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Art - Page 65

  • Liège, 12 décembre : le Monde des Noëls par le Choeur George Enescu

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    Présentation de la chorale « Cantores Amicitiae »

    Fondé en 1976 et formé d’étudiants, le chœur « Cantores Amicitiae de l’Université d’art « Gorge Enesco de Iasi en Roumanie se propose de faire connaître aux amateurs de musique vocale, les œuvres les plus représentatives du répertoire roumain et international.

    Cette chorale se distingue par l’homogénéité de ses voix, la précision et la sensibilité dans l’interprétation des œuvres, tout en mettant en valeur l’âme roumaine.

    La Chorale « Cantores Amicitiae » dirigé par M. Le professeur Gisca (recteur de l’académie d’art d’Iasi) a obtenu de nombreux prix lors de festival et concours nationaux et internationaux. Notamment : prix d’excellence à Montreux, premier prix à Vienne au festival de la jeunesse et la musique, deuxième prix à Fivizzano (Italie) au festival international  « le monde et la musique » diplôme d’or à  Elsenfeld en Allemagne.

    Cette chorale s’est produite dans de nombreux pays : Autriche, Allemagne, Angleterre, Italie, Belgique, Suisse, Espagne, Finlande, Luxembourg, Mexique, Etats Unis.

    Pour ce concert, Ils se proposent de vous interpréter des chansons de noël de Roumanie et du monde entier .

  • Quand le non-art contemporain s'apprête à trôner à Bruxelles, place de Brouckère

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    On lit aujourd'hui sur LaLibre.be

    Il n’y a pas que le terrorisme. Bruxelles-Ville a approuvé ce lundi soir une convention avec l’artiste britannique d’origine indienne Anish Kapoor, pour l’étude d’une sculpture monumentale à placer sur la place De Brouckère, en plein piétonnier. Cette œuvre devrait être la première d’un vrai parcours d’art contemporain en ville que Bruxelles veut créer. L’œuvre de Kapoor sera financée par des mécènes privés (le financement est organisé par la Fondation Roi Baudouin). 

    Rappelons que Kapoor est une des plus grandes stars de l’art mondial. Il a récemment défrayé la chronique à Versailles, enthousiasmé au Couvent de La Tourette près de Lyon, et deux de ses oeuvres monumentales entreront dans le Rijksmuseum d’Amsterdam à la fin du mois. 

    C'est le moment de rappeller que la présence d'une "oeuvre" de Kapoor dans le parc de Versailles a suscité la controverse. Baptisée "le vagin de la reine", elle avait même été vandalisée. Ces faits ont inspiré à Jean-Louis Harouel les commentaires suivants (FigaroVox du 18 juin) :

    Anish Kapoor vandalisé : le scandale fait-il l'œuvre d'art ?

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Le spécialiste de l'art contemporain, Jean-Louis Harouel, réagit au vandalisme de l'œuvre d'Anish Kapoor. Pour lui, ce genre d'acte contribue à faire de la publicité à des «œuvres» assimilables à des produits financiers.


    Jean-Louis Harouel est professeur de droit à Paris II et auteur notamment de «La grande falsification. L'art contemporain», «Le vrai génie du christianisme» et «Revenir à la nation» (Editions Jean-Cyrille Godefroy).


    L'œuvre du britannique Anish Kapoor, «Dirty Corner» installée dans les jardins du château de Versailles, a été vandalisée. Que cela vous inspire-t-il?

    Jean-Louis Harouel: Pour salubre qu'il soit, cet acte fait aussi le jeu du pseudo-artiste qui a décidé d'insulter aujourd'hui Versailles, les reines de France, l'histoire de France et toute la France. Grâce à l'outrage qu'il fait délibérément à Versailles, il compte faire beaucoup parler de lui, faire connaître mondialement son nom fort ignoré du grand public, faire beaucoup monter sa cote, gagner énormément d'argent. Et le fait qu'on s'en soit pris à sa prétendue œuvre lui apporte un surcroît de publicité qui doit le ravir.

    Cela dit, je crois qu'il est préférable de ne pas prononcer son nom, ni même de savoir son nom. Ce serait lui faire trop d'honneur. Je l'appellerai simplement «l'individu qui insulte aujourd'hui Versailles». Mais en vérité, c'est encore lui accorder trop d'importance que de voir en lui une véritable individualité. Il est seulement un rouage parmi d'autres de cette immense bouffonnerie que l'on appelle fallacieusement «art contemporain».

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  • Un nouveau groupe de musique bruxellois pour évangéliser en jouant de la musique

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    Lu sur aleteia.org :

    Feel God : un nouveau groupe de musique bruxellois

    Évangéliser en jouant de la musique.

    Feel God est un groupe de musique qui vient de naître. Accompagné aux percussions par un jeune frère franciscain, leur projet est de donner un concert par mois à Bruxelles (Belgique). L’objectif de cette formation est d’évangéliser en jouant de la musique chrétienne (Impact, Hillsong, Exo, Jesus culture…).

    Une soirée de louange par mois qui se veut être le nouveau rendez-vous incontournable des Bruxellois.

    Pour plus d’informations sur la page Facebook du groupe

  • Le Dialogue des Carmélites dénaturé

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    Un ami revient sur le jugement de la Cour d'appel de Paris concernant la mise en scène par Tcherniakov du Dialogue des Carmélites :

    Dans un jugement de la Cour d'appel de Paris, la Justice a jugé qu'une mise en scène "moderne" du sublime "Dialogue des carmélites" dénaturait complètement l'intention de l'auteur, au point que ses ayants-droits- qui réclamaient l'arrêt de sa diffusion- ont obtenu gain de cause. Dans un arrêt d'une finesse remarquable (qu'on vous laisse savourer ci-dessous) et témoignant d'une compréhension profonde de cette oeuvre majeure de Poulenc et Bernanos, le juge prends ses responsabilité et évite la tentation de se laver les mains dans la nébuleuse de "la liberté d'expression", fait suffisamment rare que pour être souligné.

    Appelant un chat un chat, le juge ose statuer sur le fond de l'affaire en donnant raison aux descendants de l'auteur, au grand dam des critiques bien-pensantes,hurlant au vol de la sacro-sainte "liberté d'expression" de l'auteur de cette mise en scène, par ailleurs poids lourd du "nouvel opéra". Ainsi cet article de France Musique, qui s'interroge :

    Mais comment être certain que cette vision proposée par Tcherniakov aurait déplu à Bernanos ou Poulenc ?

    Et bien... en le lisant par exemple ?

  • Liège : un nouveau cycle d’initiation au chant grégorien donné à l’église du Saint-Sacrement

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    Renseignements et inscriptions :

    ● S’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège.

    Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence, tél portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye).

    E-mail : academiedechantgregorienliege@proximus.be

    ● Informations générales et inscriptions en ligne sur le site de l’académie :http://www.gregorien.com

    JPSC

  • Liège (Saint-Barthélemy), 11 octobre : concert d'orgue au profit des oeuvres sociales du Monastère de la Transfiguration (Brésil)

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    Saint-Barthélemy - 11 octobre 2015. (2).jpg

    C'est un événement à but humanitaire qui aura lieu le dimanche 11 octobre à 17H30 à la Collégiale Saint-Barthélemy, place Saint-Barthélemy, à Liège. Il s’agit d’un récital d’orgue au cours duquel Jacques Libois et Christian Vaillant se produiront, récital organisé afin de soutenir un Monastère situé dans le sud du Brésil, et dont l’activité principale consiste à lutter contre la pauvreté. En voici le lien Internet :

    http://www.transfiguracao.com.br/

     

    Comme l’explique le Prieur, le Père Collart, qui est belge, liégeois d’adoption, - et qui sera présent pour la circonstance le 11 octobre -, on ne meurt pas de faim dans cette région agricole, mais on y trouve tous les autres aspects de la grande pauvreté et de ce qu’elle engendre, ce qui à mon sens est encore plus horrible. Les moines travaillent pour subvenir à leurs propres besoins et pour venir en aide aux populations de la région, mais les moyens sont évidemment insuffisants.

  • "Eglises Ouvertes" vous informe

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    Eglises Ouvertes

    Septembre 2015
     

    Sommaire
  • Bruxelles, 20 octobre : "Les représentations de l'Eucharistie dans le mobilier et l'iconographie"

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    Mardi 20 octobre 2015, 10h30-16h.
    Cathédrale Saints-Michel-et-Gudule

    Les représentations de l'Eucharistie

    dans le mobilier et l'iconographie

    Journée de formation pour les accueillants et guides dans les églises et toute personne intéressée.


    CathedraleGlorification1wwwAprès une brève introduction sur l'histoire de ce sacrement et de ses enjeux théologiques, spirituels, politiques et culturels (depuis le récit de la "dernière Cène" jusqu'aux définitions du Concile de Trente), l'accent sera mis sur l'histoire des pratiques de dévotions eucharistiques dans l'espace géographique correspondant à l'ancienne Lotharingie, entre le XIIIe et le XIXe siècle. 
    Une attention particulière sera accordée au rôle des femmes dans leur diffusion.

    L'exposé s'appuiera essentiellement sur la mise en image de ces manifestations (processions, adorations, miracles, expériences mystiques...) et sur la présentation des objets utilisés tant pour la célébration du sacrement que pour la dévotion au Saint-Sacrement.

    Rendez-vous à 10h15
    à la Cathédrale Sts-Michel-et-Gudule,
    Pl. Sainte-Gudule
    1000 Bruxelles

    Programme

    10h15 : Accueil à la Cathédrale Sts-Michel-et-Gudule, Bruxelles.

    10h30 : Visite guidée
    Notre groupe sera divisé en trois pour visiter alternativement :
    - La Cathédrale
    - Les représentations de l’Eucharistie 
    - Les vestiges romans et la crypte

    Vers 12h15 : Repas 
    Possibilité de réserver le menu à 14,95 € “Chez Léon” : Potage du jour, Blanquette de dindonneau-frites, Mousse CathedraGlorification2www
    au chocolat - 1 boisson au choix (soft, bière, verre de vin).

    Après-midi animée par
    Marie-Elisabeth Henneau, 
    Docteure en Histoire 
    (Salle St-Nicolas, rue des Pierres, 44)

    13h45 : Conférence
    Les représentations de l’Eucharistie dans le mobilier et l’iconographie

     

    Prix de la journée 10 € (hors repas)
    à verser sur le compte :
    BE54 0682 4843 3797 de ACT
    Av. Reine Astrid 38/01 - 4900 SPA

    Merci de réserver pour la journée et le repas pour le mercredi 14 octobre au plus tard en mentionnant vos coordonnées et le nombre de personnes.

    Renseignements : ACT - Inès De Sousa, Rue du Houmier 84 - 4140 Florzé - Sprimont, 
    Tél. : 04/344.48.81 - Fax : 04/344.56.22 - E-mail : act@reliures.org

    CHEMIN D’ACCES :

    En train : 
    Arrêt Bruxelles Gare Centrale. Prendre la sortie “Centre-Ville”, prendre, vers la droite, le Bd de l’Impératrice. La Cathédrale se trouve à 300m sur la droite (5 mn à pied).

    En voiture :
    Parkings à proximité : 
    - Parking Royal : entrée rue de Ligne.
    - Parking Grand Place : entrée rue du marché aux herbes, 104.

    Photo : Glorification du St-Sacrement, Cathédrale Sts-Michel-et-Gudule

  • Jeune talent : récital de piano à l’église du Saint-Sacrement de Liège

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    Jeune talent : récital de piano à l’église du Saint-Sacrement

    Mardi 15 septembre 2015 à 20h00 

    Bd d’Avroy, 132 à Liège

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    Arthur Dubru est étudiant en piano à l'IMEP, l'Institut Supérieur de Musique et Pédagogie de Namur. Pour la troisième année consécutive, il présente son travail sous la forme d'un concert commenté qui se veut professionnel et pédagogique. Son objectif : faire découvrir la musique classique au plus grand nombre, en proposant des pistes d'écoute et des commentaires variés. Lauréat des concours Belfius et Charlier, Arthur Dubru interprétera des oeuvres de Bach, Beethoven, Chopin, Liszt et Rachmaninov.

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    Chopin - Prélude n°4, op.28

    Bach - Prélude et Fugue en do#mineur BWV 849

    Beethoven - Sonate n°30, op.109

    Chopin - Etude n°4, op.10

    Liszt - Liebestraum n°3

    Rachmaninov - Prélude n°5, op.23

    Renseignements : tel 0488 670 370 ou email arthurdubru@hotmail.com

     JPSC

  • L'Eglise évangélique allemande présente ses excuses pour l'iconoclasme de la Réforme protestante

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    Destruction_of_icons_in_Zurich_1524.jpgD'Anita Bourdin sur ZENIT.org :

    Eglise évangélique : des excuses pour l'iconoclasme de la Réforme
     

    Une déclaration sans précédent de l'Eglise évangélique allemande contre l'iconoclame, lors d'une rencontre avec une délégation orthodoxe, saluée par L'Osservatore Romano.

     

    L’Eglise évangélique d’Allemagne (Evangelische Kirche in Deutschland, EKD) exprime ses excuses pour l’iconoclasme de la Réforme protestante, dans un communiqué de ce 29 juillet, salué par L’Osservatore Romano en italien du 30 juillet.

     

    Orthodoxes et protestants se sont réunis à Hambourg pour discuter et approfondir le sens de l'image pour leurs traditions lors d'une réunion de la délégation de l'EKD et du patriarcat œcuménique de Constantinople, tenue ces derniers jours à Hambourg.

    Le patriarche œcuménique Bartholomaios et l'évêque Heinrich Bedford-Strohm, président de l’Eglise évangélique d’Allemagne, ont envoyé leurs salutations pour bénir la réunion.

    La communauté protestante allemande exprime ses excuses à la destruction généralisée des images religieuses mises en œuvre durant la période de la Réforme, explique L’Osservatore Romano.

    La communauté protestante condamne fermement la pratique destructrice des « images », a déclaré l'évêque Petra,  Bosse-Huber.
    Les icônes sont en effet depuis longtemps devenues « une expression de la piété protestante », ont-ils reconnu.

    Cette déclaration, sans précédent, est d’autant plus importante dans le cadre de la préparation au 500e anniversaire de la Réforme de Martin Luther (1517-2017).

    Dans la première moitié du XVIe siècle, les statues de la Vierge et des saints, ainsi que des vitraux représentant des images religieuses, des événements miraculeux et surnaturels ont été enlevés des églises et chapelles catholiques, et souvent détruites, rappelle L’Osservatore Romano qui cite différents exemples.

    La Suisse, les Pays-Bas, l'Angleterre et le sud de l'Allemagne ont souffert des effets les plus importants de cette pratique destructrice.

  • Liège : quand Saint-Jacques se dévoile

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    Affiche-expo2.jpg(source)

    Une exposition (du 26 juin au 13 septembre)

    "A l’occasion du millénaire de la fondation de l’abbaye Saint-Jacques, l’église Saint-Jacques accueille, du 26 juin au 13 septembre 2015, une belle exposition consacrée aux témoins les plus significatifs et les plus prestigieux de l’histoire, l’histoire de l’art, l’archéologie et l’architecture de l’église et de l’ancienne abbaye. Cette exposition est l’occasion de fournir à un large public un regard approfondi sur l’édifice, sa genèse, son histoire et celle de l’abbaye aujourd’hui disparue, mais également sur l’éphémère collégiale, ainsi que sur l’église paroissiale actuelle, héritière d’institutions religieuses disparues. L’exposition est amplifiée par la visite de l’église Saint-Jacques elle-même selon diverses formules. Le fil conducteur de l’exposition repose sur l’histoire de l’abbaye et la mise en valeur de l’action des abbés qui ont marqué celle-ci depuis sa fondation au XIe siècle. On en compte 53 jusqu’à la sécularisation de l’église en 1785. Quelques événements particulièrement éclairants et des anecdotes qui témoignent de la vie très diversifiée de l’abbaye Saint-Jacques tout au long de son histoire sont mis en évidence."

    Infos : http://abbaye-saint-jacques.be/evenements/exposition/

    Site général : http://abbaye-saint-jacques.be/ 

  • Faute de vocations, les dominicains de Florence veulent abandonner leur couvent de San Marco

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    5479569580_a153d32d63_b.jpgC’est le couvent dominicain le plus célèbre du monde. À Florence, il constitue depuis des siècles un phare de sainteté, d’art et de culture. Mais aujourd’hui il est sur le point d’être supprimé et cela de par la volonté même de l'ordre de saint Dominique. Lu sur le site « Chiesa »  cette information publiée par Sandro Magister :

    ROME, le 17 juillet 2015 – La sentence définitive pourrait arriver d’un moment à l’autre, dans l’inattention de l'été. Et elle concernera la vie ou la mort du couvent dominicain le plus célèbre du monde, celui de San Marco à Florence.

    L’enjeu a quelque chose d’incroyable. C’est comme si les religieux franciscains avaient décidé de fermer leur couvent d’Assise. Et pourtant c’est bien ce qui pourrait se produire, de par la volonté de l’ordre dominicain lui-même, si le maître général de l'ordre, le père Bruno Cadoré, rend exécutoire la décision qui avait été prise à l'automne de 2013 par le chapitre de la province dominicaine d'Italie centrale, qui est consacrée à sainte Catherine de Sienne : celle, précisément, de supprimer la "maison", c’est-à-dire le couvent de San Marco à Florence. 

    Le maître général a pris son temps. Au mois de mars de l’année dernière, il s’est rendu en visite au couvent dont la fermeture était envisagée. Il a ensuite écrit aux dominicains de la province concernée une lettre dans laquelle il leur demandait d’étudier de nouveau la question, en la reprenant depuis le début et en se faisant aider par des "experts". Mais cette lettre n’a pas eu d’effet. Les pères dominicains de la province de sainte Catherine de Sienne se sont de nouveau réunis en chapitre, à la fin du mois de mai dernier, et ils ont encore une fois demandé au maître général que le couvent de San Marco soit supprimé.

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