transcrire les certificats de naissance établis dans les pays de naissance. Cela permettrait de juguler une pratique qui, comme l’avis le démontre dans une argumentation en 3 étapes, va à l’encontre des valeurs fondamentales auxquelles adhère l’Union européenne.

     

    Télécharger le texte de l'avis en pdf

  • Une guerre de civilisations ou la confrontation de deux extrémismes ?

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    Une analyse d'Arnaud Dumouch (http://eschatologie.free.fr) :

    Est-ce une guerre de civilisations ou une guerre de deux extrémismes ? (21 mn).
    Par Arnaud Dumouch, Février 2015
    Samuel Huntington annonçait en 1996 une « guerre de civilisation ». Il semble qu’on soit plutôt face à la guerre de deux extrémismes : 

    • Celui des salafistes qui exaltent le droit de Dieu jusqu’au mépris de l’homme « qui se soumettra à Dieu de grès ou de force ». Ces djihadistes sont portés par une espérance eschatologique devenue folle. 
    • A l’inverse, l’Occident exalte une pensée post guerres mondiales qui exalte les droits de l’homme jusqu’au mépris de Dieu et de la morale. Tout devient permis entre adultes consentant et la question d’un jugement dernier est mise aux oubliettes du sectarisme.

    Comment cela se terminera-t-il ? 
    En négatif : Les peuples occidentaux sont tentés d’identifier l’islam avec son extrémisme et les peuples musulmans sont tentés d’identifier la civilisation chrétienne avec l’humanisme post-soixante-huitard. 
    En positif : Des voix sages se lèvent et regardent ce qu’est l’homme selon ses quatre dimensions : physique et sensible, mais aussi morale et religieuse.

  • La 1ère icône des 21 martyrs coptes de Libye

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    Vu sur le « Forum catholique » (JPSC)

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    commentaires de Marie-Gabrielle Leblanc

     Remarquez les détails : la plage sur laquelle ils ont été martyrisés avec la mer derrière. Tous les visages ressemblent à Jésus, dont ils ont prononcé le nom jusqu'à leur dernier souffle. L'unique Soudanais n'est pas oublié au centre. Les tuniques oranges rappellent la combinaison orange que les terroristes islamistes mettent à leurs victimes avant de les décapiter. Ils ont par-dessus l'étole rouge du martyre, proche de l'étole des diacres coptes, portée ici également par les anges et par le Christ. Remarquez la pluie de couronnes que les anges leur remettent.

    coptes-Libye-ex1.jpg

    Lire également : les 21 martyrs coptes sont un trait d'unité entre les chrétiens

  • François : un malaise ?

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    Le philosophe Thibaud Collin, sur politiquemagazine.fr s'interroge :

    Un malaise François ?

    Alors même que les foules et les médias acclament le pape François, une quantité non négligeable de catholiques formés sous les pontificats de Jean-Paul II et de Benoît XVI sont désorientés par ses premiers dix-huit mois comme évêque de Rome. Qu’en est-il de ce malaise ?

    Les médias friands de petites phrases, de postures photogéniques mais aussi de tout ce qui peut apparaître en rupture avec le passé ont réservé au nouveau pape un accueil triomphal. L’exemple type est la manière dont étaient relayés ses propos concernant les personnes homosexuelles tenus lors de son retour des JMJ : « Qui suis-je pour juger ? » Cette question, souvent sortie de son contexte, a fait le tour du monde et est devenue le symbole d’un pape qui serait enfin devenu cool. De même, le Synode sur la famille d’octobre 2014 a été perçu par beaucoup comme un moment où certaines questions taboues pouvaient enfin être de nouveau discutées. Comme si l’ère Humanae Vitae était enfin achevée et que la hiérarchie écoutait enfin les demandes et les besoins, pour ne pas dire les exigences, de la base. Derrière tout cela, se profile le débat récurrent depuis le début du Concile (mais en réalité bien antérieur) sur la manière dont l’église doit se situer face au monde moderne.

    Un « Vatican III » ?

    Le pape François renouerait-il avec « l’esprit du concile Vatican II » ? Certains observateurs n’ont pas craint de parler de « Vatican III » pour caractériser le dernier synode sur la famille tant la liberté des débats aussi bien dans la forme que sur le fond apparaissait inédite dans ce genre d’enceintes. Le pape François a exhorté les pères synodaux à parler avec franchise comme s’il souhaitait crever un abcès, celui de l’incompréhension de l’enseignement moral de l’église par une partie importante des hommes d’aujourd’hui. Mais en demandant au cardinal Kasper d’ouvrir les réflexions du consistoire de février 2014, consacrées à la famille, le pape François a semblé envoyer un signal à tous ceux qui critiquent la doctrine catholique sur la sexualité, le mariage et la famille. En effet, le cardinal Kasper s’est opposé à saint Jean-Paul II sur ces sujets, cherchant à ouvrir des voies « pastorales » afin, d’après lui, d’arrêter l’hémorragie des fidèles décontenancés par ce qui leur apparaît comme du rigorisme d’un autre âge.

    lire la suite sur politiquemagazine.fr