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Actualité - Page 1664

  • 11 nouveaux prêtres à la Communauté Saint Jean

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    Lu sur le « Salon beige », cette bonne nouvelle :

    « Le samedi 30 juin, au sanctuaire d’Ars, le Cardinal Robert Sarah, président du Conseil Pontifical Cor Unum, procédera à l’ordination de 9 prêtres et de 9 diacres.

    Plus tard dans l’année auront lieu d’autres ordinations de frères : 2 ordinations sacerdotales, une en Autriche et une en Côte d’Ivoire ; 3 ordinations diaconales seront célébrées respectivement au Brésil, Mexique et aux Etats-Unis.

    Les frères de Saint-Jean ordonnés cette année sont de 11 nationalités différentes (9 Français, 1 Lituanien, 1 Belge, 1 Autrichien, 1 Camerounais, 2 Ivoiriens, 1 Togolais, 1 Guinéen, 1 Sénégalais, 3 Américains et 2 Mexicains).

    Les nouveaux prêtres et diacres exerceront leurs ministères dans l’un des 63 prieurés des Frères de Saint-Jean répartis sur les 5 continents et dont une vingtaine est située en France. Ces religieux mènent une vie en petites communautés dont le cœur est l’oraison silencieuse, le témoignage de la charité fraternelle mais aussi une vie apostolique au service de l’Eglise : ils auront la charge de missions diverses. Ils seront aumôniers d’établissements scolaires ou dans le monde étudiant, curés de paroisse, professeurs de séminaires, au service de jeunes qui veulent se sortir de la drogue ou encore visiteurs de prison, etc.

    La Communauté des Frères de Saint-Jean compte plus de 540 frères (dont 266 prêtres), issus de 35 pays. Elle accueille une cinquantaine de novices, dont la moyenne d’âge est d’environ 30 ans. A l'occasion des Journées de Pentecôte (26–28 mai 2012) à Paray le Monial, 8 Frères de Saint Jean ont pris l'habit de la Communauté, 7 frères et 2 soeurs apostoliques ont fait profession perpétuelle, 6 frères ont fait profession temporaire »

     Les frères de Saint-Jean sont implantés aux diocèses de Liège (Banneux), Namur (Libramont) et maintenant aussi dans l’archidiocèse de Malines (à Bruxelles). Une expansion aussi tributaire du bon vouloir épiscopal…

  • Immigration : le modèle belge s'enraye

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    Après les incidents qui ont suivi l'interpellation d'une femme portant le niqab, la semaine dernière à Molenbeek, les évènements prennent une tournure inquiétante : jets de pierre hier (jeudi) contre un policier, et voilà qu'à présent des policiers viennent de se faire poignarder dans le métro au nom de la guerre sainte, tout cela dans la même commune.

    Le "modèle belge", si on peut nommer ainsi un laxisme total en matière d'ouverture des frontières ainsi qu'une absence tout aussi totale d'une véritable politique d'intégration, manifeste son incohérence et son impuissance. Après les rodomontades de Philippe Moureaux stigmatisant les journalistes de la RTBF qui avaient eu le courage de dénoncer les dérives de l'intégrisme islamiste dans notre pays, on a vu tous les tenants de la bienpensance politique et médiatique condamner les déclarations de Didier Reynders qui a eu le brave culot d'évoquer l'échec de la politique d'immigration à Bruxelles.

    A présent, il va bien falloir "gérer" (comme on dit aujourd'hui à propos de tout et de n'importe quoi) la situation que la faiblesse et la démagogie des responsables politiques ont engendrée. Nous n'allons pas faire les malins et brandir des "il n'y a qu'à" ou, pire, tenir de sommaires discours aux relents xénophobes. Ce n'est pas en deux coups de cuiller à pot que l'on règlera ces problèmes mais la question est de savoir si l'on trouvera encore chez nos élus suffisamment de sens du bien commun, de sagesse et de fermeté pour prendre les bonnes décisions et pour mener, s'il en est encore temps, une politique d'intégration intelligente.

    Ce n'est pas en laissant se développer, dans les mosquées ou ailleurs, des attitudes communautaristes et identitaires agressives que l'on peut préparer pour notre pays un avenir harmonieux. Evidemment, il est plus facile de brimer les catholiques qui ne posent pas de bombes, qui ne jettent pas de pierres et ne sortent pas de couteaux, que d'oser s'en prendre énergiquement à des fauteurs de troubles déterminés à déstabiliser nos institutions. Le tout n'est pas de se faire élire mais bien, une fois élu, de montrer sa capacité à assurer la sécurité et le bien-être de ses concitoyens.

  • BXL, 10 juin : procession du Saint-Sacrement

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    affiche fete-dieu 2012 im.jpg

    ...et aussi : une autre procession ce 10 juin : à Molenbeek, départ 15h de l'église St-Rémi (métro Ribaucourt). Présence des frères de St-Jean du couvent de Jette.

  • Le nouvel ordre laïc

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    Le nouvel ordre social, éthique, familial, inscrit dans les législations des démocraties libérales avancées, sera-t-il bientôt imposé à toutes les composantes de la société? Celles-ci auront-elles d'autre choix que de s'y conformer? On peut appréhender le pire lorsqu'on voit un Pierre Galand, président du C.A.L., dénier à Mgr Léonard le droit de s'opposer ou même de critiquer la législation sur l'euthanasie. Ou encore, lorsqu'on voit des politiciens belges, et même des ministres faire des remontrances au pape lui-même pour des propos (déformés) sur l'homosexualité jugés déplacés... Ce qui est voté ne serait donc plus discutable et risque de devenir la seule norme. Pourtant, lorsqu'une loi est considérée comme un "héritage du passé" et comme "restrictive", elle peut être critiquée et combattue pour en imposer une plus conforme aux revendications des lobbies pro-avortement, pro-euthanasie, lgbt, etc. C'est, par exemple, ce qui se passe en France où la loi Léonetti, restrictive à l'égard de l'euthanasie, est critiquée au nom du "droit de mourir dans la dignité" mais où celui qui dénoncerait la loi Veil libéralisant l'avortement serait frappé d'anathème. Dans la droite ligne de cette logique totalitaire d'une société qui rejette toutes les normes d'une morale se réclamant de la loi naturelle et/ou des standards traditionnels, une loi vient d'être votée au Danemark qui impose à l'église luthérienne de célébrer des "mariages" homosexuels dans les églises. On peut être légitimement assez inquiet face à cette montée d'un intégrisme laïc qui menace ouvertement la liberté de conscience et qui restreindra systématiquement les possibilités d'une quelconque objection formulée au nom de convictions en contradiction avec lui.

  • Saint-Sacrement : triste paradoxe

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    Ce dimanche de la Fête-Dieu, fête du Saint-Sacrement, l'église du Saint-Sacrement de Binche (ancienne église des récollets, XVIIIe s.) fermera ses portes, à titre définitif, semble-t-il. Elle sera réaffectée en hôtel ou Dieu sait quoi. Quelle tristesse! Ne manquerait-on pas un peu d'imagination dans nos évêchés et dans nos cures?

    Eglise du Saint-Sacrement de Binche, c’est fini! (source : Info Catho.be)

    La dernière messe y sera dite dimanche, puisque l’église va être vendue pour la modique somme de 1 euro.

    La paroisse avait reçu l’église du Saint-Sacrement pour un franc symbolique. Cela se passait en 1976. Mais aujourd’hui, elle ne peut plus assumer tous les coûts inhérents au bon fonctionnement d’une église, tels que le paiement des assurances, la réfection de la toiture ou encore la restauration des vitraux.

    Les futurs propriétaires, s’il y en a, sont à ce jour encore inconnus. Tous les paroissiens voudraient que leur église reste bien sûr un lieu de culte, mais hélas, cela ne sera pas possible. L’église deviendra peut-être un hôtel, un immeuble à appartements ou un centre culturel. Dans tous les cas, les travaux de rénovation seront gigantesques; leur coût aussi d’ailleurs.

    L’église du Saint-Sacrement de Binche n’est pas la seule à subir ce sort en Belgique. De nombreux autres édifices religieux, dont on ne connaît pas le nombre exact, ont ou vont être affectés à d’autres fins que celles du culte. Une situation inévitable, qui inexorablement, se met en mouvement dans notre pays.

  • Une relecture du séjour du Pape à Milan : "Tourner la page et repartir de la beauté" (mise à jour)

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    Tourner la page et repartir de la beauté  (source : ZENIT.org)

    Relecture de la visite de Benoît XVI à Milan (1er-3 juin) par Massimo Introvigne (Traduction d’Océane Le Gall)

    « Mes amis, cessons nos plaintes ! Qu'un cri joyeux élève aux cieux nos chants de fêtes et nos accords pieux » : ces paroles tirées de l’Hymne à la joie de la 9ème Symphonie de Ludwig van Beethoven (1770-1827), sont vues par beaucoup comme un signe et un symbole de toute la visite de Benoît XVI dans la capitale lombarde.

    Ces paroles évoquées par Benoît XVI à l’occasion du concert donné en son honneur et pour les délégations officielles de la VIIe Rencontre mondiale des familles, à la Scala de Milan, le 1er juin dernier, sont comme un appel à « tourner la page ».

    Comme pour Beethoven,  après la « terrible dissonance » qui annonce la partie finale de cet Hymne à la joie,  l’Eglise,  avec la joyeuse visite du pape à Milan, a idéalement « tourné la page » après des journées de difficultés et polémiques.

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  • Procession de la Fête-Dieu ce jeudi 7 juin à Rome

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    Et demain à Liège, berceau de la Fête ?

    Samedi 9 juin, à partir de 16 heures. Messe à l’église du Saint-Sacrement Bd d’Avroy, 132, suivie de la procession 17h : Boulevard d’Avroy, Rue Sainte Marie, Square Lejeune, Rue Louvrex, Jardin Botanique, Rue Darchis et retour au Saint-Sacrement par le Boulevard d’Avroy.

    Rens. 04.344.10.89  mail sursumcorda@skynet.be

  • Euro 2012 : l'éloge du sport d'équipe par Benoît XVI

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    Euro 2012: le sport comme école d'éducation à la fraternité (source : ZENIT.ORG, Anne Kurian)

    Message de Benoît XVI pour les championnats d'Europe de football

    Le sport d’équipe est une « école d’éducation à la logique de la fraternité et de l’amour », déclare Benoît XVI.

    Le pape a en effet adressé un message au président de la Conférence épiscopale polonaise, Mgr Józef Michalik, à l’occasion des championnats européens de football, qui s’ouvriront demain, 8 juin 2012, en Pologne et en Ukraine.

    Les championnats d’Europe de football sont un évènement sportif, écrit le pape, d'après le texte publié par Radio Vatican, qui implique toute la société et “l’Eglise n’y reste pas indifférente”, notamment en ce qui concerne “les nécessités spirituelles de ceux qui y prennent part”.

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  • Du 10 au 17 juin : le Congrès Eucharistique à Dublin

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    Nous y avions fait écho : "Un Congrès eucharistique pour rétablir la communion ?"

    Le cardinal Marc Ouellet représentera le Pape en qualité de Légat pontifical. Il parle des principaux enjeux du congrès de Dublin sur Radio Vatican.

  • Une offensive médiatique tente de discréditer l'archevêque de New-York

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    Source : americatho

    Au moment où se dessine

    "de l’avis de nombreux observateurs, le plus grand mouvement de “désobéissance civile” aux États-Unis depuis, précisément, le grand Mouvement pour les droits civique (Civil Rights Movement) des années 1950-1960",

    et où

    "outre les 12 actions judiciaires devant autant de tribunaux fédéraux lancées par 46 (43 voici à peine quinze jours) institutions catholiques (diocèses, hôpitaux, universités…) contestant ouvertement le HHS Mandate du gouvernement Obama, les évêques, qui préparent au plan national la « Quinzaine pour la Liberté » (Fortnight for Freedom, 21 juin-4 juillet), vont faire distribuer ces prochains jours un document intitulé Protecting Consciences (protection des consciences) destiné à être inséré dans tous les bulletins paroissiaux",

    et où :

    "Des dizaines de milliers de chrétiens – protestants et catholiques – descendront dans les rues, demain, 8 juin, pour témoigner de leur opposition au nouveau plan sanitaire du gouvernement, qui impose aux institutions religieuses de fournir à ses employés des contrats d’assurance maladie, incluant la couverture de la stérilisation, de l’avortement et de la contraception." (ZENIT.ORG, Les chrétiens descendent dans la rue)

    le cardinal archevêque de New-York, Mgr Dolan, est, comme par hasard, la cible d'une campagne médiatique :

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  • Interpréter ce qui se passe au Vatican

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    Le professeur Roberto de Mattei (auteur de la « Dictature du relativisme », publiée chez Muller Edition), vient de publier, sur le site de l’agence de presse Correspondance européenne, cette analyse, que nous prenons la liberté de reproduire:

    Que se passe-t-il au Vatican? (via "Riposte catholique")

    Que se passe-t-il au Vatican? Les catholiques du monde entier se demandent, consternés, quel peut bien être est le sens des nouvelles qui explosent dans la presse et semblent révéler l’existence d’une guerre ecclésiastique qui se déroule à l’intérieur des Murs Léoniens, et dont les médias s’ingénient à amplifier la portée. Et pourtant, s’il n’est pas aisé de comprendre ce se passe, on peut du moins tenter de comprendre pourquoi tout ceci se arrive aujourd’hui.

    Le fait que cette autocombustion éclate justement au moment du 50ème anniversaire du Concile Vatican n’est certes pas une pure coïncidence. Parmi les documents de ce Concile, le plus emblématique, et peut-être le plus discuté, est la constitution Gaudium et Spes, qui n’a pas plu au théologien Josef Ratzinger. C’est que ce document célébrait avec un optimisme irénique l’embrassade de l’Église et du monde contemporain. C’était le monde des années 1960, tout empreint d’esprit séculier et de consommation ; un monde sur lequel se profilait l’ombre de l’impérialisme communiste dont le Concile n’a pas voulu parler.

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  • Mgr Fellay : c'est l'attitude de l'Eglise officielle qui a changé

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    mail.google.com.jpgOn lira avec intérêt cet entretien avec Mgr Bernard Fellay, supérieur de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, qui fait, de son point de vue, l'analyse des relations de la Fraternité avec Rome (voir aussi le commentaire d'A. Tornielli (en italien) sur le Vatican Insider).

    Source : http://www.dici.org/

    Une solution canonique avant une solution doctrinale ?

    DICI : La plupart de ceux qui sont opposés à l’acceptation par la Fraternité d’une éventuelle reconnaissance canonique mettent en avant que les entretiens doctrinaux n’auraient pu conduire à cette acceptation que s’ils avaient débouché sur une solution doctrinale, c’est-à-dire sur une « conversion » de Rome. Est-ce que votre position a changé sur ce point ?

    Mgr Fellay : Il faut reconnaître que ces entretiens ont permis d’exposer clairement les divers problèmes que nous rencontrons au sujet de Vatican II. Ce qui a changé, c’est que Rome ne fait plus d’une acceptation totale de Vatican II une condition pour la solution canonique. Aujourd’hui, à Rome, certains considèrent qu’une compréhension différente du Concile n’est pas déterminante pour l’avenir de l’Eglise, car l’Eglise est plus que le Concile. De fait, l’Eglise ne se réduit pas au Concile, elle est beaucoup plus grande. Il faut donc s’appliquer à régler des problèmes plus vastes. Cette prise de conscience peut nous aider à comprendre ce qui se passe réellement : nous sommes appelés à aider à porter aux autres le trésor de la Tradition que nous avons pu conserver.

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