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  • Attentats islamistes contre 3 églises en Indonésie : 11 morts et 41 blessés

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    De RT France :

    11 morts dans des attentats contre des églises en Indonésie, des enfants utilisés pour les attaques

    Pays musulman à majorité sunnite le plus peuplé au monde, l'Indonésie, qui compte de nombreuses minorités, a été frappée par le terrorisme. Des djihadistes de Daesh y ont semé la terreur, le 13 mai, en opérant trois attentats contre des églises.

    Le groupe djihadiste Daesh a revendiqué le 13 mai trois attentats à la bombe ayant visé le même jour plusieurs églises en Indonésie. Le bilan fait état d'au moins 11 morts et de 41 blessés.

    Dans son organe de propagande, le groupe terroriste fait état de «trois attaques kamikazes» qui ont frappé «les gardiens des églises et des chrétiens dans la ville de Surabaya», en Indonésie.

    L'archipel d'Asie du Sud-Est est en état d'alerte depuis une série d'attentats perpétrés ces dernières années, dont certains par l'Etat islamique (EI), sachant que ses minorités religieuses font face à une intolérance de plus en plus marquée.

    La télévision indonésienne a diffusé des images d'une personne conduisant sa moto à proximité d'une église avant qu'une explosion ne se produise.

    Des témoins interrogés par des chaînes de télévision ont affirmé qu'un des attentats avait été commis par une femme voilée qui était accompagnée de deux enfants. La police n'a donné aucune précision sur les suspects et on ignore ce qu'il serait, le cas échéant, advenu des deux enfants. Toutefois, Joko Widodo, le président indonésien, a confirmé que deux enfants avaient bien été utilisés dans le cadre de l'attentat.

    D'autres images montraient un véhicule en feu d'où s'élevait une colonne de fumée noire, ainsi qu'un corps gisant devant une porte de l'église catholique Santa Maria à Surabaya.

    Des démineurs ont par ailleurs désamorcé deux bombes à la Gereja Pantekosta Pusat Surabaya (Eglise pentecôtiste du centre de Surabaya), où a eu lieu l'un des attentats.

    La troisième église qui a été visée est celle de Kristen Indonesia Diponegoro.

    Ces attaques surviennent quelques jours après que cinq policiers et un détenu ont été tués au cours de violents affrontements dans une prison de haute sécurité en banlieue de Jakarta. L'EI avait revendiqué l'incident mais la police indonésienne avait écarté l'implication de l'organisation terroriste, l'attribuant à un autre groupe djihadiste, Jamaah Anshar Daulah.

    L'intolérance religieuse a augmenté ces dernières années en Indonésie, pays de 260 millions d'habitants dont près de 90% sont de confession musulmane, mais qui compte aussi des minorités chrétienne, hindoue et bouddhiste.

  • L'unité au sein de l'Eglise catholique en péril

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    ALERTE SUR LA COMMUNION DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE

    Alerte générale dans l'Eglise. Mais François la laisse retentir dans le vide | Diakonos.be

  • "Corps célestes" : le défilé du blasphème à New York lors du Met Gala 2018... avec l'approbation des autorités ecclésiastiques

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    De Jeanne Smits sur "réinformation.tv" :

    Le Met Gala 2018 à New York : le défilé du blasphème sur le thème « Corps célestes »

    Met Gala 2018 New York défilé blasphème Corps célestes

    Nouveau scandale catholico-culturel ! Un gala de vernissage et de bienfaisance a marqué le début de l’exposition Heavenly Bodies (« Corps célestes ») au Metropolitan Museum of New York, qui ouvrira officiellement ses portes à l’Ascension sur le thème : « La mode et l’imagination catholique. » Le monde du showbiz était amplement représenté, les stars faisant leur entrée à la Met Gala 2018 revêtues de vêtements inspirés d’ornements liturgiques et de l’iconographie catholique détournés d’une manière qu’il faut bien qualifier d’infernale. Un véritable défilé du blasphème, en présence du cardinal Timothy Dolan – mais oui ! L’incontournable père jésuite James Martin, consulteur de la salle de presse du Vatican et grand ami de la communauté LGBT, était lui aussi présent. Car c’est avec l’autorisation du Vatican, qui a prêté de nombreux vêtements et objets exposés dans Heavenly Bodies, que le thème « catholique » a été proposé aux participants.

    Couvrant mal des kilomètres de chair fraîche, jupes fendues jusqu’à la taille et décolletés peu gourmands en tissu, les robes richement ornées se sont succédé sur leurs portemanteaux du monde du spectacle. Visages d’icônes de la Très Sainte Vierge Marie sur le corps sculptural de Stella Maxwell : la robe bustier était un scandale en soi… Croix brodées sur robe de cardinal découpées aux endroits stratégiques pour Ruby Rose… Fausses robes de religieuses, avec chapelets sur latex… Blake Lively avait choisi une robe rouge rebrodée avec une auréole de type Vierge espagnole et des kilomètres de jambes dénudées. Irina Shayh, en doré, aurait été plus sincère en ne portant rien du tout. Croix et médailles, fausse mitre sur mini-mini-robe pour Rihanna, pendentif Saint-Esprit en sautoir, et même une crèche miniature sur la tête de Sarah Jessica Parker, qui, elle, avait au moins une robe décente.

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  • Succès de foule pour la mobilisation pro-vie en Irlande

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    https://www.irishtimes.com/news/social-affairs/thousands-gather-for-love-both-rally-in-dublin-1.3493432

    En français : la dépêche parue sur le site de Libération

  • L'Eglise de France dans la tourmente de mai 68 par l'historien Yves Chiron sur RCF

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    De RCF :

    L'Eglise de France dans la tourmente de mai 68 par l'historien Yves Chiron

    Présentée par Thomas Cauchebrais

    MERCREDI 9 MAI À 19H35

    DURÉE ÉMISSION : 25 MIN

    L'Eglise de France dans la tourmente de mai 68 par l'historien Yves Chiron

    © Yves Chiron

    Pour l'historien vendéen qui publie «L'Eglise dans la tourmente de 1968» chez Artège, Mai 68 est un choc qui a aggravé la crise de l'Eglise et dont les conséquences se ressentent toujours.

    INVITE : Yves Chiron , historien specialiste de l'Eglise catholique

  • La "nouvelle messe" injustement appelée "messe de Paul VI"...

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    Pour rétablir la vérité sur la réforme liturgique...

      la nouvelle messe injustement appelée "Messe Paul VI" !!!

    (Par Mgr J. Masson, le 1er octobre 2009)

    Mgr Masson commence par le témoignage du Père Louis Bouyer...

    Le Père Bouyer (1913 – 2004) fut pasteur luthérien jusqu'à la seconde guerre mondiale. Puis converti au catholicisme, il est devenu prêtre de l'Oratoire.

    Professeur à l'Institut catholique de Paris jusqu'en 1963, il a ensuite enseigné en Angleterre, en Espagne et aux USA.

    Deux fois nommé par le pape à la Commission internationale de théologie, il a été consultant au concile de Vatican II pour la Liturgie, la Congrégation pour le Culte et le Secrétariat pour l'unité des chrétiens.

    Il a écrit de nombreux ouvrages dont :

    Architecture et liturgie ; Autour d'Érasme ; La Bible et l'Évangile ; Le Consolateur ; Cosmos ; Du Protestantisme à l'Église ; L'Église de Dieu ; Figures mystiques féminines ; Le Fils éternel ; Gnôsis ; L'Incarnation et l'Église-Corps du Christ ; Le Mystère pascal ; Le Père invisible ; Le Rite et l'homme ; Sophia ou le Monde en Dieu ; Le Trône de la Sagesse ; La Vie de la liturgie ; La spiritualité du Nouveau Testament et des Pères.

    Le Père Louis Bouyer, de l’Oratoire a participé au concile Vatican II comme consulteur.

    Personnalité marquante du Mouvement liturgique (Le Mystère pascal, 1945) et promoteur de la réforme, il en dénonce violemment les déviations et les malfaçons dans les dérives postconciliaires (La Décomposition du catholicisme, 1968 ; Religieux et clercs contre Dieu, 1975) :

    « Ils ont alors en pratique substitué à la liturgie de l'Église et à la tradition vivante avec laquelle ils voulaient renouer une pseudo-liturgie quasiment fabriquée de toutes pièces...». II fustige la perte du sens des origines, du sens du sacré, et le mépris des clercs pour les fidèles :

    « Même ce qu'il y avait de bon dans la réforme liturgique a été appliqué d'une manière qui ne l'était nullement. »

    « Jamais on n'a imposé aux laïcs d'une manière aussi impertinente la religion des prêtres ou leur absence de religion... ».

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  • L'islam, religion ou idéologie ?

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    D'Annie Laurent, paru sur Clarifier, La Petite Feuille Verte, 6 avril 2018

    L'Islam n'est-il qu'une religion ?

    Le Figaro daté du 20 mars 2018 a publié une tribune intitulée "Non au séparatisme islamiste". Signée par 100 intellectuels, parmi lesquels plusieurs sont de souche musulmane, ce texte s’alarme du "ségrégationnisme" qui accompagne le développement de l’islam en France. "Le nouveau séparatisme avance masqué. Il veut paraître bénin, mais il est en réalité l’arme de la conquête politique et culturelle de l’islamisme".

    Ce texte pose en filigrane la question de l’identité réelle de l’islam. Est-il seulement une religion, à considérer comme les autres, ainsi que le répète le discours officiel, ou bien doit-on le définir comme une idéologie ? A l’heure où le gouvernement cherche à organiser un "islam de France", cette question doit être posée en toute clarté. C’est à une réflexion sur ce thème difficile qu’Annie Laurent vous invite aujourd’hui.

    Après un XXème siècle marqué par l’émergence d’idéologies totalitaires prétendant imposer leurs systèmes au monde, le XXIème siècle s’est ouvert sur l’apparition d’un autre projet dominateur : celui de l’islam conquérant. Les attentats spectaculaires et très meurtriers commis le 11 septembre 2001 contre les Tours jumelles de New-York ont inauguré cette nouvelle forme de totalitarisme paré de couleurs religieuses qui, depuis lors, se répand dans tout l’univers, perturbant un monde largement touché par la sécularisation. Face à cette situation imprévue et déroutante, une interrogation revient de plus en plus souvent : l’islam est-il vraiment une religion ? N’est-il pas plutôt une idéologie ?

    Il convient d’abord de situer la question dans l’ordre général, comme le fait le philosophe Rémi Brague dans son dernier ouvrage, Sur la religion (Flammarion, 2018), où il développe une pensée puissante sur ce thème, en accordant à l’islam une place importante. Observant le foisonnement de réalités que le terme "religion" recouvre (panthéon de dieux, monothéisme, religion séculière, etc.), l’auteur refuse d’y voir un concept unique qui répondrait à une seule et même définition. En fait, écrit-il, "le christianisme est la seule religion qui ne soit qu’une religion et rien d’autre". Et de remarquer : "Toutes les autres religions ajoutent au religieux une dimension supplémentaire" (p. 40). C’est pourquoi "la nature exclusivement religieuse du christianisme explique le fait que le concept de religion, appliqué à des phénomènes aussi divers que le bouddhisme, l’islam, le confucianisme, le shinto, etc. – bref, ce que nous avons pris l’habitude d’appeler “des religions” – ait été forgé dans un contexte intellectuel chrétien et s’applique mal aux autres “religions” » (p. 42).  L’auteur exprime bien la complexité de la question posée. Il ne nie pas la dimension religieuse de l’islam mais il sait que celle-ci n’est pas exclusive.

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  • Le témoignage d’un jeune séminariste belge étudiant au séminaire de Wigratzbad en Bavière

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    Témoignage d’un séminariste : « Cela ne venait pas de moi mais de Dieu »

    30176238_223152514930379_1179081814_o (1).jpgJeune séminariste à Wigratzbad, en Bavière, Alexis Piraux a accepté de répondre à quelques questions à propos de son parcours. Etant belge, il a d’abord étudié la théologie à l’UCL avant d’entrer au séminaire de la Fraternité Saint-Pierre (FSSP).

    Quand avez-vous su que vous vouliez devenir prêtre ? Y a-t-il eu une sorte de déclic ?

    Sans doute y a-t-il eu un jour un « déclic », un jour où pour la première fois j’ai pris conscience que je portais en moi le désir de devenir prêtre. Mais je n’ai pas de souvenir de ce jour. Ce qui est sûr, c’est que le temps passant, la conviction que Dieu m’appelait au sacerdoce s’est ancrée de plus en plus profondément dans mon esprit.

    Quelles ont été les grandes étapes de votre parcours ?

    Je voulais rentrer au séminaire dès la fin de mes études secondaires. Mes parents m’ont alors encouragé à aller d’abord à l’université, pour prendre le temps de discerner davantage. J’ai étudié la théologie pendant cinq ans à Louvain-la-Neuve. Je ne cache pas que pendant ces années, pour diverses raisons, parmi lesquelles la vie étudiante et un manque de formation spirituelle, le désir de devenir prêtre a été plus ou moins fort. Je dois cependant reconnaître que, même au creux d’une terrible crise spirituelle et d’un certain relâchement moral, triomphait toujours cette conviction d’être appelé au sacerdoce. C’est alors que j’ai vraiment compris que cela ne venait pas de moi mais de Dieu. Après mes études, j’ai pris la décision d’entrer au séminaire interdiocésain de Namur.

    C’est au cours de mon passage à Namur que, suite à des lectures, je me suis intéressé à la liturgie traditionnelle, ou forme extraordinaire du rite romain. J’ai assisté de temps en temps à la messe traditionnelle en semaine et certains dimanches. Rapidement j’ai senti ma vocation sacerdotale s’enraciner et se développer dans le cadre de la liturgie traditionnelle.

    Mon essai au séminaire ayant pris fin après quelques mois, j’ai travaillé un an comme professeur de religion dans l’enseignement spécialisé ; et en même temps, je suivais l’année d’agrégation à l’UCL. Cette année « de transition » a été l’occasion d’approfondir non seulement ma connaissance et mon attachement à la liturgie traditionnelle, mais également ma foi et ma vie de prière. Je découvrais davantage la richesse de la foi et de la spiritualité catholiques. Je me suis également reposé la question de la vocation. J’avais été quelque peu déstabilisé par la fin de mon essai au séminaire. Dieu voulait-il vraiment que je sois prêtre ? En plus, je faisais à l’époque la connaissance de jeunes femmes catholiques pieuses et sérieuses … J’ai sérieusement envisagé le mariage ! J’ai pu faire un bon discernement, avec l’aide de mon directeur spirituel, et d’une retraite d’une semaine à l’abbaye du Barroux en France. Je suis ensuite allé visiter le séminaire de la Fraternité Saint-Pierre à Wigratzbad (Bavière), où j’ai pu rencontrer les prêtres formateurs et des séminaristes. J’ai rempli le dossier de candidature … Et maintenant je suis en troisième année. Et tout va bien, grâce à Dieu.

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  • Avioth, 2-3 juin (Fête-Dieu) : nuit d'adoration à la basilique Notre-Dame

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    Avioth.jpg

    "Avioth (France, 55, 10km d'Orval), 1ère Nuit d'Adoration "POUR LA GLOIRE DE DIEU ET LE SALUT DU MONDE". 

    Du samedi 2 juin, 21h au dimanche 3 (Fête-Dieu), 9h. Clôture par la messe du Saint-Sacrement à 9h30.

    Possibilité de loger sur place ou de planter sa tente. 0033 329 867761.

    Le vitrail représenté sur l'affiche est visible depuis le choeur de la Basilique, puisqu'il est situé dans l'axe de la Tour eucharistique, mais c'est en parcourant le déambulatoire que l'on peut le mieux l'admirer. La présence de Sainte Julienne en ce lieu s'explique sans doute par sa proximité avec Jacques Pantaléon, futur Urbain IV, qui fut archidiacre de Liège avant de devenir, de 1253 à 1255, évêque de Verdun, diocèse auquel est rattachée Avioth. Quant à Saint Bernard, on sait que de passage à Avioth, sans doute lors de sa visite à Orval en 1132, il demanda que soit chanté le Salve Regina à la fin de chaque office. Cette recommandation est encore honorée de nos jours. La présence de Saint Benoît témoigne de l'influence bénédictine dans la région à cette époque, à travers notamment l'Abbaye féminine toute proche de Juvigny, où sont conservées des reliques du saint de Nurcie et de sa soeur, sainte Scolastique.

  • 15 000 personnes, dont plusieurs évêques catholiques et beaucoup de jeunes, à la Marche nationale pour la Vie à Ottawa

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    Le jeudi 10 mai 2018 avait lieu sur la Colline parlementaire, la Marche nationale pour la vie, un rendez-vous annuel depuis 1998 à Ottawa. Près de 15 000 personnes, dont plusieurs évêques catholiques et beaucoup de jeunes, ont montré un visage d’espérance pour les droits des enfants à naître et la dignité inhérente à chaque vie humaine.

    (... même si, malheureusement, plus de 50% des catholiques canadiens se disent pro-choix.)

    Voici le texte écrit du discours « Pour la vie! » prononcé par le cardinal Lacroix lors de la Marche nationale pour la Vie : 

    « Pour la vie ! »

    Je m’appelle Gérald Cyprien Lacroix. Je suis le cardinal-archevêque de Québec et, je l’affirme haut et fort, je suis pro-vie. Pourquoi? Parce que je ne conçois pas d’autre façon de vivre. Je suis pour la vie, toute vie humaine, depuis sa conception jusqu’à la mort naturelle. Chaque être humain mérite d’être respecté car chaque vie humaine est précieuse. On parle beaucoup, de nos jours, d’être inclusifs. Comment pouvons-nous parler d’inclusion alors que nous éliminons des vies humaines par milliers dans notre pays? Au Canada, 300 enfants sont avortés chaque jour. Près de 30,000 au Québec chaque année. Pourquoi n’ont-ils pas le droit de vivre ces enfants ? C’est une honte pour notre pays de ne pas avoir de compassion pour ces enfants qui seront les citoyens et citoyennes de demain et qui contribueront à sa prospérité.

    Je suis pro-vie, car je suis convaincu qu’il nous est nécessaire de veiller à protéger la vie en tout moment, à accueillir et à accompagner les personnes souffrantes, seules ou blessées autant que privilégier la vie des personnes qui profitent d’une bonne santé.

    Des milliers de chrétiens et de chrétiennes sont au service de la vie à longueur d’année, dans leurs familles, ou encore se dévouent pour accompagner des mamans qui vivent une grossesse difficile ou inattendue, ou encore qui assistent des personnes âgées ou malades.

    Je salue et félicite toutes les personnes qui se dévouent avec amour, compassion et respect parce que comme Jésus nous l’a enseigné dans l’Évangile, elles valorisent chaque personne et lui apportent le soutien nécessaire pour qu’elles vivent dignement.

    Trop souvent, on dit que les gens qu’on appelle « pro-vie » sont des gens contre : contre l’avortement, contre le droit des femmes, contre, contre, contre. Détrompez-vous, ajustez vos discours. Nous sommes pour la vie, pas contre. Et nous continuerons de mettre le meilleur de nos énergies au service de la vie et non de la mort et de l’exclusion.

    Aujourd’hui nous sommes ici sur la colline parlementaire de la capitale nationale. Dans quelques instants nous marcherons dans les rues d’Ottawa pour témoigner publiquement que nous sommes pro-vie, pour la vie. Demain, nous serons de retour dans nos familles, nos quartiers et nos communautés, pour continuer de servir nos frères et sœurs qui ont besoin. Il y a tant de personnes qui sont vulnérables et sans voix. Nous sommes conscients de notre mission d’être au milieu de ce monde, des personnes au service de la vie humaine.

    Bravo et merci pour tout ce que vous faites à longueur d’année ! Félicitations pour votre persévérance et pour votre engagement indéfectible pour la vie.

  • Les encouragements du pape à l'association catholique flamande "Logia"

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    D'Anita Bourdin sur zenit.org :

    Belgique: le pape invite l’association flamande « Logia » à bâtir des « ponts » (texte complet)

    Un « chemin d’humanisation à l’école de Jésus »

    Construire des « ponts » avec à la fois « audace » et « persévérance »: c’est la mission confiée par le pape François à l’association catholique belge « Logia ». Et pour cela il les invite à demander l’aide de l’Esprit Saint. Il indique une mission « d’humanisation » de la société.

    Le pape François a reçu une centaine de membres de l’association belge « Logia », née en Flandres, ce samedi matin, 12 mai 2017, au Vatican, indique le Saint-Siège.

    « N’ayez pas peur de demander avec insistance, dans votre prière et par votre participation aux Sacrements, l’aide de l’Esprit Saint pour que vous soit donné «un esprit de sainteté qui imprègne aussi bien la solitude que le service, aussi bien l’intimité que l’œuvre d’évangélisation, en sorte que chaque instant [de votre vie] soit l’expression d’un amour dévoué sous le regard du Seigneur» », exhorte le pape.

    Il invite aussi à « développer des liens de fraternité pour rendre visible cette communion dans les différences, dont l’Esprit Saint est le maître d’œuvre ».

    Il demande de bâtir « avec audace et persévérance, des ponts entre les hommes, entre les générations, entre les différents milieux sociaux et professionnels, et en portant une attention particulière aux petits, aux pauvres et à toutes les personnes qui sont, d’une manière ou d’une autre, excluese.

    Le pape parle d’un travail « d’humanisation » de la société dans l’Esprit Saint: « Suivre le Christ et de mettre en pratique ses paroles ne constitue jamais une perte d’humanité mais favorise le déploiement de nos talents et de nos compétences en vue du bien de tous, au service de l’édification d’une société plus juste, plus fraternelle, plus humaine ».

    Il exhorte à vivre « l’Évangile comme un chemin d’humanisation à l’école de Jésus ».

    Il indique un chemin de liberté, joyeux: « Ayez à cœur de manifester, en paroles et en actes, que la foi en Jésus-Christ n’est jamais synonyme d’enfermement parce qu’elle est ce don de Dieu offert à tous les hommes comme un chemin qui libère du péché, de la tristesse, du vide intérieur, de l’isolement et la source d’une joie que nul ne peut nous ravir ».

    Voici la traduction officielle du discours du pape François, prononcé en italien.

    AB

    Allocution du pape François

    Chers amis,

    soyez les bienvenus à l’occasion de votre visite à Rome. En vous remerciant pour votre présentation de l’association « Logia« , je veux exprimer mon cordial salut à tous ses membres, ainsi qu’aux personnes que vous rejoignez grâce à la diversité de vos initiatives.

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  • La Fête-Dieu 2018 à Liège : du 29 mai au 10 juin, pour tous les goûts

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    Pré-programme des festivités: cliquez sur les liens

    ci-dessous

    pour avoir plus d’informations.

    Mardi 29 mai

    20h00 Conférence d’ouverture: « Que nous apportent 2.000 ans de vie Eucharistique des Communautés Syriaques persécutées ? » par le père Fikri Gabriel, pasteur de l’Eglise Syriaque à Liège

    Mercredi 30 mai

    14h00-16h30 Adoration silencieuse au sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon: « Demeurez en présence du Ressuscité au cours de longs silences où rien ne semble se passer » frère Roger Schutz, Taizé

    Jeudi 31 mai

    9h30  Laudes animées par les bénédictines, Collégiale Saint-Martin. 10h00-18h00  Journée d’adoration, Collégiale Saint-Martin.

    19h00  Eucharistie festive de la Fête-Dieu, présidée par Mgr J-P. Delville, évêque de Liège, Collégiale Saint-Martin.

    20h15 Procession solennelle

    21h30-24h00 NightFever & 1.000 bougies pour la paix, Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    Vendredi 1 juin

    9h00 Eucharistie, Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    9h30 Présentation de l’enquête « Mann hou ? La messe c’est quoi pour vous ? ». Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    10h00-17h00 Journée d’adoration, animée par le Mouvement Eucharistique Liégeois (MEL), Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    10h00-11h00 Adoration, méditations et prières à Jésus réellement présent, animée par le chanoine J. Bodeson, Cathédrale Conversion de Saint Paul.

    20h00 Conférence par Mgr J-P Delville : « La Fête-Dieu, sacrement du corps et du sang du Christ, fruits de l’Arbre de Vie », sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon

    Samedi 2 juin

    11e édition des Journées des Eglises Ouvertes le samedi 2 et dimanche 3 juin 2018 sur le thème « 1001 visages ».

    14h00-18h00 Balade contée « De la source sainte-Julienne à Retinne à l’ancienne léproserie de Cornillon où vécut sainte Julienne ».

    16h00 Procession de la Fête-Dieu autour de la chapelle de Tancrémont.

    18h00 Messe avec les clarisses au sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon

    Dimanche 3 juin

    Eglise du Saint Sacrement

    10h00 Solennité de la Fête-Dieu, célébrée selon le missel de Saint Jean XXIII par Mgr Jean-Pierre Delville et suivie d’une réception ouverte à tous.

    13h00-18h00 Exposition d’art sacré sur la Fête-Dieu, en partenariat avec le Trésor de la Cathédrale de Liège, église du Saint Sacrement.

    Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon

    10h15 Louange festive animée par la Communauté de l’Emmanuel

    11h00 Messe festive UP Outremeuse en plein air et pic-nique tiré du sac, présidée par le doyen Jean-Pierre Pire

    12h00-17h00 Adoration eucharistique, avec les clarisses.

    14h30 Projection du film « Le grand miracle », pour tous et enfants à partir de 7 ans. Le film d’animation qui vous fera vivre la messe autrement.

    16h30 Vêpres et Salut au Saint-Sacrement

    Sanctuaire Notre-Dame de Banneux

    10h30 Messe internationale présidée par le Cardinal Versaldi, Préfet de la Congrégation pour l’éducation catholique

    14h00 Procession du Saint Sacrement dans le Sanctuaire suivie du Salut et la Bénédiction des malades, présidées par le Cardinal Versaldi, Préfet de la Congrégation pour l’éducation catholique

    16h00 Messe en français avec la participation de la chorale de la Vierge des Pauvres.

    Lundi 4 juin

    18h00 Eucharistie pour la fête de la bienheureuse Eve de saint-Martin, par Mgr Delville avec verre de l’amitié, collégiale saint-Martin

    Dimanche 10 juin

    10h00 Messe à l’église sainte-Marie des Anges et départ du pèlerinage en autocar
    11h00 Pèlerinage sur la tombe de sainte Julienne de Cornillon à l’abbaye de Villers-la-Ville

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    https://www.facebook.com/Liegefetedieu/

    JPSC