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  • Universalité de la Fête-Dieu

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    Lu et vu sur le site du diocèse d’Inongo, au Congo, dans l’ancienne province de l’Equateur (Bandundu) :

    « Dimanche passé (Corpus Domini) la tradition de la procession s'est répétée. Bokoro, en effet, est connu dans le diocèse comme une des paroisses où les chrétiens, après la messe, parcourent les rues de la cité avec Jésus Eucharistie en procession. Imaginons ce qu'elle représente avec toute la population de Bokoro, les nombreux élèves ( Petit séminaire, lycée Salongo, Institut de Bokoro, Institut Totombwana, EP Mankoni, Elikya)… » 

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    http://evecheinongo.blogspot.be/

    JPSC

     

  • Liège, 4-7 juin 2015 : Triduum de la Fête-Dieu

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    390473145.JPGAprès la procession radieuse (voir ici) organisée le jeudi 4 juin, depuis les hauteurs du Publémont jusqu’à la Cathédrale, au soir même de la messe de la Fête célébrée à la basilique Saint-Martin, les plus fervents ont pu se retrouver le vendredi 5 juin pour une adoration eucharistique qui se déroula sans discontinuité de 9h00 à 17h00 dans la chapelle des chanoines de Saint-Paul.

    Et le samedi soir 6 juin à 18h00, plus de trois cents liégeois se sont encore retrouvés à l’église du Saint-Sacrement, au Boulevard d’Avroy, pour assister à la messe solennelle célébrée selon la forme extraordinaire du rite romain, par l’evêque de Liège, Monseigneur Delville. Deux chorales, la Rheinische Frauwenschola de Wiesbaden (dir. Ximena Gonzáles)  et l’Ensemble vocal « Praeludium » de Liège (dir. Patrick Wilwerth) ont animé la célébration, en  alternant  avec brio les mélodies grégoriennes, le plain-chant liégeois et de superbes polyphonies inspirées par la liturgie de saint Jean Chrysostome.

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    La cérémonie s’est terminée par la bénédiction du Saint-Sacrement ponctuée par le « tantum ergo liégeois », chanté avec conviction par toute l’assemblée, et la vénération populaire des reliques de sainte Julienne de Cornillon, initiatrice de cette fête aujourd’hui universelle mais  née à Liège en 1246. Un moment de convivialité s’en est suivi jusqu’à 22h00. 

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  • Medjugorje : le pape statuera bientôt sur les apparitions de la Vierge

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    De Jean-Marie Guénois sur lefigaro.fr :

    Le pape François s'apprête à statuer sur les apparitions de la vierge à Medjugorje

    La commission qui a travaillé sur les apparitions de la vierge Marie à Medjugorje s'apprête à rendre ses conclusions.

    Au cours de la conférence de presse donnée dans l'avion au retour de son voyage d'une journée à Sarajevo, le pape François a révélé que l'enquête lancée par Benoît XVI sur les phénomènes constatés dans cette localité de Bosnie-Herzégovine depuis 1981, avait rendu ses conclusions. Il lui appartenait donc de prendre une décision en tant que pape.

    Jamais la décision sur Medjugorje n'a été aussi proche. Cette localité de Bosnie Herzégovine abrite un sanctuaire marial qui attire depuis 1981 des millions de visiteurs venus du monde entier le jour où des «voyants» ont affirmé y avoir «vu la vierge» certains assurant toujours recevoir des «messages» particuliers. Alors que Jean-Paul II, puis Benoît XVI avaient été saisis du dossier, le pape François en répondant à une question de journaliste dans l'avion qui le ramenait samedi soir de Sarajevo, a révélé que l'Eglise était sur le point «de prendre une décision» sur la nature de ces phénomènes.

    Un dossier mûr pour une décision

    Le pape a expliqué que la commission d'étude, composée de théologiens et de pasteurs, sous la responsabilité du cardinal Ruini - nommé par Benoît XVI - lui avait rendu ses conclusions après «un beau travail de trois ou quatre ans». Il a aussi dit que le cardinal Müller, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, venait de consulter sa congrégation sur cette question et sur l'enquête menée par la commission. Et que le dossier était par conséquent mûr pour une décision.

    Si cette décision était prochainement annoncée elle mettrait fin à une controverse complexe qui existe depuis les débuts des phénomènes. Le débat est d'abord théologique comme pour tout phénomène marial. Mais il est aussi ecclésial en raison d'une sourde concurrence entre le clergé diocésain local et l'ordre des franciscains très implanté dans cette région pour des raisons historiques mais aussi très impliqué à Medjugorje. La question est aussi personnelle, en raison de la personnalité des voyants et de leur premier guide spirituel, un franciscain qui a été depuis réduit à l'état laïc par l'Eglise. D'un autre point de vue, l'Eglise constate des «fruits» étonnants car de nombreuses conversions se dérouleraient en ce lieu.

    Des pèlerinages officiels jusqu'ici interdits

    Jean-Paul II comme Benoît XVI se sont toutefois toujours montrés très prudents sur Medjugorje, même si le pape polonais était réputé être personnellement attiré par ce sujet. Ils ont simplement accordé aux fidèles la possibilité de s'y rendre à titre privé mais ont interdit l'Eglise d'y organiser des pèlerinages officiels. Une attitude cohérente du reste, avec la lourde procédure habituelle de discernement menée par l'Eglise catholique sur ce genre de dossier. Rome se refuse en général de statuer avant la fin des phénomènes, lesquels dureraient encore pour certains «voyants» de Medjugorje, qui tous n'habitent plus sur place.

    En marge de cette conférence de presse, le pape, 78 ans, fatigué par sa longue et dense journée de visite à Sarajevo mais faisant preuve d'une impressionnante vitalité, a confirmé qu'il tiendrait la promesse faite «aux évêques français d'aller en France» mais il n'a précisé aucune date.

  • Reconnaissance de nouveaux martyrs espagnols et laotiens

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    L'Eglise reconnaît le martyre de religieux espagnols victimes des persécutions survenues en 1936 à l'époque du Front Populaire et de prêtres et religieux laotiens tombés sous les coups des persécuteurs communistes :

    Cité du Vatican, 6 juin 2015 (VIS). A la suite de l'audience accordée hier après-midi au Cardinal Angelo Amato, SDB, Préfet de la Congrégation pour les causes des saints, le Pape a ordonné la promulgation des décrets relatifs:

    au MARTYRE

    du Serviteur de Dieu Frederico da Berga (Martí Tarrés Paigpelat), capucin espagnol, et de ses 25 compagnons prêtres et laïcs du tiers ordre, tués en haine de la foi en 1936.

    du Serviteur de Dieu Joseph Thao Tiên, prêtre séculier laotien, et de ses 10 compagnons, prêtres des Missions étrangères de Paris et des Oblats missionnaires de l'Immaculée, et le leurs 4 compagnons laïcs, tués en haine de la foi au Laos entre 1954 et 1970.

    Radio Vatican commente :

    C’est un grand jour pour l’Église du Laos : le Pape François a signé vendredi le décret reconnaissant le martyre d’un jeune prêtre, Joseph Thao Tien, et de 14 autres religieux et laïcs qui ont perdu la vie entre 1954 et 1970 au Laos, assassinés, exécutés ou morts d’épuisement. Ils furent assassinés pour leur foi dans le contexte de la guérilla communiste qui était déterminée à éliminer tout ce qui était étranger et chrétien. Certains étaient laotiens, souvent catéchistes, d’autres missionnaires étrangers, des Missions Étrangères de Paris pour les uns, Oblats de Marie Immaculée pour les autres. Parmi eux des français originaires de l’Ouest comme le père Jean-Baptiste Malo. Tous payèrent de leur vie leur engagement à la suite de l’Evangile et leur décision de rester sur place malgré les lourdes menaces qui pesaient sur eux.

    Le prêtre laotien Joseph Tien (1918-1954) est considéré comme le premier martyr laotien. Dix prêtres français ont aussi payé de leur vie leur engagement pour l'évangélisation du Laos, parmi lesquels cinq prêtres des MEP : Jean-Baptiste Malo (1899-1954), René Dubroux (1914-1959), Noël Tenaud (1904-1961), Marcel Denis (1919-1961) et Lucien Galan (1921-1968), et cinq prêtres des OMI : Louis Leroy (1923-1961), Michel Coquelet (1931-1961), Vincent L’Hénoret (1921-1961), Jean Wauthier (1926-1967) et Joseph Boissel (1909-1969).

    Figurent aussi parmi ces martyrs reconnus le catéchiste thaïlandais Joseph Outhay (1933-1961), le catéchiste laotien Luc Sy (1938-1970) et les laïcs laotiens Thomas Khampheuane (1952-1968) et Maisam Pho Inpeng (1934-1970).

    L’évangélisation du Laos est récente. Les prêtres des Missions étrangères de Paris furent les premiers à apporter l’Evangile dans ce pays à la fin du 19° siècle. Aujourd’hui encore les chrétiens vivent sous étroite surveillance. A ces 15 martyrs du Laos, il faut ajouter le missionnaire italien Mario Borzaga est son catéchiste hmong, tués eux aussi en haine de la foi au Laos en 1960. Leur procès diocésain, instruit en Italie, a également abouti. Le décret les concernant a été signé par le Pape François au début du mois de mai.

  • A Sarajevo, le pape évoque "une sorte de troisième guerre mondiale livrée par morceaux”

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    De zenit.org :

    Bosnie-Herzégovine : "Heureux qui sème la paix au quotidien"

    Homélie intégrale du pape François lors de la messe pour la paix et la justice au stade Kosevo de Sarajevo.

    « La paix est le rêve de Dieu, c’est le projet de Dieu pour l’humanité, pour l’histoire, avec toute la création », déclare le pape François qui exhorte les hommes à « faire la paix » : « Heureux sont ceux qui sèment la paix par leurs actions quotidiennes, par des attitudes et des gestes de service, de fraternité, de dialogue, de miséricorde. »

    Dans le cadre de son  voyage apostolique à Sarajevo, ce 6 juin 2015, le pape a célébré une messe pour la paix et la justice à 11h au stade olympique Koševo, où Jean-Paul II avait célébré une messe historique en 1997.

    Parmi les participants venus de tout le pays, étaient présents des blessés et mutilés victimes de la guerre des Balkans dans les années 90. Évoquant ces années de guerre - « que de souffrance, que de destructions, que de douleur » - le pape a fait observer que la paix « rencontre toujours des oppositions de la part de l’homme et de la part du malin ».

    « Aujourd’hui, chers frères et sœurs, que de cette ville se lève encore une fois le cri du peuple de Dieu et de tous les hommes et les femmes de bonne volonté : jamais plus la guerre ! », a-t-il exhorté sous les applaudissements.

     « Faire la paix est un travail à mener chaque jour, pas après pas, sans jamais se fatiguer », « un travail artisanal » qui « demande passion, patience, expérience, ténacité » et qui est « œuvre de la justice ».

    « Le Nouveau Testament nous enseigne que le plein accomplissement de la justice est d’aimer son prochain comme soi-même », a rappelé le pape en affirmant : « Lorsque, avec la grâce de Dieu, nous suivons ce commandement, comme les choses changent ! Parce que nous changeons, nous ! Cette personne, ce peuple, que nous voyons comme ennemi, a en réalité mon visage même, il a mon cœur même, mon âme même... Alors la véritable justice est de faire à cette personne, à ce peuple, ce que je voudrais qu’il me soit fait à moi, à mon peuple (cf. Mt 7, 12). »

    A.K.

    Paroles du pape François avant l’angélus

    Chers frères et sœurs,

    Dans les lectures bibliques que nous avons écoutées a résonné plusieurs fois la parole “paix ”. Parole prophétique par excellence ! La paix est le rêve de Dieu, c’est le projet de Dieu pour l’humanité, pour l’histoire, avec toute la création. Et c’est un projet qui rencontre toujours des oppositions de la part de l’homme et de la part du malin. En notre temps aussi, l’aspiration à la paix et l’engagement pour la construire s’affrontent par le fait qu’il y a dans le monde de nombreux conflits armés. C’est une sorte de troisième guerre mondiale livrée “par morceaux” ; et, dans le contexte de la communication globale, on perçoit un climat de guerre.

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  • Donner un statut à l'enfant mort-né, une sombre machination "pro life" ?

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    De "Actualités du Droit belge", cette information qui met en évidence les contradictions d'une société qui veut offrir un statut à l'enfant mort-né pour aider les parents à faire leur deuil mais qui autorise en même temps la suppression de ces enfants à naître dans le cadre de la législation sur l'avortement. Du coup, le camp "pro avortement" - ici le Centre d'Action Laïque - se mobilise pour dénoncer un projet de loi qui cacherait en réalité de sombres mobiles pour remettre en cause l'accès à l'avortement :

    Un statut pour le foetus : un bouleversement juridique portant atteinte à l'accès à l'avortement !  

    Le gouvernement et la majorité parlementaire, très ambitieux, souhaitent aujourd'hui modifier le Code civil afin d'offrir un statut pour l'enfant mort-né. Cependant, ce bouleversement juridique ne fait pas l'unanimité. Nous pouvons d'ailleurs le constater par les propos tenus par le président du Centre d'Action Laïque (CAL), Henri Bartholomeeusen, qui précise dans une lettre ouverte qu'il s'agit d'une "intention idéologique de fragiliser les motifs à la base de la dépénalisation de l'avortement".  

    A cela, le projet du gouvernement et du parlement se justifie par des raisons pratiques et également morales. En effet, après dix ans de tentatives, il s'agirait véritablement de reconnaître le foetus de telle manière que cela puisse aider les parents à faire le deuil de leur enfant né sans vie. Un enregistrement et des modalités d'inscription seraient alors possibles à partir d'un seuil de 140 jours. Mais, pour Henri Bartholomeeusen, donner un statut au fœtus représente un obstacle voire même une atteinte à l'accès à l'avortement. Selon lui, "ce serait un comble de voir un gouvernement à participation libérale laisser le CD&V détricoter la loi dépénalisant l'avortement", ancrée depuis 25 ans en Belgique grâce la sénatrice libérale flamande Lucienne Herman-Michielsens. "Les partis du gouvernement sont-ils conscients du fait que la reconnaissance d'un état civil, avec prénom et nom de famille, pour un fœtus de 20 semaines, constitue une intrusion violente dans la manière de faire le deuil de cette grossesse? ", a-t-il ajouté.  

    Il dénonce l'instrumentalisation idéologique de la douleur des personnes concernées en s'appuyant sur le fait que, lors des auditions en commission parlementaire, seuls des juristes sont entendus là où l'intervention de psychiatres ou psychologues serait nécessaire. Le CAL souligne l'incompatibilité entre le fait de continuer à permettre aux femmes d'avorter à 12 semaines de grossesse et le fait de donner un nom de famille aux restes d'une fausse-couche. Les laïques demandent le strict respect de l'autonomie de la femme tout en veillant à la singularité des individus confrontés à l'épreuve d'une fausse-couche.  

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    Source :  Belga « Donner un statut au fœtus, c'est porter atteinte à l'accès à l'avortement ». Publié le 4 juin 2015, consulté le 5 juin 2015. Disponible sur : http://www.levif.be/actualite/sante/donner-un-statut-au-foetus-c-est-porter-atteinte-a-l-acces-a-l-avortement/article-normal-398777.html

  • Institut du Christ-Roi : 11 nouveaux prêtres et 7 diacres le 2 juillet prochain

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    Lu sur « Riposte catholique » :

    Dans sa lettre d’informations par internet, l’Institut du Christ Roi annonce ses ordinations à venir :

    A l’occasion de la fête du Très Saint Sacrement, c’est avec une immense joie que nous pouvons vous annoncer que 11 séminaristes de notre Institut (dont 8 français) seront ordonnés prêtres le 2 juillet prochain, par l’imposition des mains de S.E.R. le Cardinal Burke ; 7 séminaristes seront également ordonnés diacres. Nous les confions tous à vos prières, pour qu’ils soient tous des prêtres selon le coeur de Jésus !

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    On peut lire ici la lettre aux amis et bienfaiteurs de l’Institut."

    Ref. 11 nouveaux prêtres pour l’Institut du Christ Roi

    JPSC

  • Le Père Michel-Marie (Zanotti) n'a pas perdu la foi!

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    LE PÈRE MICHEL-MARIE N’A PAS PERDU LA FOI

    2.VI.2015 - Causeur (source)

    Après avoir été chanteur et pianiste en de nombreux piano-bars et cabarets pendant dix ans, Michel-Marie Zanotti-Sorkine est devenu le curé de la paroisse catholique Saint-Vincent-de-Paul, dite « Les Réformés », à Marseille sur la célèbre artère de La Canebière. Son ministère dans la cité phocéenne a été marqué par le retour en masse des fidèles, grâce en partie à son charisme, mais aussi à ses talents de prédicateur, de chanteur et d’écrivain. Le père Michel-Marie a baptisé plus de mille personnes en dix ans à Marseille, dont un grand nombre de musulmans. Aujourd’hui, il partage son temps entre le sanctuaire de Notre-Dame du Laus (Hautes-Alpes) où la Vierge serait apparue au XVIIe siècle, et Paris où il enregistre en ce moment un album de chansons qu’il a composées lui-même. Il a écrit pas moins de dix livres, et considère avec bienveillance le monde des médias, car il les estime indispensable pour annoncer l’Evangile.

    Cependant, sa popularité lui a déjà joué des tours : le père Michel-Marie s’est vu refuser le poste de confesseur à la Chapelle de la Médaille Miraculeuse, rue du Bac, à Paris, pour engouement populaire. Serait-ce là le signe que l’Église catholique ne vise pas son développement ? Le père Michel-Marie livre en exclusivité à Vice sa vision d’une Église aux portes grandes-ouvertes, en harmonie avec notre époque, sans pour autant dénaturer la force de la doctrine chrétienne.

    En prenant vos fonctions à l’église Saint-Vincent-de-Paul, «  les Réformés », aviez-vous en tête un plan pour provoquer cet afflux de fréquentation sans précédent ?

    Aucun plan. J’ai probablement agi par inspiration divine… Je veux le croire puisque rien de grand ne se fait sans que Dieu ne mette sa main. Cependant, j’étais convaincu qu’il fallait tout réorganiser en ce lieu qui ne réunissait plus qu’une petite communauté d’une cinquantaine de fidèles.

    Avant de prendre mes fonctions, j’avais pris pour seule décision de me consacrer entièrement à ma mission sans m’accorder un seul jour de repos, car sans investissement passionné, sans concentration sur la mission confiée, il eût été impossible de redonner un nouvel élan à ce lieu agonisant. Les trois premières années, assisté de nombreux bénévoles aux cœurs généreux, j’ai travaillé, avec l’aide de Jésus et de Marie, bien sûr, à la renaissance du lieu : présence continue du prêtre, ouverture de cœur maximale pour comprendre les situations et les êtres, liturgies magnifiques, Messes du Dimanche somptueuses, pleines de foi et de beauté, prédications de feu, confessions tous les jours et prières inlassables adressées à la Vierge Marie. Cet agencement a suffi pour que la foule se presse et que les conversions abondent. J’allais oublier un point essentiel : très rapidement, j’ai consacré l’église à Marie, c’est dire je la lui ai donnée pour qu’elle en soit l’âme. Quand Marie est là, Jésus débarque ! Au Ciel, ils sont ensemble et depuis 2000 ans sur la terre et ils aiment à travailler l’un avec l’autre, cœur contre cœur.

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  • Verviers, 7 juin : célébration solennelle de la Fête-Dieu à l'église Sainte-Julienne

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  • Bruxelles (Notre-Dame de la Chapelle), 7 juin : Messe des Fleurs

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    Un décor plein de finesse et de charme pour une célébration UNIQUE…

    Loin des manifestations extravagantes et bruyantes …. « empailletées » et artificielles…

     

    Le dimanche 7 juin à 12h30 à Bruxelles

     

    La messe des fleurs où l’âme s’élève par la beauté musicale et florale.

     

    Le chœur sera assuré par Monica Nève et Nativitas qui fête cette année ses 40 ans !

    Nativitas, consacrée à la Sainte-Famille, accueille grands et petits. 

     

    Les enfants couronnés de fleurs,

    Les arrangements floraux superbes,

    Le cadre priant,

    Tout ceci pour rendre grâce et prier ensemble en cette eucharistie dominicale,

     

    Eglise Notre Dame de la Chapelle, Bruxelles. (Gare centrale)

     

    Tout enfant qui aimerait participer plus activement à la messe des fleurs, peut 
    contacter Sabine de Clippele: 0484.07.77.03 ou

     sabinedeclippele@hotmail.com

  • Le pape François en Bosnie : Où en est le dossier Medjugorje ?

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    Alors que beaucoup attendaient une décision du pape sur Medjugorje, lieu d'apparitions mariales supposées, à l'occasion de sa visite éclair à Sarajevo en Bosnie-Herzégovine ce 6 juin, il semblerait que celle-ci ne soit toujours pas d'actualité. De Marie-Lucile Kubacki sur le site web de « La Vie » :

    « En découvrant que le pape se rendait en Bosnie-Herzégovine, les passionnés de « Medj », qu'ils soient fans ou détracteurs, avaient eu une bouffée d'espoir : que François soulage un suspense vieux de cinq ans, depuis que le pape Benoît XVI avait demandé à une commission dirigée par le cardinal Ruini de tirer au clair l'affaire de ces apparitions supposées qui auraient commencé en 1981, attirant au fil des années des millions de pèlerins. En janvier 2014, cette commission d'enquête avait terminé son travail et remis le dossier à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (CDF) qui doit transmettre ses conclusions au Pape à qui reviendra le dernier mot. Le timing était donc idéal pour une mise au point.

    Mais lors de la conférence de presse consacrée au voyage, le porte parole de la salle de presse du Saint Siège, le père Frederico Lombardi, a refroidi les ardeurs en déclarant qu'il n'excluait pas une prise de parole du pape – qui ne devrait pas manquer d'être interrogé sur le sujet lors du traditionnel échange avec les journalistes dans le vol papal – mais qu'il la tenait pour « improbable », le but du voyage étant consacré à la paix et à la réconciliation, vingt ans après la guerre qui a déchiré le pays et le programme du pape ne prévoyant aucun détour par Medjugorje. Le porte-parole a par ailleurs ajouté que la CDF poursuivait ses études et ses approfondissements. »

    Ref. Où en est le dossier Medjugorje ?

    JPSC

  • Cardinal Sarah : le pape François veut que se poursuive le travail liturgique de Benoit XVI

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    Selon l’agence « Catholic News Agency » relayée en traduction sur le Forum catholique :

    _DSC8420cover.jpg"Cité du Vatican, 3 juin 2015 / (Actualités CNA/EWTN).

    Le Cardinal Robert Sarah, Préfet de la Congrégation pour le culte divin, a révélé dans une lettre envoyée à une conférence liturgique cette semaine que, lorsqu'il a été nommé à son poste, le Pape François a exprimé le désir de continuer l'œuvre liturgique accomplie par son prédécesseur comme évêque de Rome.

     "Quand le Saint-Père, le Pape François, m'a demandé d'accepter le ministère de Préfet de la Congrégation pour le culte divin et la Discipline des Sacrements, j'ai demandé: "Votre Sainteté, comment voulez-vous que j'exerce ce ministère ? Que voulez-vous que je fasse comme préfet de cette Congrégation?" La réponse du Saint-Père a été claire. "Je veux que vous continuiez à mettre en œuvre la réforme liturgique du Concile Vatican II," dit-il, "et je veux que vous continuiez le bon travail dans la liturgie commencé par le Pape Benoît XVI". Ceci, le Cardinal Sarah l'a écrit dans une lettre adressée à la Conférence Sacra Liturgia, qui a été rendue publique le 2 juin dernier.

    "Mes amis", écrit le cardinal, "je veux que vous m'aidier dans cette tâche."

    La Conférence Sacra Liturgia est organisée chaque année et traite de l'importance de la formation liturgique au sein de l'Église. C'est l'une des initiatives de la nouvelle évangélisation et un soutien à la catéchèse liturgique des fidèles.

    Le Cardinal Sarah, qui a été nommé à la tête de la Congrégation pour le culte divin en novembre 2014, a demandé à Sacra Liturgia de "continuer à œuvrer à la réalisation des objectifs liturgiques du Concile Vatican II et à travailler pour continuer le renouveau liturgique promu par le Pape Benoît XVI".

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