Dans « La Libre » de ce jour, Christian Laporte rend compte d’une séance organisée hier devant la presse conviée au Prieuré de Malèves-Sainte-Marie. En scène : un exorciste (Gabriel Ringlet) et deux promoteurs de l’officialité humaniste (Karine Lalieux, Christian Brotecorne), au chevet d’une rescapée de la pédophilie cléricale des années 1960 (Danielle Scherer) et d’un évêque traumatisé (Mgr Harpigny). Sans oublier l’ombre (archiépiscopale) du bouc émissaire indispensable à toute bonne thérapie. Celle-ci avait commencé par l’écriture de mémoires intimes, dont l’édition fut cornaquée par l’ange Gabriel. dans la foulée des scandales révélés suite à l’affaire Van Gheluwe. Compte rendu (extraits) :
« La présentation officielle de ce récit très dur et terriblement réaliste d’une rescapée de la pédophilie ecclésiale qui avait déjà marqué les esprits des membres de la commission Lalieux à travers l’audition de Gabriel Ringlet, ne pouvait pas faire l’objet d’une banale conférence de presse.(…)