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Bioéthique - Page 50

  • La livraison de mai de "la Nef"

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    Il y a peu de revues "recommandables"; heureusement, la Nef apporte chaque mois sa gerbe de contributions intelligentes aux questions d'aujourd'hui, dans la fidélité à l'Eglise et à sa Tradition. On pardonnera volontiers à cette publication son caractère "franco-français"...

    Certains articles sont accessibles en ligne; il suffit de cliquer sur les liens.

    Voici le SOMMAIRE DU N°226 DE MAI 2011

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  • L'utilisation de l'embryon humain comme simple matériau de base est contraire à l'éthique

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    "Un cas faisant office de test est examiné à la Cour européenne de justice; il pourrait se traduire par une interdiction à l'échelle européenne du brevetage des techniques qui utilisent des cellules souches embryonnaires humaines en tant que «kit de réparation» pour le corps.

    Les cellules prélevées sur des embryons dans les premiers jours sont censées être capables de se transformer en l'un des types de cellules présentes dans le corps, mais elles
    pourraient également se muer en tumeurs cancéreuses.

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  • Trois millions d'enfants morts-nés ne comptent pas aux yeux de l'ONU

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    "Près de trois millions d'enfants meurent chaque année pendant l'accouchement ou dans les dernières semaines précédant la naissance, plus que tous les décès dûs au SIDA. L'ONU ne les prend même pas en compte. Une étude récente indique que l'une des raisons de ce silence réside dans la politique en faveur de l'avortement.

    «À une époque où les efforts mondiaux en faveur de la santé maternelle sont mis en avant, l'aspiration d'une femme à avoir un bébé vivant est absente de l'ordre du jour de la santé dans le monde", affirment les auteurs d'une étude dans la prestigieuse revue médicale "The Lancet".

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  • Dispositif légal spécial pour protéger les femmes ayant recours à la F.I.V.

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    Le 17 mars 2011, la Chambre des représentants a adopté un projet de résolution visant à une meilleure protection des femmes ayant recours à la fécondation in vitro. Ce projet avait été déposé par M. Yvan Mayeur et consorts le 29 septembre 2010  et vise à assurer une meilleure protection salariale de la femme qui a recours à la fécondation in vitro ainsi qu’une protection contre le licenciement. Les auteurs soulignent que ce traitement est astreignant tant sur le plan physique que mental et occasionne de nombreuses absences au travail. Texte de la résolution

    Bulletin de l'I.E.B.

  • L'embryon humain réduit à la condition de matériau de laboratoire

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    L'embryon humain réduit à un "matériau à gérer" En faisant le choix de révoquer le régime d'interdiction de la recherche sur l'embryon humain le 8 avril 2011 (Cf. Synthèse de presse du 08/04/11), le Sénat se positionne clairement en faveur d'une vision matérialiste et scientiste de la vie. Si ce vote était confirmé en deuxième lecture, "plus aucune exigence éthique, même symbolique, ne s'opposerait à la réduction de l'embryon humain au statut de matériau de laboratoire entièrement disponible au bon vouloir des firmes pharmaceutiques et autres consortium de recherche" souligne Pierre-Olivier Arduin.

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  • L'Eglise refuse-t-elle les progrès de la science?

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    dans la revue de presse de genethique.org du 8 avril

    Dans un article publié dans Le Monde.fr, Mgr. Jérôme Beau, évêque auxiliaire de Paris et directeur du Collège des Bernardins et le Père Brice de Malherbe, co-directeur du département d'éthique biomédicale au Collège des Bernardins reviennent sur la tribune publiée par le Pr. Marc Peschanski et Cécile Martinat dans Le Monde du 6 avril qui dénigre les catholiques, accusés de s'opposer à la science.

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  • "Nous devons résister à cette pente qui consiste à dire que puisque cela existe il faut que ce soit légalisé."

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    Dixit la sénatrice française socialiste Catherine Tasca, en prenant position sur le débat des mères porteuses (ou Gestation Pour Autrui - GPA). Cette phrase empreinte de bon sens nous est rapportée par le journal français "Le point", via Gènéthique.

    C'est assez cocasse, on pourrait presqu'en rire -- ou plutôt en pleurer -- quand on sait que le même Sénat, dès le lendemain, autorisait la recherche scientifique sur les embryons humains (Gènéthique).

    Voir à ce propos sur "Liberté politique"

    Le Sénat fait le choix de l’eugénisme

    8 Avril | Pierre-Olivier Arduin*

    Lors de l’examen en février du projet de loi relatif à la bioéthique, les députés avaient adopté un amendement marquant leur souci de desserrer l’étau du dépistage prénatal en supprimant l’obligation faite aux médecins de le proposer systématiquement à toutes les femmes enceintes de notre pays. En faisant passer à la trappe cette mesure, les sénateurs cautionnent un eugénisme d’État qui s’imposerait désormais sans aucune échappatoire possible aux professionnels de la naissance.

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  • "Une société de plus en plus marquée par la peur"

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    index.jpgDans une société de plus en plus marquée par la « peur », le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence des évêques de France, a invité les Français à la « lucidité » et au « calme », notamment en cette période préélectorale.

    Dans le discours d'ouverture de l'Assemblée plénière des évêques à Lourdes, le 5 avril, le cardinal a également évoqué ses craintes sur les conséquences du débat sur la laïcité lancé ce mardi en France et a souhaité que les sénateurs, qui examineront dès ce mercredi le projet de loi sur la bioéthique, « n'ouvriront pas la voie à un eugénisme d'État », notamment en ce qui concerne la trisomie 21.

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  • L'objection de conscience et le choix de la dissidence

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    Il fut un temps où l'on n'évoquait le concept d'objection de conscience que dans le cadre de l'obligation du service militaire où il était entendu que l'on ne pouvait contraindre un appelé à porter les armes si sa conscience le lui interdisait. Ce statut était reconnu et l'objecteur pouvait alors opter pour un service civil.

    Aujourd'hui, il est d'autres lois génératrices de pratiques auxquelles une conscience respectueuse des droits et devoirs fondamentaux de l'être humain, de sa conception à sa mort naturelle, ne peut prêter son concours. Ainsi en va-t-il du médecin obstétricien qui se refuse à pratiquer des avortements, du pharmacien qui ne peut délivrer des "kits" d'euthanasie, de l'infirmière qui ne peut s'associer à des pratiques qui ne respectent pas la vie, du chercheur qui ne peut se résoudre à utiliser des embryons pour la recherche sur les cellules souches, de l'officier d'état-civil qui se refuse à unir par le mariage des gens du même sexe, de parents qui s'opposent à ce que leurs enfants participent à des cours ou des informations banalisant les pratiques sexuelles, les pratiques contraceptives et abortives, l'homosexualité, etc, leur seront données. On peut évoquer en même temps l'objection de conscience qui a conduit chez nous le roi Baudouin à refuser de sanctionner une loi dépénalisant l'interruption volontaire de grossesse.

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  • Quand le sénat français préfère l'eugénisme et l'utilitarisme au respect de la vie humaine

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    Un communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune

    « La commission des affaires sociales du sénat méprise le code civil et l'intérêt général », a titré le 31 mars, la Fondation Jérôme Lejeune à propos du Projet de loi bioéthique analysé au sénat français.

    « Au sénat, la commission des affaires sociales qui vient de voter le projet de loi bioéthique a adopté plusieurs amendements clairement eugénistes et utilitaristes. Les deux plus graves concernent l'encadrement du diagnostic prénatal et la recherche sur l'embryon », explique la Fondation Lejeune dans ce communiqué.

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  • Recherche sur l'embryon : les sénateurs français manipulés

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    L'Alliance pour les Droits de la Vie (ADV) dénonce, dans un communiqué diffusé ce jeudi, le procédé manipulateur pour obtenir la levée du principe d'interdiction de recherche sur l'embryon.

    Ce jeudi 31 mars 2011, à la veille de l'examen de la loi de bioéthique au Sénat, Marc Peschanski a annoncé « une nouvelle première scientifique grâce aux cellules souches embryonnaires humaines. » L'Alliance pour les Droits de la Vie dénonce dans cette pratique  un véritable rapt médiatique ainsi que la volonté d'instrumentaliser les Parlementaires.

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