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Bioéthique - Page 50

  • L'objection de conscience et le choix de la dissidence

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    Il fut un temps où l'on n'évoquait le concept d'objection de conscience que dans le cadre de l'obligation du service militaire où il était entendu que l'on ne pouvait contraindre un appelé à porter les armes si sa conscience le lui interdisait. Ce statut était reconnu et l'objecteur pouvait alors opter pour un service civil.

    Aujourd'hui, il est d'autres lois génératrices de pratiques auxquelles une conscience respectueuse des droits et devoirs fondamentaux de l'être humain, de sa conception à sa mort naturelle, ne peut prêter son concours. Ainsi en va-t-il du médecin obstétricien qui se refuse à pratiquer des avortements, du pharmacien qui ne peut délivrer des "kits" d'euthanasie, de l'infirmière qui ne peut s'associer à des pratiques qui ne respectent pas la vie, du chercheur qui ne peut se résoudre à utiliser des embryons pour la recherche sur les cellules souches, de l'officier d'état-civil qui se refuse à unir par le mariage des gens du même sexe, de parents qui s'opposent à ce que leurs enfants participent à des cours ou des informations banalisant les pratiques sexuelles, les pratiques contraceptives et abortives, l'homosexualité, etc, leur seront données. On peut évoquer en même temps l'objection de conscience qui a conduit chez nous le roi Baudouin à refuser de sanctionner une loi dépénalisant l'interruption volontaire de grossesse.

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  • Quand le sénat français préfère l'eugénisme et l'utilitarisme au respect de la vie humaine

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    Un communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune

    « La commission des affaires sociales du sénat méprise le code civil et l'intérêt général », a titré le 31 mars, la Fondation Jérôme Lejeune à propos du Projet de loi bioéthique analysé au sénat français.

    « Au sénat, la commission des affaires sociales qui vient de voter le projet de loi bioéthique a adopté plusieurs amendements clairement eugénistes et utilitaristes. Les deux plus graves concernent l'encadrement du diagnostic prénatal et la recherche sur l'embryon », explique la Fondation Lejeune dans ce communiqué.

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  • Recherche sur l'embryon : les sénateurs français manipulés

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    L'Alliance pour les Droits de la Vie (ADV) dénonce, dans un communiqué diffusé ce jeudi, le procédé manipulateur pour obtenir la levée du principe d'interdiction de recherche sur l'embryon.

    Ce jeudi 31 mars 2011, à la veille de l'examen de la loi de bioéthique au Sénat, Marc Peschanski a annoncé « une nouvelle première scientifique grâce aux cellules souches embryonnaires humaines. » L'Alliance pour les Droits de la Vie dénonce dans cette pratique  un véritable rapt médiatique ainsi que la volonté d'instrumentaliser les Parlementaires.

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