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Art - Page 72

  • Cathédrale de Tournai : les concerts MUSICA (août-septembre)

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  • Art « sacré » : Le triomphe de l'horizontalité

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    « Argument cher à Benoît XVI, le rapport entre la beauté et l’expression de la foi est souvent à l’honneur des conférences liturgiques internationales, avec malheureusement peu de fruit constatable. En France, où tout est toujours plus idéologique, ce rapport est rarement objet de recherche et de discussion mais plutôt de provocations plus dures qu’ailleurs, comme celles de Serrano et de Castellucci l’ont illustré. Il faut dire que de nombreux ecclésiastiques – bien encouragés par les officines de la culture d’État –, quand on leur demandait leur avis – ce qui est de moins en moins le cas (voir la récente affaire d’un tournage à sujet « religieux », particulièrement scandaleux, imposé au curé de l’église militaire du Val-de-Grâce) –, se sont faits les promoteurs convaincus du plus désacralisant des arts contemporains. Comme dans le domaine de l’art en général, il s’agit de subvertir un cadre esthétique classique par des œuvres contemporaines dont la signification provocatrice intrinsèque (dans le cas de l’art sacré, directement sacrilège) est ainsi démultipliée par l’outrage fait à l’écrin dans lequel elles sont perpétrées (en l’espèce église, cathédrale).

    Dans la ligne de publications concernant soit l’imposture de l’art contemporain en général, soit les violences qu’on inflige par lui au sacré, l’historien Philippe Conrad a réalisé une remarquable synthèse, très documentée, que nous sommes heureux de vous livrer cette semaine.

    Philippe Conrad est professeur d’histoire, collaborateur régulier de Spectacle du Monde, intervenant régulier des universités d’été de Renaissance catholique, et désormais aux commandes de la Nouvelle Revue d’Histoire. La réflexion qu’il nous propose met l’Église de France face à ses responsabilités en matière d’abandon du sacré au profit du profane, et qui plus est du profane contemporain, quitte à finir par se faire complice de la profanation qu’il représente idéologiquement...

    Philippe Conrad, comme notamment Aude de Kerros et Christine Sourgins, vise spécialement les provocations de l’art contemporain investissant le sacré. En soulignant que les clercs qui soutiennent cet investissement, le font par désir d’« évangéliser la culture contemporaine », sans se soucier du fait qu’elle est par nature antiévangélique. Mais à un niveau moins violent et tout aussi dévastateur, il y a la banalisation par l’adoption des formes étrangères les plus profanes. C’est ce que remarquait le directeur des Musées du Vatican, le professeur Antonio Paolucci qui, lors d’une présentation à Rome d’un ouvrage sur les églises construites dans l’Urbs depuis le Jubilé de l’an 2000 exprimait le jugement suivant : « Plus que de nouvelles églises, il semble s’agir de musées ou de grands magasins. Des lieux privés du sens du sacré, qui n’invitent pas à la méditation et sans aucune inspiration mystico-religieuse. »

    En tout cela, on est très proche de la question liturgique, car l’esthétique religieuse contemporaine (qui se veut contemporaine : il faut être de son temps !) se conjugue avec une liturgie dont le principal souci est d’être contemporaine. Cette esthétique adoptée par bien des clercs, profanatrice par provocation (Le Christ sur une chaise électrique, de Gap), mais souvent par la plus plate banalisation (les fauteuils de salon contemporain dans un chœur baroque, ou le baptistère-cendrier), est-elle autre chose que du snobisme, le snobisme des clercs qui commanditent des vêtements liturgiques à André Courrèges ou Jean-Charles de Castelbajac ? Ce qui va de pair dans l’intention et dans la réalisation avec une liturgie qui s’est mondanisée, pour être « de son temps ». Avec un grand nombre de degrés du côté de l’art et du côté de la liturgie, on peut dire qu’à un art sacré de la disparition de Dieu correspond une liturgie de la disparition du dogme. »

    Référence :
    paix-liturgique.org

    Ce n’est pas de se servir des matières ou des techniques contemporaines que l’on reproche à l’esthétique des vêtements, des objets, des meubles ou des édifices du culte d’aujourd’hui, mais d’être trop souvent sans grande inspiration religieuse. Il est vrai que les pastiches du gothique ou l’ « art » sulpicien du XIXe siècle ne valaient pas beaucoup mieux, encore qu’ils puissent traduire une piété sincère. On ne peut même pas en dire autant de l’art « religieux » sécularisé.

    3834903158.jpgSur ce thème, on peut aussi, à titre d'exemple, épingler (sur le site officiel des médias catholiques belges francophones) la déclaration péremptoire de l’abbé Michel Teheux, conseiller du projet de modernisation « look ikea » (photo) du chœur de la cathédrale de Liège : « Le principe de l’incarnation est fondateur de l’identité chrétienne, en art aussi. Il ne s’agit pas seulement de ‘faire moderne’, il s’agit d’une cohérence symbolique existentielle: toute expression chrétienne se doit d’être ‘actuelle’. L’évêque [ndb : Mgr Jousten, aujourd’hui émérite)] et le chapitre cathédral ont osé donner corps à cette cohérence. ». Avec l'argument d'autorité en prime, intimidant, non ? Michel Teheux est aussi l’auteur des nocturnales déployant trapézites, majorettes et chevaux de cirque dans le même « espace" (sacré?) …

     JPSC

  • 13-14 août : l'orgue est à l'honneur à Spa

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    image001.jpgimage003.jpgDu 11 au 15 août aura lieu conjointement à Tongres en la basilique et à Spa en l'église saint Remacle, une académie internationale d'orgue rassemblant une quinzaine de passionnés, d'étudiants venant des 4 coins du monde. Ceux-ci auront la chance de suivre l'enseignement d'organistes professionnels de renommée internationale tels que James David Christie (Boston USA ), Luc Ponet (Tongres) et Jean Ferrard (Bruxelles).

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  • Quant la RTBF rend justice au chant grégorien

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    Une belle émission à écouter, en cliquant ici :

    Le chant grégorien dans tous ses états (RTBF) 

    Et pour en savoir plus sur les prochaines activités

    de l’académie belge de chant grégorien :

    Cliquez ici : Stage d'été
    au Monastère Notre-Dame à Ermeton-sur-Biert,
    avec Paul BREISCH et Sarah Pirrotte,
    du dimanche 
    18 août au dimanche 25 août 2013.
    Concert de clôture à l'Abbaye de Maredsous (crypte) 
    le samedi 24 août à 17h15.

    Cliquez ici : Formation à Louvain-la-Neuve
    Les grandes étapes de la formation du répertoire grégorien.
    Un week-end les 
    28 et 29 septembre
    plus une journée le samedi 19 octobre 2013, avec Giedrius GAPSYS.

    Messe des fidèles défunts
    le vendredi 2 novembre à 19h à Tourinnes-la-Grosse,
    dans le cadre des fêtes de la Saint-Martin,
    avec, en soliste, Hendrik Vanden Abeele,
    Directeur musical de Psallentes.
    Répétition obligatoire, le jour même sur place à 17h.
    Le nombre de choristes sera limité à 18.
    Cliquez ici :
    Inscription.

    Site web : http://www.gregorien.com

    e-mail : academiegregorien@skynet.be

  • Réflechir sur l'art avec "Ecologie humaine"

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  • Le compositeur du concerto imposé du Concours Reine Elisabeth était un joyeux païen mais...

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    «J’étais un joyeux païen, ma femme vient d’une famille très engagée dans le protestantisme, raconte Michel Petrossian. Un jour, elle m’a dit : "Il y a quelque chose que nous ne partageons pas et qui est important pour moi : la Bible." Je l’ai lue pour lui faire plaisir. J’ai été saisi. La figure de Jésus m’a interpellé.» Alors que sa carrière de compositeur est en train de décoller, Michel Petrossian plaque la musique pour entrer en religion...

    Lire ce témoignage : http://www.liberation.fr/societe/0101641458-j-etais-un-joyeux-paien-jesus-m-a-interpelle

    Intéressante aussi la profession de foi du finaliste Sean Kennard : http://www.rtbf.be/video/detail_interview-de-sean-kennard-demi-finaliste?id=1823776

  • La « Vie » et « Radio-Vatican » : à qui la palme d’or ?

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    La palme d'or du Festival de Cannes est non seulement exaltée par La Vie mais aussi par la radio qui se dit "la voix du Pape et de l'Eglise". Réflexion de Riccardo Cascioli, pour la Bussola (27/5/2013). Traduction parue sur le site « Benoît et moi » :

    « Festival de Cannes, la palme va au film «La vie d'Adèle », qui le jour de sa projection a fait surtout parler de lui pour la scène longue et détaillée d'amour lesbien entre les deux protagonistes. Je n'ai pas vu le film, mais je n'ai aucun doute sur le fait qu'il est bien fait et bien joué - certains disent que parfois même des films pornos le sont - mais entendre Radio Vatican exalter aussi le contenu du film laisse sans voix. Voici ce qu'a dit le correspondant de Cannes: «Adèle lit Marivaux et s'interroge sur l'amour. Elle ressent le besoin d'un sentiment fort qui habit son corps, mais pas encore l'attraction fatale, l'affinité qui la lie à un autre être humain. En attendant elle essaie - elle met à l'épreuve les autres, et elle-même - peut-être comprend-elle qu'elle peut trouver ce qu'elle cherche dans la sexualité féminine. Puis l'amour vient à travers un regard, un plaisir partagé, un vague désir de vivre l'autre personne en profondeur ».

    En somme, pour Radio Vatican - qui s'auto-définit «la voix du pape et de l'Eglise » - il n'y a absolument aucun problème, rien d'étrange dans le fait qu'une fille s'ouvre à l'amour avec une autre fille: hétérosexuel ou homosexuel, cela ne fait aucune différence, l'important c'est l'amour, l'important c'est d'essayer. Certainement un beau message pour les adolescents: si même la radio du pape se plie à l'idéologie homosexualiste, à quoi devons-nous encore nous attendre?

    Radio Vatican continue, en affirmant que le film est «joué par deux actrices (Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos), mis en scène avec une fluidité qui fait qu'on ne voit pas le temps passer (ndt: le film dure trois heures), plein de scènes inoubliables d'explosion des sentiments »

    Explosion de sentiments? Voici ce qu'explique le journal Repubblica: «Très longues scènes explicites entre les actrices Léa Seydoux et Adèle Excharchopoulous qui s'aiment avec une extrême variété, voracité, fantaisie de positions, quantité d'orgasmes. Moments qui sont "nécessaires pour raconter l'enchantement de leur relation", explique le réalisateur ».

    Ce n'est pas une question de moralisme, mais de jugement: un fruit empoisonné peut être joliment présenté, de la façon la plus attrayante possible, mais il reste un fruit empoisonné. Cela doit être dit clairement, mais désormais, le jugement semble être une denrée rare, même là où l'on s'attendrait à trouver le dernier point d'appui, la dernière résistance à la mentalité du monde. »

    L'article de radio Vatican ici: http://it.radiovaticana.va/ (mais Riccardo Cascioli se réfère à un texte plus détaillé

    Référence: Palmarès de Cannes: dérapage de Radio Vatican

  • Quand la Vie se complaît à célébrer un film d'amours lesbiennes...

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    ...cela donne ceci que vous découvrirez sous la plume du très consensuel Frédéric Théobald :

    http://www.lavie.fr/culture/cinema/la-vie-d-adele-une-palme-de-notre-temps-28-05-2013-40757_35.php

    Finalement, ces cathos, dont nous sommes, que fâchent les interminables scènes de sexe de ce film et qui trouvent anormal qu'on assiste à une telle promotion de l'homosexualité ne sont que de tristes esprits chagrins, complètement décalés, et qui ne veulent rien comprendre à l'innocente beauté d'une histoire d'amour, peu importe quelles en sont les modalités...

  • Cannes : des palmes sans surprises

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    Un ami nous écrit :

    Sais-tu que je suis très fort, devin, ou je ne sais quoi. Quand le festival de Cannes a commencé et qu'on a présenté le sujet des films projetés, en apprenant qu'il y avait un film abordant la question de l'homosexualité, j'ai immédiatement déclaré à ma femme qu'il serait primé! Sans l'avoir vu, sans connaître le réalisateur! Ne suis-je pas extralucide?

    Quelle farce que ce festival! On prime un film inachevé! Hugues Dayez lui-même, au JT de dimanche 19h30 était embarrassé par les longues séquences de sexe. Il n'avait pas l'air convaincu que la palme ait été attribuée à ce film et non le film de Farhadi (Le passé). Le lendemain, il se reprenait et déclarait que c'était un beau palmarès.

    Misère! Pourquoi s'acharne-t-on à  faire un plat avec ce festival tape-à-l'oeil qui se branche volontiers sur l'actualité? La palme d'or au film d'Hanneke sur l'euthanasie était prévisible. Le regretté abbé Carlier (animateur d'un cinéma de quartier à Namur ndB), lui, allait à Berlin où, disait-il, on  a affaire avec des gens sérieux. Et pourquoi laisser dans l'ombre la Mostra de Venise où de grands films ont été récompensés dans l'indifférence des gazettes. 

    Pour en revenir à Cannes, qui a vu le film d'Apichatpong Weerasethakul, palme d'or en 2010? Je l'ai vu et je m'interroge encore sur ce qui a poussé un jury de "spécialistes" à donner ce prix à un film abscons. La volonté de se singulariser à tout prix? Le snobisme parisien est contagieux. Vive l'Allemagne, vive l'Italie!

    Lire aussi : http://www.france-catholique.fr/Palme-d-or.html

  • Sur les écrans (19.5.2013)

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    Actuellement à l’affiche du Festival de Cannes, Le Passé est sûrement bien parti pour obtenir l’adhésion du jury. Le réalisateur iranien Asghar Farhadi revient sur ses thèmes de prédilection qu’il avait déjà...
     
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    Ce film réalise un exploit significatif : mettre une leçon de morale sur les effets destructeurs du divorce et du remariage sur les enfants, dans la bouche de l'héroïne qui fait le bonheur de son « prince charmant » en devenant... sa...
     

  • Versailles - jusqu'au 14 juillet : le Trésor du Saint-Sépulcre

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    http://www.chateauversailles.fr/les-actualites-du-domaine/evenements/evenements/expositions/tresor-du-saint-sepulcre

  • Le Saint-Siège présent à la Biennale de Venise

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    La_biennale_venezia-logo-EB0754F498-seeklogo.com.gifCité du Vatican, 14 mai 2013 (VIS). Pour la première fois le Saint-Siège va prendre part à la Biennale de Venise (1 juin - 24 novembre) avec un pavillon inspiré à la Genèse. Son titre, Au début, a été choisi par le Cardinal Gianfranco Ravasi, Président du Conseil pontifical pour la culture, qui entend développer le dialogue de l'Eglise avec la culture contemporaine. Ce matin près la Salle de Presse, avec Antonio Paolucci, Directeur des Musées du Vatican et coordinateur de l'opération, et M.Paolo Baratta, Directeur de la Biennale, le Cardinal a expliqué l'organisation du pavillon en trois sections artistiques exprimant la création, la dé-création et la re-création. L'art contemporain, a-t-il dit, intéresse le Conseil pour la culture en tant qu'expression de la culture de ces dernières décennies. Quant au thème de la Genèse choisi pour le pavillon du Saint-Siège, sa valeur dépasse l'intérêt culturel ecclésial car il jalonne toute l'histoire de l'art. Ses onze premiers chapitres parlent du mystère des origines, de l'intrusion du Mal dans l'histoire et des espérances et projet de l'humanité après la dévastation symbolique du déluge". Les artistes sélectionnés ont oeuvré dans trois directions, la création et l'acte créatif qui prend forme dans la Parole, souffle de l'Esprit qui génère dans l'espace et le temps toute forme de vie, l'être humain compris. La dé-création se focalise sur le choix de l'homme qui s'oppose au projet de Dieu à commencer par le premier meurtre. Elle permet de réfléchir sur le côté inhumain de l'humanité. La violence et la disharmonie qui en découlent engagent une phase nouvelle de l'histoire humaine, exprimée par la punition - purification qu'est le déluge universel. La recherche de l'espérance, symbolisé par l'histoire biblique de Noé puis d'Abraham et de sa descendance, conduit à la formation d'une humanité nouvelle et d'une nouvelle création où les êtres et la vie sont profondément changés".

    Puis M.Paolucci a présenté les artistes choisis pour cette tâche: le Studio Azzurro, qui a fait de l'image immatérielle de la lumière et des sons le fondement de ses recherches, développe sur la création un riche dialogue entre monde végétal, monde animal et dimension humaine. Pour la dé-création, le photographe Josef Koudelka propose des clichés puissamment évocateurs de la destruction qu'engendrent les guerres, et l'usure matérielle comme conceptuelle tant de la nature que de l'industrie. Ses images dénoncent un monde blessé et à l'abandon, sachant transformer des fragments de la réalité en oeuvre d'art quasi abstraite. Enfin la perspective de la nouvelle humanité, de la re-création, a fait appel à Lawrence Carroll, et au volet de son travail portant sur les processus de transfiguration et leur expression symbolique et concrète à la fois. L'expérience de l'Arte Povera propose un cycle d'érosion et réparation, de congélation et de décongélation, de pause et de nouveau départ par la réintroduction d'objets qui fait coexister fragilité et monumentalité.

    La présence du Saint-Siège à la Biennale, a souligné M.Baratta, revêt une grande importance et fait grand écho dans le monde de l'art et de la culture. Elle est la bienvenue et nous estimons que cela entre dans la mission première de l'institution qu'est la rencontre et le dialogue. La LV Biennale international des arts est à la fois exposition et recherche car l'art contemporain voit des artistes exprimer leurs idées et leur mise en forme, tandis que d'autres proposent une réflexion. Et l'intérêt global est toujours concentré sur l'homme, ses inquiétudes et ses recherches, face à la passivité du consommateur mais avec la participation du visiteur. En cela aussi, la participation du Saint-Siège en ce moment particulier apparaît-elle comme de grande importance.