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Bioéthique - Page 22

  • BXL, mars-avril : cinq soirées de formation bioéthique à l'Université de la Vie

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     les lundis 9 mars, 16 mars, 23 mars, 30 mars

    et lundi 20 avril de 20h15 à 22h30

     

     

       
     

    Programme sur 5 soirées 
     une collaboration Institut Européen de Bioéthique et Vita International

     

     

     

     

     

    Le corps, de la vie à la mort.

     

     

       

     

     


    Programme des soirées : 

     
    1 : Corps en gestation : le temps du corps in utero

    Qui est mon corps ? | Les étapes clés du développement de l'embryon | La vie intra-utérine et la relation mère-enfant | De la gestation pour autrui à l'utérus artificiel


    2 : Corps fragiles, corps maîtrisés

    Vers le bébé zéro défaut ? | L'embryon entre congélation et expérimentation | Vivre le handicap | De la réparation à l'augmentation


    3 : Corps sexué et procréation

    Divorce entre le corps et le cœur | Un enfant si je veux : contraception, IVG | Un enfant à tout prix : PMA, FIV | FIV à 3 parents, clonage, dissociation genre - sexe : jusqu'où irait l'artificiel ?


    4 : Corps mortels

    Dépendance et vieillissement | Jusqu'à la mort : entre acharnement thérapeutique et soins palliatifs | Disposer de son corps : l'ultime liberté ? | La quête de l'immortalité


    5 : Au-delà du corps

    La spécificité de la main humaine | Les dérives de la marchandisation du corps | Le corps, creuset de la liberté intérieure | Corps social : tous membres les uns des autres ?

     

     

     

     

     

    Parmi les intervenants :
    Tugdual Derville, délégué général d'Alliance VITA
    Caroline Roux, déléguée générale adjointe, coordinatrice des services d'écoute d'Alliance VITA
    Docteur Xavier Mirabel, médecin cancérologue
    François-Xavier Bellamy, philosophe
    Professeur Emmanuel Sapin, l'un des pionniers de la chirurgie fœtale
    Sophie Lutz, mère d'une fille polyhandicapée, Philippine

     

     

     

     

     

    Plus de 70 villes participantes en France !

    Et aussi à BRUXELLES !

     

     

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    .universitedelavie.fr/villes/bruxelles-formation-bioethique-en-belgique

     

     

  • La gestation pour autrui (GPA) : une atteinte directe aux valeurs fondamentales partagées au sein de l'U.E.

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    COMECE Press 23/02/2015

    La gestation pour autrui: une atteinte directe aux valeurs fondamentales partagées au sein de l’UE

     

    unknownLa gestation pour autrui est un sujet de préoccupation croissant dans le débat politique et juridique à travers toute l’Union européenne. Dans ce contexte, le Groupe de travail de la COMECE (Commission des Episcopats de la Communauté Européenne) sur l’éthique dans la recherche et les soins de santé a publié un “Avis sur la gestation pour autrui: la question de sa régulation au niveau européen et international” qui est présenté ce lundi 23 février au Parlement européen lors d’un conférence sous le patronage de l’eurodéputé Miroslav Mikolasik.

     

    L’avis explique pourquoi toutes formes de gestation pour autrui constituent une atteinte grave à la dignité humaine de ceux qui sont impliqués dans cet échange ; en particulier le fait  que cette pratique instrumentalise la mère porteuse (souvent piégée dans la pauvreté et trafiquée sans scrupules) et traite l’enfant comme un objet. C’est pourquoi on ne peut en aucune circonstance consentir à une telle pratique. Tout en prenant en considération les compétences de l’Union européenne en la matière, l’avis recommande, comme une première étape envisageable, d’évaluer la faisabilité du refus de transcrire les certificats de naissance établis dans les pays de naissance. Cela permettrait de juguler une pratique qui, comme l’avis le démontre dans une argumentation en 3 étapes, va à l’encontre des valeurs fondamentales auxquelles adhère l’Union européenne.

     

    Télécharger le texte de l'avis en pdf

  • Strasbourg : la cour européenne des droits de l’homme (CEDH) développe un droit prétorien en faveur de la GPA

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    s65_puppinck.gregor.jpgDe Gregory Puppinck , directeur de l’ « European Center for Law and Justice », sur le site « Figarovox » :

    « En juin dernier, la Cour a condamné la France dans les affaires Mennesson et Labassée, puis elle se prononça sur une affaire contre la Belgique en septembre, et condamna l'Italie fin janvier. Enfin, dès le 3 février, la Cour a rendu publique sa décision de juger trois nouvelles affaires de GPA contre la France.

    Avec les arrêts Mennesson et Labassée, la Cour a posé le principe de l'acceptation de la GPA à l'occasion d'affaires mettant en cause des couples hétérosexuels mariés ayant un lien génétique avec l'enfant conçu aux USA. Sur cette base, dans l'arrêt Paradiso et Campanelli, la Cour est allée plus loin en jugeant que l'Italie a violé le droit à la vie familiale d'un couple (dont la femme avait 55 ans) en leur retirant un enfant avec lequel ils n'avaient aucun lien génétique, produit sur commande et payé 49.000€ à une société moscovite spécialisée en GPA. En jugeant ainsi, la Cour a non seulement accepté une nouvelle fois la GPA, mais aussi entériné la production sur commande et la vente d'un enfant. Parce que cette production-vente d'enfant sans lien génétique avec les acquéreurs n'est en définitive qu'une forme particulière de GPA, l'acceptation de la GPA conduit nécessairement à celle de la vente d'enfant.

    Les trois nouvelles affaires concernent un couple vivant à Dubaï et ayant obtenu un enfant en Ukraine et deux hommes ayant chacun conçu des enfants par GPA en Inde avec des mères porteuses qui se présentent aussi comme les véritables mères biologiques. L'un d'eux reconnaît avoir versé 100.000 roupies à la mère (environ 1.300€, trois ans de salaire d'une ouvrière) et 60.000 roupies à l'hôpital. C'est une «GPA low-cost». L'autre requérant est pacsé avec un homme ayant aussi obtenu des jumeaux en Inde. Ce sera la première affaire de «GPA-GAY» traitée par la Cour, mais elle se refusera à tenir compte de cette circonstance au nom du principe de non-discrimination. Ainsi, l'acceptation de la GPA conduit aussi à celle des «usines à bébés» et de la «GPA-GAY».

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  • BXL (Parlement européen), 23 février : Conférence sur la maternité de substitution et la dignité humaine

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  • D'après Jacques Testart, la FIV "à trois parents" ouvre la voie au clônage humain

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    [TRIBUNE] JACQUES TESTART : LA FIV À "TROIS PARENTS" OUVRE LA VOIE AU CLONAGE HUMAIN

    Jacques Testart[1], biologiste de la procréation et critique de science, (expert Gènéthique), publie une tribune dans les pages de Libération. Il revient sur l'actualité au Royaume-Uni, en passe de voter définitivement la FIV "par remplacement mitochondrial" c'est-à-dire la fabrication d'un enfant avec trois parents (Cf. Synthèse Gènéthique du 4 février 2015).

    Face à la première manipulation génétique des lignées germinales de l'espère humaine, il s'agit de s'interroger un peu plus longuement sur les conséquences à terme. En effet, il explique que jusqu'à présent, "les mitochondries étaient transmises à tous les enfants par leurs mères depuis le début et jusqu'à la fin des temps".

    Jacques Testart pointe du doigt la multiplication des manipulations génétiques pour arriver à un"produit enfant" conçu par des "combinaisons d'éléments biologiques" : gamètes étrangères au couple, location d'utérus, remplacement mitochondrial.

    Enfin le biologiste fait une comparaison entre la FIV dite "par remplacement mitochondrial" et la technique de clonage employée pour la fabrication de la brebis Dolly, premier mammifère cloné. Dolly aussi présentait une "double origine du génome femelle" du fait de la substitution, par une donneuse, d'un noyau maternel de l'ovule. La seule différence entre ces deux méthodes est le moment où intervient la fécondation. "Plutôt que de transférer le matériel nucléaire d'un ovule à l'autre, il est possible de transférer dans un ovule réceptacle (ou dans une cellule d'un autre embryon pourvu des bonnes mitochondries) un noyau embryonnaire prélevé deux jours après la fécondation (stade de 4 cellules)". Et comme au stade de 4 cellules, toutes les cellules embryonnaires sont totipotentes et capable (chacune) de permettre le développement d'un enfant, la technique pourrait être plus efficace. Une nouvelle dérive que Jacques Testart déplore.

    Ainsi, derrière les appellations tantôt "obscure" (enfant à "trois ADN"), tantôt "anodine"("remplacement mitochondrial"), Jacques Testart comprend que le Royaume-Uni est peut-être sur le point d'"engager le débordement de l'unique engagement bioéthique international à ce jour : celui du clonage humain".

    Note de Gènéthique

    Jacques Testart est une voix d'autorité supplémentaire qui exprime sa grande réserve sur cette première mondiale (Cf. Synthèses Gènéthique du 5 février 20156 février 20159 février 2015 et Gènéthique vous informe du 3 février 2015).

    [1] Jacques Testart vient de publier L'humanitude au pouvoir. Comment les citoyens peuvent décider du bien commun, Seuil, 2015.

    Source: 

    Libération (Jacques Testart) 11/02/2015

  • BXL, mars-avril 2015 : cycle de formation bioéthique avec Alliance Vita

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    BRUXELLES – FORMATION BIOÉTHIQUE EN BELGIQUE

    (organisée par l'institut europeen de bioethique et Alliance Vita)

    les lundis 9 mars, 16 mars, 23 mars, 30 mars et le lundi 20 avril

    de 20h15 à 22h30

    Pour participer à ce cycle de formation, l’inscription est obligatoire. Deux tarifs vous sont proposés :

    • tarif normal : 30€ pour les 5 soirées
    • tarifs réduit : 15€ pour les 5 soirées (tarif réservé aux étudiants sur présentation de leur carte les jours de l’événement)

    infos : http://www.universitedelavie.fr/villes/bruxelles-formation-bioethique-en-belgique/

  • Sur l'Eglise et sur la bioéthique : le ton nouveau du pape François

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    De l'abbé Christophe Cossement sur son blog donchristophe.be :

    Un ton nouveau

    Voici quelques mots récents du pape François, sur l’Église et sur la bioéthique, un regard profond qui va à l’essentiel. D’abord sur l’Église : « Séparer Jésus de l’Église serait vouloir introduire une dichotomie absurde. C’est véritablement l’Église, la grande famille de Dieu, qui nous apporte le Christ. Notre foi n’est pas une doctrine abstraite ou une philosophie, mais une relation vitale et pleine avec une personne : Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu fait homme, mort et ressuscité pour nous sauver et vivant au milieu de nous. Sans l’Église, Jésus-Christ finit par se réduire à une morale, une idée, un sentiment. Sans l’Église, notre rapport avec le Christ serait soumis à notre imagination, à nos interprétations, à nos humeurs. » (homélie de la messe du 1er janvier 2015).

    Puis sur les questions de bioéthique, à un groupe de médecins :

     « La pensée dominante propose parfois une “fausse compassion” : celle qui considère que c’est aider une femme que de favoriser l’avortement, un acte de dignité de procurer l’euthanasie, une conquête scientifique de “produire” un enfant considéré comme un droit au lieu de l’accueillir comme un don ; ou d’utiliser des vies humaines comme des cobayes de laboratoire en prétendant en sauver d’autres. En revanche, la compassion évangélique est celle qui accompagne au moment du besoin, c’est-à-dire celle du Bon Samaritain, qui “voit”, qui “a compassion”, qui s’approche et offre une aide concrète (cf. Lc 10, 33). Votre mission de médecins vous met quotidiennement en contact avec de nombreuses formes de souffrance : je vous encourage à les prendre en charge en “bons samaritains”, en ayant soin de manière particulière des personnes âgées, des malades et des porteurs de handicap. La fidélité à l’Évangile de la vie et au respect de celle-ci comme don de Dieu, demande parfois des choix courageux et à contre courant qui, dans des circonstances particulières, peuvent arriver à l’objection de conscience. Et aux nombreuses conséquences sociales que cette fidélité comporte. Nous vivons une époque d’expérimentation sur la vie. Mais une mauvaise expérimentation. Produire des enfants au lieu de les accueillir comme un don, comme je l’ai dit. Jouer avec la vie. Faites attention, car cela est un péché contre le Créateur : contre Dieu Créateur, qui a créé les choses ainsi. Alors que si souvent, dans ma vie de prêtre, j’ai entendu des objections. “Mais dis-moi, pourquoi l’Église s’oppose-t-elle à l’avortement par exemple ? C’est un problème religieux ?” — “Non, non. Ce n’est pas un problème religieux” — “C’est un problème philosophique ?” — “Non, ce n’est pas un problème philosophique”. C’est un problème scientifique, car il y a là une vie humaine et il n’est pas licite de tuer une vie humaine pour résoudre un problème. “Mais non, la pensée moderne...” — “Écoute, dans la pensée ancienne et dans la pensée moderne, le mot tuer signifie la même chose !”. Cela vaut aussi pour l’euthanasie : nous savons tous qu’avec autant de personnes âgées, dans cette culture du rebut, il existe cette euthanasie cachée. Mais il existe aussi l’autre. Et cela signifie dire à Dieu : “Non, la fin de la vie c’est moi qui la décide, comme je veux”. Un péché contre Dieu créateur. Il faut bien penser à cela. » (au Congrès des médecins catholiques, Rome, 15 novembre 2014)

  • Embryon : dix vérités scientifiques pour conforter le oui à la vie

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    Du site aleteia.org :

    Embryon : Le oui à la vie en dix vérités scientifiques

    Ces dernières décennies, la connaissance de l'embryon a fait un bond en avant, et les conclusions sont très claires...

    1. Au cours des vingt-cinq dernières années, la science moderne nous en a révélé  davantage sur notre développement biologique que toutes les recherches menées  dans le monde en trois mille ans.

    2. On sait aujourd'hui que l'embryon humain est un sujet à part entière, un individu unique, un être vivant doté d'une nature bien définie, et non une partie du corps de la mère ou un appendice de celle-ci.

    3. Dès l'union d'un gamète (ou cellule) mâle et d'un gamète femelle, l'embryon possède déjà des caractéristiques structurelles et fonctionnelles distinctes de celles de la mère, que ce soit dans son étape unicellulaire ou dans les diverses étapes de la division cellulaire.

    4. Au cours de toutes ces étapes, l'embryon se comporte comme un système organique possédant une identité propre, un métabolisme propre, un système immunologique propre, des acides nucléiques et un groupe sanguin différents de ceux de sa mère, selon un modèle de développement vers des états définis, empiriquement détectables.

    5. En tant qu'individu autonome, l'embryon  s'auto-organise en vue de son unité, avec une totale autonomie. Toutefois, ce développement, bien qu'autonome, n'est pas indépendant de la mère. Il dépend de son utérus  durant un temps variable. Par la suite, à la naissance, l'embryon continuera de dépendre de la mère ou d'autres personnes, pour sa survie, durant un laps de temps plus long, également variable. L'être humain est l'espèce qui prolonge le plus sa dépendance alimentaire. Cependant son état de dépendance intra-utérine n'a rien à voir avec son autonomie et sa condition spécifique.

    6. Le développement embryonnaire est donc continu, sans sauts ni ruptures, irréversible et graduel ;  il s'opère en vertu de programmations effectuées par le génome pour permettre les étapes successives du développement de l'organisme humain individuel.

    7. Par conséquent,  il présente au cours de ces différentes étapes  le développement de structures reconnues comme préparatoires  aux étapes suivantes, celles-ci étant définitives. De sorte que, à dix-huit jours, l'embryon a un cœur qui bat, à vingt jours un système nerveux en croissance constante. À 42 jours il est déjà doté d'un squelette complet et de réflexes. À huit semaines, on peut lui faire un électrocardiogramme,  et il est possible d'enregistrer ses battements de cils, ses réactions, ses réponses à des stimuli.

    8. Toutes ces structures s'ajoutent, petit à petit, les unes aux autres de façon organisée et dans une unité fonctionnelle, pour aboutir à l'état final, définitif, de développement. C'est pourquoi cet être humain est à la fois un et lui-même, dans le plus strict respect de la connaissance biologique. C'est une seule et même personne, depuis la fécondation jusqu'à la gestation puis l'âge adulte.

    9. Pour avoir vieilli, un être humain a dû passer par des étapes : maturité, jeunesse, enfance, mais aussi fœtales et embryonnaires. Au cours de l'ensemble de ce processus continu, ce développement est ni plus ni moins celui d'un être humain, sans sauts ni apparitions mystérieuses d'une condition humaine.

    10. Il est scientifiquement inapproprié d'affirmer que c'est seulement quand apparaissent des structures cérébrales et mentales que l'embryon est à proprement parler 'humain', puisque, pour que ces structures cérébrales et mentales apparaissent dans l'embryon, celui-ci possède déjà une condition biologiquement humaine.

    Traduit de l'édition hispanophone d'Aleteia par Elisabeth de Lavigne

    source:  Revista Ser Persona

  • Action pour la Famille mobilise contre la gestation pour autrui (GPA)

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    Les priorités actuelles d’Action pour la famille-Actie gezin sont l’interdiction de la gestation pour autrui (GPA) et la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes (sperme et ovules).

    Dans la gestation pour autrui, une femme porte un enfant pendant neuf mois pour ensuite l’abandonner et le livrer à un couple, homosexuel ou hétérosexuel, ou à une personne seule, afin de répondre à son désir d’enfant. 

    Certainement, la stérilité est pour bien des couples une grande souffrance et nul ne songe à la sous-estimer. Mais peut-on aller jusqu’à traiter des femmes comme de simples machines génitrices et considérer des enfants comme des choses que l’on arrache à leur mère dès la naissance selon les termes d’un contrat commercial ? Non. 

    La seule manière d’éviter de telles pratiques est de légiférer en interdisant purement et simplement la gestation pour autrui dans notre pays, et même dans tous les pays, comme l’a proposé récemment le premier ministre socialiste français Emmanuel Valls.

    IL FAUT AGIR ! Signez dès maintenant la pétition internationale pour l’interdiction de la GPA http://www.nomaternitytraffic.eu/fr/ 

    Dans les faits, la gestation pour autrui est légalement tolérée et pratiquée en Belgique. Plusieurs propositions de loi ont été récemment déposées à la Chambre en vue d’encadrer la gestation pour autrui et de prétendument éviter toute « dérive commerciale ». 

    Comment peut-on imaginer un seul instant qu’il sera possible de vérifier et de contrôler que des cadeaux ou des dessous de table n’auront pas été donnés à la mère de substitution et à d’autres intermédiaires ? 

    En plus, serait-il normal qu’une femme qui porte un enfant pendant neuf mois pour quelqu’un d’autre ne reçoive aucune forme de rétribution ? Comment peut-on croire que les conditions « strictes » stipulées par une loi initiale ne seront pas progressivement élargies pour en arriver à une banalisation dont l’avortement et l’euthanasie nous offrent les tristes exemples ?

    Informez-vous en visitant notre site, en particulier la page des documents sur la GPA et la procréation médicalement assistée (PMA)

    Et regardez absolument le film Google_Baby, un documentaire sur le trafic des embryons et le business des mères porteuses aux Etats-Unis, en Inde et Israël, fait par un réalisateur qui est en faveur de la GPA. Les 20 premières minutes suffisent pour saisir toute l’horreur de ces pratiques.

    Action pour la famille collabore activement avec d’autres organisations pour aboutir à l’interdiction de la GPA en Belgique. Nous avons des rendez-vous avec plusieurs députées au niveau fédéral dans les prochaines semaines. Nous vous maintiendrons au courant des actions que nous mettrons en place début 2015.

    Du côté de la levée de l’anonymat des donneurs de gamètes, les mentalités semblent évoluer favorablement. Les centres qui pratiquent la PMA se rendent compte des dégâts psychologiques que peut provoquer chez certaines personnes l’impossibilité qui leur est imposée de connaître leur origine, en contradiction avec l’article 7 de la Déclaration universelle des droits de l’enfant. Sur ce point aussi, nous vous tiendrons informés de l’évolution de la situation.

    Suivez-nous aussi sur notre page Facebook / https://www.facebook.com/agafasbl

    Action pour la famille asbl-Actie gezin vzw / http://www.actiegezin-actionfamille.be 

    Action pour la famille asbl est une association citoyenne, pluraliste et indépendante qui ne reçoit aucune subvention d’organisations publiques ou privées. Elle est gérée par des bénévoles. 

    Si vous souhaitez soutenir notre action, effectuez un versement sur le compte d’Action pour la famille asbl : 363 0704704 39 
    IBAN : BE13 3630 7047 0439 – BIC : BBRUBEBB
    (Nous ne pouvons pas délivrer d’attestation fiscale.)

  • PÉTITION À L’ATTENTION DU CONSEIL DE L'EUROPE : Les infanticides néonataux en Europe doivent être condamnés

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    Le 19 novembre, veille de la journée internationale des droits de l’enfant, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe a fait savoir qu’il estime que la pratique de l’infanticide néonatal ne relève pas de sa compétence et refuse de rencontrer des ONG désireuses de l’informer à ce sujet. En juillet 2014, le Comité des Ministres ne parvenait pas à se prononcer sur ce même sujet.

    Par un courrier du 1er novembre, quatre organisations non gouvernementales (le Bureau international catholique de l'enfance, l’Union mondiale des organisations féminines catholiquesla Fédération des associations familiales catholiques en Europe et le Centre européen pour le droit et la justice) ont demandé à M. Nils Muižnieks, le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, de le rencontrer pour lui remettre un dossier exposant le sort des enfants nés vivants après un avortement. Chaque année en effet, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

    Ces faits sont attestés par des données officielles et des témoignages de sages femmes. Une étude publiée dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology a conclu qu'à 23 semaines de gestation, le taux d’enfants survivant à l’avortement atteint 10%.

    Laisser des enfants agoniser sans soins, ou les tuer, simplement parce qu'ils ne sont pas désirés, est inhumain. C’est pourquoi, ces ONG voulaient rencontrer le Commissaire aux droits de l’homme pour lui demander de réaffirmer que tous les êtres humains-nés vivant, ont le même droit à la vie et aux soins de santésans discrimination fondée sur les circonstances de leur naissance, conformément aux droits de l’homme.

    Mais le Commissaire a refusé de recevoir ces ONG, estimant que sa compétence « ne couvre pas les questions soulevées ». Pourtant, le 15 janvier 2014, il avait pris position publiquement contreles avortements sélectifs en fonction du sexe, demandant leur interdiction pénale. En outre, la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant, dont on célèbre le 25ème anniversaire, rappelle que« l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance ».

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  • Conférence sur la Gestation pour Autrui le 26 novembre à Bruxelles

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    Confrence GPA 26 nov 2014.png

  • Liège (carmel de Méhagne), 15 novembre : Bioéthique et Foi Chrétienne

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    BIOÉTHIQUE ET FOI CHRÉTIENNE

    15 nov 2014 - Carmel de Mehagne (Liège)

    (Communauté du Chemin neuf)

    Date : le 15 novembre 2014 de 15:00 à  19:30 

    Lieu : Carmel de Mehagne (Liège) 
    27, Chemin du Carmel 
    4053 Embourg - Chaudfontaine 

    Merci de stationner votre voiture sur le parking à l'entrée du Carmel.

    Public accueilli :
         
    Couple
         
    Jeune 18-30 ans
         
    Individuel
         
    Fiancés
    Participation aux frais : 6 - 10 € 

    Contact : Contact :