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Art - Page 66

  • Un grand moment d'objectivité historique sur "Le Soir"

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    Trouvé dans le Soir, sous le titre « Dix saccages d’oeuvres pour raisons idéologiques ».

    http://portfolio.lesoir.be/v/2015-01-06_top/_27_02_15_oeuvres/

     

    Destruction_of_icons_in_Zurich_1524.jpgComme le premier « saccage » remonte à 560 avant J.-C., on aurait pu s’attendre à entendre parler des vitraux et statues détruits par les calvinistes, du sac de Cluny, de l’attaque contre la Pietà de Michel Ange, ou, de manière plus chauvine, de la destruction de la cathédrale Saint-Lambert... Mais non, dans ce top 10, on trouve :

    • les méchants cathos américains qui ont boudé les Beattles pour s’être comparés à Jésus Christ ;
    • les méchants cathos « proches de l’extrême droite » qui ont abîmé le piss Christ ;
    • les méchants cathos du "Printemps français, proche des idées du mouvement de la Manif pour tous, » qui «serait responsable des dégradations », du plug anal de Paul McCarthy sur la Place Vendôme...
  • La 1ère icône des 21 martyrs coptes de Libye

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    Vu sur le « Forum catholique » (JPSC)

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    commentaires de Marie-Gabrielle Leblanc

     Remarquez les détails : la plage sur laquelle ils ont été martyrisés avec la mer derrière. Tous les visages ressemblent à Jésus, dont ils ont prononcé le nom jusqu'à leur dernier souffle. L'unique Soudanais n'est pas oublié au centre. Les tuniques oranges rappellent la combinaison orange que les terroristes islamistes mettent à leurs victimes avant de les décapiter. Ils ont par-dessus l'étole rouge du martyre, proche de l'étole des diacres coptes, portée ici également par les anges et par le Christ. Remarquez la pluie de couronnes que les anges leur remettent.

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    Lire également : les 21 martyrs coptes sont un trait d'unité entre les chrétiens

  • La bande dessinée chrétienne

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    Sur le site des jésuites de la Province de France :

    La B. D. chrétienne

    À l’occasion du 42e Festival international de la Bande dessinée, à Angoulême, du 29/1 au 1/2/2015, l’émission de KTO TV « La foi prise au mot » (52 minutes) est revenue sur l’histoire et l’actualité de la bande dessinée chrétienne.

    Un thème en apparence léger, mais en réalité très sérieux : les rapports entre le christianisme et la bande dessinée. S’il n’est pas excessif de dire que celle-ci (en particulier Tintin et Spirou) est née dans les milieux catholiques, qu’en est-il aujourd’hui ? Quels sont les rapports entre le christianisme et la bande dessinée ? Les chrétiens font-ils des BD, et comment le christianisme est-il représenté dans ces albums ?


    Le professeur René Nouailhat, (docteur ès Lettres, historien des religions, auteur d’essais sur E.P. Jacobs chez Mosquito  www.editionsmosquito.com), apporte lui-même son expertise passionnante. Ces deux personnalités de la BD chrétienne ont été présents au Festival d’Angoulême avec d’autres membres du CRIABD : Béatrice Beaumarais (dessinatrice), Cécile Jacquerye (scénariste), Frère Thierry de Béthune osb (dessinateur), Marc Eelbo (bénévole). Il y aura aussi les dessinateurs chrétiens Brunor, Jean-François Kieffer, Sean O’Brien,  le scénariste Père Christophe Hadevis et l’équipe de BD chrétienne présente à la Cathédrale, au Temple et à St Martial (www.bdchretienne.net).

    A noter aussi que l’hebdomadaire « Famille Chrétienne » n° 1933 du 31 janvier au 6 février publie un dossier sur la BD chrétienne intitulé « BD et christianisme », par Thibaut Dary et Luc Adrian (www.famillechretienne.fr)

    Pour acheter le livre de Roland Francart, sj : La BD chrétienne >>

  • Belgique : le 12e Festival de Chant Grégorien de Watou aura lieu du 8 au 17 mai 2015.

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    « Au cours de cette douzième édition du Festival international de chant grégorien de Watou, près de quatre-cent-cinquante voix, pour la plupart jeunes et professionnelles redonneront vie de façon grandiose à une musique et à des textes très anciens. Watou est le plus grand festival de chant grégorien au monde. Il est devenu un lieu de pèlerinage, une étape indispensable pour les amateurs de silence et de chant grégorien. L’enthousiasme est à son comble et le public en est fasciné.

    Avec tous les collaborateurs, je suis fier de pouvoir vous présenter ce festival triennal de grande qualité et de vous inviter à venir découvrir cette icône de notre culture occidentale.

    Bernard Deheegher »

    31 scholae ou ensembles grégoriens venus du monde entier seront présents pendant 10 jours à Watou ou dans l'une de ses 9 villes partenaires pour proposer 24 événements:11 concerts , 4 auditions, 8 célébrations liturgiques, 1 atelier

    Pour connaître le programme détaillé, cliquer ici.

    JPSC

  • L’évêque de Liège, la liturgie et le chant grégorien

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    L'évêque de Liège, Mgr Jean-Pierre Delville, est licencié en histoire de l’université de Liège, théologien diplômé  en sciences bibliques de l’ Université  grégorienne à Rome et de l’Université catholique de Louvain (U.CL.), où il fur professeur ordinaire  chargé du cours de  l’histoire de l’Eglise et du christianisme ; il aussi obtenu un prix d’orgue au conservatoire royal de Liège.

    Pour la revue trimestrielle « Canticum novum » (in n°71, décembre 2014), organe de l’ « académie de chant grégorien » (Belgique), Jacques Zeegers a interviewé Monseigneur Delville sur la place des mélodies grégoriennes dans les rites latins de la liturgie catholique :

    Que représente pour vous le chant grégorien ? Comme prêtre et évêque tout d’abord ?

    - Comme prêtre et évêque, c'est-à-dire comme homme d’Eglise, je considère le chant grégorien comme le chant fondamental de l’Eglise. Dans des célébrations plurilingues, par exemple, c’est le chant grégorien qui peut faire l’unité. C’est évidemment le cas dans les liturgies du Vatican, mais aussi en d’autres occasions, dans de grandes rencontres internationales, par exemple. Cela postule bien sûr qu’on ait appris le répertoire par ailleurs car on ne peut avoir la maîtrise du chant uniquement pour ces occasions-là. Mais comme ces occasions sont médiatisées, elles sont aussi porteuses de formation. Cela, c’est l’aspect pratique du chant grégorien, à savoir la référence commune. Mais il y a aussi un aspect plus fondamental lié à son style : c’est un chant méditatif qui porte à la contemplation et qui est donc bien adapté à l’objectif de la liturgie. Il a donc une qualité importante au niveau spirituel.

    -  Et comme historien ?

    - Comme historien, je pense que le chant grégorien constitue un patrimoine extraordinaire, tant au niveau des paroles qu’au niveau des mélodies. Il déborde d’ailleurs de la liturgie actuelle car pas mal de pièces n’y sont plus chantées aujourd’hui, par exemple celles qui faisaient partie des rites locaux. J’y vois le témoignage de la créativité de notre Eglise. Je pense aussi au Dies irae qui est l’expression d’une vision de foi, d’une vision dramatique. Tant les paroles que les mélodies reflètent l’histoire de l’Eglise. Sans doute le Dies irae ne correspond-il plus à notre mentalité contemporaine. C’est en tout cas le sentiment qu’on a eu en le supprimant de la liturgie dans la mesure où il insistait plus sur la condamnation (le jour de colère) que sur la miséricorde qui y est pourtant présente. Mais quand on parle du jugement, on ne peut s’exprimer que par métaphores et ce n’est pas parce que les métaphores ont un côté violent qu’elles n’ont pas une signification pour la vie spirituelle ; elles ne sont pas une photographie des réalités spirituelles mais des images qui doivent être interprétées et éveiller la vie spirituelle.

    Pas mal de pièces du répertoire ne sont plus utilisées, mais il est important de les redécouvrir par d’autres biais, que ce soit par la recherche musicale ou par des enregistrements de caractère plus historique. Il est aussi intéressant de voir comment, à certaines époques, on a ajouté de nouveaux textes, par exemple les intercessions à l’intérieur du kyrie (les tropes dont on retrouve la trace dans les titres du Kyriale) qui permettent d’apprécier la créativité de chaque époque.

    Kyrie tropé "orbis factor":

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  • Art contemporain ou Art comptant pour rien ?

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    De Joseph Junker sur Speculooz :

    Art contemporain ou Art comptant pour rien ?

    L’art et la culture sont une composante essentielle de ce que nous sommes. Imaginons un instant ce que serait un monde sans art , sans couleurs, sans couleur, sans musique, sans peinture etc… Voilà qui serait pire que la pire des prisons.

    Peu importe la raison pour laquelle nous avons été placés en ce monde et par qui, il est un fait que tous nous avons tous en nous ce désir et ce quête du beau. Force est hélas de constater que l’Art contemporain déçoit l’Homme moderne dans cette quête du beau et que sous couvert de « géniales » intuitions les pires inepties sévissent depuis longtemps là même où elles devraient nous élever.

    En 1917 déjà, Marcel Duchamps apposait son nom à la photo d’un urinoir, prétendant haut et fort que, puisque telle est sa volonté et au nom de sa démarche, ladite photo était une œuvre d’art.

    Dans une société artistique saine d’esprit, une telle provocation n’aurait jamais dépassé les oubliettes du temps, comme une démonstration par l’absurde du fait que non, on ne peut faire de l’art avec n’importe quoi. Dans la nôtre, elle est au contraire devenue la pierre angulaire d’une grande partie de l’art conceptuel et contemporain. Désormais l’intention artistique est l’excuse de la médiocrité, l’avant-gardisme est l’excuse de la nullité et la provocation celle de l’indigence idéologique.

    Il faut avoir le courage et le bon sens de dénoncer ces fumisteries qui n’apportent rien à l’humanité et qui à force d’abuser des concepts d’art et de liberté d’expression, finissent par les détruire. Car tant que nous ne le ferons pas, l’art contemporain continuera à ne produire que de trop rares atolls de créativité et de bon-goût dans un océan d’inepties. Lesquelles inepties d’ailleurs, ne sont la plupart du temps que des tentatives avérées de choquer le bourgeois, que la critique s’empresse d’encenser et les mécènes fortunés de noyer sous leurs dollars spéculatifs.

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  • Le mot « révolution » à toutes les sauces

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    Selon les médias qui nous désinforment, le pape François aurait pris la décision « révolutionnaire » de faire chanter l’ « Et incarnatus est » de Mozart à la messe de minuit à Saint-Pierre de Rome au milieu du chant grégorien du Credo. C’est pourtant une pratique qui n’a absolument rien de nouveau que de faire alterner la monodie et la polyphonie dans la musique liturgique. Même le sévère concile de Trente a loué comme un modèle les compositions d’un grand compositeur de son temps : Giovanni-Pieluigi da Palestrina, le célèbre auteur de la « Missa papae Marcelli »

    Extrait de la prose lue sur le site « aleteia » :

    « Une petite révolution cette année pour la Messe de minuit de la basilique Saint-Pierre : on y entendra le "Et incarnatus" de Mozart en sus du chant grégorien du Credo.

    « [ …] Pendant des siècles, durant la messe, les fidèles devaient s'agenouiller (aujourd'hui ils sont invités à s'incliner) pendant ces paroles du Credo : "Pour nous, les hommes et pour notre salut, il descendit du ciel. Par l'Esprit Saint, il a pris chair de la Vierge Marie, et s'est fait homme."  En latin, la phrase clé est : “Et incarnatus est, et il s'est incarné …”. Le Pape François a justement évoqué ces paroles, en particulier la merveilleuse interprétation qu'en a faite Wolfgang Amadeus Mozart, dans une de ses grandes œuvres chorales : “En musique, j’aime évidemment Mozart. L’Et incarnatus est de sa Messe en Do est indépassable, a-t-il confié l'année dernière dans une interview réalisée par le Père Spadaro. Il te conduit à Dieu ! " La tendre et apaisante  façon dont Mozart présente cette partie du Credo est idéale pour Noël, lorsque les pensées se tournent vers l'Enfant sans défense et sa Mère aimante.  

    Cette partie de la Messe du compositeur dure huit minutes. Une éternité pour beaucoup de gens, particulièrement dans notre monde où tout va trop vite. Mais le Pape la veut expressément pour la Nuit de Noël dans la basilique Saint-Pierre. Et il a demandé à un autre Autrichien, Manfred Honeck, de la diriger. “Normalement, c'est le chœur de la Chapelle Sixtine qui chante la liturgie et le credo en latin, en grégorien, s'est étonné Manfred Honeck En fait, j'ai été surpris que le Pape en personne souhaite insérer du Mozart dans le Credo chanté par le Chœur de la Chapelle Sixtine." 

    Manfred Honeck, 56 ans, dirige l'Orchestre symphonique de Pittsburgh. […].Le chef d'orchestre avoue avoir été intrigué par le choix de ce morceau musical par le pape François. "On dirait que c'est un Pape qui voit les choses différemment", a-t-il déclaré. "Vous imaginez ? Au Vatican, le chant grégorien n'est pas en usage depuis 50 ou 100 ans, mais depuis des centaines d'années, toujours de la même manière. C'est la première fois, m'a-t-on dit, que l'on utilise Mozart au milieu du chant grégorien, et cela à la demande expresse du pape. » 

    Ref. Le Pape François veut du Mozart lors de la Messe de Noël

    L’art de raconter n’importe quoi pour se faire valoir avec la coqueluche des médias…
    JPSC

  • Liège, collégiale Saint-Denis, 14 décembre : la Pastorale de Noël de Marc-Antoine Charpentier

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  • Ecrans : il est encore temps d'aller voir Marie Heurtin

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    Lu sur Metablog (abbé de Tanoüarn) :

    Je voudrais vous parler de Marie Heurtin, le film de Jean-Pierre Améris avec Isabelle Carré et Ariana Rivoire. C'est l'histoire d'une aveugle sourde et muette - sorte d'enfant sauvage au début du film - qui prend conscience de son humanité et apprend à communiquer - sans peur - avec le monde grâce au dévouement sans limite et à l'ingéniosité d'une religieuse. Peut-on se projeter ? - Non direz-vous : je ne suis pas infirme. - Si : devant Dieu nous sommes tous des aveugles sourds et muets.

    Il a fallu trois étapes à cette jeune Marie-Ariana (qui dans la vie est vraiment sourde de naissance) : d'abord la connaissance, que peut-on faire sans ? Elle a compris, par geste dans sa main, ce qu'était un couteau, puis une fourchette etc. C'est le dévouement et la persévérance de Soeur Marguerite (et la sagesse d'une très belle Mère sup) qui ont eu raison de l'état d'incommunicabilité où elle était plongée.

    Deuxième stade : l'amour. Cette jeune fille s'éprend de la religieuse qui l'a sauvée, c'est un amour total et sans ambiguïté. Mais elle aurait pu penser que c'était elle la handicapée, qu'elle avait tous les droits et que le dévouement était à sens unique : toujours vers elle. Lorsque Soeur Marguerite tombe malade, elle sent que, toute infirme qu'elle soit et si maladroite, elle doit aider son amie : une scène à pleurer de beauté, qui nous montre que seul l'amour mutuel est l'amour.

    Troisième stade : l'espérance. La jeune Marie apprend à comprendre ce qu'est la mort. Mort d'une religieuse plus âgée d'abord. Mort de son amie Marguerite ensuite. Le film se termine par une prière de l'infirme sur la tombe de Marguerite, dans le soleil. Elle a tout compris. Elle est entrée dans l'espérance comme on entre dans la danse. Je pense à ce texte magnifique de Gabriel Marcel, Homo viator : l'homme est constitué par son espérance.

    L'infirme que l'on nous a présentée comme aux frontières de l'humanité, est devenue pleinement humaine: elle aime et donc elle espère - et d'abord elle espère pour celle qu'elle aime.

    A la fin du film, la petite salle pleine à craquer de la Rue d'Odessa a applaudi longuement : je n'étais pas le seul à avoir les yeux rouges. 

  • Lech Walesa sur les écrans

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    André Larané, sur Herodote.net, présente ce film consacré à Lech Walesa :

    L'Homme du Peuple,

    une belle leçon d'histoire

    Le dernier film d'Andrzej Wajda (88 ans !) est arrivé en France (et en Belgique) le 19 novembre 2014. Il raconte l'histoire de Lech Walesa, l'électricien de Gdansk devenu président de la République de Pologne après avoir fait chanceler le pouvoir communiste.

    Deux heures palpitantes autour d'une Histoire que les adultes croient connaître pour en avoir été les témoins par médias interposés et qu'ils redécouvrent avec l'émotion de la première fois. 

    Wajda, cinéaste expérimenté s'il en est, donne à son récit un souffle épique d'autant plus surprenant qu'un tiers ou une moitié du film est constitué d'images d'archives en noir et blanc ou en couleurs.

    Les fondus-enchaînés sont rapides et indolores et l'on ne sait pas toujours si l'on est devant le vrai Walesa ou l'acteur, devant une vraie émeute ou une reconstitution...

    Une interview de Walesa par la journaliste Oriana Fallaci, en février 1981, rythme le film et assure les transitions tout au long des treize années du récit, des émeutes de la faim de 1970 au coup d'État du général Jaruzelski, le 13 décembre 1981, et à la remise du Prix Nobel de la Paix en 1983. 

    Le cinéaste se veut au demeurant respectueux de l'Histoire. C'est ce qui fait la différence avec les deux précédents films de sa trilogie polonaise : L'Homme de marbre (1977) et L'Homme de fer (1981, Palme d'Or au festival de Cannes), qui mêlaient fiction et réalité.

    Il échappe par ailleurs au piège de l'hagiographie et brosse un portrait nuancé de son héros, avec des faiblesses et des vantardises qui l'humanisent.

    Dès le début, le film montre comment Walesa est conduit à signer au poste de police des déclarations qui le saliront tout au long de sa vie en le faisant suspecter d'avoir été un indic du régime communiste.

    Bien que d'un grand intérêt cinématographique et aussi pédagogique, L'Homme du Peuple a fait une sortie très discrète en France.

    Le temps n'est plus où la critique se pamait devant les films politiques. Sans doute en irait-il autrement si le film traitait de l'homoparentalité ou de quelque autre sujet intimiste ! Faut-il y voir un signe de sénéscence de nos élites, revenues de tout, même de la révolution ?...

  • Verviers, 30 novembre : Concert Bach et Haendel avec l'Emulation et la Chorale Ste Julienne

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  • Les musées du Vatican comme vous ne les avez jamais vus

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    Via paroissejjp.over-blog.com

    C’est inédit : pour la première fois, la technologie de 3D relief de toute dernière génération a pénétrée dans les Musées du Vatican et la Chapelle Sixtine. La décomposition des plans des peintures et sculptures présentées permet au spectateur de littéralement plonger dans les œuvres les plus marquantes de l’art, de toutes les cultures et de toutes les époques, recueillies par les papes depuis 500 ans. Ne manquez pas ce voyage passionnant : il ne sera diffusé sur les écrans de cinéma qu’à une seule date, le 4 décembre prochain !

    Afin de capter la splendeur d’un des musées les plus visités du monde, 40 professionnels ont filmé de nuit les salles, les couloirs et les chambres pendant 4 mois d’un tournage placé sous la direction d’Antonio Paolucci, directeur des Musées du Vatican. Celui-ci nous accueille dans ces lieux et nous invite à les parcourir à la manière d’une introspection. Il nous raconte, tout au long du film, ce qui selon lui, fait de cet ensemble d’œuvres d’art, qui s’étend sur plus de 2000 ans d’histoire, une prière sublime et intemporelle pouvant être comprise par tous.

    Bande-Annonce du film Les Musées du Vatican 3D :