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  • Pourquoi sainte mère Teresa est-elle si attaquée sur Internet ? Un décryptage d'Arnaud Dumouch

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    Pourquoi sainte mère Teresa est-elle si attaquée sur Internet ? (14 mn)

    Par Arnaud Dumouch le dimanche 04 Septembre 2016

    Depuis quelques temps, la mémoire de nombreux témoins du Christ est attaquée « post mortem » sur Internet, et les rumeurs les plus insensées sont lancées, sachant qu’elles auront leur vie propre dans les réseaux sociaux. Mère Teresa est attaquée plus que tout autre. Passons sur les accusations de malversations financières. Sa vie modeste de religieuse témoigne pour elle.

    Les attaques viennent de sa droite et de sa gauche.

    Les milieux sédévacantistes (ceux qui affirment que tous les papes depuis Jean XXIII ne sont pas de Dieu) lui reprochent d’avoir accompagné les mourants dans leur propre religion de naissance (hindouisme ou islam) sans avoir cherché à les convertir dans leurs derniers moments. Selon eux, elle a imité en cela un autre saint « douteux » d’après eux, saint Maximilien Kolbe, mort à Auschwitz en accompagnant les Juifs avec les psaumes du roi David.

    Les milieux humanistes l’accusent d’avoir volontairement privé les mourants d’analgésique au prétexte que la souffrance serait rédemptrice.

    Qu’en est-il vraiment ? Quel rapport ont ces attaques avec son discours à l’ONU : « Mais aujourd’hui on tue des millions d’enfants à naître et nous ne disons rien. Tout le mal qui se répand dans le monde vient de cela. »

  • La langue des journalistes : destruction du langage et fabrication du consentement

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    LA LANGUE DES MEDIAS 

    DESTRUCTION DU LANGAGE ET FABRICATION DU CONSENTEMENT 

    9782810006960.jpgIngrid Riocreux

    • Paru le 16 Mars 2016
    • 336 pages
    20,00 €
    Disponible
     
     

    Une étude très fine de la langue des journalistes actuels en France et de son impact sur notre façon de comprendre le monde, avec des exemples très concrets, vivants où chacun retrouvera les radios, TV ou journaux qu’il consulte.

    De même que le Journaliste reproduit les formules de ses confrères, reprend sans réflexion leurs mots, adopte par mimétisme grégaire leur parlure, de même il ne cesse de reproduire des tournures de phrases et de répéter des termes qui impliquent un jugement sur les événements.

    Prenant pour des données objectives et évidentes des opinions qui sont en fait identifiables comme des points de vue propres à des courants de pensée, il contribue à répandre une doxa faite de préjugés, de stéréotypes et de présupposés qui sont au fondement des croyances de notre société.

    Car si le langage du journaliste fonctionne comme la vitre déformante à travers laquelle on nous montre le présent, il est aussi une fenêtre trompeuse ouverte sur le passé et sur l’avenir. Analyser le discours du Journaliste, c’est donc, d’une certaine manière, mettre au jour l’inconscient de notre société dans tout ce qu’il comporte d’irrationnel.

    Non seulement sa langue reflète le délitement actuel de la parole, c’est-à-dire de ce qui rend possibles les relations humaines, mais elle cristallise aussi le paradigme de pensée de notre société : les mots du journaliste sont porteurs de tous les préjugés de notre temps, de toutes ces vérités tenues pour évidentes quoique jamais démontrées, d’une répartition arbitraire entre les bons et les méchants, d’une hiérarchisation morale des régimes politiques, d’une vision préconçue du sens de l’histoire, etc.

    Observer le parler journalistique, c’est donc prendre, à un instant « t », une photographie de cette chose si éphémère qu’est l’esprit d’un monde.

  • Louveigné (Cité Notre-Dame de la Vie), 6 octobre : rencontre avec Micheline et Jacques Philippe, fondateurs du "Souffle de Vie"

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  • Spa, septembre-octobre : "l'adoption au-delà de la différence", une conférence et une exposition

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  • Non à la "journée internationale d'action pour la dépénalisation de l'avortement" à l'ONU; je signe la pétition

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    Le lobby international pour l'avortement, au sein de l'Organisation des Nations-Unies, veut établir une « Journée mondiale de l'avortement » le 28 Septembre. S'il vous plaît, ne laissons pas cela passer. Il n’y a vraiment pas de quoi se réjouir, face à ce génocide déguisé en « droit de l’Homme qu'il conviendrait de défendre ».

    Il y a quelques semaines, une coalition de 430 groupes pro-avortement a adressé une lettre au Secrétaire général des Nations-Unies, Monsieur Ban Ki-moon, ainsi qu’aux responsables  d'ONU-Femmes, du Programme de développement des Nations Unies, de l'Organisation mondiale de la Santé, du Fonds des Nations Unies, de l'ONUSIDA et de l'UNESCO, en demandant la création d’une « fête spéciale avortement», au niveau mondial. Ce procédé est infâme. De nombreux pays ne reconnaissent pas le meurtre des enfants dans le sein de leur mère, comme un droit fondamental. Et heureusement. Mais comme il s’agit des pays les plus pauvres, les pays riches risquent de passer en force…

    Selon cette lettre, le 28 septembre sera déclarée « journée internationale d'action pour la dépénalisation de l'avortement ».

    Une fois de plus, le lobby de l'avortement utilise des euphémismes pour pousser son ordre du jour. La journée ne serait pas ouvertement « pro-mort » mais « contre la pénalisation de l’infanticide ». Mais nous savons, nous, ce qu’est l’avortement. Dans 100% des cas, un bébé innocent meurt ; et dans presque autant de cas, la mère est profondément choquée sinon désespérée.

    La lettre du lobby de l'avortement fait valoir, "Nous ne sommes pas des criminels. Aucun d'entre nous devrait être poursuivi pour quelque chose qui est un évènement normal de la vie d’une femme (...) L'avortement sans risque est un service de santé essentiel pour les femmes ". Mais « sans risque » pour qui ? Pas pour l’enfant, en tous cas.

    Leur objectif est clair: faire pression pour la légalisation de l'avortement dans les pays où il est illégal, et établir un «jour de fête» qui sera utilisé pour déployer une propagande pro-avortement.

    Le lobby de l'avortement est uni pour tuer des enfants par dizaines de millions. Maintenant, il nous faut, nous aussi, nous unir, afin que la vie soit plus forte que la mort. Nous devons adresser un message clair à l'ONU : il n'y a pas d'avortement sans risque pour la femme. Cela n’existe pas. Et pour ce qui est de célébrer le meurtre d'êtres humains innocents, il en va franchement à l'encontre d’un droit fondamental : le droit à la vie.

    Si vous signez cette pétition, votre message sera directement adressé au Secrétaire Ban Ki-moon. S'il vous plaît rejoignez-nous pour que cette monstrueuse demande ne soit pas retenue par l’ONU.

    La pétition se trouve ici : http://www.citizengo.org/fr/lf/37036-lonu-organise-une-journee-mondiale-lavortement?

  • Le pape a rendu hommage au père Jacques Hamel, victime d'une violence satanique

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    De Radio Vatican  (Manuella Affejee):

    L'hommage du Pape au père Jacques Hamel, victime d'une violence «satanique»

    (RV) «Tuer au nom de Dieu est satanique» : c’est ce qu’a répété avec force le Pape François dans son homélie, au cours de la messe qu’il a célébrée tôt ce mercredi matin, dans la chapelle de la maison Ste Marthe. Cette messe du 14 septembre 2016, en la Fête de la Croix glorieuse, était célébrée à l'intention du père Jacques Hamel, assassiné le 26 juillet dernier.

    La célébration s'est tenue en présence de Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, et d’un groupe de 80 pèlerins du diocèse, dont deux sœurs et un neveu du père Jacques Hamel.
     

    L’Église compte aujourd’hui plus de martyrs qu’aux premiers temps. Depuis les premiers siècles, jusqu’à nos jours, des chrétiens, hommes et femmes, sont assassinés, emprisonnés, torturés, égorgés, parce qu’ils ont refusé de nier le Christ. Le père Jacques Hamel, dont la photo était simplement disposée sur l’autel, est l’un d’eux. Ce prêtre «doux, bon, fraternel, qui cherchait toujours à faire la paix» a été tué comme s’il était un criminel, égorgé, alors qu’il célébrait justement le sacrifice suprême du Christ sur la Croix. Cette Croix glorieuse que l’Eglise fête aujourd’hui.

    Et le Pape François de remarquer : le père Hamel, au milieu de ses souffrances, «n’a pas perdu la lucidité, et a nommé son assassin : "Va t’en,satan !"», aurait-il lancé à deux reprises à ses bourreaux. Car la cruauté de la persécution qui vise les chrétiens est «satanique», a affirmé le Pape. Et«comme il serait bon, a-t-il poursuivi, le visage grave, que toutes les confessions religieuses disent que "tuer au nom de Dieu est satanique"».

    Le père Hamel a donné sa vie pour ne pas renier le Christ. «C’est un martyr, lancé le Pape, et les martyrs sont bienheureux ! Nous devons le prier pour qu’il nous donne la douceur, la paix, la fraternité, et aussi le courage de dire la vérité  : tuer au nom de Dieu est satanique», a répété le Saint-Père, revêtu d'un chasuble rouge, couleur liturgique de la mémoire des martyrs.

    Pour revoir la messe dans son intégralité :

  • Ce 14 septembre, le pape François célèbre sa messe pour le père Hamel

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    Quoi qu’il pense du point de savoir si le germe de la violence peut être écarté de la parole de l’Islam et de son fondateur n’empêche évidemment pas le pape François d’exprimer sa réprobation de l’assassinat du P. Hamel et d’offrir aujourd’hui sa messe matinale pour lui. Son porte-parole le fait savoir dans un communiqué de presse et la célébration sera diffusée sur CTV (la télévision du Vatican). Lu sur le site de "Famille chrétienne" : 

    « Le 14 septembre 2016, le pape François célébrera la messe à  la chapelle de Sainte-Marthe au Vatican, “en signe de proximité“ avec les proches du Père Jacques Hamel et toute la communauté de Rouen (France), a affirmé le 13 septembre un communiqué de Greg Burke, directeur de la Salle de presse du Saint-Siège. Un groupe de 80 pèlerins normands emmenés par leur évêque, Mgr Dominique Lebrun, assisteront à la messe du pape, en mémoire du prêtre assassiné le 26 juillet 2016 dans sa paroisse de Saint-Etienne du Rouvray (Seine-Maritime).

    Le Saint-Siège avait alors dénoncé un “meurtre barbare“ et fait part de la “douleur“ du pape, “particulièrement bouleversé par cet acte de violence qui s’est déroulé dans une église au cours d’une messe, action liturgique qui implore de Dieu sa paix pour le monde“, avait affirmé le Souverain pontife, dans un télégramme adressé, le 26 juillet, à l’archevêque de Rouen (France). 

    Quelques heures plus tôt, deux hommes armés de couteaux avaient surgi dans une église de Saint-Etienne-du-Rouvray, près de Rouen, au cours de la messe. Ils avaient pris en otages cinq personnes qui se trouvaient à l’intérieur, puis tué le prêtre et grièvement blessé une fidèle âgée. En sortant de l’église, les deux preneurs d’otages, “deux terroristes se réclamant de Daech“, selon le président de la République François Hollande, avaient été tués par les forces de l’ordre. Dans l’homélie des funérailles du Père Jacques Hamel, le 2 août, Mgr Dominique Lebrun avait révélé que le prêtre s’était écrié : “va-t’en Satan !“, à la figure de ses assaillants. 

    Exceptionnellement, la messe de suffrage en l'honneur du prêtre assassiné, le 14 septembre à Sainte-Marthe, sera diffusée en direct sur CTV, la chaîne de télévision du Vatican. »

    Ref. Ce 14 septembre, le pape célébre sa messe pour le père Hamel

    JPSC