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Actualité - Page 1830

  • "Nous sommes l'Église" : le pape répond

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    jpg_1349660.jpgMais qui sont-ils ? Le mouvement "Nous sommes l’Eglise" est né en Autriche en 1995 après avoir recueilli 2,5 millions de signatures en Allemagne et dans la région italienne du Tyrol pour un renouveau de l’Eglise catholique. Fondé officiellement à Rome l’année suivante pour "la réforme de l’Eglise catholique sur la base du Concile Vatican II", il est actuellement présent dans plus d’une vingtaine de pays.

    Dans un manifeste adressé au synode des évêques à Rome, le mouvement déplore  que "la marche œcuménique ouverte par le Concile Vatican II rencontre des obstacles" dont "l’impossibilité de l’intercommunion".

    Il  réclame l’abandon de l’idée du sacrifice de la messe, précisant que "la célébration eucharistique devrait être présentée comme mémoire de la vie toute entière de Jésus". Et également "une pleine liberté d’interprétation philosophique et théologique de ce mystère".

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  • Le « printemps » arabe ? pas pour tout le monde

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    Depuis le renversement du gouvernement égyptien en mars 2011, plus de 100’000 chrétiens coptes ont quitté le pays. C’est le résultat de plusieurs enquêtes menées par l’ « Egyptian Union for Human Rights », publié le 27 septembre 2011 au Caire. Selon les estimations du directeur de l’organisation, Naguib Gabriel, le nombre des émigrés chrétiens pourrait atteindre 250’000 à la fin de cette année. Il précise que cet exode ferait diminuer la communauté copte d’Egypte d’un tiers en dix ans, alors qu’elle était un « pilier économique du pays ».

    De leur plein gré, les chrétiens coptes ne partent pas à l’étranger. L’intimidation des salafistes fondamentalistes les y a contraints, tout comme le manque de protection de la part du gouvernement. L’émigration affecte principalement la jeune élite économique copte. Elle a redouté les représailles des islamistes militants et les restrictions exercées sur leurs vies et leurs activités.

    Selon les indications de l’organisation des droits humains, la plupart des coptes ont émigré aux Etats-Unis. 16’000 environ se sont installés en Californie, 10’000 au New Jersey, 8’000 à New York et 8’000 autres dans les divers Etats américains. 14’000 coptes ont émigrés en Australie. 20’000 recherchent une nouvelle patrie en Europe, avant tout aux Pays-Bas, en Italie, en Grande-Bretagne, en Autriche, en Allemagne et en France.

    C’est sur le site de cathobel : La fuite d’Egypte… pour 100.000 coptes

  • Pierre a marché sur les eaux

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    pierre_jesus_marche_sur_eau_codex-egberti980treves.jpgTous prédisaient un voyage catastrophique du pape en Allemagne. Il allait se trouver face à une vague de contestation qui ne pouvait que le submerger. L'hostilité des uns (notamment les députés du Bundestag qui ont boycotté sa visite dans l'hémicycle), l'attitude critique des autres (gens d'Eglise prétendant dicter à l'Eglise les "incontournables adaptations" auxquelles elle devrait consentir), ou encore l'indifférence de la société allemande à l'égard de la foi catholique, auraient dû faire de cet évènement un échec retentissant, de quoi ravir les faiseurs d'opinion prêts à exploiter le moindre faux pas du successeur de Pierre.

    Mais voilà, rien ne s'est passé comme on nous l'annonçait et le pape a créé la surprise en regardant l'Eglise et la société allemandes bien en face, en leur adressant des propos directs qui ont remis en cause les postulats de leur fausse modernité, prétextes à tous les abandons. Pierre a vraiment marché sur les eaux, indiquant la seule voie possible pour un chrétien, qu'il soit d'Allemagne ou d'ailleurs, celle d'une foi authentique qui, au lieu de justifier sa tiédeur et ses faux fuyants au nom d'une critique des "structures", conduit à se remettre en cause soi-même et à choisir de faire confiance au Christ et à son Eglise.

    Nous sommes vraiment pleins d'admiration devant le courage de ce vieillard doux et tranquille qui s'entête à indiquer aux hommes d'aujourd'hui, empêtrés dans leurs attachements mondains, le seul chemin du salut qui en vaille la peine, celui qu'ont parcouru les saints et les martyrs.

  • Quand les écoles de Bruxelles manquent de professeurs de religion catholique

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    C'est "La Croix", sous la plume de Raphaëlle d'Yvoir, qui nous partage cette information :
    "Quelques semaines après la rentrée scolaire, Claude Gillard, délégué épiscopal pour l’enseignement catholique de l’archevêché de Malines-Bruxelles, s’est dit préoccupé par la pénurie de « professeurs de religion catholique » dans l’enseignement francophone bruxellois.
    Extraits :

    "...la pénurie actuelle d’enseignants concerne cependant essentiellement Bruxelles. Le diocèse a lancé un appel aux vocations soulignant que « ce métier, qui participe à la formation intellectuelle et humaine des élèves, est aussi un service d’Église qui doit être encouragé ».

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  • Benoit XVI en Allemagne : un voyage en demi-teintes ?

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    Le spécialiste « religieux » de la Libre Belgique, Christian Laporte, n’est pas très content : la tournure qu’a donnée le pape à son voyage en Allemagne ne lui a pas plu et le corps de l’article qu’il signe aujourd’hui dans ce journal autrefois catholique est encore plus maussade que son titre :

     « Les rapprochements n’ont pas eu lieu et les catholiques ont été grondés.

    L’Allemagne catholique d’après la visite de Benoît XVI ne ressemblera certes pas à celle qui a accueilli son leader spirituel, jeudi dernier - car une visite papale donne toujours un coup de fouet à l’Eglise locale - mais sur la balance du bilan, le fléau penche du côté de la déception car les attentes ne furent guère rencontrées.

    Assez logique puisque le fil rouge des interventions du Pape fut le recentrage doctrinal, voire une frilosité réelle face à toute forme d’ouverture. Et ce, malgré le constat inquiétant qu’en 2010, il y a eu plus de départs de l’Eglise catholique que de nouveaux baptisés en Allemagne. Bien sûr, outre-Rhin aussi, le scandale de la pédophilie a incité nombre de citoyens à ne plus réserver une frange de leurs impôts à l’Eglise romaine. Benoît XVI a finalement rencontré des victimes mais la rencontre fut apparemment moins chaleureuse que lors de visites antérieures. A la base, les fidèles allemands observent évidemment l’évolution de la société et le fossé qui continue à se creuser avec l’Eglise.

    Sur l’œcuménisme, la déception est aussi très forte chez les protestants : Benoît XVI a impressionné leurs responsables, à Erfurt, par son évocation de Luther, mais il n’a pas fait la moindre ouverture pour un réel rapprochement entre les frères séparés. Rien sur la volonté, partagée à la base, que les croyants des deux confessions puissent partager la même communion. Il est vrai que Rome fronce les sourcils devant les ouvertures morales et éthiques des églises évangéliques qui accordent, de surcroît, une place égale aux femmes, en permettant même qu’elles accèdent à des fonctions épiscopales. Benoît XVI est un homme trop bien élevé pour s’en offusquer et les a donc saluées à Erfurt mais en même temps, il ne met pas toujours des gants pour constater les divergences. Dimanche, à Fribourg, il a mis en garde les catholiques allemands "contre une protestantisation de leur Eglise" et lors d’une rencontre avec les orthodoxes, il avait laissé entendre que le rapprochement avec ces autres "frères séparés" serait plus facile - sous-entendu : qu’avec d’autres chrétiens !

    Mais auparavant, il faudra refaire l’unité chez les catholiques. Or la hiérarchie redoute clairement que l’Allemagne soit à son tour touchée par la contestation autrichienne, avec plus de 300 prêtres, et non des moindres, qui ont réclamé d’urgence des réformes pour l’Eglise. Pour le Pape, il ne peut être question de se laisser entraîner par ces contestataires : l’Eglise ne sera crédible que "si les paroisses, les communautés et les mouvements se soutiennent et s’enrichissent mutuellement, si les baptisés et les confirmés, en union avec l’évêque, tiennent haut le flambeau d’une foi inaltérée et laissent illuminer par elle leurs riches connaissances et capacités".

    Pour Benoît XVI, il y a trop de débats dans l’Eglise : "Ce ne sont pas les paroles qui comptent, c’est l’agir". Evoquant les grands prêtres juifs qui s’opposaient à Jésus, il a critiqué "les experts en religion", dont "la religiosité devient routine" et que "Dieu n’inquiète plus vraiment". La veille, le Pape avait déjà secoué "son" Eglise en lui reprochant, devant les jeunes, d’être trop tiède sur le plan spirituel. Et pas suffisamment réactive aux maux du temps : " Notre époque est largement caractérisée par un relativisme subliminal qui pénètre tous les domaines de la vie. Parfois, ce relativisme devient batailleur, se dirigeant contre des personnes qui affirment savoir où se trouve la vérité ou le sens de la vie. Et nous remarquons combien il exerce de plus en plus d’influence sur les relations humaines et sur la société... Certains semblent incapables de renoncer à quelque chose ou à faire un sacrifice pour autrui. Même l’engagement altruiste pour le bien commun, dans les domaines sociaux et culturels, ou pour les personnes dans le besoin, diminue. D’autres ne sont plus en mesure de se lier de façon inconditionnelle à une autre personne". Benoît XVI : bilan en demi-teintes  Eclairage de Christian Laporte

    Faut-il dire que, tout au contraire de l’opinion de « La Libre Belgique », ce voyage nous a agréablement surpris? Comme d’habitude les médias grincheux nous avaient annoncé une flambée spectaculaire de contestations : en réalité, le vrai contestataire, à la fois humble et intelligent, simple et courageux sans concession, ce fut … Benoît XVI : l’establishment religieux, politique et médiatique en est demeuré bouche bée durant tout le voyage. La « Libre Belgique », pour ne citer qu’elle, a fort peu couvert l’événement. Elle se rattrape aujourd’hui dans la ligne qui est la sienne et qui n’est évidemment pas la nôtre.

  • L'Eglise doit toujours, à nouveau, faire l'effort de se détacher de la mondanité du monde

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    Benoït XVI, au terme de son voyage en Allemagne, s'est adressé en ces termes aux représentants ecclésiastiques et laïcs de l'Eglise d'Allemagne :

    Chers Confrères dans le ministère épiscopal et sacerdotal !
    Mesdames et Messieurs !

    Je suis heureux de cette rencontre avec vous qui êtes engagés de multiples manières pour l’Église et la société. Ceci m’offre une occasion appréciée de vous remercier ici personnellement de tout cœur pour votre service et votre témoignage comme « hérauts puissants de la foi en ce qu’on espère » (Lumen gentium, n. 35). Dans votre milieu de travail vous défendez volontiers la cause de votre foi et de l’Église, chose qui n’est pas toujours facile dans les temps actuels.

    Depuis des décennies, nous assistons à une diminution de la pratique religieuse, nous constatons une croissante prise de distance de la vie de l’Église d’une partie notable de baptisés. Jaillit alors la question : est-ce que, par hasard, l’Église ne doit pas changer ? Est-ce que, par hasard, dans ses services et ses structures, elle ne doit pas s’adapter au temps présent, pour rejoindre les personnes d’aujourd’hui qui sont en recherche et dans le doute ?

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  • Benoît XVI a rencontré à Erfurt les victimes d’abus sexuels

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    Le journal « La Croix » relate ce jour que «  compte tenu de l’ampleur de la crise des abus sexuels dans son propre pays, Benoît XVI se devait, comme il l’avait fait aux États-Unis, en Australie, à Malte et à Londres, de recevoir personnellement des représentants des victimes et de leurs familles. Trois hommes et deux femmes l’attendaient donc vendredi soir, au séminaire d’Erfurt, à son retour, tardif, des vêpres mariales célébrées dans l’enclave catholique d’Etzlesbach (…). Cette rencontre fut, comme l’a toujours voulu Benoît XVI, personnelle et dense. Elle s’inscrit, à la suite de ses déclarations dans l’avion, dans la liste des « accusés de réception » qu’il envoie, posément, aux catholiques allemands. Mais si le pape prend en compte inquiétudes, révoltes et revendications, il n’engage ni négociation, ni dialogue. Il braque le projecteur sur ce qui est pour lui l’essentiel de l’ouverture que permet la foi : la relation avec le Christ. Ce fut encore palpable vendredi soir, à Etzelsbach, où les blessures de la dictature communiste sont encore vives. Alors qu’il venait de recevoir, face à 70 000 fidèles réunis en plein champ, une croix faite des barbelés de l’ancienne frontière entre les deux Allemagnes, Benoît XVI a rappelé : « Sous deux dictatures sans Dieu qui voulaient prendre aux hommes leur foi ancestrale », cette chapelle mariale était « une porte ouverte et un lieu de paix intérieure ». Aujourd’hui encore, « là où nous laissons l’amour de Dieu agir totalement dans notre vie, là le ciel est ouvert. Là, il est possible de modeler le présent de façon à ce qu’il corresponde toujours plus à la Bonne Nouvelle (…) »

    La suite ici , sous la signature de Frédéric Mounier : Benoît XVI a rencontré à Erfurt les victimes d’abus sexuels | La-Croix.com

  • Un des plus lourds voyages du pontificat...

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    Il est clair que l'Allemagne et l'Autriche ne comptent pas que des sympathisants du pape actuel. "Nul n'est prophète en son pays"; c'est vraiment d'actualité dans cette région où un vent de fronde souffle en rafales. Certains commentateurs, sur différents sites, évoquent un risque de schisme et une bi-polarisation très marquée entre traditionalistes et progressistes. Ces tensions sont surtout très marquées en ce qui concerne le célibat sacerdotal et l'exclusion du sacrement de l'Eucharistie de ceux qui ne sont pas en règle avec les exigences catholiques à propos du mariage, sans compter l'impact négatif des scandales de pédophilie. Un éloignement à l'égard de Rome est assez sensible chez d'assez nombreux croyants qui refusent notamment de contribuer au culte. Quel sera l'impact du voyage du pape sur ce terrain miné? Les jours prochains nous le diront mais il est sûr que la tâche ne sera pas simple et qu'il devra affronter l'hostilité de tous ceux qui veulent lui faire sentir qu'il n'est pas le bienvenu. Cela rappelle certaines circonstances de l'évangile lorsque le Christ est venu à Nazareth et que ses concitoyens ont voulu se débarrasser de lui.

    Ce n'est pas pour rien que Jean-Marie Guénois s'apprête à suivre un voyage à risques :

    "Habemus papam" ? Ou plutôt, cette semaine, "haben wir einen Papst ?" puisque Benoît XVI va accomplir de jeudi à dimanche, un des plus lourds voyages de son pontificat dans son pays natal avec une étape très attendue à Berlin.

    Il semble bien que le slogan "wir sind Papst" (nous sommes tous pape) qui avait fleuri en Allemagne lors de son élection en 2005 soit maintenant défraîchi. Il dispose toujours de solides soutiens mais il frappé d'un profond désamour dans beaucoup de milieux.

    Ce n'est pas tant sa personne qui est visée mais l'Eglise catholique. La société allemande, plus que dans d'autres pays, n'est pas encore remise du poids des scandales de prêtres pédophiles... voir la suite ici : http://blog.lefigaro.fr/religioblog/2011/09/habemus-papam-ou-haben-wir-ein.html

  • JMJ : plus peur d'être catho ?

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    Emmanuel Bourceret intitule son article paru sur Famille Chrétienne (famillechretienne.fr) consacré aux JMJ : "L’effet JMJ sur l’Église en France : plus peur d’être catho !"

    « N’ayez pas peur d’être catholiques ». Cette invitation de Benoît XVI, lancée aux jeunes de langue française à Madrid, résume l’un des effets les plus marquants des JMJ depuis plus de vingt-cinq ans : décomplexer l’Église en France et sortir des impasses de l’« enfouissement » pour retrouver le chemin d’une annonce enthousiaste du Christ, même si la transmission de la foi reste encore parfois balbutiante..."

    Voir la suite ici : http://www.famillechretienne.fr/

     
  • L'archevêque de Dijon, Mgr Minnerath, bientôt proche collaborateur du pape ?

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    C'est la question que soulève "Dijon.scope"

    "Monseigneur Roland Minnerath pourrait bien devenir le prochain cardinal français à l'occasion du consistoire de 2012. En effet, son nom circule de façon persistante au Vatican" : l'information, qui ferait de l'archevêque de Dijon l'un des plus proches collaborateurs du pape Benoît XVI à Rome, provient du site Golias-news.com - le "Canard enchaîné du Vatican", selon un porte-parole du diocèse de Dijon. Info ou intox ? Si le diocèse penche pour la rumeur, des arguments de poids pourraient faire pencher la balance en faveur de Roland Minnerath, habitué du palais du Vatican..."

    lire la suite ici: http://www.dijonscope.com/015593-dijon-monseigneur-minnerath-bientot-bras-droit-du-pape

     

  • "Golgota picnic" : ne pas rester impassibles

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    Sur le site des évêques de France, cette réaction de Mgr Podvin, porte-parole de la CEF :

    "Golgota Picnic est un spectacle programmé à Paris et Toulouse. Il blesse et blessera. Quel courage de s'en prendre à une religion dont le fondateur se tait tandis qu'on l'outrage! La liberté d'expression est à respecter comme sacrée? Qu'elle respecte donc aussi ce qui est sacré ! Aucun euro public ne doit subventionner le cultuel? Qu'aucun euro public ne finance davantage une production qui dénigre un culte! Ce n'est pas parce que le christianisme fut sociologiquement majoritaire qu'il doit être le fusible d'hystéries culturelles.
    De nombreux citoyens non chrétiens partagent notre colère. Si vous êtes de cet avis, ne demeurez pas impassibles. Interpellez vos élus. Dites leur que l'inacceptable est indigne d'une démocratie. En novembre 2009, l'Union Européenne a rappelé son attachement résolu à la promotion et à la protection de la liberté de religion. Les chrétiens sont actifs dans la cité. Solidaires de nombreuses causes. Qu'on les respecte aussi !"

    Mgr Bernard Podvin

  • 4,5 millions de dollars de dommages pour une "naissance indue"...

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    Source : http://leblogdejeannesmits où l'on pourra consulter la note dans son intégralité.

    "Un couple de Floride vient de se voir accorder 4,5 millions de dollars de dommages et intérêts pour une lecture erronée d'échographie qui a conduit un médecin et un technicien échographiste à ne pas les avertir que leur fils avait une seule jambe et pas de bras. Ana Mejia et Rodolfo Santana, les parents, ont  témoigné devant la cour qu'ils auraient avorté leur garçon, Bryan. Ils réclamaient le double, 9 millions, pour couvrir les frais d'opérations, d'appareillages et autres fauteuils roulants indispensables du fait du handicap de l'enfant, en estimant son espérance de vie à 70 ans...."

    lire la suite ici : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/09/naissance-indue-45-millions-de-dollars.html