A propos des déclarations faites par Mgr A.-J. Léonard à propos des examens psychologiques auxquels sont soumis les candidats au sacerdoce (cfr http://www.7sur7.be/) :
Le 29 juin 2008, la Congrégation romaine pour l’éducation catholique, en charge des séminaires, publiait un document au sujet du discernement pour l’admission et la formation des futurs prêtres.
Pour voir le texte complet : http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccatheduc/documents/rc_con_ccatheduc_doc_20080628_orientamenti_fr.html
D’emblée, le Vatican a rappelé que « toute vocation chrétienne vient de Dieu, est don de Dieu ; mais elle n'est jamais donnée en dehors ou indépendamment de l'Église. Elle passe toujours dans l'Église et par l'Église ». L'Église a le devoir de discerner la vocation et « l'idonéité des candidats au ministère sacerdotal ». Dans la promotion de ce discernement et dans la formation complète au ministère, « l'Église est conduite par une double attention : sauvegarder le bien de sa mission et celui des candidats ».
Dans « Le Soir » de ce lundi 19 septembre, Ricardo Gutiérrez consacre une double page»
Un groupe d’une vingtaine de militants salafistes ont envahi jeudi la basilique romaine du Kef (nord-ouest) dans le but de transformer le lieu en mosquée, avant d’être dispersés par les forces de l’ordre. Les salafistes entendaient récupérer le site, arguant que le monument a constitué un lieu de culte musulman avant de redevenir une basilique en 1966 sous le régime Bourguiba, selon le journal. «Des musulmans sont entrés dans la basilique pour préparer le lieu à accueillir la prière du vendredi», a déclaré à l’AFP le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Hichem Meddeb, précisant ne pas être en mesure de les identifier comme étant des salafistes. «Les forces de l’ordre les ont dispersés dans le calme, des pourparlers avec le gouverneur ont eu lieu, et ils ont été invités à présenter une demande officielle au ministère du Culte», a-t-il ajouté. «Jusqu’à preuve du contraire, le monument reste une basilique», a-t-il déclaré.
C’est clair comme le soleil : il y a des pays où « il fait Dieu » comme dirait comme dirait Didier Decoin parlant de sa propre conversion. En Afrique, pas de prêtres « en recherche » ni de crise des vocations. Les Africains ont la foi sans états d’âme, celle des communautés chrétiennes fondées par les missionnaires aujourd’hui si décriés par une Eglise occidentale qui ne sait plus transmettre son propre héritage.
C’est l’agence cathobel qui l’annonce : un chiffre (à confirmer) bien modeste pour trois diocèses et la moitié d’un archidiocèse…